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Le journaliste et la Modéle…. – Chapitre 1




Le journaliste Jacques Genet spécialisé en mode de la revue ’ LUI’, avait une peau d?un brun doré, et Glacyanne l?avait rencontré en Angleterre. Elle aurait cru tout simplement qu?il était bronzé par le soleil mais ses traits étaient Européen. Ses cheveux étaient légèrement crépus et ses yeux extrêmement sombres, sa façon de parler, un peu emphatique sonnait juste cependant, Glacyanne en le considérant, le jugea comme un homme auquel on pouvait être fier. Un jour à Londres, il lui avait été présenté pour faire une campagne publicitaire pour un parfum pour le millionnaire ’ Bucheron’, dès ce jour là, elle lui a affirmé qu?elle lui revaudrait cela. Il fut heureux de ce serment. Elle n?était pas une femme à manquer à ses promesses.

Elle était extrêmement belle. Il y avait déjà trois ans qu?elle battait toutes les autres dans l?exercice de sa profession.

Elle avait des amies féministes, et des amis aux idées avancées (ils n’iront pas jusqu’à dire qu’ils sont féministes), qui tentaient de la persuader : une femme pouvait très bien faire l’amour sans être amoureuse !

Elle était allongée sur une serviette au bord de la mer sur la Côte d?Azur.

Tous les gens, visiblement, accordaient à cette femme qui était sous le soleil de 30?C, un intérêt obséquieux, se poussant les uns les autres pour se rapprocher de cette étoile reconnue de la passerelle en essayant d?attirer son attention, et la contemplant avec des yeux ronds d?admirations. Il parcourait un bon chemin. Puis il découvrit sur le sable, la silhouette de Glacyanne qui était immobile. Il y eut dans le ciel un jet de couleurs violettes, passant successivement à l?orange, au cramoisi, au vert et au mauve, puis ces teints s?estompèrent et le ciel bleuit avant de tourner enfin à l?améthyste. Apparemment, elle était heureuse de voir Jacques Genet s?approcher d?elle et entrer dans son cercle. Elle appela son ami par son nom, et lui tendit la main. Glacyanne était aussi excentrique et originale que son nom. Jamais il n?aurait cru qu?une femme pût paraître si belle et si diabolique tout à la fois. Son corps presque nu et son visage étaient suavement doré, avec les ombres légèrement mauves. Les lèvres rouges et pleines révélaient la passion, provocante et, en même temps secrète. Ses yeux bleus semblaient pleins de mystères, mais exigeant et durs. Lorsqu?ils se posaient sur un homme, ils paraissaient fouiller au plus profond de son cour et le retenir captif. Tout en elle était séduction, sensualité, et évoquait le serpent. Elle se montrait aussi primitive et sauvage qu?une grand féline de la jungle.

— Jacques ! Exclama-t-elle d?une voix caressante qui provoquait des frissons de long de sa colonne vertébrale. Pourquoi avez-vous mis si longtemps à venir me voir?

— Je suis allé à Londres pour le travail.

— Vous êtes beau aujourd’hui.

— Sans fausse modestie, je suis plutôt bien foutu, il m’est arrivé d’être mannequin et de défiler pour des marques de prêt à porter dans le but de gagner un peu de fric pour mes excès. Je ne vous cache pas que j’ai beaucoup de succès avec les filles.

— Je le sais ! Dit – elle

— Vous êtes très belle! Dit-il. Je trouve maintenant que les mots étaient bien incapables de rendre votre beauté.

Elle sentit son cour s’accélérer, en même temps qu’une drôle d’agitation la prenait, comme si une chatte et un chaton caracolaient dans son bas-ventre.

Elle n’osa rien dire. Au bout de quelques temps, Jacques eut vers elle un petit mouvement voluptueux et un instant après, sa main se posa sur la sienne. Il avait l?impression que la langue d?un serpent effleurait ses doigts d?une caresse légère. En baissant les yeux sur elle, il avait ressenti une soudaine répulsion qu?il ne pouvait s?expliquer. Il conclue tout en pensant que la beauté de ce lieu agissait sur son imagination, et il se découvrit des idées incompréhensibles, fort intrigué par les sensations qu?elles faisaient naître en lui. Le soleil se faisait plus chaud. De toute façon, il était déjà trop tard, Jacques se leva.

— Je quitte la plage, tu m’accompagnes, je t’invite.

Elle aimait tellement ce moment riche où les préliminaires se faisait plus précis, à la limite précise entre l’échange de tendresse et la caresse amoureuse présageant la libération progressive du désir. Le moment où le cour battait si fort, le moment où la chaleur montait aux joues et la faiblesse s’installait dans les jambes, le moment où l’on prenait conscience l’un et l’autre de ce qui se trouvait au bas du ventre, et qui appelait. Il l?invita de l’accompagner à son hôtel, mais il pensa un instant qu?elle allait refuser. Puis ses yeux rencontrèrent les siens et il eut l?intuition.

— Allons-y, dit-elle avec un léger sourire.

Il la fit monter sur la terrasse et l’étendit sur le divan qui se trouvait là. Il se mit à l’embrasser sauvagement, de surprise, elle entrouvrit la bouche, il s’empressa d’y glisser sa langue avec laquelle il rencontra la sienne, elle avait un goût de fraise. Il caressa ses cheveux et retira les épingles pour admirer la rivière d’or qui déferla autour d’elle. Voyant qu’elle n’offrait aucune résistance, ses baisers se faisaient plus doux et elle y prenait goût. La douceur de ses lèvres sur ses seins lui donne des frissons agréables. Il en mordillait les bouts qui se mettaient au garde à vous. Il lui embrassa le ventre et fit entrer sa langue dans son nombril.

Elle sentit une excitation entre ses cuisses, c’était nouveau pour elle. Il lui enleva sa dernière barrière, lui ouvrit les jambes et embrassa sa chatte poilue. Il écarta ses grandes lèvres et laissa sa langue s’y infiltrer, il agaça son clito.

Elle se tortillait de plaisir, sans comprendre ce qui se passé. Il la pénétra doucement à l’aide de sa langue, il sentit une petite résistance, il n’y croyait pas. Un sourire aux lèvres en pensant à la vision qu’elle offrirait à son amant quelques minutes plus tard.

Et c’est ce sourire que contemplait à présent l’homme, les yeux humides d’émotion et le sexe gonflé de désir. Il se recula quelques instants et lui murmura : ? tu sens comme tu me fais bander ? ? Et il l’embrassa de plus belle. Son sexe paraissait énorme sous le jean’s. Elle n’osait pas bouger la main. Son sexe commençait à bouger pour elle. Sans faire de bruit, il ouvrit sa braguette et sortit son sexe turgescent. Il était plutôt fier de son sexe qui atteignait les 21cm mais son ton admiratif la surprit. Elle était longue, bien droite, son diamètre devait au moins être de 6 cm.

Sa main commença à s’activer sur son membre. Il se branlait en la regardant dans les yeux. Glacyanne ne savait pas ce qui provoqua le déclic, si c’était son baiser, la découverte de son sexe énorme ou autre chose. Mais d’un seul coup, tout se débloqua. Elle n’avait plus peur, elle avait envie de lui à tel point qu?elle avait l’impression qu?elle allait s’évanouir.

— Putain, t’as une queue d’enfer !

— Elle te plaît ?

— Elle. est vraiment trop belle.

Elle s’agenouilla devant lui, elle attrapa son sexe entre ses mains et le prit en bouche. Elle lui enfonça un doigt entre les fesses et lui suça le membre avec énergie. Jacques se sentait bien, il avait l’imagination active et il se caressait, appréciant la belle bouche posée sur son membre.

-Mmmmmm! Tu sais y faire.

  Il l’empoigna par les cheveux, il voulait garder le contrôle, il était le maître, il adorait ça. Il se sentait près de l’explosion. Le top-model le branlai doucement, sentant la fine peau coulisser sous ses doigts. Cette sensation était vraiment très excitante. Tenir un tel membre dans sa main la fit bander de plus belle (si c’était possible).

— T’aimes que je te suce comme ça hein !

— Mmm oui arrête, je ne peux plus me retenir.

— Au contraire, vas-y, j’attends que ça, baise-moi la bouche ! Ejacule-moi dans la bouche !

Il ne put résister à ces mots. Il fit coulisser son membre dans la bouche en lui prenant la tête dans les mains. De plus en plus vite. Il ne put se retenir plus longtemps et il lâcha tout. Elle a sentit le goût de son sperme dans sa bouche ce qui l’excita à nouveau.

— Oui, c’est ça, lèche-la bien. T’aimes avoir ma queue dans ta bouche hein !

— Mmm oui.

— Hum ! C’est bon. Lèche-moi bien.

— J’ai envie de te sentir en moi.

Il s?installa sur le canapé et elle guida son sexe à l’entrée de son vagin et, lentement, descendit pour s’empaler jusqu’à la garde. Sa respiration s’accéléra et elle ne put étouffer un léger gémissement. Elle resta un instant immobile puis entame de lents va et vient, le faisant ressortir presque entièrement avant de l’engloutir à nouveau.

Sous ses yeux, ses seins rythment la pénétration:

— Mon chéri ! Je vais jouir !

Glacyanne se laissa alors aller et elle sentit la jouissance monter en elle.

— Je jouis moi aussi !

— Ah ! Oui ! Vas-y !

Ses jets fusa en elle, déclenchant son orgasme. Elle les accueillit par un long ’ah’. Cela en est trop pour cette chérie qui connut un orgasme fulgurant. Elle s’écroula sur son torse et leurs bouches se retrouvèrent pour un nouveau et très passionné baiser. La nuit fut encore très longue après quelques minutes de repos bien mérité. C’est depuis ce jour là qu?il n ’était plus un amant du hasard.

A suivre…

Auteur: Ivan Ribeiro Lagos écrivez-moi, sur [email protected]

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