Histoires de sexe de vacoisins Histoires de sexe en français

Moi, maman et les autres……….. – Chapitre 1




Moi, maman et les autres……….."suite"

Voilà les vacances sont terminées et je reprends le cours de mon histoire. " Au cours de ma sieste, alors que j’étais endormi quelque chose me réveilla, un petit bruit, comme quelqu’un qui se plaignait, personne dans la chambre, je décidais alors de me lever et d’inspecter la maison. Dans le couloir le bruit se révéler être un gémissement, dans la salle de bain par la porte entrouverte je vis mamie allongée sur le tapis de sortie de bain qui se donnait du plaisir à l’aide d’un vibromasseur. Abasourdi par cette vision, je ne savais plus que faire, devais-je m’en retourner à ma besogne, à ma sieste ou bien continuer de mater cette belle femme qu’était ma grand-mère se masturbant, c’est machinalement que ma main s’empara de ma bite à travers mon short et se mit à la caresser, elle était à présent bien bandée et continuant lentement mais sûrement la manoeuvre voilà que j’accélérais le mouvement tant et si bien que je lâchais sans pouvoir contrôler trois belles giclées dans mon short, ce qui est vraiment pénible car je n’ai aucun change chez grand-mère. Doucement j’essaie de regagner la buanderie seul point de la maison où je pourrais réparer les dégâts causés, arrivé sur place j’essaie de trouver de quoi réduire la chose, mais cela ne s’avère pas de tout repos, je ne trouve sur place que du papier pas un seul morceau de tissu, tant bien que mal je nettoie avec le journal, peu importe le reste séchera bien avec le temps et la chaleur, le seul inconvénient est que l’humidité ayant traversé mon short en garde la trace. Quelques vingt minutes plus tard, torse nu et toujours affairé à ranger le bois dont le tas commençait à diminuer je ne m’était pas rendu compte que mamie m’observait.

— Mais c’est très bien d’ici 17hrs tu auras terminé, bon je m’en vais te donner un coup de main comme cela si tu termines plus tôt se sera mieux. Je ne répondis pas et bien entendu le tas de bois se mit à fondre à vue d’oeil, à 16hrs30 nous avions fini brouette et gants rangés, grand-mère m’invita à prendre une douche.

— Tu trouveras des serviettes de bains dans le placard, allons bon ton short et bien taché montre moi cela.

— Non ce n’est rien mamie cela va sécher ne t’inquiète pas.

— Cela n’a rien d’une tache d’eau ou de transpiration, donne moi ton short que je le nettoie durant que tu te douches et au sèche linge en un rien de temps le mal sera réparé.

— Bon d’accord je le déposerais devant la porte de la salle de bain. Chose dite chose faite, grand-mère le récupéra et le nettoya, quand je sorti de la salle de bain celui-ci était encore dans le sèche linge et mamie m’interpella.

— Dis donc jeune homme comment as-tu taché ton vêtement.

— Je n’en sais rien, je ne comprends pas.

— Tu ne comprends pas ou tu caches quelque chose, à moins que tu ne me prennes pour une cruche, moi je pense que tu t’es masturbé, car rien que l’odeur est révélatrice.

— Bien oui grand-mère je me suis soulagé car j’ai vu quelque chose que je n’aurais pas du voir.

— Bon voilà autre chose, maintenant que vas-tu inventer pour ta défense?

— Rien mais tu offrais un bien beau spectacle tout à l’heure, voilà ce qui a causé l’accident du short. Mamie ne savait plus ou se couler, elle était devenue rouge vermillon.

— Je suis confuse et toi petit chenapan au lieu de fermer la porte tu t’es astiqué la colonne, et cela t’as plu?

— Pour te dire la vérité, oui cela m’a fait plaisir et il faut dire que t’es drôlement bien foutue grand-mère.

— Merci mon garçon, bon je crois que ton short doit être prêt je n’ai plus qu’un coup de fer à lui donner et tu pourras te rhabiller, viens suit moi. Je lui emboîtais le pas jusqu’à la salle de repassage toujours affublé de ma serviette de bain, une fois le short repassé elle me le tendit et le saisissant je m’apprêtais à regagner la salle de bain quand elle me dit.

— Ben voyons tu m’as maté et à présent tu te caches de moi, j’espère que tu vas à présent me montrer l’outil qui fait de toi un homme allez mon garçon déballe ta marchandise. Comprenant que je devais m’exécuter je laissais tomber la serviette à terre et lui exposais mon intimité. Ma bite était au repos et pendait tristement, grand-mère s’en étonna.

— J’espère qu’elle peut mieux faire, car là personne n’en voudrait, serait-elle timide et elle avança la main et la saisie dès que celle-ci se referma dessus le durcissement opéra elle doubla de volume et grand-mère apprécia.

— Voilà quelque chose de bien satisfaisant, longueur et grosseur tout a fait acceptable, pas mal d’hommes voudrait être aussi bien pourvu que toi mon grand. Et là elle emboucha mon gros bâton de chair et me fit une fellation qui je crois n’en finissais plus tellement je mis du temps à lui déverser le contenu de mes bourses jusqu’au fond de sa gorge. Une fois terminé elle me suggéra d’aller me doucher avant de partir, ce que je fis assez rapidement, puis je pris le chemin du retour, une fois arrivé, maman et les filles papotaient tranquillement à l’ombre tout en sirotant une orangeade.

— Tiens l’homme des gros travaux à terminé sa journée ironisa ma cousine, il va aller au lit de bonne heure le cousin.

— Voyons Célia laisse ton cousin tranquille lui dit maman. Nicolas veux-tu de l’orangeade me demanda t-elle?

— Non merci je vais me changer et me reposer avant le souper.

— Bien avec les filles je vais aller jusqu’au supermarché faire quelques courses pour ce soir et demain pendant ce temps là. Laurence manifesta sa désapprobation, elle ne souhaitait pas les y accompagner et maman demanda à Laure et Célia de se préparer tandis que moi je filais vers ma chambre. Une fois changé, oh je n’avais que passer un caleçon de bain et j’étais étendu sur mon lit les yeux fermés. Une dizaine de minutes plus tard Laurence toqua à la porte et sans même attendre que je lui réponde elle entra et vint s’asseoir sur le bord du lit. Alors Nico qu’as-tu manger de bon chez mamie?

— Elle avait fait une quiche et une salade avec un fruit. Laurence ne savait plus que dire et je lui demandais de me laisser.

— Oh je te dérange tu aurais préféré que se soit Célia peut-être?

— Arrête tes bêtises, je ne veux pas d’histoires.

— Oui j’ai bien remarqué Célia complètement avachie sur toi, tu devais bien les sentir ses nichons et cela devait te faire bander.

— Bon maintenant tu sors de ma chambre, t’es vraiment à crans jalouse comme une teigne.

— Non je ne suis pas jalouse car je suis mieux gaulée qu’elle.

— Alors de quoi te plains-tu? trouve toi un mec et cesse de m’ennuyer avec tes nian nian nian!!!!!!!!!!!. Et Laurence piquée à vif me quitta et alla s’enfermer dans sa chambre. Quelques minutes plus tard, des pleurs m’arrivaient de sa chambre, je me levais et allais voir ce qu’il se passait. Elle était sur son lit à plat ventre et pleurait la tête entre les bras.

— Qu’y a-t-il lui demandais-je? Pas de réponse si ce n’est que des pleurs. Machinalement et sans m’en être aperçu j’avais posé ma main sur ses fesses pour tenter d’avoir une explication, ce qui n’était pour déplaire à Laurence qui s’était rendu compte de la chose, ses pleurs n’étaient plus que des sanglots, lesquels s’arrêtèrent presqu’aussitôt. Moi même à présent je réalisais que ma main droite était posée sur le postérieur de ma soeur, je la retirais donc et ne sachant où la poser elle atterri donc sur l’arrière du genou.

— Alors que t’arrive t-il? et tout en lui demandant cela ma main remonta le long de sa cuisse en la caressant elle se laissa faire, puis je la retirais comme si je venais de me rendre compte de la situation.

— Non continue, pourquoi t’arrêtes-tu?

— Chut tais-toi, j’ai entendu du bruit. J’avais bien entendu inventé pour m’extirper de cette situation.

— Non il n’y a personne, aller continu c’était bon ce que tu faisais. Et je me remis à la caresser, j’avais maintenant atteint son entrecuisse et je sentis immédiatement son fond de string complètement trempé de mouille. Un instant je stationnais à la hauteur de son bouton pour lui imprimer un mouvement circulaire avec mon majeur ce qui la mise en transe aussitôt. Elle même s’arcquebouta sur le lit pour ôter sa lingerie laissant apparaitre sa fente dans toute sa splendeur.

. Non lui dis-je alors maman et les filles ne vont pas tarder une autre fois peut-être.

— Que t’es bête mon pauvre elle en ont pour une bonne heure encore et si elle rencontre quelqu’un peut-être plus. Alors je consentis à me défaire de mes vêtements, ma queue était pratiquement à la verticale, Laurence n’en crût pas ses yeux, mon dieu que c’est gros cela doit te faire mal.

— Non pas vraiment, mais je ne peux rester ainsi, il faudra bien trouver un moyen pour revenir à la normale.

— Comment me demanda alors Laurence qui me caressait lentement la colonne de chair. On dirait qu’elle grossit encore.

— Oui deux solutions, tu me suces ou nous couchons ensemble.

— Oh il n’est pas question que je suce ton truc c’est dégoutant, tandis qu’elle me disait cela j’avais entrepris de la masturber, sa fente était gluante mes doigts étaient recouvert de mouille, son ventre commençait à frémir et je lui plaquais un baiser sur ses lèvres qui s’entrouvrirent, nos langues se taquimainaient tandis que doucement je parvenais à m’allonger sur elle entre ses jambes. Je frottais ma bite contre son sexe pendant que mes mains lui malaxaient les seins tantôt le droit tantôt le gauche, ils étaient gros durs et fermes. Le bout de mon gland était à présentation son sillon vaginal, je sentais Laurence venir à sa rencontre, je la laissais faire, conscient de la chose je sentis que le bout de ma queue était tout contre l’entrée de son vagin et doucement je me mis à pousser mon ventre en avant, tandis que Laurence essayait de se dégager de l’attaque, j’insistais pour forcer le passage lorsqu’elle cria " Non, je ne veux pas, arrête". Je stoppais, tandis qu’elle me repoussait pour se dégager de mon assaut. Une fois libre, elle se leva et se mit à ricaner " Tu croyais m’avoir, tu peux maintenant te branler, aller sors de ma chambre ". Je sortis de la chambre tout en me jurant que dès que je le pourrais elle y passerait. Maman et les filles revinrent et se mirent à préparer le repas du soir, Célia vint me rejoindre dans ma chambre pour me demander de les rejoindre elle et mes soeurs pour une partie de tennis de table avant de passer à table, pour ne pas éveiller de soupons j’acceptais tout en souhaitant faire équipe avec elle, Bien entendu Laurence commença par raller tandis que Laure nous défia gentiment, la partie fut remportée par le couple Célia Nicolas ce qui ne fut pas du goût de Laurence qui bouda jusqu’au coucher. Une fois toutes les lumières de la maison éteintes chacun et chacune au lit dans sa chambre, n’arrivant pas à trouver le sommeil je me levais pour aller boire un verre d’eau à la cuisine, le verre à la main je m’installais devant la télévision en attendant que le sommeil arrive, une bonne demie heure plus tard à défaut de sommeil, ce fut maman qui vint me rejoindre ne pouvant elle non plus à trouver le sommeil.

— Alors tu ne dors pas, il fait chaud cette nuit me dit-elle. C’est alors que je remarquais qu’elle n’était vêtue que de sa nuisette mais nue en dessous, instinctivement je passais mon bras autour de son cou et ma main alla se balader sur son sein gauche et mes doigts s’amusèrent à taquiner le mamelon.

— Voyons arrête donc, cela va m’exciter et je ne pourrais plus me contrôler. Je fis comme si je ne l’entendais point et continuer de plus belle, tant et si bien que nous finîmes par nous retrouver allonger sur la moquette, elle dessous moi dessus bien caler entre ses cuisses, la bite bien calée dans sa chatte."

A suivre…….

Related posts

Amour entre deux soeurs – Chapitre 1

historiesexe

la commande de surgelés – Chapitre 1

historiesexe

Escapade avec Bruno – Chapitre 1

historiesexe

Laissez un commentaire

Ce site Web utilise des cookies pour améliorer votre expérience. Nous supposerons que cela vous convient, mais vous pouvez vous désinscrire si vous le souhaitez. J'accepte .