Comment je me suis découvert(e) (10)
Nous discutons de mon régime et des prochains jours autour d’un café. Je me sens bien en maillot de bain avec mes nouveaux seins et mon clito caché. Je ne peux pas me baigner avant 5 jours à cause du tatouage et du piercing alors je retire mes chaussures et mets mes pieds dans l’eau.
A 15h la sonnette retentis. Patrick va ouvrir. Il accueille un homme jeune qui porte une grosse valise. 1m70, rondouillard et très efféminé. C’est amusant de penser cela d’un homme quand je vois comment je suis. Je sors mes jambes de l’eau et enfile mon gilet. Ils s’approchent.
-Aline, ta dernière rencontre de la journée, Jeff ton coiffeur.
-ravie
-moi aussi, assied toi que je regarde ce que l’on va faire.
Je m’installe sur un fauteuil de la terrasse. Il retire ma perruque et m’observe. Il tourne autour de moi, lui aussi. J’espère que cette manie leur passera.
-Patrick tu veux quel genre de coiffure ?
-je pensais à un carré court avec une frange plutôt noire, comme la perruque qu’elle porte
-tu as raison, c’est la coupe qui lui ira le mieux. Je vais juste essayer un carré plongeant avec son visage se sera plus jolis.
Et moi j’ai le droit de dire quelque chose. Je suis encore spectatrice de leur choix. Tant pis, je me laisse faire j’aime de plus en plus cette sensation. Il ouvre sa valise et sors une perruque qu’il me pose sur la tête. Je ne me vois pas mais aux yeux de Patrick ce n’est pas ce qu’il veut. C’et à la troisième qu’il approuve
-voilà c’est ce que je veux
-c’est donc bien un carré plongeant, il est noir avec des reflets auburn
-parfait tu peux l’installer.
L’installer, le mot est surprenant car je ne vois pas ce que cela peut dire. Je patiente. Il sort une tondeuse à cheveux et commence son travail. Mais il me rase la tête. Ce n’est pas que je tienne à mes cheveux, mais j’y tiens. Surtout je fais en sorte de camoufler une calvitie naissance sur le front.
En 10 minutes j’ai la boule à zéro. Il me passe une lingette sur le crâne et le sèche. Il me met ce que je pense être un gel tout autour de la tête, sur le front, les tempes et la nuque. Il me pose la perruque et l’appuis au niveau du gel. Il vérifie le positionnement et la coiffe. La première chose que je constate c’est qu’elle me tient moins chaud et parait plus confortable.
-c’est terminé, la colle chirurgicale la tiendra en place un mois. Ensuite il faudra la refixer ou changer de coiffure. Elle peut se baigner, se doucher, les laver et se coiffer. Ce sont des vrais cheveux. Je vous laisse j’ai d’autres clients. Surtout il faut bien penser à les brosser pour les démêler tous les jours.
-merci de ton aide, je te raccompagne
-au revoir
-au revoir
Et il part sans m’avoir parlé. Tant pis, dès qu’ils ont quitté la terrasse, je me précipite dans la chambre pour me voir. Et Cela me vas très bien. Je fais très asiatique avec mon maquillage. Je tire dessus pour vérifier si ça ne bouge pas. Oui cela tient très bien, j’ai l’impression de me tirer les cheveux.
Je retourne sur la terrasse ou Patrick m’attend, je remets mes jambes dans l’eau et retire mon gilet. Il se mets à côtés de moi, pause ma main sur ma cuisse. J’écarte les jambes, j’ai compris ce qu’il aime.
-voilà ma belle, tu es comme je voulais. Demain tu auras ta première séance d’épilation laser pour le visage et le torse avec Pierre. Pour les jambes se sera une épilation à la cire samedi pour que tu sois parfaite dimanche au resto.
J’écarte d’avantage les cuisses, il met sa main à l’intérieur et remonte vers ma chatte. Il abandonne mes cuisses et mets sa main sur mes seins. Je m’appuis en arrière sur mes mains pour les faire ressortir.
-montre les moi
Je dégrafe le soutiens gorge de mon maillot, l’enlève et me remets dans la même position. Iles les caresses avec beaucoup de douceur. Je seins la main chaude de Pierre à travers les seins de silicones, c’est divin. Je mets ma main sur sa bite. Elle déforme son pantalon. Je l’ouvre et la sors. Je le branle doucement.
-viens
Il me prend la main et me conduit vers un fauteuil. Il me fait mettre dessus et retire son pantalon. Il approche sa bite de ma bouche. Je l’attrape goulûment et je le suce avec envies. Je sens mon clito qui réagis mais il est bien coincé et ne peux pas bouger. Je sors sa bite et joue avec le prépuce, je donne des petits coups de langue.
Ces gémissements me donne une idée du plaisir qu’il prend. Il attrape ma tête pour en sortir sa bite. Sa bouche prend la mienne et sa langue me fouille, je ne suis pas en reste et la mienne fouille sa bouche. J’ai chaud, je mouille. Il me redresse, attrape mes seins, les sers l’un contre l’autre.
-branle moi avec tes seins ma cochonne.
J’ai déjà vus dans les films porno les cravates de notaires mais je ne sais pas comment en faire une. Je prends sa bite entre mes seins et commence des vas et viens de haut en bas. Je parviens à lécher le bout du gland. Avec ce traitement et l’excitation de la situation, je sens sa bite devenir très dur, le gland est rouge violacé. Il m’attrape la tête. Je lâche mes seins et avale sa bite juste au moment où il jouit.
-ahhhhhh ouiiiiiiiiiiiiiiiiiii
J’avale toute sa semence. Je nettoie sa bite. Je prends goût à avaler son sperme. Je reste sur ma faim, j’ai encore envie, j’ai la chatte humide et chaude. Tant pis, je suis heureuse d’avoir donné du plaisir à mon homme.
-j’adore ta bouche, tu suce tellement bien. Je dois te laisser j’ai encore des choses à régler. Je te laisse pour le reste de l’après-midi. A ce soir.
Il me fait une bise sur la bouche et me laisse. Il quitte la maison. Je suis toute seule. Je remets mon maillot de bain. Je mets mes jambes dans l’eau et je me plonge dans mes pensées.
En 4 jours je suis devenu une autre, je suis une femelle qui aime la bite de son homme. Je suis maquillée, j’ai des faux seins, je porte de la lingerie et des talons, j’ai des cheveux longs. Tant de changement en si peu de temps, je devais l’attendre depuis toujours. Je me trompais moi-même sur mes envies et ce que je devais être. Le pire ou le plus drôle, je ne sais pas, c’est que j’aime ce que je suis devenue et ce que Patrick fait de moi.
Je sors de l’eau et rentre dans le salon. Je vais vers la bibliothèque pour regarder le type de littérature qu’il lit. Tout est bien rangé par type et par étagère. Une sur la philosophie, la métaphysique, les romans historiques et les Dan Brown ; je demanderais conseil à Patrick.
Une autre partie se sont des romans érotiques et enfin une dernière avec des bd pornos.
Je prends des bd pour les lires. C’est très excitant, les femmes sont toujours les proies des hommes, elles sont soumises, attachées ou offertes. Je m’imagine à leur place et mon clito réagis. J’en lis 3 avant de m’assoupir sur le canapé.
C’est Patrick qui me réveille en me couvrant de mon gilet. Je m’étire et tends les bras vers lui. Il m’enlace et me serre fort dans ses bras musclés. Je suis toutes petites et fragile contre lui. Je me sens en sécurité. Il regarde les bd.
-comment les as-tu trouvés ?
-très sexe, les femmes sont toujours soumises et offerte.
-et tu en penses quoi ?
-c’est très excitant mais sans doute exagéré, je ne pense pas que les femmes soient toutes comme cela.
-toutes non et toi ?
-je ne sais pas, je te mentirais si je te disais que ces situations ne m’ont pas excitée. Je ne suis pas sûr de réussir à vivre les mêmes choses, mais cela me fait envie.
-j’aime t’entendre me dire cela, j’espère te les faire vivre
Il me serre plus fort contre lui. J’ai des sentiments qui naissent pour cet homme. Ils sont très fort mais je ne sais pas comment les exprimer. J’ai peur de dire des mots qu’il ne partage pas. Je vais donc les garder pour moi. Il me caresse les cheveux. Je suis bien.
-va te changer, je prépare le repas, je veux que tu portes ça.
Il me donne des sacs de magasins. J’aime les cadeaux qu’il me fait, il a bon goût et surtout les mêmes que moi. Avant j’aimais voir porter et maintenant j’aime porter. Je me précipite dans la chambre et étale ses achats sur le lit. Un bustier noir, une paire de collant satiné couleur chair et des nouveaux escarpins avec une bride sur le pied. Je trouve ces chaussures très vintage et sexy.
Je retire mes seins et la bande adhésive de mon entre-jambe. Je passe sous la douche. Je prends mon temps pour m’occuper de chaque partie de mon corps. Je me sèche et recommence les opérations de transformations. Faux seins, bande adhésive et maquillage soigné que j’accentue sur les yeux et les lèvres pour la soirée.
Je cherche dans tous les sacs un string ou une culotte, mas il n’y en a pas. C’est plus une volonté de la part de Patrick qu’un oubli.
Heureusement que Jessica m’a montré comment caché mon clito. J’enfile le collant, il est sans démarcation, il n’y a pas cet horrible rajout sur le haut des cuisses et les fesses. Cette couleur allonge mes jambes et les fait briller, c’est très sexy, et l’absence de string dévoile le triangle de mon pubis de façon très impudique.
Ensuite je mets le bustier, ajuste les bretelles et mets les crochets dans mon dos. Il met mes seins en valeur et descend jusqu’à mes hanches. Il a des baleines qui réduise ma taille et me comprime les côtes. Il cache la ceinture de mon collant.
J’enfile les chaussures et me regarde dans le miroir. Je fais très salope. C’est très chic et très sexe. Je sens une onde de chaleur irradier le long de mon dos. Il n’y a rien d’autre à mettre. Je suis assez mal à l’aise d’être habillée ainsi, mais aussi très excitée. Je vérifie mes cheveux et mon maquillage. Je sors de la chambre.
Il m’attend assis sur son fauteuil.
-miam, miam tu es super bandante
-merci pour le compliment
-tourne toi
Je m’exécute. Je me redresse et me cambre sur mes talons.
-tu as vraiment un cul d’enfer, j’adore te regarder. Allez mangeons.
J’ai continus mon régime hyper protéiné pendant qu’il mange une entrecôte qui me fait très envie. Il me confirme la venue d’une esthéticienne samedi matin. Nous échangeons sur ses livres et ses bd. Il me conseille les livres érotiques à lire, il me prépare une liste. Mais il insiste sur la lecture de livre philosophique. Il a une grande culture qui m’impressionne, je bois ses paroles.
-on débarrasse, j’ai envie de jouer avec toi
Je me lève et débarrasse la table avec son aide. A mon retour dans le salon, il me présente un long manteau noir. Je le passe et le boutonne. Les boutons démarrent à la poitrine et descende jusqu’aux genoux. Il me tend le bras, je m’accroche à lui et le suis. Je pense que nous sortons sur la terrasse mais il me guide jusqu’à sa voiture. Il m’ouvre la portière et me fait monter. Ce n’est qu’à l’intérieur que je réalise que je sors sans vêtements à part de la lingerie. Il se mets au volant et nous démarrons dans la nuit.
Il roule environ 20 minutes pendant les quelle je suis très peu loquace, me demandant quel genre de jeux il a en tête. Lui il met de la musique des années 70, ma préférée, et me parle de sa jeunesse en boite et des délires des années 70. Il sort de la route et monte sur un chemin carrossable sous les chênes liège. Nous entrons dans une espèce de clairière où il arrête la voiture.
Nous nous trouvons sur un promontoire au-dessus d’une ville toutes éclairées avec beaucoup de couleur à cause des illuminations de Noël. Patrick sort de sa poche des écouteurs Bluetooth pour smartphone, ceux que peux utiliser pour faire du running, il rentre dans les oreilles et il y a un fil qui les relie que l’on passe sur la nuque. Il les allume et les installe dans mes oreilles. Il cache le fil avec mes cheveux. Il sort, viens m’ouvrir la porte. Il m’aide à sortir et m’emmène devant le Cayenne.
-attend là !
Le ton utilisé n’admet pas de réponse. Je mets les mains dans mes poches et patiente. Il monte dans la voiture et mets les plein phares. Je suis aveuglée sans beaucoup de vêtement en plein nature. J’ai la trouille que quelqu’un arrive. J’entends sa voix dans les écouteurs. Il a connecté mon téléphone portable et m’appelle.
-voilà le jeu : je vais te poser des questions. A chaque mauvaise réponse tu retires un bouton de ton manteau.
