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Un mari bien imprudent…ou le chemin de la perversion… – Chapitre 2




Alberto, n’arrêtait pas de solliciter sa femme pour qu’elle lui montre la vidéo prise sur son téléphone portable.

Il mourrait d’envie de voir ce qui s’était exactement passési sa femme avait joui, combien de fois, si le praticien l’avait vraiment fistée, comme Fanfan l’avait évoqué dans son fantasme, comment il l’avait baisée, etc.

Françoise n’en pouvait plus de ce harcèlement incessant ; elle, elle désirait simplement reprendre sa petite vie de bonne épouse honnête et irréprochable, loin des penchants incongrus de son époux.

D’ailleurs elle devait bien le reconnaitre, elle s’en voulait beaucoup d’avoir vampé l’ostéopathe, d’avoir répondu aux provocations de son mari en s’abandonnant sexuellement à lui

Pourtant quand elle y repensait, quel moment intense, une heure peut être la plus érotique de sa vie.

Elle, l’infirmière modèle, appréciée en société, avait fait l’amour avec ce beau jeune homme de différentes façonset quelle jouissance il lui avait donné.

Quand elle y repensait, son entrejambe devenait moite et elle sentait sa petite fente s’ouvrir.

Mais maintenant tout cela était révolu, elle s’en était faite la promesse !

Si son mari voulait assouvir ses fantasmes, il n’avait qu’à fréquenter une prostituéemais après ce serait le divorce !

Françoise ne voulait pas partager son lit avec un détraqué sexuel !

Pourtant un soir, alors que Françoise était rentrée de l’hôpital où elle travaillait, fourbue et fatiguée de sa journée éreintante, elle trouva Al, réveillé qui l’attendait dans le litil était 22h30.

Toujours insistant, à propos de la vidéo, il lui expliqua que cela était devenu une obsessionil n’en dormait plus, perdait l’appétitIL VOULAIT SAVOIR ET VOIR ce qui s’était passé dans le cabinet de l’ostéopathe.

Une sévère dispute s’engagea : Al traitait sa femme de petite salope qui cache bien son jeu, d’égoïste, et il louait sa propre tolérance « à l’égard des frasques de son épouse.»

Devant tant de mauvaise foi, Fanfan éclata, elle le traita de pervers, d’obsédé sexuel, de « queue sur pattes », de rage elle saisit son Smartphone et pianota pour envoyer la vidéo sur le Mac familial.

Lui rétorquant qu’il pourrait se branler en regardant les ébats de son épouse, elle lui dit qu’elle allait passer une heure chez la voisine, Murielelle, son mari et leurs enfants étaient des gens normaux au moins

Claquant la porte, elle se rendit à leur domicile, et sonna à la porte.

Anton, la reçut chaleureusement et la fit entrer. Il lui proposa un whisky dans le salon, lui disant que son épouse était indisponible pour le momentmais qu’elle pouvait l’attendre avec lui.

Une conversation polie s’engagea, mais elle percevait au fur et à mesure des propos d’Anton, comme une sensation de malaise.

Le regard brillant, en proie à une excitation, il lui posait des questions sur le service des urgences de l’hôpital et, de purement innocente, la conversation prenait un chemin scabreux.

Il voulait savoir si Françoise avait déjà accueilli des gens au comportement sexuel déviant, comme des personnes qui s’introduisent des objets dans le rectum et, ne pouvant les en sortir, en étaient réduits à aller aux urgences.

Françoise, gênée par le tour pris par la conversation, dériva le sujet sur le travail de son épouse qui était policière.

Avec un grand sourire, Anton expliqua que sa femme, Muriel, ayant le poste d’officier de police judiciaire alors qu’elle était major,( parité des postes oblige), était témoin de scènes parfois bizarres et excitantes.

Comme ce différend familial qui se réduisait en réalité à une femme zoophile qui, se faisant saillir par le doberman de la famille, sous les yeux de son mari, s’était retrouvée « coincée «  avec l’animalle mari terrifié par les réactions violentes de l’animal, avait alors appelé la police ne sachant plus quoi faire.

Sa femme Muriel et ses collègues s’étaient alors retrouvés face à l’épouse saillie et prise au piège par l’animal, qui affolé, commençait à lui labourer le dos de ses griffes.

Les policiers durent « tazer » la pauvre bête, provoquant également l’évanouissement de l’épouse, mais tout s’était bien terminé.

Françoise abasourdie par le récit d’Anton, ne savait quoi répondre, surtout que ce dernier lui lorgnait sans vergogne le haut de ses jambes, découvertes par le pardessus qui avait un peu glissé.

Françoise ce soir là, portait une robe un peu courte, et réalisant que la position assise lui dévoilait la lisière de ses bas, s’empressa de redescendre la robe et serrer les pans de son pardessus.

Anton allait prononcer un mot, quand le carillon de la porte sonna. Un autre voisin était venu avertir Anton que leur chat était coincé dans son pommier et qu’il n’arrivait plus à descendre, poussant forces miaulements.

Anton s’excusa et laissa Françoise seule avec son verre de whisky à la main.

Celle-ci complètement retournée par l’incongruité de la conversation, vida son verre d’un coup. Le liquide lui réchauffa l’estomac et une douce chaleur embruma son esprit.

Elle allait se décider à partir, ne voyant pas Muriel revenir comme son mari le lui avait promis, quand elle entendit une longue plainte venant du couloir.

Bien que le son soit étouffé par la distance, elle reconnut une voix de femme.

Inquiète elle se dirigea dans le couloir et s’aperçût que des bruits venaient du cellier.

Elle décida d’aller voir, sa voisine était peut être blessée et dans l’incapacité de se déplacer.

Elle descendit les marches et arriva dans une espèce de crypte médiévale reconstituée. Et ce qu’elle vit au fond de la pièce la sidéra

Il s’agissait d’un donjon sadomasochiste.

Une femme était enchainée par les bras et suspendue au plafond, ses pieds touchaient à peine le sol.

Elle était nue à l’exception d’un porte- jarretelles en cuir et de bas résilles.

Deux homme, torse nu, habillés façon bourreau avec de gros ceinturons en cuir, flagellaient la malheureuse avec de longs martinets, chacun à leur tour.

Les lanières sifflaient et venaient s’abattre sur le corps de « la suppliciée. »

A un moment, l’un des hommes de dos, s’approcha d’elle, et sans délicatesse lui passa la main sur le vulve offerte et sans défense.

«  Elle mouille la salope elle dégouline même. T’en veut encore pétasse ? Tu jouis ou on arrête ?

— Non par pitié continuez, c’est trop bon, je suis au bord de l’orgasme !

-Tu veux un coup de gode salope ?

— Oui

— Oui qui pétasse ? (en lui tordant un mamelon ce qui tira une longue plainte à la femme.)

— Oui Maitre, mes seins, continuez, vous allez me faire jouir !

— Quand je l’aurai décidé, ce n’est pas toi qui donne les ordres !! »

Françoise assistait pour la première fois de sa vie à une séance SM, et ce qu’elle voyait la dégoutait et l’excitait en même temps.

Il lui semblait d’après les propos et les gémissements de la femme enchainée, que cette dernière prenait visiblement beaucoup de plaisir à sa situation

Sous une impulsion elle sortit son Smartphone, et commença à filmer la scène ; sa main gauche pendant ce temps caressait instinctivement son entrejambe

Elle était de plus en plus excitée.

A un moment il lui fallut quitter son string pour pouvoir se doigter convenablement la chatte, toujours en train de filmer.

Quand l’un des deux hommes, qu’elle n’avait toujours pas identifiés, la scène était trop loin et la lumière trop mauvaise, prit une bougie et en versa sur les seins de la femme, lui provoquant un cri de douleur et de plaisir mêlés, quand son corps se cambra sous le coup de l’orgasme, Françoise prit elle aussi son plaisir.

C’est alors qu’elle entendit crier son prénom d’en haut de l’escalier Anton était revenu et la cherchait.

Elle l’entendit descendre les marchesfaite comme un rat !

Il lui fallait trouver une solution.

Elle sa cacha, en se terrant dans un renfoncement au pied de l’escalier, derrière des cageots de bière.

Anton passa devant elle sans l’apercevoir, il appela les gens du fond :

«  Muriel, les enfants arrêtez d’asticoter votre mère ! Vous n’avez rien vu ou entendu de bizarre ? La voisine est passée nous voir, je l’ai laissée seule et je ne la trouve plus  »

Devant l’horreur de la situation Françoise remonta silencieusement l’escalier, traversa le couloir en courant et regagna la rue.

Il lui fallut 30 minutes d’une marche rapide pour recouvrer ses esprits.

Ainsi la femme enchainée était sa voisine, Muriel, major de police, nue, battue et fouettée par ses deux garçons Julien et Tom, 21 et 24 ans qui étaient ses tortionnaires

Mais qui étaient ces monstres ?? Et le mari laissait faire !

Quelle bande de dépravésmais en même temps quel spectacle érotique et troublantFrançoise se serait bien vue à la place de Muriel, godée, fouettée, baisée, maltraitée par les deux jeunes hommes et leur mère

Quel effet cela faisait de se retrouver à la merci de dominateurs pervers ?

Assise sur un banc, dans la rue, sous les platanes, elle laissait son esprit divaguer en des jeux pervers de soumission.

Les yeux fermés, elle se laissait bercer par ses fantasmes et la douce brise de printemps.

Elle aventura sa main droite entre ses cuisses qu’elle trouva moites de sa jouissance passéePuis introduisit sans problèmes 2 doigts dans son intimité.

Elle se disait qu’il était tellement agréable de se promener dans la rue, sans la barrière du tissu sur sa chatte

Elle se releva d’un bon ! Nue sous sa robe ! Mon dieu qu’avaitelle fait de son string ??

Elle réalisa avec horreur qu’elle l’avait abandonné quelque part dans le cellier de ses voisins !!!

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