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La meilleure manière d'utiliser son gode, – Chapitre 1




Je me suis épilée, maquillée et coiffée d’une perruque bouclée blonde pour vivre cette journée en femme. Je porte une ravissante guêpière dont les bonnets 105/D menacent d’exploser sous le poids de mes lourdes prothèses en silicone. Sous leurs pressions, je sens mes bretelles de soutien-gorge s’incruster dans mes épaules

Une culotte ouverte, des bas à coutures et des jarretières complètent ma tenue glamour. J’adore me voir dans ma superbe lingerie en prenant des poses suggestives devant ma glace. Afin d’être une fille crédible, j’ai coincé ma queue entre mes cuisses et je frotte sensuellement mes cuisses gainées de nylon l’une contre l’autre pour entendre le crissement de mes bas. Très impatiente de commencer la séance, je m’allonge sur mon lit, en fléchissant les genoux et en glissant un coussin sous mes fesses. C’est la position la plus efficace pour stimuler mon point G. Tout en explorant mes dessous, je caresse mes seins et mes cuisses en songeant au scénario que je vais improviser devant ma glace. Quelques instants plus tard, il ne me reste plus qu’à choisir mon jouet…

J’hésite entre mon gode ventouse de 7 cm, mon gode caterpillar calibre 9, mon plug gonflable ou mon B52. Bien que ce dernier me donne des sensations fortes lorsque ses 10 cm de diamètre m’ouvre les fesses, je me décide pour mon gode ventouse 7×28 cm qui correspond mieux à mon désir du moment. Par expérience, je sais que son gland bien formé va stimuler efficacement mon point G. Malgré mon impatience, je contemple fascinée sa taille qui va de mon pubis à mes seins. Je suis aussi impressionnée en sentant son poids d’un kilo sur mon ventre. En le lubrifiant avec du crisco, mon regard se porte sur ses anneaux dont les diamètres vont croissant jusqu’à son socle. J’ai maintenant une irrésistible envie d’être prise par cet énorme sexe en fantasmant à l’avance sur le plaisir qu’il va me donner.

Mon cur bat la chamade quand j’écarte la fente de ma culotte en l’appuyant contre mon illet. Puis, j’exerce une pression continue pour le faire rentrer dans mes reins. J’ai la sensation d’être ouverte en deux lorsque mes chairs s’écartent lors de son passage. Je bloque la ventouse du gode sur mon matelas pour m’empaler plus facilement. Puis, par de puissantes bascules du bassin d’avant en arrière, je finis de m’embrocher sur ce pieu monstrueux qui s’enfonce profondément dans mes entrailles. Quand il disparaît dans ma culotte fendue, j’ai vraiment l’impression d’être une femme qui s’empale sur son gode devant la glace. Assise sur mon lit, je fais tournoyer mes fesses sur ce pieu qui me sert de pivot. J’amplifie ainsi les pressions sur mon point G jusqu’à ce que des gouttes de sève imprègnent ma culotte satinée d’auréoles blanchâtres. Le diamètre du gode allant croissant, je dois pousser pour m’ouvrir davantage afin que le dernier anneau rentre dans ma chatte.

Je m’allonge alors sur le dos et j’écarte les cuisses au maximum en pressant à deux mains mon énorme gode pour l’enfoncer jusqu’à la garde. Lorsque je sens son socle se coller contre mes fesses, je reste un moment immobile afin de retarder mon orgasme et savourer mon plaisir d’être prise. Soudain, ma queue jaillit d’un coup de ma culotte fendue en se plaquant pleine de désir contre mon ventre. Elle est tellement tendue qu’elle en devient douloureuse. Je l’entoure d’un anneau pénien pour conserver ma spectaculaire érection.

Puis, je contracte mes sphincters sur mon gode en frottant mes cuisses l’une contre l’autre comme le fait une fille pour jouir. Dans le même temps, je cambre les reins pour sentir ce gode démesuré m’embrocher plus à fond. L’instant d’après, je le sors de mes fesses avant de me laisser retomber dessus de tout mon poids en gémissant de douleur et de plaisir. Devant la glace, je vois avec incrédulité ce gros calibre disparaître dans mon ventre. Lorsqu’il ressort, je contracte mes muscles intimes pour mieux sentir ses reliefs me limer la chatte. Je vois alors ma rosette s’étirer lentement sur la hampe du gode comme si elle voulait le retenir et s’enrouler dessus lorsque je le replonge dans ma grotte. Le désir montant crescendo dans mes reins, je le sens tressauter dans ma main sous l’effet de mes contractions anales.

Sachant que je ne pourrai plus tenir très longtemps, je pose mon vibro sur mon frein tout en frottant mon périnée avec ma main. Le massage de cette zone sensible associé aux irrésistibles vibrations ne tardent pas à me faire atteindre le point de non retour. En caressant ma queue comme un clito et en me servant de mon anus comme d’un vagin, j’ai le sentiment de jouir comme une fille. Cette triple stimulation, (Pénis Périnée, Prostate) déclenchent rapidement mon orgasme.

Au moment crucial, je gémis de plaisir en accompagnant la vague déferlante de plaisir qui m’emporte. Une épaisse coulée blanchâtre sort lentement de ma verge en inondant ma guêpière. Terrassée par ce fabuleux orgasme anal, je garde mon gode serré entre mes cuisses. Les fortes pressions qu’il exerce sur ma prostate finissent d’extraire mes dernières gouttes de sève. Embrochée jusqu’au nombril par cette queue de 28 cm, je n’arrive pas à détacher mon regard de l’impressionnante ventouse du gode qui recouvre mes fesses. Je reste un moment immobile en savourant mon plaisir de me sentir prise et comblée. Quelque temps plus tard, je change ma lingerie recouverte de sève pour en enfiler une autre tout aussi sexy devant mon miroir. Je ne me lasse pas de contempler les coutures de mes bas qui subliment le galbe de mes jambes en exaltant ma féminité. La sensualité qu’ils dégagent m’excite fortement les sens.

A nouveau taraudée par le désir, je m’allonge sur mon lit en lubrifiant ma queue et mon anus d’un gel conducteur de courant. Puis, j’enfonce un plug anal en inox de 5 cm de diamètre dans mes fesses en posant un anneau pénien serti d’un fil électrique sur mon frein et deux patchs à électrodes sur mes bourses. J’achève ma préparation en connectant les fils à mon boîtier erostek tout en sélectionnant un programme pour chaque zone. Dés que j’active le plug, je sens de puissantes ondes m’irradier l’anus. Je regarde avec fascination ma queue se soulever en cadence et mes bourses se contracter sous l’effet des ondes électriques. Mon plaisir monte crescendo quand les vibrations deviennent de plus en plus intenses. Le courant électrique traverse maintenant ma queue et mon anus en se propageant en vagues successives dans mon ventre. Prise d’une irrésistible envie de jouir, j’amplifie les stimulations en essayant de résister le plus longtemps possible à l’orgasme qui va m’emporter.

Soudain, sans que je fasse un geste, une épaisse coulée de sève se répand sur ma guêpière. Lors de ces séances d’électro sexe, je remarque que ma source de vie est plus abondante. Comme toujours dans l’orgasme anal ma sève coule lentement et en continu. L’autre avantage de cette technique, c’est que je n’ai pas de période réfractaire. Je conserve donc mon érection ce qui me permet d’enchaîner sur un nouvel orgasme sec (sans éjaculation) et de pouvoir jouir à répétition comme une femme. Après des mois de pratique, j’ai l’impression que mon cerveau transforme les stimulations électriques en sensations érotiques en me rendant addict à ce plaisir.

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