Johanna était à présent totalement nue face à son invitée. La métisse fit s’allonger son dalmatien sur le dos tout en continuant de discuter avec Clara.
— Vago est un expert pour me prendre par surprise mais il sait que quand je l’installe sur le dos, c’est pour prendre les commandes.
— C’est original comme nom Vago.
— Oui, Vago se place généralement dans mon vagin et comme tu dois t’en douter, Enko préfère plutôt l’autre chemin.
Johanna avait prit position au dessus de son chien dont elle tenait le sexe en l’orientant vers son intimité. Avant de se faire pénétrer, la jeune fille invita Clara à s’approcher.
— Je pense que tu as déjà vu une bite de chien, mais tu devrais te rapprocher pour voir comment je memboîte sur lui.
— Je veux bien… J’ai vu comment mon chien avait sodomisé Stacy mais je n’ai jamais rien vu d’autre comme rapport.
La productrice fit glisser le plus lentement possible son sexe sur celui de son amant afin de faire profiter à son invité d’un ralentit détaillé.
— Hmmmmm ! Tu vois, le bout de sa bite est pointue. C’est plus facile à faire glisser que celle d’un mec. En plus, les chiens ont le sexe poisseux donc tu n’as pas besoin de mouiller beaucoup pour qu’il glisse.
— Il te fait jouir malgré la forme de sa queue ?
— Oh oui ! Le fait d’avoir un rapport avec un chien est terriblement excitant sur le plan psychologique, mais surtout son sexe double presque de volume après la pénétration.
— Sérieusement ?
— Oui ! Non seulement il prend place et sa pointe tape directement sur ton point G, mais en plus tu le sens grossir en toi et occuper de plus en plus d’espace dans ta chatte… ou dans tes fesses.
Johanna prit soudainement un rythme frénétique, puis elle s’allongea sur son partenaire tout en continuant de faire rapidement onduler ses hanches. Clara était époustouflée de voir cette belle jeune fille en pleine accouplement avec un chien et le fût encore plus lorsque son hôte appela son deuxième animal.
— Enko ! Viens mon beau !
— Tu vas te faire prendre par les deux en même temps ?!
— Oui ! Je dois faire entrer Enko avant de prendre le nud de Vago.
Le berger allemand venait tous juste de prendre place sur le dos de sa maîtresse lorsque Clara se positionna derrière le trio. La jeune fille aux cheveux noirs put ainsi assister depuis le début à l’insertion anale et fut une fois de plus ébahie de voir de ses propres yeux la double pénétration que subissait Johanna.
— Ahhhhh ! Qu’est-ce que c’est bon ! Tu dois absolument essayer !
— Non merci, je veux bien qu’un chien me monte pour ne pas mourir idiote, mais j’ai toujours refusé les plan à trois.
— Tu ne sais pas ce que tu rate ! AHHHHH ! SON NOEUD ! AHHHHH
La métisse exagéra volontairement son cri de plaisir lorsque le berger allemand prit entièrement place en elle. Les fesses occupée par le sexe de Enko, Johanna utilisa toute son énergie pour faire passer le nud de Vago. La jeune fille s’acharna jusqu’à ce qu’elle arrive à ses fin et que ses deux amant soient simultanément coincés dans son corps.
— OUFFFFF ! Et voilà comment retenir deux chiens sans utiliser de laisses ni de colliers.
— Je suis épatée ! Tu fais ça souvent ?
— Presque tous les jours. Sans compter mes petites virées nocturnes dans le parc.
— Le parc ?
— Oui, j’y vais deux ou trois fois par semaines pour y délester les chiens errants.
— QUOI ?! Tu te laisse aussi grimper par des chiens errants ?
— Oh oui ! Et ce sont généralement les plus performants… Bien, je viens de te montrer comment sa se passe pour moi, maintenant c’est à ton tour.
Clara n’était pas très motivée pour se faire monter juste après une autre femme. Son ex petit ami avait tenté de nombreuses fois de lui faire accepter un plan à trois mais elle avait toujours refusé. En voyant Johanna se relever, elle se rendit compte que le sexe de Vago ruisselait encore du plaisir de sa récente partenaire, ce qui eut pour effet de la refroidir encore plus. La productrice saperçut de la gène éprouvée par son invité et tenta de la rassurer.
— Si ça te gène que j’ai mouillé sur le bite de mon chien, je peux le sucer pour nettoyer.
— C’est pas ça… Mon ex a toujours rêvé de faire un truc à trois mais j’ai jamais voulu.
— Avec un autre fille ou un autre mec ?
— Il s’en fichait, il voulait juste essayer un truc nouveau.
— Et pourquoi t’as jamais essayé ?
— Parce qu’avec une autre fille, j’avais peur qu’il en tombe amoureux et qu’il parte avec. Et avec un autre mec, je voulais pas que le gars se vente de s’être tapé la femme d’un pote.
— C’est tout ? Tu sais qu’avec des chiens tu n’aura jamais ce genre de problèmes !
— Heu… Oui, c’est vrai mais si mon chien essaie une autre femme et qu’il la préfère à moi ?
— Impossible ! Il prendra peut-être plus de plaisir à baiser une autre mais tu restera toujours sa propriétaire. Si tu l’a bien dressé, il t’obéira toujours. Je vais te montrer.
Johanna installa Clara sur le canapé puis elle lui enleva son string avant de lui écarter les jambes.
— Qu’est-ce que tu fais ?
— Tu va voir… Vago ! Viens lécher !
— Non attends ! Haaaaa ! Hmmmmm ! Haaaaa !
Avec une incroyable rapidité, le dalmatien se précipita entre les cuisses de la jeune fille qui sentit pour la première fois de sa vie la langue d’une chien se poser sur son sexe. Le plaisir fut immédiat et elle ne put sempêcher de le manifester bruyamment.
— OH MON DIEU QUE C’EST BON ! HAAAAA !
— Tu vois, il suffit d’essayer une fois. Je vais te laisser profiter encore un peu de sa langue avant qu’il te fasse goûter sa queue.
Clara était en transe sous les coups de langue du chien. Elle hurlait littéralement de plaisir jusqu’à ce que Johanna lui accorda un peu de répit.
— Vago ! Au pied !
— NON ! Pourquoi tu ne le laisse pas encore un peu ?!
— C’est juste pour te prouver que si tu dresse bien ton chien, il ne te laissera jamais tomber. Maintenant qu’il t’a donné du plaisir, j’aimerais que tu me montre tes talents linguistiques.
— Tu veux que je lui parle en anglais ?
— Mais non idiote ! Je veux que tu le suce.
— Pardon ?
— Oui, tu as très bien entendu. Mon chien m’a baisé et nous y avons tous les deux pris du plaisir. Quand il t’a léché, tu as été la seule à jouir.
— Bon, très bien. Tu as parfaitement raison. Mais il ne m’a pas léché jusqu’à l’orgasme alors je ne le sucerai pas plus loin non plus.
— Marché conclu !
Une fois de plus, Johanna installa son dalmatien sur le dos pour faciliter l’accès à Clara mais surtout pour pouvoir profiter du spectacle.
Dans la chambre d’amis, Émilie était en levrette et ses bras reposaient sur les cuisses de Virginie. La doyenne était en train de remuer son bassin de droite à gauche tout en invitant son chien à la monter.
— Émilio ! Viens mon chien ! Comme tout à l’heure ! Aller mon beau !
— Vous êtes obligée de vous appuyer sur moi pendant que votre chien vous… enfin, pendant que vous faîte l’amour ?
— Pour commencer, arrête de me vouvoyer, je me sens vieille. Ensuite, je ne vais pas faire l’amour, je vais me faire baiser et peut-être même enculer.
— Comme vous… pardon, comme tu veux. Mais je ne suis pas très bien comme ça.
— Alors laisse-moi te mettre à l’aise.
Le labrador prit place sur le dos de sa maîtresse pendant que cette dernière déboutonnait le pantalon de la jeune fille. Virginie était trop sous le choc de l’accouplement contre-nature qui se déroulait devant elle pour empêcher de se faire déshabiller. Émilio fit glisser son sexe entre les fesses de sa partenaire jusqu’à ce qu’il sente l’orifice anal de sa maîtresse et qu’il y force le passage. La vétérinaire étant habituée à la sodomie canine, ce n’est qu’en poussant un petit gémissement qu’elle accueillit en elle l’attribut viril de son chien. La jeune fille rousse put voir sous ses yeux le sexe du chien disparaître entre les fesses de sa partenaire et complètement absorbée par cette vision, elle ne remarqua même pas que son pantalon mais aussi sa culotte lui avait été retirés par la doyenne.
— Tu as vraiment une chatte magnifique !
— Oh ! C’est toi qui m’as mit toute nue ?
— Tu es longue à la détente ma petite ! Écarte un peu les cuisse que je puis voir où va aller mon chien.
— Non, attends, je ne veux pas que ton chien passe par là.
— Oh ! Tu préfère qu’il passe par derrière comme avec moi ?
Les yeux rivés sur le sexe du labrador qui faisait maintenant de rapides aller retours dans l’orifice anal de la doyenne, Virginie repris la parole après quelques instants.
— J’ai un peu menti tout à l’heure…
— Voyez-vous ça ! Tu as menti sur quoi ?
— Je n’ai jamais fais l’amour avec un chien ni avec un garçon mais j’ai très souvent été sodomisée.
— Comment ça ?
— En fait, j’avais un petit copain l’année dernière de qui j’étais folle amoureuse. Il m’a menacé de me quitter si je ne couchais pas avec lui mais j’avais trop peur qu’il me mette enceinte. Je l’ai laissé me prendre par derrière et ça lui a suffit. On est resté ensemble trois mois et mon copain d’après voulait la même chose. Je me suis dis que j’allais rester vierge jusqu’à mon mariage et qu’en attendant je me ferais prendre par derrière ou par la bouche.
— Et bien ! Tu es quand même prête à te faire sodomiser par mon chien ?
— Je ne sais pas… Ça ne te fais pas mal ?
— Haaaaa ! Juste en ce moment. Quand il me pénètre et qu’il s’active, il n’y a aucun problème parce que je me suis habituée à prendre des bites dans le cul mais quand il fait passer son nud c’est autre chose.
— Et après ?
— Quand le nud est passé, c’est le meilleur moment ! Je sens cette énorme boule en moi qui se contracte en même temps qu’il gicle. Tu sais, quand un homme envoie son dernier coup de rein et que tu sens le liquide qui coule en toi ?
— Hmmmmm ! Oui, c’est le seul plaisir que j’ai.
— Et bien là c’est la même chose sauf que c’est plus intense, ça dure plus longtemps mais surtout un chien gicle beaucoup plus qu’un homme. En fait, si tu arrive à accepter le nud tu jouis vraiment.
— Donc, si je veux essayer, ça ne sert à rien si je fait pas tout passer entre mes fesses ?
— C’est exactement ça.
Le labrador se retourna se retrouva fesses contre fesses avec sa partenaire. Virginie se leva puis elle se rapprocha de l’endroit où les deux amant étaient liés et repris la parole.
— Il ne se retire pas ?
— Il ne peut pas, son nud est coincé dans mon cul. Il doit attendre de débander un peu ensuite il sortira et tu verra tout le sperme qu’il a giclé sortir de mes fesses.
— Hmmmm ! J’ai bien réfléchi et je veux essayer au moins une fois.
— Excellente nouvelle, mais je te préviens que tu va vite devenir accroc.
— Nous verrons bien. Dans combien de temps ça sera mon tour ?
— Il lui faut environ dix bonnes minutes pour se libérer et dix autre pour reprendre des forces. Approche un peu tes cuisses par ici, je vais te faire patienter.
— QUOI ?! Tu veux me lécher le sexe ?
— Pourquoi pas ? Ça va te détendre un peu et vu l’engin que tu va devoir encaisser, ce n’est pas du luxe !
— Mais je n’ai jamais fais ça moi !
— Tu n’a rien à faire, assis-toi sur le lit et laisse-moi faire.
Obéissant à la doyenne, Virginie posa le bord de ses fesses sur le lit puis elle écarta les jambes pour enfin dévoiler son sexe aux yeux de Émilie. Les fesses encore occupées par le nud de son chien, la vétérinaire agrippa les cuisses de la cadette puis elle fit glisser sa langue sur le sexe inexpérimenté de la jeune fille. Virginie se laissa faire en poussant de petits gémissements de plaisir.
À suivre…
