J’envoie un message à Valérie pour l’informer de ce qu’il vient de se passer à mon travail. Elle répond :
— boss absent, suis seule e g cho.
— ai envi de te voir vite
— vendredi midi.
— non. plus vite.
— demain midi ?
— peux pas. tu finis a kel h ce soir ?
— 22h
— pour rentrer, tu pass par rte de gresy ?
— oui
— sortie villard park 500m a droite
— ok
Messages effacés.
Il fait toujours aussi chaud. Je pars à 22h, Le parking est à vingt minutes de chez moi. Le parking n’en est d’ailleurs pas vraiment un : situé en léger contrebas de la route, à l’intérieur du virage, il s’agit plus d’une petite aire de repos. La voiture de Valérie est déjà là. Je me gare derrière elle. La jolie brune en sort et nous passons derrière sa voiture. Nous nous embrassons. Elle rit :
— Mmmh, tu es tout beau, tu sens bon, pas comme moi ! Cet après-midi, je me suis retrouvée à chercher un document dans un local en préfabriqué posé en plein soleil. Il m’a fallu dix minutes. J’ai cru que j’allais mourir de chaud.
Elle dégage en effet une forte odeur de transpiration, son corps est humide. Je descends les bretelles de son top et embrasse ses seins au goût salé. J’ai envie de descendre plus bas. Valérie m’arrête :
— Houla non, mon grand ! N’y penses même pas.
Je me redresse et l’embrasse :
— Et pourquoi pas ?
Nous nous caressons et nous embrassons.
— Parce que j’ai transpiré depuis 8h ce matin, parce que j’ai mouillé en pensant à toi, parce que je me suis masturbée, parce qu’on a fait l’amour, parce que j’ai bu plus de deux litres d’eau et j’ai beaucoup fait pipi. Je sais dans quel état est mon minou à l’heure actuelle et il n’est pas du tout présentable !
Elle éclate de rire.
— Laisse-moi au moins vérifier par moi-même.
— C’est à tes risques et périls !
Elle rit à nouveau. Je l’embrasse et sourit. Elle comprend :
— C’est un mobile de divorce, tu sais
Étonné, je lui demande pourquoi.
— Un mec qui ose me lécher dans cet état, je l’épouse sur le champ.
J’ouvre la porte arrière de sa voiture et la couche dedans. Alors que je me penche sur ses jambes, les effluves de son sexe me parviennent alors que je dépose un baiser sur son string blanc. Celui-ci est humide et taché. Je le retire lentement. Son état laisse effectivement à désirer. Valérie écarte lentement les jambes alors que j’embrasse l’intérieur de ses cuisses. Sa moule sent excessivement fort. Une odeur âcre, lourde, entêtante. Des traces blanches et poisseuses constellent sa vulve ça et là. Ma langue glisse sur son clitoris, sur ses lèvres puis entre celle-ci. Je n’ai jamais lécher un sexe avec autant de saveurs. Très salé et fort, le goût de la chatte de Valérie me rend frénétique. Je lèche l’intégralité de son sexe, la faisant jouir à plusieurs reprises, et finis la bouche et le nez plantés entre ses lèvres, la langue loin dans son sexe. Je ne peux plus m’en détacher.
Valérie m’attire à elle. Je déboutonne mon bermuda et la pénètre. Pendant que je vais-et-viens en elle, elle dit :
— Tu es le partenaire sexuel dont j’ai toujours rêvé
Je jouis rapidement. Nous sortons de la voiture. Le string de Valérie est à terre, dans la poussière. Elle rit :
— Au point où il en était
Nous nous embrassons. Valérie doit vraiment y aller.
— Vendredi à midi, tu peux ?
— Oui, sans problème.
Valérie hésite. Elle doit partir mais quelque chose la retient.
— Il faut que je te dise
Elle sourit.
— Ton doigt à midi, dans mes dans mon
Elle rougit un peu.
— Je ne sais pas comment dire ça. Je trouve que c’est super gênant.
— Tu n’as pas aimé ?
— Si, justement
Valérie ferme les yeux, inspire profondément et
— J’ai adoré, les sensations étaient géniales, je veux recommencer, vendredi, et merde, tout le plaisir que j’ai pris, je crois que je pourrais me laisser tenter !
Elle a dit ça d’un coup. Je souris, l’embrasse.
— Tu veux essayer la sodomie ?
— Je crois que oui. Pfff, il y a un mois, je ne supportais pas que mon mari s’approche de cette zone et
— Et tu as envie de te faire enculer !
Elle sourit.
— T’es con !
Dernier baiser. Valérie remonte dans sa voiture et s’en va.
Je rente chez moi l’esprit ailleurs. Je repense à ce que vient de me dire Valérie et il me tarde, bien évidemment, d’être vendredi. Je dois faire de gros efforts de concentration pour conduire. J’ai ensuite du mal à m’endormir, je suis trop excité. Je dois aller me masturber aux toilettes. En imaginant sodomiser Valérie
Le jeudi est un jour d’efforts quasi surhumains : efforts de concentration au travail, efforts pour résister à l’envie d’écrire à Valérie. Huit heures qui paraissent durer une éternité. De retour à la maison, je vois arriver ma femme quelques minutes après moi. Elle m’excite toujours autant, là n’est pas le problème, surtout dans cette robe marron à pois blancs, surtout avec ses bas résilles. Elle se refuse à moi, mais dans mon état, je suis largement prêt à affronter un énième refus. Je la rejoins dans la salle de bains. Elle se démaquille. Derrière elle, je l’embrasse dans le cou.
— Qu’est-ce que tu fais ?
— Je t’embrasse, je te câline, j’ai envie de toi.
— Pas maintenant, je suis fatiguée.
Je continue à l’embrasser.
— Pas maintenant, je t’ai dit. Je vais me changer.
J’attrape le bas de sa robe et soulève lentement. Elle me laisse faire sans rien dire, ce qui me surprend. Lorsque j’arrive sous les bras, elle les lève afin que le retire complètement la robe. Elle continue de se démaquiller et je dégrafe son soutien-gorge. Là encore, elle joue le jeu. J’embrasse ses épaules, son dos. Je la pelote tendrement. Elle ne réagit pas mais déjà, elle me laisse faire : il y a plusieurs mois que je n’avais pas touché ses seins.
Mes mains descendent ensuite sur ses hanches et je fais glisser son tanga vers le bas. Il tombe part terre. Elle se tourne.
— Ok, mais on fait vite, je suis crevée.
Je l’embrasse dans le cou, caresse à nouveau sa poitrine et l’emmène dans la chambre. Elle se couche sur le lit et je lèche son minou. Elle veut que je vienne en elle, mais j’insiste. Et je m’applique. Je veux faire monter son excitation mais pas trop vite. Je veux qu’elle se lâche, je veux la rendre folle de plaisir. Allongé tête-bêche, je meure d’envie qu’elle me suce, car voilà plus de quinze mois qu’elle ne la pas fait. Et Dieu sait si elle aimait ça ! Jamais très longtemps, mais très fréquemment. J’ai été plus que comblé. Peu après son trente-sixième anniversaire, nous avions même été manger au restaurant pour fêter ses "20 ans de fellation" ! La coquine avait en effet pratiqué sa première caresse buccale quelques semaines après avoir fêter ses 16 ans. Elle n’avait aucun problème à avouer qu’elle aimait le faire. Et puis, quelques mois après cette soirée, elle l’avait fait de moins en moins souvent jusqu’à ne plus le faire du tout depuis plus d’une année.