Ce jour-là, je suis seul avec Nabil ; nos autres copains du quartier sont allés à Lyon pour assister aux affrontements entre étudiants et forces de l’ordre. Nous sommes tous deux désuvrés. Alors que je n’y pense même pas, Nabil se tourne vers moi et me lance :

Dis-moi, Hub, t’as pas envie d’essayer de prendre ta revanche ?

Étonné, je fixe mon ami algérien et hésite à répondre. En souriant, il répète sa question.

Nous avons déjà lutté l’un contre l’autre et, comme tous les autres d’ailleurs, j’ai dû subir sa loi. Oui, c’est vrai : j’aimerais prendre ma revanche, mais je sais qu’il est fort et très bon lutteur malgré sa petite taille. Nabil est trapu, costaud, avec un torse puissant, des jambes courtes et épaisses, bien quil ne fasse même pas 1m65.

Ma réponse tarde car nos combats, depuis quelques temps, ont pris une tournure particulière. Effectivement, le vainqueur, après avoir immobilisé et contraint son adversaire à l’abandon, lui ouvre son jean et en extirpe son sexe. Toujours en souriant, il insiste ; je finis par accepter son défi. Comme lors de tous ces combats, nous nous mettons torse et pieds nus puis, arc-boutés, nous nous faisons face, prêts à en découdre.

Nabil est vif, rapide et, malgré ma taille et mon allonge supérieures, j’ai bien du mal à contrer ses attaques. Les premiers mano à mano, les premiers corps-à-corps sont rudes et déjà, à plusieurs reprises, je m’en sors de justesse. Sur une de ses nouvelles attaques, je me fais surprendre : mes pieds décollent du sol et, en poussant un petit cri de surprise, je me retrouve enfourché sur ses épaules, tournoyant dans les airs. Je bats des jambes ; il accélère encore avant de me jeter sèchement au sol… Étourdi, sonné, je n’arrive pas à me relever. Alors, tranquillement, il s’approche de moi et sans opposition me place une prise de soumission imparable : ciseau de jambes à la gorge et clé de bras… Oh, bien sûr, en ruant reins arqués j’essaie de me libérer, mais en vain. Alors, en grognant d’une voix sourde, je ne peux une fois encore qu’admettre sa victoire, reconnaître ma défaite…

Satisfait, Nabil ricane et ajoute :

Et une mise à l’air !

J’en étais sûr Je me laisse donc faire quand il s’attaque à la braguette de mon jean, l’aidant même en soulevant mes reins, à faire glisser celui-ci sur le haut de mes cuisses. Alors que mon sexe est extirpé de mon slip, la main libre de Nabil le saisit. Surpris, je me plains :

Qu’est-ce que tu fais ?

Là, Nabil rit franchement et se met à l’agiter avec vigueur. Malgré moi et malgré l’étranglement de ses cuisses autour de mon cou qui m’étouffe à moitié, mon sexe réagit, se dresse dans sa main qui va de plus en plus vite. Je grogne, le supplie d’arrêter ; mais rien n’y fait et il continue en lançant des commentaires peu flatteurs sur ma virilité. Mes grognements deviennent gémissements et, ne pouvant me retenir, je me cambre et jouis en poussant une longue plainte…

Essoufflé, abasourdi parce qu’il vient de me faire, je n’ai pas le temps de comprendre que Nabil qui m’a enfin libéré de sa prise victorieuse est assis à cheval sur le haut de mon torse en sueur, me toisant, ironique, alors que ses mains s’affairent sur la braguette de son jean.

À mon tour Tu vas voir ce que c’est, un zob !

Quand après quelques contorsions il réussit à extirper sa verge brune, médusé, j’écarquille les yeux en comprenant aussitôt ses réflexions précédentes. Il ne bande pas complètement, mais déjà son sexe est bien plus long et bien plus gros que le mien en totale érection. D’une main ferme il le saisit puis, se penchant en avant, il le pointe sur mon visage qu’il se met à fouetter, glissant au passage sur mes lèvres closes… À chaque impact, je gémis. Bientôt il est raide, énorme…

Allez, ouvre la bouche ; sûr que tu vas l’aimer, ma grosse bite !

Je ne cherche même pas à lui résister ; à quoi bon ? Jouvre grand la bouche, où aussitôt il s’engouffre. Je suffoque, les mâchoires prêtes à se décrocher tant il est gros.

Ouais, je vais bien te niquer ! rugit-il.

Et là, il se met à me bourrer la bouche en me tenant la tête. Plusieurs fois je crois m’étrangler, vomir, tant il va loin… Je n’en peux plus tant il me taraude les lèvres… Enfin, soudain il se retire et, se finissant à la main, il m’inonde le visage en jets violents et abondants…

Calmé, il se relève alors que, souillé, je reste prostré dans l’herbe.

Demain, à la même heure ici ; sinon je dis à toute la bande que tu es une bonne suceuse ! me lance-t-il sur un ton qui nadmet aucune réplique.

Le lendemain j’y étais, et ce fut encore autre chose

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