Je me met de l’eau sur le visage et me lave à nouveau les dents. Dès le matin, je viens de remettre le couvert avec Olivier, Mais il a dû faire vite car il était occupé par la suite… Donc je reste sur ma faim. Après m’être séché le visage, je retourne vers la chambre, Sébastien n’est plus dans le lit, ni dans la pièce… Et vu la position de la salle de bain par rapport au reste de l’appartement, il nous a certainement vu, mais cela ne me gêne pas du tout, bien au contraire, peut-être comblera-t’il mon appétit sexuel. J’enfile mon boxer et ressort de la chambre en direction de la cuisine.
Il est là, en train de déjeuner tranquillement, assis à table. Je n’ose pas entrer, ma gêne reprend le dessus…
"Entre, pourquoi tu restes là?"
J’obéis, et je m’assied face à lui. Je ne sais que dire, il y a un blanc au cours duquel les seuls sons que je perçois proviennent de la mastication de Séb. Lui, il est pépère, il ne semble pas gêné le moins du monde et mange tranquillement son petit-déjeuner.
Il me jette quand même quelques coups d’oeil de temps en temps, et au bout d’un moment brise enfin le silence :
"Tu ne veux rien manger?
Je répond :
– Euh non merci ça va aller.
– Tu vas mourir de faim ! A moins qu’Oliv’ ne t’aie déjà donné le biberon."
Il accompagne ces mots avec un clin d’oeil appuyé, je souris, puis lui demande :
" C’est le cas… D’ailleurs, puisque tu nous a vu, pourquoi ne pas nous avoir rejoint?"
J’ai dis cela tout bas, timidement… Je viens de passer la nuit et une petite partie de la matinée à me faire troncher par ces deux hommes, mais je trouve encore ça gênant d’en parler de vive voix…
" J’ai vu qu’Olivier voulait aller vite, si j’était venu, ça aurait été beaucoup plus long. Et puis j’avais faim.
-Ah d’accord…
– Mais si tu veux je peux me rattraper et te donner ma part de petit déj’ !"
A ces mots, d’un mouvement de tête, il me montre la direction de son entrejambe. Je n’hésite pas une seule seconde, me laissant glisser de la chaise sous la table, à quatre pattes, et positionne ma tête entre ses jambes, gueule ouverte, langue tirée, le regard de chienne.
Il faut dire que je suis beaucoup plus à l’aise quand il s’agit d’agir, je n’aime pas trop discuter.
Je mordille, lèche, branle et hume sa queue au travers du caleçon, il est suffisamment fin pour que je ressente chaque veine de sa verge au fur-et-à-mesure qu’elle se bande. Très rapidement, je m’attaque aux sous vêtements , j’enlève mon boxer car je commence à me sentir à l’étroit dedans, et je lui ôte le sien aussi car celui-ci est méchamment déformé par l’engin énorme qui s’est déployé à l’intérieur. Sa queue se dresse désormais fièrement vers moi, et je ne tarde pas plus à m’en occuper.
Cédant à ma gourmandise, je lui lèche les boules du bout de la langue, allant et venant, arpentant doucement mais sûrement toute la superficie de son scrotum. A pleine bouche, je lui gobe une couille, jouant avec ma langue, je lèche la partie entre les bourses et l’anus en même temps.
Je prend la deuxième boule en bouche, sans arrêter de jouer avec ma langue…
Quand je relâche enfin les deux précieuses, c’est à pleine langue que je lui lèche les parties, les recouvrant de bave, faisant ainsi légèrement gémir de plaisir Sébastien. Je remonte ensuite, à pleine langue, le long de sa verge, jusqu’au méat, et je m’applique à bien lécher chaque parcelle de ses parties génitales, sans pour autant prendre sa pine en bouche. Pour l’instant…
Son entrejambe a une odeur délicieuse, mélangeant le sexe, le cul, le sperme, et un peu la pisse… Le tout est des plus agréables, rien ne saurait plus m’exciter que cette odeur, et ma salive le fait que l’exacerber.
Je lèche à nouveau tout le long de sa queue, en partant de la base vers le méat, puis j’avale d’un coup une bonne partie de l’engin. Sébastien émet un petit gémissement, et se recule avec la chaise, me sortant un peu de sous la table. Je ne comprend pas pourquoi il a reculé jusqu’à que je sente sa main m’imposer une forte pression sur le crâne, ce qui à pour effet, grâce à la salive que j’ai soigneusement déposé sur toute la superficie de sa queue un peu plus tôt, de me faire avaler son membre jusqu’à la garde…
Il maintient ma tête quelques instants, le temps d’un long gémissement, puis me relâche. Je reprend tout juste mon souffle qu’il m’attrape par la tignasse et me refait bouffer sa queue.
Comme la veille, il n’a aucun scrupule à m’étouffer avec sa verge, il m’impose son rythme et sa profondeur, baisant ma bouche jusqu’au fond de ma gorge, dans l’oeusophage, comme il baiserai une chatte. Son membre m’écarte la trachée à chaque passage, me faisant presque mal… Mais j’aime ça, j’en redemande, à ce moment, je ne vis que pour satisfaire monsieur, et j’ai l’air de bien me débrouiller.
Une dernière fois, il m’impose sa pine dans la gorge, la maintiens quelques instants puis me tire les cheveux vers l’arrière.
"Mmmmh t’aimes ça hein ! Petite salope."
Ces mots font encore grimper mon excitation d’un cran, la tête maintenue en arrière, la gueule grande ouverte, langue tirée, de la salive partout autour de la bouche… C’est sûr que je dois pas avoir l’air d’un saint.
Séb se lève, toujours en tenant mes cheveux, et pousse tout les meubles à proximité, la table et la chaise. Il passe dans mon dos et me colle le visage contre le carrelage :
"Tu ne mérites que de te faire baiser au sol, une pute comme toi doit aimer ça en plus !"
Je suis surpris du changement de ton, mais ça me plaît. Il se lâche, et ça m’aide à me lâcher aussi.
La tête maintenue contre le sol froid, je sent son gland s’appuyer entre mes fesses. Avec ce que viens de me mettre Olivier, ça rentre tout seul et d’un seul coup, j’ai sa verge jusqu’à la base dans les intestins. A ce moment, je devine qu’il ne va pas y aller de main morte… A l’image d’un Olivier qui y est allé à fond pour jouir vite, il va me déboîter. En même temps je ne demande que ça, de gros coups de bite dans le fondement, rapides et violents.
J’ai l’air de quoi? Je suis nu, en levrette sur le sol de la cuisine d’un couple d’hommes, une énorme queue dans le derrière, et je gémis comme une petite chienne alors qu’il n’a même pas commencé à me baiser. Et lorsqu’il commence, mes gémissements redoublent d’intensité, je crie presque. je prend mon pied, c’est magistral, et, comme je m’y attendais, Sébastien y va franco, faisant claquer ses boules sur mon cul, encore plus fort qu’Olivier. Sa pine étant plus longue que celle de son compagnon, il me pénètre plus profondément, mais avec la même intensité que son copain. Plus tôt, je n’aurais même pas imaginé qu’il pourrait y aller aussi fort sans me faire mal, et c’est ce qui l’égalisait avec Oliv’. Mais là… Je prend mon pieds comme jamais, je suis constamment au bord de la jouissance, je sent chaque centimètre de sa queue quand elle coulisse le long de mon sphincter.
Il se retire, mais ne lâche pas ma tignasse. Il s’en sert pour me guider jusqu’à la table. Là il me lâche enfin la tête, mais c’est pour mieux attraper mes jambes, qu’il soulève haut, m’obligeant à m’allonger sur la table. Il me fourre à nouveau, sans vergogne. Il m’a mis sa pine d’un seul coup, sans même regarder. et il me baise en tenant mes jambes écartées au dessus de lui. Toujours avec la même détermination, on dirait qu’il essaie de me détruire l’anus… En tout cas il s’y prend bien, et j’en redemande, je hurle ma joie, je vais bientôt jouir s’il continue comme ça…
Elle coulisse, je sent chaque veine sur toute la longueur de son membre, il stimule ma prostate comme jamais personne ne l’a fait avant, et je me sent défaillir… je me gicle dessus, je me couvre de sperme… Mon sphincter se contracte en rythme avec ma jouissance, et emmène mon baiseur à ce même stade.
Il n’a pas le temps de sortir, je sent sa queue se contracter, chaque veine se tendre, et une agréable chaleur envahit mon ventre… il reste quelques secondes bien ancré dans mon antre, puis il se retire. En même temps que son gland, quelques gouttes de foutre coulent.
"Laisses ça comme ça, c’est Olivier qui nettoiera avec sa langue en rentrant ! Par contre j’aimerais beaucoup que tu passes la journée avec ma semence dans ton cul, si tu fais ça, tu me prouvera que tu es vraiment une grosse salope."
Bien, j’acquiesce. Je vais garder son jus. Nous enfilons nos sous-vêtements, et je vais au salon chercher les habits que j’y ai laissé la veille. Je me rhabille, je reprend mes affaires, et dis au-revoir à mon amant.
Le salut s’éternise un peu, je m’assure que personne ne sera au courant de ce qu’il s’est passé, puis je trace ma route. J’ai quelques dizaines de kilomètres à faire, et je ne tiens pas à arriver trop tard chez moi.
Ce que je ne sais pas, c’est que mon trajet va être… Mouvementé.
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Nota de l’auteur :
La suite ne sera pas un nouveau chapitre des "Amis de ma mère", mais de "auto-stop".
J’ai quelques scénarios en tête pour de futures récits, mais je vais vite tomber a cours d’idées… Donc je suis ouvert a toute proposition de scénarios, proposez les dans l’espace commentaires, et si il m’inspire, il se pourrait que j’en fasse tout une histoire ;)
Evidemment, votre Pseudo sera cité, je trouverai ça incorrect de "voler" une idée sans en citer le propriétaire.
Dites moi aussi si, selon vous, il est mieux que je créée une nouvelle histoire "auto stop" ou bien juste ajouter un chapitre a celle déjà existante (en résumant évidemment les histoires précédentes).
Merci d’avance ;)
Djeun31