Javais un ami, Manu, avec qui je me rendais au lycée tous les jours, et chez qui jaimais passer mes jours de congés.

Javais lhabitude daller chercher mon ami à son domicile tous les matins, il habitait très près de chez moi et nous nous rendions ensemble au lycée. Cependant Luc avait la fâcheuse habitude dêtre souvent en retard. Aussi quand je frappais à la porte de la maison de ses parents, cétait toujours sa mère, Carole, qui venait mouvrir. Son père, routier, était absent la plupart du temps, ne rentrant chez lui qua la fin de la semaine seulement. Il avait une journée de repos de temps en temps de façon à être avec son fils, quil amenait généralement à la pèche pour la journée. Ce qui me déplaisait car cette journée là je me sentais abandonné et ne savais comment passer mon temps.

Lors de mes visites matinales, la mère de mon camarade se montrait extrêmement gentille avec moi, me complimentant sur mes habits, mes cheveux ou sur mes yeux verts. Chaque matin elle me recevait toujours vêtue du même peignoir bleu ciel, qui lui arrivait à mi-cuisses. À quarante ans, elle avait lâge de ma propre mère. Nathalie était une très belle femme pour ladolescent que jétais. De souche suédoise, elle possédait de soyeux cheveux blond qui lui descendaient jusquaux épaules, de grands yeux vert irisés, une bouche aux lèvres charnues, et surtout le plus important à mes yeux, une poitrine imposante qui déformait le devant de son peignoir.

Chaque matin je marrangeais pour me présenter chez Manu largement en avance, afin de demeurer quelques instants, seul avec sa mère pour laquelle jéprouvais une véritable adoration. Dans ces moments privilégiés, Nathalie me parlait comme si jétais un ami intime, se confiant aisément comme si je pouvais comprendre ses problèmes personnels. Tout en lécoutant dune oreille attentive, je profitais des moindres mouvements quelle faisait pour essayer de distinguer par louverture de son peignoir, un coin de chair nue. Parfois lors dun geste un peu plus brusque quelle faisait, son vêtement souvrait assez largement pour que je puisse entrevoir une bonne partie de ses seins. Quelques fois cétait ses cuisses que je pouvais apercevoir pour mon plus grand bonheur. Comme jétais persuadé que la mère de mon ami ne portait pas plus de culotte, quelle ne portait de soutien-gorge, je me sentais rougir comme une tomate chaque fois que le bas du peignoir sécartait plus quil naurait du.

Si je prenais un réel plaisir à découvrir les merveilleux atouts de la séduisante mère de Manu, il marriva bientôt que mon bas ventre sorne dune fâcheuse érection, qui déforma de façon vraiment indiscrète le devant de mon pantalon, me procurant ainsi une effroyable gêne. Nathalie ne tarda pas à sapercevoir de mon trouble et de ce qui le créait. Ses discrets, mais appuyés coups dil en direction de cette protubérance qui membarrassait ne fit quaccentuer mon trouble et mon embarras. Même si le regard quelle me lançait ensuite était plus amusé, que gêner.

Pourtant, malgré mon innocence, je constatais avec un certain émoi, que plus les jours passaient, plus les incidents avec son peignoir se multipliaient ; celui-ci souvrant de plus en plus largement et de plus en plus fréquemment.

Devenu follement amoureux de la mère de mon ami, je mempressais chaque matin, sitôt mon petit déjeuner avalé, de me rendre chez mon ami, sachant pertinemment que ce dernier serait, soit encore endormi, soit sous la douche. Le cur battant la chamade, je me faisais une joie de passer quelques instants en tête à tête avec Nathalie, espérant au fond de moi davoir loccasion de découvrir encore un peu plus des atouts généreux de celle-ci.

Un matin, alors que selon lhabitude, nous nous trouvions seuls à la cuisine, Manu prenant sa douche, Nathalie se plaignit quil fallait quelle fasse le lit de son fils chaque matin. Aussitôt, afin de lui donner une bonne image de moi, je me vantais de faire mon lit moi-même tous les jours.

Cest vrai ? sexclama Nathalie Tu es vraiment un garçon parfait, ce nest pas comme Manu Tu ne veux pas maider à faire le lit de ton copain ?

Évidement que je le voulais, espérant fortement que lors de cette tache je pourrais percevoir de nouveau quelques parties de ce corps féminin qui me faisait tant fantasmer.

Placé chacun dun côté du lit de Manu, nous commencions à tendres draps et couverture. Plaisantant ou me félicitant, Nathalie se penchait en avant plus souvent quil ne le fallait, tirant le drap, puis le défroissant longuement de la main ou bien retirant une poussière imaginaire. La gorge sèche, je profitais au maximum de laffolant spectacle quelle moffrait. Par louverture généreuse de son peignoir je pouvais voir ses gros seins blancs quaucun soutien-gorge ne comprimait, et même une partie de ses mamelons brun foncés.

Si cette vue me ravissait au-delà de tout, jéprouvais quand même un terrible embarras au niveau du bas-ventre, mon sexe sétait raidi et avait largement doublé de volume, formant une bosse fort sur le devant de mon pantalon. Comme jessayais maladroitement de cacher cette excroissance indiscrète, Nathalie surprit mon geste :

Eh bien, que tarrive-t-il me lança-t-elle en riant On dirait que tu as quelques ennuisCe nest quand même pas moi qui te met dans un tel état ?

Que pouvais-je répondre, ma timidité et surtout mon innocence mempêchait de profiter de loccasion. Souriant de mon embarras, Nathalie me reconduisit jusquà la cuisine, où Manu nous attendait en grignotant une biscotte. Ce jour là, en me disant au revoir, la mère de mon ami me tendit la main que je mempressais de serrer, mais au moment de la lui lâcher, elle me pressa les doigts avec insistance en me demandant :

Demain matin, si tu veux tu peux venir plus tôt, on pourrait prendre un café ensemble Manu ne boit pas de café, et comme je déjeune toujours toute seule, ça me ferais plaisir davoir un invité, quand penses- tu ?

Avec plaisir mempressais-je de répondre.

Manu enchaîna :

Si tu acceptes de prendre un café avec ma mère, tu es condamné à le prendre tous les matins.

Je me pinçais les lèvres pour ne pas lui répondre que cela ferait bien mon bonheur. Alors Nathalie sapprocha de moi pour me faire une bise sur la joue gauche, jen profitais, le cur battant pour me coller à elle, frottant avec mon bras ses seins, que je trouvais étonnamment fermes.

Le lendemain matin, qui était un jeudi, je me présentais une demi-heure plus tôt que jen avais lhabitude. À peine dans le hall dentrée, lodeur du café me caressa agréablement les narines. Nathalie, portant son éternel peignoir, maccompagna jusquà la cuisine où elle me pria de masseoir à la table :

Tu veux bien mattendre quelques minutes ? me demanda-t-elle Le temps que le café passe. Je vais ranger ma chambre en attendant

Moi qui étais si heureux de me trouver en tête à tête avec cette femme si sensuelle, je ressentis une immense déception à lidée de me retrouver seul. La chambre de Carole se trouvait pratiquement en face de la cuisine, et immédiatement je remarquais que doù jétais javais une vue parfaite sur les activités de Nathalie. Pour linstant cette dernière avait entreprit de plier du linge sans faire attention à moi, sans même sinquiéter que son peignoir par moment souvrait dune manière des plus indiscrète, suivant les mouvements quelle faisait. Le cur battant à cent à lheure, je ne manquais pas un des gestes et déplacements de Carole. La vision même fugace de ses gros seins qui ne voulaient pas rester à lintérieur de son peignoir me rendait malade dexcitation.

A un moment donné, elle se présenta près de la porte, à environ deux mètres de moi, et afin de ramasser des chaussettes sur le plancher elle saccroupie face à moi, les cuisses largement écartées; Nathalie, la mère de mon meilleur ami moffrait sur un plateau la vue de son sexe. Dans mon caleçon, soudain trop étroit ma verge se redressa vigoureusement, sans que je ne puisse rien faire. Je commençais à avoir très chaud et je devais être rouge comme une tomate.

Son rangement terminé, Nathalie se dirigea vers moi en replaçant son peignoir sur son corps sensuel que je convoitais de plus en plus.

Voila, jai fini, me lança-t-elle Tu ne tes pas trop ennuyé, tout seul ? me demanda-t-elle en affichant un large sourire.

Une fois le café servi dans les tasses, Nathalie sinstalla à mes cotés devant la table. Mais au moment de boire son café, la mère de Manu saperçut quelle avait oublié les cuillères et le sucre près de la cuisinière. Voulant les attraper, sans se lever, elle étira son bras gauche en direction des couverts. Dans ce geste, ses jambes suivirent le mouvement de son tronc et sécartèrent largement lune de lautre. Je demeurais tétanisé par le spectacle qui soffrit alors à mon regard. Le peignoir sétant complètement ouvert au niveau du bas-ventre, jeus sous les yeux le sexe presque totalement épilée de la mère de mon ami.

Je sentis mes joues et tout mon visage devenir rouge. Je demeurais sans voix, la bouche soudainement ouverte. Devant la fixité de mon regard en direction de son entrecuisse, Nathalie me murmura dune voix chaude :

Elles te plaisent tant que ça mes cuisses ?

Je nosais lui avouer que ce qui me plaisait surtout, était placé au bas de son ventre et plus particulièrement entre ses cuisses. Je nosais même pas la regarder dans les yeux. Comme elle navait pas fait un geste pour refermer son peignoir et reprendre une tenue plus correcte, je ne pouvais détacher mon regard de son sexe.

Je ne pensais pas quà mon âge je pouvais intéresser un beau jeune comme toi,

Cest le moment que choisit Manu pour sortir de la salle de bain. Nathalie referma alors vivement son peignoir, me privant du spectacle affolant quelle venait de moffrir. Avant que son fils nous rejoigne dans la cuisine, elle me murmura tout bas :

Demain mon mari va à la pêche avec Manu. Ils vont partirent à cinq heures du matin, si tu nas rien à faire, tu peux venir me tenir compagnie Tu peux même venir prendre ton café avec moi Puis après on fera ce que tu veux !!

Je mempressais pour répondre que jétais daccord. Je ne pouvais laisser échapper une telle occasion de me trouver enfin vraiment seul avec cette femme si désirable et qui mavait déjà tant offert.

Tu sais, je ne veux pas te gâcher ta journée, si tu as autre chose à faire ne sois pas gêné pour le dire, insista Nathalie dun ton qui sonnait faux.

Non, non, demain je nai rien à faire me hâtais-je de répondre. Je viendrais prendre le café avec vous.

Je vidais ma tasse au moment ou Manu sapprochait de la cuisine. Je me levais avec regret de ma chaise pour me diriger vers la sortie en bavardant avec mon ami. Nathalie nous suivit jusquà la porte. Pendant que Manu plaçait ses livres dans son sac à dos, me faisant face, je lançais un regard discret en direction de sa mère, qui nétant pas dans le champ de vision de son fils, dénoua la ceinture de son peignoir pour lécarter légèrement, moffrant fugitivement, une vue intégrale sur son corps magnifique. Je me sentis rougir encore une fois à un point que Manu sexclama :

Tu es tout rouge ! Quest-ce quil tarrive ?

Cest le café qui ma donné chaud je crois

Cette réponse fit rire Nathalie qui me fixait du regard avec insistance Il était clair que cette femme me montrait volontairement son corps, cela devait lexciter au plus haut point et moi je lencourageais par mon côté voyeur.

Le lendemain matin vers huit heures je me présentais chez mon ami, que je savais être absent. Nathalie maccueillit toute souriante. Refermant la porte derrière moi, elle sapprocha pour me faire une bise sur la joue, je pensais déjà à la suite de la matinée. Surpris je constatais quelle portait ce matin une nuisette jaune et assez courte qui se gonflait généreusement au niveau de sa poitrine. Une fois arrivé à la cuisine elle me dit :

Je ne tattendais pas si tôt, le café nest pas prêt.

je mexcuse, bafouillais-je, déçu. Je ne veux pas vous déranger, je peux revenir plus tard.

Non, non, reste. Je dois tavouer que je suis bien heureuse que tu sois venu à cette heure-ci, cest moi qui nai pas pensé préparer le café, mais on a tout notre temps Assied-toi je vais te laisser quelques minutes, je dois me changer Ce nest pas correct de recevoir un jeune homme en nuisette Alors ne bouge pas, je reviens dans un instant

Elle se dirigea en direction de sa chambre. Comme la veille je minstallais de façon afin de ne rien perdre des activités de mon hôtesse. Un côté de la chambre était caché par un mur et cest dans ce recoin que Nathalie se plaça pour se changer. Heureusement pour moi, face à ce recoin où sétait isolée la mère de mon ami, une armoire dotée dun immense miroir me renvoya les moindres gestes de cette dernière. Elle avait retiré sa chemise de nuit et se trouvait entièrement nue, me tournant le dos, je pouvais très facilement admirer ses énormes fesses. Elle avait le bas des reins très cambré, ce qui mettait en valeur la rondeur de ses fesses. Je trouvais cela très excitant. Ignorant complètement ma présence, Nathalie prit le temps de plier sa nuisette avant denfiler son éternel peignoir sur le dos. Pour cela elle pivota sur elle-même, faisant ainsi face au miroir. Je la découvris alors dans son intégrale nudité. Ses gros seins, avec leurs bouts rouges presque bruns. Son ventre plat sornait dun triangle de poils courts blonds, que javais pu découvrir la veille.

Il me sembla que mes yeux me sortaient de la tête, tandis que tout mon visage rougissait. Je sentais mon sang me monter à la tête et mincendier les joues, mes battements de cur se ressentaient dans ma tête comme des coups de marteaux. Lorsquelle sortit de sa chambre en serrant la ceinture de son peignoir, Nathalie saperçut de mon émoi, mon visage devait être violet et comme je portais un bermuda, elle neut aucune peine à constater que jétais en proie à une érection phénoménale.

Me fixant avec un large sourire, elle me lança :

Bon, on va prendre un bon café. Jai limpression que tu en as rudement besoin.

Tu sais, je te trouve très gentil. Et, tu me plais beaucoup, ajouta-t-elle au bout dun moment de silence.

Moi aussi je vous trouve sympathique et aussi très jolie, parvins-je à articuler, la bouche sèche.

Cest vrai ? Tu me trouves jolie ? Minterrogea Nathalie.

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