Johanna se redressa de la même manière que Karine le fit et la position de Filou et de sa nouvelle chienne était exactement celle qu’avait sa maîtresse quelques instants plus tôt.

— Karine ! Je croyais que tu partais avec ton fils en week-end, attends, je peux t’expliquer, je voulais pas, il m’a sauté dessus, je n’ai pas pu me défendre !

— Tu es en train de me dire que Filou t’as violé ? Alors pourquoi tu n’as pas de sous-vêtement ?

— Parce que je n’en mets jamais ! S’il te plaît, ne le dit pas à ma mère !

— D’accord, mais pour ça tu vas me rendre un petit service… Avant de te sauter, Filou m’a prise exactement comme il le fait en ce moment avec toi, et il me reste encore de son jus… Tu veux bien m’aider à l’enlever ?

— QUOI ? MAIS AVEC QUOI ?

— Avec ta langue bien entendu !

A ce moment-là, Karine ne se rendit pas vraiment compte de ce qu’elle était en train de demander à la belle blonde, mais son instinct sexuel avait pris le dessus, elle n’était plus une femme mais une chienne, dans tous les sens du terme.

— Mais c’est sale !

— Pas plus que de vouloir se faire « casser le cul » par un chien…

— QUOI ! Tu m’as espionné ?!

— Non, c’est toi qui a pénétré chez moi, il est normal que mon chien te pénètre mais le fait de tenir ma langue te coûteras l’utilisation de la tienne !

Karine s’est littéralement transformé, elle ne désire plus seulement sentir une langue sur son sexe, elle veut maintenant que la soumission entre en jeu.

— Je n’ai jamais oser sucer ton chien, me faire défoncer ne m’a jamais dérangé mais de là à le sucer…

— Ça tombe bien, tu ne vas pas sucer, tu vas lécher…

Joignant le geste à la parole, Karine fit s’allonger Johanna et se plaça au dessus d’elle face à la saillie, les cuisses encore ruisselantes de la jeune femme étaient à présent en contact avec le visage de la dresseuse.

Johanna était dans une position plus que délicate, un chien était en train de lui jouir dans la chatte et une femme pleine de sperme canin était en train de se vider littéralement sur ses lèvres.

Après une légère hésitation, Johanna ouvrit la bouche pour y laisser entrer le mélange qui s’écoulait de la chatte de Karine, c’était la première fois qu’elle goûtait à la semence d’un chien, bien qu’il fût largement dilué dans la cyprine d’une femme.

— mais c’est bon !

— Alors utilise ta langue et aide-moi à vider tout ce sperme !

Karine était en transe, elle qui n’aimait que l’amour tendre, se faisait lécher la chatte par une autre femme pour la première fois et en prenait un plaisir malsain. Johanna quant à elle se délectait du liquide provenant de l’entrecuisse de la jeune maman, au point d’utiliser sa langue pour élargir la source de ce nectar.

Du point de vu de Karine, le sexe de Johanna était verrouillé à celui du labrador, et la jouissance provoquée par la langue de la métisse élargissant son vagin la poussa à vouloir une fois de plus lui rendre la monnaie de sa pièce, mais le sexe du chien occupait déjà la place qu’elle désirait explorer de sa langue.

Comme possédée, Karine commença à se pencher vers l’entrecuisse de la jeune fille sans réellement savoir ce qu’elle allait y faire.

A suivre…

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