ROXANE (8/9)
Je décrochai le téléphone : une voix féminine, celle de Roxane.
Aimes-tu les surprises ?
Bien sûr ; mais uniquement les bonnes !
Alors, jarrive pour passer la nuit avec toi.
Je me mis au lit pour lattendre ; elle me trouva faisant semblant de dormir, suçant sa petite culotte imprégnée de son nectar.
Laisse ce substitut, puisque tu as loriginal ! Au fait, je veux te dire que je suis là uniquement pour dormir, et rien dautre.
Elle se glissa à mes côtés. Nous nous embrassâmes et échangeâmes des câlins ; elle pouvait sentir ma verge dure comme du bois, en érection contre son ventre. Je réussis cependant à mendormir. Pendant la nuit, je me réveillai ; je vins placer ma tête sur ses reins, et je commençai à lui lécher le bas du dos. Elle se retourna et écarta ses cuisses pour que je puisse accéder à sa vulve. Je lui donnai du plaisir une première fois avec ma langue puis, sans attendre, une seconde fois en adjoignant mon majeur dans son vagin. Roxane jouit en gémissant, puis se rendormit très vite.
Nous nous réveillâmes à 5h 30, car elle devait rejoindre son entreprise ; elle neut pas le temps de satisfaire mon envie de jouir. Comme dhabitude, nous nous sommes téléphoné durant tout le trajet quelle devait accomplir, long dune centaine de kilomètres et, pendant quelle conduisait sa voiture de fonction, je me suis masturbé en lui dédiant mon plaisir.
Cinq jours plus tard, Roxane vint me retrouver à lappartement ; jignorais alors que cétait la dernière fois que nous ferions lamour Elle sétait allongée sur le lit ; je la pris dans mes bras et lui fis ouvrir les cuisses. Ecartant sa petite culotte, je constatai quelle avait passé la tondeuse dans sa toison : il ne lui en restait que quelques millimètres.
Je vais mécorcher les joues, lui dis-je en riant !
Je fis glisser le dernier rempart qui protégeait encore son intimité. Jamenai mon visage au niveau de son bas-ventre ; Roxane était là, couchée devant moi, la robe relevée jusquà la taille et les cuisses impudiquement écartées sur sa vulve humide qui mattirait ; ma langue entra enfin en contact avec ses lèvres intimes
Je lui procurai un premier orgasme puis, sans attendre, je lui introduisis luf vibrant au fond du vagin et lui mis la télécommande dans la main. Je la fis basculer sur le côté et, après avoir enduit mes doigts de gel lubrifiant, je lui en introduisis un, puis deux dans lanus. Je la caressai un peu de cette manière avant de lui planter ma verge au fond du rectum ; elle actionnait luf vibrant dans son vagin pendant que je lenculais.
Je pensais pouvoir atteindre lorgasme sans effectuer le moindre mouvement, juste en ressentant les vibrations du sextoy à travers la fine paroi qui séparait les deux fourreaux intimes de ma chérie. Mais les vibrations bien que très agréables ne furent pas assez efficaces pour me propulser jusquau plaisir ultime. Cest donc en faisant des va-et-vient dans son beau petit cul que je jouis, lui engluant le rectum dune abondante quantité de sperme. Je ne savais pas que cétait la dernière fois que je lui faisais lamour ; mais lenculer ainsi fut un final de toute beauté !
Sans attendre, ma bouche revint entre ses cuisses et, tandis que Roxane adaptait la fréquence des vibrations de luf, je léchai, suçai et aspirai entre mes lèvres son clitoris en érection sur lequel ma langue appuyait en le faisant rouler. Son bassin se décolla du lit ; elle se tendit comme un arc alors que des cris de plaisir jaillissaient de ses lèvres : elle jouit encore plus intensément que la première fois, coup sur coup. Je la pris tendrement contre moi, et elle sendormit rapidement sur mon épaule.
Nous ne nous sommes pas revus pendant deux semaines car Roxane craignait les agissements de mon épouse, tant auprès de sa famille quauprès de son directeur régional ; elle désirait même que nous cessions nos relations. Lorsquelle revint à lappartement, elle apprécia une flûte dexcellent champagne millésimé, assise sur un fauteuil. Agenouillé sur le sol à côté delle, je posai mes mains sur ses cuisses ; elle me laissa faire. Même lorsque je plaçai mon visage sur son pantalon, au niveau de son sexe et que ma langue vint la caresser à cet endroit précis, elle ne dit toujours rien
Lorsque je lentraînai vers la chambre, elle se montra un peu réticente, mais elle me suivit et sallongea sur le lit à mes côtés. Nous nous embrassâmes ; mes mains couraient sur son corps, par-dessus ses vêtements, puis je caressai directement sa peau : son dos, ses flancs et le creux de ses reins. Voyant quelle ne disait rien, je menhardis à caresser ses cuisses et ses fesses puis son sexe par-dessus son pantalon ; Roxane ne disait toujours rien
Jintroduisis ma main dans sa culotte pour lui caresser la vulve, que je trouvai dans un état que je navais jamais connu jusqualors : sèche et fermée. Son clitoris nétait même pas en érection. Je la caressai pendant quelques minutes ; seul lintérieur de son vagin commença à shumidifier. Je cherchai alors à lui lécher la vulve.
Non Arrête !
Elle serra les cuisses, et je ne puis aller plus loin. Elle ne voulait pas avoir de rapports sexuels, ni même que je lui donne du plaisir avec ma langue, comme elle aimait tant que je le fasse auparavant. Je revins lembrasser.
Est-ce que ça te dérange si je me caresse pour apaiser mon excitation ?
Oui, ça me dérange.
Je me levai pour aller aux toilettes ; en revenant, je marrêtai dans le salon, mallongeai sur le canapé et me branlai jusquà ce que ma semence jaillisse par saccades sur mon ventre. Ensuite, je la rejoignis. Elle sassoupit, sa tête sur mon épaule, serrée tout contre moi.