Après un moment de câlins dans les bras de l’un de l’autre, je me levais pour filer sous la douche pendant que Jessica passait aux toilettes. Quand elle revint, son visage était fermé. Elle portait une culotte pas des plus sexy et avait enfilé un tee-shirt ample.

 

–         Qu’est-ce qu’il y a ? lui demandai-je, inquiet.

 –         C’est rien C’est juste que mes règles viennent de débarquer. Je me disais bien que ça cherchait depuis quelques jours.

 –         Ah et bien on a bien fait d’en profiter avant.

 –         Ouais mais je me dis que tu aurais pu jouir dans ma chatte sans que ça pose problème. On va devoir calmer quelques temps nos galipettes.

 Je ris, en songeant que ces menstruations arrivaient bien. J’étais crevé et j’avais besoin de faire le point. De façon très étrange, une pudeur était revenue entre nous dans les heures qui ont suivi. Nous étions revenus les amis d’avant cette soirée et matinée. Comme si cette folie entre nous n’avait été qu’un rêve commun. 

 Comme convenu, nous sommes allés chez moi. J’habitais à moins de 2km de chez elle. Nous avons profité du trajet à pied pour louer des DVD.

 Je nous ai fait un bon repas, des brochettes de poulet à l’ananas, avec une marinade curry/lait de coco si je me souviens bien, avec une boîte de petits pois carottes.

 Puis nous nous sommes installés sur mon lit pour commencer un film. 10 minutes plus tard, nous étions endormis l’un à côté de l’autre. La nuit avait été courte et épuisante.

 Son téléphone portable sonna (les vieux Nokia 3310 si vous vous rappelez de la sonnerie).

 Elle répondit d’une voix endormie. Je levais un il vers mon réveil. Cela faisait bien 3 heures que nous dormions.

 

–         Allô, M’man ? () Bah pas grand-chose, on s’est endormis devant un film () Arrête un peu, non il n’y a rien entre nous () et puis c’est pas tes oignons d’abord () Quand ça ? () Je ne sais pas, tu sais que j’ai des rendez-vous demain matin () Comment ça avec qui ? Je te l’ai dit, je dois voir mon gynéco puis mon cardio pour un bilan, c’est prévu depuis un moment () C’est gentil mais je crois qu’il préfère sans doute rester chez lui ce soir () D’accord, je lui demande

 –         Ju ? m’appela Jessica.

 –         Ouais ?

 –         Ma mère demande si tu veux venir manger à la maison ce soir. Elle a préparé des lasagnes.

 –         Mouais, pourquoi pas ? Tu sais que j’adore ça.

 Reprenant la communication :

 

–         Il dit qu’il est ravi () T’es sûre ? ()

 –         Elle dit que tu peux reprendre de quoi te changer si tu veux dormir à la maison ce soir.

 Je fronçais les sourcils. J’aurais préféré passer une nuit tranquille dans mon studio, dans mon lit. D’un autre côté, la famille de Jess m’avait pris sous leur aile. Etant étudiant, mes parents vivaient à 130 km de là. Ils avaient acheté un studio de 40m2 dont je pouvais disposer à titre gracieux tant que je n’avais pas de situation stable. Je reconnaissais être assez favorisé, voire gâté par mes parents. Mais avec ma situation actuelle, les rapports avec ma famille étaient tendus. Je travaillais bien comme surveillant dans un lycée professionnel, mais avec mes problèmes de santé, j’étais en arrêt maladie et à demi-traitement. Ma mère, très inquiète, se faisait souvent influencer par mon beau-père et mon père, avec l’idée que mes douleurs au dos étaient une simulation pour faire mon Tanguy. Et quand les parents deviennent actionnaires majoritaires de votre vie, il suffit de ne plus entrer dans la case du fils parfait pour que les disputes et les reproches arrivent. Le corps médical pataugeait et j’étais renvoyé d’un médecin à un autre. Les dernières consultations avec un rhumatologue orientaient le diagnostic vers un cancer. Seule Jessica et sa famille étaient au courant. Je ne voulais pas en parler à ma propre famille. Mais j’avais terriblement peur. Cette douleur lancinante qui ne me quittait jamais, qui m’empêchait de rester en station assise et statique trop longtemps, s’aggravait au point que parfois, ma jambe droite refuse d’avancer. Je me paralysais d’une jambe et ça me terrifiait. Je sais que c’est peut-être étonnant ou pas cohérent vu mes performances sexuelles narrées dans ce récit. Mais tout est vrai.

 Fréquenter Jess et ses parents étaient un moyen pour moi d’éviter de sombrer dans une grosse dépression. 

 Pour autant, la famille de Jessica était loin d’être parfaite. Surtout sa mère, Laure. Laure et son mari Jean se sont rencontrés quand Laure était encore lycéenne. Jean était déjà étudiant à la fac à l’époque. Laure avait eu sa première fille, Sandra, à 17 ans avec Jean peu de temps après leur rencontre. Elle eut Jessica deux ans plus tard. Laure était une fille ambitieuse à l’époque. Jolie (pour avoir vu des photos de l’époque), brillante, elle avait dû arrêter ses études avant le bac. Sa famille, très vieille France, lui avait tourné le dos après lui avoir reproché d’avoir gâché sa vie, en tombant amoureuse d’un homme 5 ans plus vieux qu’elle alors qu’elle n’était encore qu’une ado. Laure a très vite développé des troubles bipolaires assez conséquents, mais sans doute que c’était déjà en elle. Dans ses phases maniaques, elle jalousait follement ses filles et avait des paroles très dures envers elles et son mari, les accusant d’avoir bousillé sa vie. Dans ses phases dépressives, elle culpabilisait en s’apitoyant sur son sort de femme au foyer avec bientôt plus de filles à sa charge. Entre les deux, quand son traitement la stabilisait, c’était une jolie femme de 42 ans pimpante et aimant avoir de la visite chez elle pour se sentir moins seule. Je ne me voyais pas refuser son invitation. 

 Jean était un homme très sympathique et on voyait qu’il aimait éperdument sa femme. Il était assez classique, souvent en costume cravate chemise, et portait une moustache raccord avec ses cheveux courts poivre et sel. Il avait 47 ans mais paraissait 10 de plus, sûrement avec le souci. On notait aussi qu’il était souvent dépassé par le mal dont souffrait Laure, et il se sentait impuissant quand elle allait mal. Il se noyait dans son travail, qui était une échappatoire pour lui. Il savait que le jour où Jessica partirait du domicile familial, les variations d’humeur de son épouse s’aggraveraient. Je crois que Laure craignait que sa dernière fille tombe amoureuse de moi et qu’elle la quitte pour moi.

 Nous avons passé un excellent repas, animé de conversations légères et de verres de vin qui me firent un bien fou. Je pense que les parents de Jessica m’avaient à la bonne, et je leur faisais oublier la morosité de leur vie rien que par ma présence. C’était réciproque. Peu passionnés par le football, Jessica et moi laissions Jean regarder un match pendant que nous aidions Laure à débarrasser. Puis nous allâmes dans la chambre de Jessica pour discuter et jouer à la console. J’étais un peu pompette avec tout l’alcool bu, et l’invitation de dormir sur place tombait bien.

 Vint le moment de la toilette avant de se dire bonne nuit et Jessica me dit à l’oreille avec un sourire coquin, au moment où je regagnais la chambre d’ami :

 

–         Dommage que je ne puisse pas te faire une bonne petite pipe avant de dormir.

 Ou comment se coucher avec une demi-molle en songeant à cette douce pensée. Jessica ne fit pas la moindre tentative dans la nuit de se glisser dans mes draps. Trop risqué sans doute et les filles ont souvent une libido en sommeil pendant leur règles. Je dormis d’un sommeil de plomb.

 Je me réveillai à 9h le lendemain matin. Vêtu de mon short de sport et d’un t-shirt, les cheveux ébouriffés, j’entrais dans la cuisine où Laure s’affairait.

 

–         Bonjour Laure, vous allez bien ? demandai-je.

 –         Très bien et toi bien dormi ? répondit-elle. Je te prépare ton petit déj. Tu prends quoi ?

 –         Un thé à la menthe et quelques céréales, s’il vous plaît. Vous avez du jambon ?

 –         Regarde dans le frigo, fais comme chez toi. Jessica est partie avec son père tôt ce matin pour des rendez-vous.

 –         Oui je sais elle m’en a parlé. Je me prends une douche et je vais vous laisser. Je ne veux pas vous déranger.

 –         Tu ne me déranges pas, tu sais que j’aime avoir de la compagnie.

 Laure portait une épaisse sortie de bain en coton éponge saumon. Quand elle se retourna, je constatai avec effroi qu’elle était nue dessous. Du moins, elle ne portait rien dans l’entrebâillement plongeant de son peignoir qu’elle avait mal ajusté. Ses seins étaient entièrement visibles. Ils étaient un peu plus tombants que ceux de Jessica, aussi gros, avec d’énormes mamelons, et des tétons sombres. Je déglutis difficilement.

 Laure s’assit en face de moi et me sourit.

 

–         Tu aimes ?

 –         Heu.. Hein ? Quoi ? bafouillai-je.

 –         Ton petit déj est bon ? Je ne sais pas si tu connais ces céréales.

 –         Heu oui oui très bon, dis-je en m’efforçant de ne pas plonger mon regard dans son décolleté.

 –         Et ça tu aimes ? demanda-t-elle en prenant ses nichons en les soupesant.

 Je sentis le feu me monter aux joues. Elle l’avait donc fait exprès. Une érection commençait à déformer mon short tout léger. J’essayais de reprendre de la consistance.

 

–         Vous êtes une très belle femme, Laure. Votre poitrine est magnifique.

 –         Tu trouves vraiment ? Je ne vieillis pas trop ?

 Elle se mit debout et ouvrit les pans de son peignoir. Elle était plus grande que sa fille, plus fine aussi. Ses cheveux longs châtains tombaient en cascade sur ses épaules dénudées. Il était étonnant de voir une femme à la taille aussi fine avec d’aussi gros seins, surtout à 42 ans. Son sexe aux lèvres lisses était surmonté d’un ticket de métro sombre et frisé. 

 

–         Je je je vais prendre ma douche, bégayai-je en me levant et en reculant pour fuir vers le salon.

 –         Attends je vais te donner une serviette, dit-elle en laissant tomber sa sortie de bain au sol.

 Je me figeais. Oh dans quel guêpier je m’étais fourré ! La mère de ma meilleure amie était devant moi à poil et je ne savais pas comment réagir. Je repensais brusquement à la réaction de Jessica quand sa mère était entrée dans la chambre d’ami hier matin tandis que je prenais Jess furtivement par derrière :

 « Et je pense même que maman aimerait bien être à ma place là maintenant. »

 Laure vint poser ses mains sur mes épaules.

 

–         Je sais que tu baises ma fille, Julien, annonça-t-elle d’une voix rauque. Il n’y a pas de problème, mais je veux que tu me baises aussi.

 Laure baissa mon short qui tomba à mes chevilles et saisit ma bite qui finissait de grossir. Laure se mit à genoux et enfonça ma queue goulument dans sa bouche. 

 C’était irréel, la mère de ma copine était là, à mes pieds, dans la cuisine, sur le carrelage, en train de me sucer comme une damnée. Elle enfonçait mon pieu en gorge profonde avec un savoir-faire déconcertant, maîtrisant un haut de cur, avant de me branler énergiquement en me léchant les couilles.

 Elle se releva ensuite puis posa ses fesses sur le rebord de la table, en écartant les cuisses, après avoir repoussé mon petit déj.

 

–         Viens ! Je te veux au fond de moi.

 Dans un état second, j’empoignais ma queue et frottait mon gland de haut en bas sur sa chatte mouillée. Elle avait des lèvres vaginales proéminentes avec un gros clito. Le plus gros que j’ai jamais vu. Il saillait de sous son pubis comme une mini bite. Le fait qu’elle soit épilée avec juste un peu de poils châtains sur son mont de Vénus renforçait cette impression de grosseur. Je crois que nous savourions tous les deux que mon gland frotte ce gros clitoris. Dans une extase totale, je m’introduis en elle jusqu’à la garde. La table se mit rapidement à couiner autant que Laure sous mes coups de rein. Laure avait les jambes sur mes épaules pendant que je la prenais de toute la longueur de ma queue. La position n’était pas des plus confortables. Aussi, la maman de Jess me repoussa et en me tenant par la bite, m’invita à la suivre dans la chambre parentale.

 J’allais baiser la mère de ma meilleure amie là dans le sanctuaire de leur mariage. C’était dingue !

 Elle monta sur le lit à 4 pattes, puis posa sa tête sur le matelas en écartant ses fesses à l’aide de ses mains.

 

–         Viens me défoncer comme une pute ! commanda-t-elle.

 Je pris appui sur ses hanches et m’enfonçai d’une traite dans son vagin si accueillant. Très vite, je la martelai de violents coups de bite dans des claquements sonores et des cris de femme en train de jouir. J’enlevai mon t-shirt pour être nu.

 

–         Oh mon petit salaud ! criait-elle. Ça fait longtemps qu’on ne m’a pas baisée comme ça ! Tu la démontes aussi comme ça ma fille ? J’espère que tu te protèges pour ne pas la mettre enceinte. A moins que tu l’encules ma salope de fille ! Avec moi, tu peux y aller, tu peux jouir à fond dans ma chatte si tu veux ! Tu veux peut-être m’enculer aussi ?! Ça fait trop longtemps qu’on ne m’a pas prise par le cul ! Prends-moi !

 Elle écarta ses miches en faisant bailler son anus et y mit de la salive afin de faciliter l’intromission de ma queue dans cet orifice. Ma queue était aussi déjà mieux lubrifié de sa mouille. Elle rugit tout le long de cette pénétration anale. Je posai un pied sur le matelas pour la prendre encore plus profondément. Elle jetait son cul en arrière pour que je la sodomise encore plus brutalement. Je voyais mon dard qui lui perforait son petit trou. 

 

–         Oh putain ce que tu me mets dans le cul ! Ta jeune queue me comble comme pas possible !

 Je sentais monter son orgasme à mesure que ses cris se faisaient de plus en plus forts, et qu’elle glissait pour se retrouver à plat ventre sur le lit, les reins cambrés tandis que je la pistonnais, en la prenant par une épaule et les cheveux. Laure écartait encore son cul pour mieux savourer ma bite au fond de son rectum.

 Elle se mit à hurler et à se branler la chatte quand elle atteint enfin l’orgasme, son autre main crispée sur sa fesse. Je ralentis progressivement ma sodomie pour lui laisser un peu de repos.

 

–         Va dans la salle de bain te nettoyer la queue pour que je puisse te sucer à nouveau et que tu me prennes à nouveau par la chatte, demanda-t-elle.

 Je lui obéis mais elle se leva aussi pour me suivre. Après m’avoir rincé la bite avec le pommeau, elle me suça avec gourmandise et reconnaissance de l’avoir déjà fait tellement jouir. Nous nous retrouvâmes ensuite en 69 sur le carrelage et je pus déguster ses lèvres épaisses ainsi que sucer son gros clito, pendant qu’elle me pompait en gémissant pendant de longues minutes. J’étais tout proche de jouir dans sa bouche avide et elle savait me tenir sur le fil du rasoir.

 Je la pris ensuite debout par derrière sous le jet de la douche. Je finis rapidement par jouir dans sa chatte, les mains sur ses gros seins, tandis que mes éjaculations fouettant ses muqueuses la firent jouir avec moi. Elle me suça encore pour avaler les dernières gouttes de mon sperme qui perlait sur mon urètre.

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