Ils ne me laissent pas aller aux toilettes, rien que pour me nettoyer le visage, ils veulent que je sorte tout de suite de l’établissement. Je traverse donc les couloirs presque entièrement nue, sentant le sperme me couler sur le visage. Il n’y a personne de toute façon… Sauf le surveillant général qui est à la sortie. Je m’arrête dès que je le vois.
Il s’avance vers moi en prenant un air supérieur. Il ne dit rien, mais je sens la tension monter. Il tire sur mes affaires que je maintiens plaquées contre mon corps. Je cède et laisse tout tomber sur le sol. Il me demande fermement
Qui t’as fait ça ?
Personne.
Tu t’es foutue du sperme sur le visage toute seule ? Te fous pas de moi. Qui ?
Je ne le dirai pas. Faites ce que vous voulez, mais je ne dirai rien.
C’est bien de ne pas dénoncer. Mais, j’ai ma petite idée sur la question… Se sont de sacrés enfoirés tout de même. Ils ne m’ont même pas proposé de participer. Mais, je peux rattraper le coup, n’est-ce pas ?
Je n’ai plus trop envie. Ma masturbation a bien calmé mon excitation. Je ne suis pas enchantée de me faire prendre une nouvelle fois. Il voit mon hésitation, me pince un téton. Je lance un petit cri de surprise et de douleur, et en maintenant bien mon bout de chair entre ses doigts, il me dit
Je ne pense pas que ton professeur principal serait content d’apprendre ton refus. Qu’en penses-tu ?
Je ne pense pas non plus.
Alors ? Quelle est ta décision ?
Il la comprend lorsque je commence à ouvrir son pantalon. Il me plaque alors le visage contre le mur et se met derrière moi. Il est brutal, je sens que je vais avoir mal. Et lorsqu’il se met à s’agiter derrière moi, je réalise qu’il est en moi. Je le sens à peine. Il s’excite comme un fou sans me faire le moindre effet. C’est tant mieux, c’est bien moins pénible à supporter.
Et il me dit "Moi aussi, je vais t’arroser le visage". Il sort de moi, je me retourne et me mets à genoux. Je comprends mieux ce manque de sensation, une bite fine et courte… Il a souvent dû se faire charrier. Il se branle, et éjacule une quantité vraiment impressionnante de foutre. Je suis surprise, j’en ai une bonne partie du visage couverte.
Il ne me libère pas tout de suite cependant. Il sort son téléphone, lui aussi va me filmer. "Allez, fais moi un petit show. Tu vas marcher le long du couloir jusqu’aux portes des toilettes et tu reviens. Fais bien ta star". Je commence, il m’arrête tout de suite en précisant que je dois mieux onduler du cul que ça. Alors, je me cambre, fais sortir mes fesses, gonfle ma poitrine, et avance en exagérant ma démarche. Je dois m’exhiber de toute façon, et vu ce qui m’est déjà arrivée, je ne suis plus à ça prêt. Il veut que je me comporte en allumeuse, alors je le fais.
J’avance jusqu’aux toilettes. Je me retourne et repars dans l’autre sens. Son sperme me coule sur le visage, glisse le long de mon menton, souille ma gorge et continue à descendre. J’avance tout de même comme si de rien n’était. Je l’allume en fixant bien l’objectif, je passe mes mains dans mes cheveux, faisant remonter ma poitrine, je lèche langoureusement mes lèvres, récupérant au passage le sperme dessus.
Ca lui a bien plus, il veut absolument me montrer la vidéo. Je n’en ai pas plus envie que ça, et j’ai honte en découvrant à quel point je fais salope. J’ai l’impression d’être une actrice de porno, et c’est-ce qui lui plait.
Les deux profs passent et s’amusent en disant "ben alors, tu es toujours là ? Besoin de faire des heures d’étude ?". Et le surveillant qui leur fait
Pas cool de ne pas m’avoir invité.
Tu auras bien d’autres occasions, ne t’inquiète pas.
J’espère bien.
Et je vois que tu t’amuses très bien sans nous. Allez, bonne soirée.
Ils partent, le surveillant me demande de refaire la même chose, mais en marchant à quatre pattes cette fois. Timidement, je lui dis
Je crois qu’il commence à se faire tard, et si je ne suis pas à la maison…
Oui, tu as raison. Il faut pas éveiller les soupçons. Mais, avant de partir, tu vas une nouvelle fois me vider les couilles. Allez, à genoux et suce, salope !
Je m’exécute. Il me prend la tête et s’enfonce entièrement dans ma bouche. Il a peut-être une petite bite, mais elle va presque jusqu’à ma gorge. J’ai eu un instant envie de vomir. Je me suis retenue, j’ai dégluti et il s’est mit à baiser ma bouche comme si j’étais un objet. J’ai serré les lèvres pour faire plus de pression sur sa queue, pour plus de sensations et qu’il se vide plus rapidement. Je n’ai pas eu l’impression que c’était efficace.
Après plusieurs minutes, je lui ai demandé de me laisser faire. J’ai malaxé ses bourses, masturbé de l’autre main, et joué de la langue sur son gland. C’était l’occasion pour lui de filmer à nouveau. Il dit au passage "Celle là, c’est pour moi perso". Sous-entendant qu’il allait partager les autres ? Quelle bande de gros salauds tout de même.
Enfin, il éjacule, son sperme remplit ma bouche, il pousse un râle en disant "Ha oui, salope, c’est bon. Avale bien, ne laisse pas une goûte". Et quasiment tout de suite après, il me jette dehors en disant qu’il verrouille les portes.
Je me retrouve ainsi quasiment nue dans la cours, il fait nuit, il n’y a personne, et un petit vent piquant me glace la peau. J’enfile directement mon manteau, je regarde l’heure, j’ai loupé le dernier bus. Une petite heure à marcher à pied, sous ce froid, avec cette tenue et dans cet état ? Je ne le sens pas du tout. Mais, je me vois encore moins appeler mon père pour venir me chercher. Il me poserait bien trop de questions.