Ch13. Le départ des cousins.
Le réveil fut quelque peu difficile ; Charly et moi avions passé la nuit à la belle étoile, attachés par nos bracelets aux montants des transats. Les filles sont venues nous réveiller avec une fougue hors du commun ; comme tout mâle qui se respecte, le matin, c’est la trique. En voyant notre état, les filles nous ont masturbés avec force tout en maltraitant nos pauvres tétons, mais sans nous faire éjaculer.
À la question de savoir si elles avaient bien dormi, elles nous ont tout simplement décrit leur nuit ; en voici le résumé :
Hier soir, après avoir pistonné les deux filles par tous les trous, orgasme après orgasme elles avaient pris un incroyable pied. Elles nous attachèrent gentiment sur les transats en nous indiquant que c’était ainsi qu’elles traitaient leurs prisonniers. Elles se sont couchées avec leur reine ; notre chef a tout simplement pris mon lit.
À les entendre, elles ont passé une nuit magique, installées tous les trois dans le lit XXL des parents ; elles se sont lancées dans un jeu saphique, aussi torride que sensuel. Leur mission était simple : se donner du plaisir et en donner à la reine. La reine, allongée entièrement nue au milieu de ses deux guerrières, se laissa faire au début, offrant ses mamelles généreuses aux deux nymphes gloutonnes qui tétèrent sans aucune retenue les mamelons gonflés de désir. Leurs mains caressaient avec tendresse le ventre rond et les cuisses un peu potelées de leur reine. L’idolâtrant au plus haut point, elles fouillaient son entrejambe chaud et humide ; sa vulve inonda leurs doigts de cyprine qu’elles léchèrent avec délice. Bouche contre bouche, elles échangèrent le liquide au goût suave et doux. Justine alla en chercher directement à la source, l’aspirant au plus profond de l’écrin grand ouvert, et le partagea à nouveau avec sa cousine.
Elles devaient également se faire plaisir. Elles se lancèrent alors dans un 69 torride et passionné, aspirant leur propre jus ; elles gloussaient et couinaient bruyamment. Elles n’avaient encore jamais déployé une telle ardeur. Leurs tétons pincés entre le pouce et l’index des mains de l’autre, elle s’infligeait le même supplice qu’elles avaient fait subir à leurs prisonniers ; sous la douleur, elles rugissant telles des tigresses. Elles mélangèrent à nouveau dans leur bouche la cyprine ainsi récupéré des trois femelles dans un bruit de succions gloutonnes. Leurs doigts touchèrent avec frénésie les petites lèvres de leur vulve dilatée, puis les grandes, puis atteindre leur clito gonflé d’envie, et enfin plonger dans leur vagin ruisselant. C’est à cet instant qu’elles furent secouées par un puissant orgasme ravageur. Les cheveux en bataille, la gorge sèche et le corps trempé de sueur, elles reprirent les câlins à leur reine.
Assises en tailleur, la vulve grande ouverte, elles recommencèrent à parcourir les cuisses en direction de la caverne tant convoitée, mais elles furent interrompues par une voix qui leur dit :
Justine, va chercher les godes-ceinture, ceux que vous avez utilisés sur nos esclaves. Et n’oublie pas le gel lubrifiant : vous allez en avoir besoin.
Un peu inquiète, la guerrière s’exécuta, revint avec les objets désignés et les tendit à la reine-mère.
Ce n’est pas pour moi, mais pour vous : je veux du spectacle. Vous comprenez ce que je veux dire ? Alors au boulot !
Après un « Bien, votre Altesse » elles enfilèrent les doubles godes-ceinture. Le phallus destiné à leur vagin largement lubrifié entra sans difficulté ; un léger soupir de plaisir se fit entendre. Elles enduisirent la partie destinée à leur anus avec soin car celle-ci, d’un diamètre de cinq centimètres, devait pouvoir glisser facilement pour éviter trop de souffrances.
Colombe, je suis prête. Pour le plaisir de ma reine, encule-moi ! a ordonné Justine.
La douce Colombe se plaça derrière Justine, elle-même à quatre pattes, le cul bien en l’air, la poitrine posée sur le lit, les bras à plat et bien en avant ; elle ferma les yeux, attendant avec une impatience non dissimulée la pénétration de l’énorme engin dans son petit trou du cul. Sa cousine présenta le gland en caoutchouc devant le trou ainsi offert ; saisissant alors Justine par la taille, elle lui enfonça l’objet. Le phallus força le passage. Colombe transpirait sous l’effort ; Justine, sentant son orifice céder et s’élargir sous la poussée, râlait et grimaçait. Après quelques efforts, l’engin entra de plus en plus, envahissant la totalité de son cratère anal ; elle fut prise de violents soubresauts : un nouvel orgasme venait de la terrasser.
Puis se fut le tour de Colombe.
Allez, viens, espèce de salope ; je vais te défoncer le cul ! En position !
Comme prise par la culpabilité d’avoir fait quelque chose de mal, Colombe se plia de bonne grâce à son supplice, bien que son cul ait déjà reçu de la visite : le soir même, son oncle le lui avait défoncé. Pour elle, cela semblait être juste une formalité. Cette formalité était malgré tout un peu encombrante et plus compliquée à recevoir que ce qu’elle pensait ; ses grimaces en étaient le témoin, mais elle fit preuve de courage, ne dit mot, mais cria de plaisir au moment suprême où son anus semblait se déchirer en provoquant un orgasme d’une violence encore jamais connue.
Pour terminer cette soirée de folie, la reine ordonna de se faire prendre par ses deux guerrières. À quatre pattes sur Colombe, elle s’enfonça sur le gode ; Justine lui avait rentré le sien dans le cul et, la rage au ventre, la pistonnait comme une guerrière. Sous les coups de boutoir, les seins pendants de la reine frappaient le visage de la douce Colombe, se retrouvant parfois le nez pris entre les mamelles. La reine rugissait, sa cyprine ruisselait le long de ses cuisses. Les trois femmes arrivèrent en même temps à l’orgasme, dans une explosion de plaisir, d’une telle force qu’elles se tordaient, secouées comme des poupées de chiffon.
Une fois calmées et heureuses, elles se couchèrent ; les guerrières, le téton dans la bouche et les doigts dans le vagin de la reine, s’endormirent.
Le récit qu’elles venaient de nous faire avait mis notre vit dans un état d’érection impressionnant. Mais il fallait se bouger car, à notre grand regret, leur père venait les chercher dans la matinée ; nous n’avions plus trop le temps de nous amuser. Les filles montèrent se doucher ; mon cousin et moi déjeunions, à poil pour changer. Ensuite, direction la salle de bain pour une bonne douche ; une belle surprise nous y attendait : les deux filles étaient en train de se faire une beauté, nues devant la glace ; elles nous regardèrent puis se sont regardées, et sans dire un mot se sont approchées de nous.
Cette situation me rappela le jour de notre anniversaire où Justine m’avait taillé une pipe ici même et dans les quasi mêmes conditions. Je ne pensais pas qu’elle allait ou plutôt qu’elles allaient renouveler l’exercice ; elles se sont approchées et se sont agenouillées. Justine prit ma bite en bouche, Colombe celle de son frère, et elles nous sucèrent avec application ; j’avais la queue à la verticale, raide et dure comme une batte de base-ball. Puis elles se relevèrent, s’appuyèrent les fesses contre le rebord de la double vasque du lavabo, et s’embrassèrent goulûment en se masturbant réciproquement. Justine, l’il toujours aussi coquin et malicieux, nous dit :
Hé, les mecs ! Pendant qu’on se fait plaisir, vous allez vous branler ; voir des mecs se branler devant nous, ça m’excite. Pas toi, Coco ? Mais n’allez pas trop vite, qu’on puisse savourer le spectacle : c’est la dernière fois qu’on s’amuse ensemble, alors faites ça bien.
Elles reprirent leurs caresses, un pied sur un tabouret. Leur vulve ouverte était bien visible ; leurs mains allaient et venaient sur toutes les parties de leur corps. En passant de leur vulve à leurs seins, les baisers donnés à profusion couvraient tout leur corps. Nous, nous nous agitions la queue comme deux voyeurs vicieux des plages du Sud ; je tentais de maîtriser la venue de mon éjaculation, mais ne pouvant plus tenir, les jets saccadés de sperme partirent sur le sol. Les deux filles, cramponnées au bord du lavabo, se tordaient de plaisir en gloussant. Le cousin avait lui aussi maculé le sol de son jus, quand :
Les filles ! Colombe, Justine, les garçons ! Votre père est là, descendez !
Panique à bord ; nous avons filé sous la douche. Justine me dit :
Vos fringues sont là, vous mettez ça. Oui, maman, on arrive. Deux minutes !
Elle avait terminé sa phrase en criant.
Nous prîmes notre douche en vitesse. Au moment de nous habiller, nous découvrîmes pour chacun un string, un short très court et moulant, et un débardeur ajouré. Pas du tout dans le dress-code de leur famille : rien à voir avec la tenue de golf ringarde qu’avait Charly en arrivant. Les filles nous rejoignirent ; elles étaient canon : minijupe moulante, la poitrine arrogante, le chemisier léger, col ouvert avec vue sur le soutif noir en dentelle, jambes nues et chaussures plates. Il est vrai que nous étions très sexy tous les quatre. La descente vers la salle fut rapide.
Nos parents étaient là ; maman nous fit un clin d’il et un sourire complice ; la situation avait l’air de lui plaire. Je pensais que cela ressemblait assez bien à un coup monté, avec nos tenues provocantes ; Philippe leur père allait certainement en avoir une crise cardiaque ! À notre vue, il faillit recracher le café qu’il était en train de boire et dit :
Qu’est… qu’est-ce que c’est que c’est que ces tenues ? Colombe ! Tu t’es regardée ? Tu ressembles à une pu…
Une pute ? Certainement pas, papa ! Je ressemble à une jeune fille de dix-neuf ans, bien dans sa tête et bien dans son corps, voilà tout. Pas vrai, Sonia ?
Parfaitement, mes chéries ; vous êtes splendides. N’est-ce pas, Éric ?
Eh oui, mon vieux Philippe ; ils grandissent, tes enfants. Laisse-les vivre. D’autant plus qu’ils sont charmants, aussi. Tu ne la trouves pas canon, ta fille ? Et ton gars, il va t’en ramener, des filles, tu ne crois pas ?
L’oncle Philippe ne dit rien. Nous nous sommes esquivés, histoire de laisser nos parents en paix, ou plutôt de calmer l’oncle Philippe.
À notre retour, l’ambiance était très bonne ; nos parents et l’oncle riaient de bon cur. À notre arrivée, Philippe dit à ses enfants :
Bon, je dois reconnaître que vous êtes vraiment très bien ainsi, mais je crains que votre mère ne soit pas d’accord ; nous verrons bien. Alors, ce séjour ? Racontez.
Tout à l’heure, dans la voiture. Mais tu sais, il n’y a rien eu de bien exceptionnel : balades, shopping, baignade, ciné, piscine. Ah si : nous nous sommes essayés au théâtre ; c’était chouette. Je pense que nous pourrions monter une troupe avec eux : ils sont de très bons comédiens, tu sais.
À la bonne heure ! Bien, il nous faut partir, la route est longue, conclut Philippe.
Maman réussit à les retenir à manger, puis l’heure du départ arriva. Les adieux furent un peu compliqués ; nous avions tous un petit pincement au cur et une larme au coin de l’il. Colombe s’installa à l’avant de la voiture. Une dernière embrassade par la vitre ouverte de la portière ; je constatai que sa jupe était largement remontée : je voyais son string noir. Je lui soufflai :
Tu vas le faire bander, ton vieux ! Fais gaffe qu’il ne te passe une main, ou pire…
Je sais ; et il n’irait pas s’en vanter… pigé ? me répondit-elle.
La jeune fille bien sage était devenue une femme décidée et n’ayant plus peur de rien ; son frère également. Justine et moi étions ravis de les avoir connus ; nous espérions les revoir un jour ; enfin, si leurs parents ne les avaient pas enfermés ou s’ils n’avaient pas déménagé.
Après leur départ, nous étions nostalgiques. Maman proposa de se poser près de la piscine.
Alors, mes petits chéris, vous vous êtes bien amusés avec vos cousins ?
Oui beaucoup ! Et vous ? répondit Justine.
Je dois dire que vous nous avez surpris ; et comme vous en demandiez toujours plus, nous avons un peu poussé les choses peut-être un peu trop loin, je le concède mais c’était votre souhait, non ? commenta papa.
Oui c’est vrai, c’était super ! reprit Justine.
La vie reprit son cours, ainsi que nos ébats, de plus en plus tumultueux. Quelque temps plus tard, un événement changea le cours de notre vie : notre contrat de travail dans le resto où papa nous avait fait embaucher touchant à sa fin, le patron ne souhaitait pas le prolonger, fin de saison oblige.
Nous nous sommes lancés à la recherche d’un boulot, mais rien ; en morte saison, il n’est pas facile de trouver du travail. Devant notre désespoir, papa nous dit que rien n’était perdu car il connaissait beaucoup de monde et qu’il nous trouverait quelque chose ; pour ce faire, il fallait qu’ils (lui et maman) aillent voir sur place. Ils partirent pour quatre jours, nous laissant la garde de la maison.
Nous avons aussitôt pris possession de l’ex-atelier de papa pour laisser libre cours à notre imagination ; et là, nous avions de quoi faire : nos parents avaient dû dévaliser la boutique sexy de Xstory ! Nous avons essayé tous les sextoys, juste pour voir, par curiosité.
[À suivre]