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Chaleurs Grecques – Chapitre 2




Voici la suite de notre histoire.

Nous étions en vacances en Grèce depuis quelques jours et au détour dune sieste crapuleuse ou je découvre ma femme sous un jour beaucoup plus salope que je ne croyais, dans le délire de la baise, japprends, je comprends quelle a un amant.

Tout dabord effondrée par cette nouvelle, je décide den savoir plus jattends que ma femme revienne de la salle de bains après notre partie de sexe.

Elle revient de la salle de bains radieuse et s’allonge contre moi en me picorant le torse de petits bisous.

— Mmmmmm, mon chéri, quelle vigueur ! Ça fait longtemps qu’on ne s’était pas éclaté comme ça. J’aime bien quand tu fais l’homme. Tu m’as bien fait jouir mon amour.

Elle regarde l’heure.

Ho, il est déjà 5:00, je vais aller peindre un peu si ça ne te dérange pas. Repose-toi en attendant, nous reprendrons cette Mmmmm « discussion » plus tard si tu veux.

Elle commence à se rhabiller mais je l’attrape par la main.

— Ha non, ce soir tu restes avec moi, tu peindras mieux demain. Je te garde pour la fin de la journée, nous allons faire un petit repas puis profiter de la piscine.

Une lueur de panique travers son regard mais bien vite elle se reprend.

— Comme tu veux mon amour, tu as raison, la lumière du matin est encore plus belle pour peindre.

Elle est maligne, rien ne laisse supposer que je viens de lui faire rater son rendez-vous avec son amant. Nous passons le reste de la journée à nous bécoter au bord de la piscine, puis au restaurant avant de nous coucher et de refaire, plus sensuellement cette fois, lamour.

Mais je remarque quand même qu’elle est un peu tendue, presque inquiète. Au moment de nous endormir, elle met le réveil très tôt, à 6:00, en expliquant qu’elle veut profiter du petit matin et de la fraîcheur. Je ne dis rien mais je n’en pense pas moins, nous verrons tout cela demain. Et nous nous endormons comme des amants.

Ma nuit est peuplée de rêves étranges ou j’imagine Nadine aux prises avec des sexes monstrueux, se baignant dans des torrents de spermes ou sodomisée par des centaures.

Je me réveille alors que ma femme est, dans mon rêve, attachée par des lianes vivantes et pénétrée par des plantes aux formes phalliques. Le pire, c’est qu’elle semble adorer ça.

J’entrouvre les yeux, elle est déjà levée et a revêtu une robe légère. À travers le contre-jour, je remarque qu’elle ne porte pas de dessous. Elle fait attention de ne pas me réveiller ; elle a coupé le réveil avant qu’il ne sonne pour ne pas que je remarque son empressement. Ses gestes sont rapides, presque saccadées. Elle attrape sa petite mallette de peinture, un paquet de feuilles et sort sans faire de bruit.

Aussitôt, je bondis du lit, enfile un short sans même prendre la peine de mettre un slip, un T-shirt, saisi mon appareil photo et lui emboîte discrètement le pas.

Mon cur bat dans ma poitrine. Elle est là, à 300 mètres devant moi et marche d’un pas rapide vers les collines. Si elle se retournait ? Si elle me voyait ? Je serais comme un gamin pris la main dans le panier.

Je la suis de loin, en veillant à ne pas faire de bruit. Elle marche longtemps, peut-être 20 minutes avant d’arriver au détour d’un virage à proximité d’une grosse maison blanche et assez moderne qui surplombe la baie.

Sans hésiter, elle emprunte le petit chemin qui mène près de la porte d’entrée. Je me cache comme je peux pour éviter qu’elle ne me voit si jamais elle se retourne ; mais non, elle frappe trois coups brefs et entre dans la maison.

Je suis en rage. J’hésite à la suivre, entrer, et faire un esclandre. Mais je me retiens.

S’il s’agit bien de ce gars que j’ai croisé avec elle, c’est un sacré gaillard et je sais que je ne ferais pas le poids. Et en plus, vu comment cette salope est devenue cochonne, javoue que je suis curieux de voir ce qui lui fait et comment il a amené ma gentille épouse un peu coincée à se transformer en cette belle cochonne qui s’offre et me donne des orgasmes comme nous n’en avons encore jamais connus.

Je fais discrètement le tour de la maison pour trouver un point de vue qui me permettrait de regarder et peut-être d’entendre ce qui se passe à l’intérieur.

L’arrière du bâtiment donne sur une terrasse ayant vu sur le lointain et la mer. Il y a une baie vitrée et je vois une grande pièce de vie avec un canapé et effectivement, le fameux Karl affalé dedans. Sur le bord de la terrasse, je remarque un renfoncement un peu dans l’ombre. Je me faufile et prends position près de la baie ouverte.

L’arrière de la maison donne à l’opposé du chemin d’accès et on ne risque pas de me voir depuis l’extérieur. Il n’y a rien autour de moi, si ce n’est un mulet dans le pré à côté.

Dissimulé dans l’ombre, j’observe parfaitement toute la pièce, la décoration minimaliste, le ménage qui laisse à désirer et surtout ma femme qui se tient tremblante au milieu du salon devant le géant teuton affalé en djellaba dans un vieux canapé défoncé. À côté de lui, dort un gros chien sans race.

Je comprends que la discussion a commencé, et que Karl lui reproche de ne pas être venu hier. Il lui dit qu’elle peut repartir puisqu’elle est incapable de tenir ses engagements.

Nadine tente de lui expliquer qu’elle n’a pas pu faire autrement, que son mari a voulu la garder près d’elle pour la soirée. Sa voix tremble, elle est presque en larmes tandis que lui, impassible, la regarde sans broncher.

— Je m’excuse Karl, lui dit-elle. Je voulais venir, je voulais vraiment continuer à le faire, mais je n’ai pas pu, mon mari se serait rendu compte que quelque chose. Je suis vraiment désolé.

— Tu peux, lui répondit-il abruptement. Et en plus, tu a vu comment tu te présentes devant moi. Ici tu dois être à poil. Si tu n’y arrives pas si tu n’arrives pas à respecter les règles, tu ne progresseras pas.

— Pardon, dit-elle d’une toute petite voix.

Si la baie vitrée n’avait pas été ouverte, j’aurais eu du mal à suivre leur conversation. Mais j’avais bien entendu, et je remarquai aussi sur son visage une petite mimique que je connaissais bien. Celle qu’elle faisait quand elle jouait un rôle. Alors, ceci n’était peut-être qu’un jeu et cette soumission était feinte.

— Allez ! Vas y, montre-moi donc. Intima son amant.

Ma sage Nadine ôta illico sa petite robe pour apparaître nue devant le regard intéressé du commerçant de pierres énergétiques.

Je n’en revenais pas de la voir se déshabiller avec autant de facilité devant cet inconnu. Mais il ne devait pas être un inconnu autant que ça. vu la teneur de leur relation, cela ne devait pas être la première fois qu’elle se déshabillait devant lui. Ils avaient déjà dû baiser ensemble, et il était même probable que sa chatte rasée était le résultat de cette pseudo soumission. À cette idée, une bouffée de chaleur me fit gonfler le sexe et battre les tempes.

C’est vrai qu’elle était magnifique, sa coupe sage encadrait son visage harmonieux mais ce qu’on voyait surtout, c’était les deux gros seins lourds dont les auréoles se tendaient déjà. Elle était debout, devant lui, bronzée, la chatte lisse et les nichons gonflés. Je ne pouvais m’empêcher de me dire intérieurement « quelle belle femme, quelle belle salope que voilà »

— Écarte ! Lui dit-il sur le même ton. Tu sais bien que tu dois toujours avoir les jambes écartées.

Elle décolla ses pieds serrés et écarta les jambes. De ma position, je voyais son sexe lisse déjà briller de mouille entre ses lèvres aussi déjà gonflées. Cette situation, ce jeu, excitait la mère de nos enfants.

À travers le bourrelet de sa chatte, les petites lèvres étaient proéminentes et bien dentelées. On devinait le clitoris enflé sous le capuchon, mais il n’était pas sorti comme hier après-midi, quand la mouche se promenait dessus.

Je ne pouvais pas m’empêcher de penser : « la salope ! » Elle qui semblait souvent si distante mouillait comme une chienne en chaleur sous les ordres de cette étrange baba cool. Elle était excitée par cette situation de soumission et ça se voyait. Je croyais la connaître, je la découvrais.

— Tu sais que c’est la fin de ta formation ? (Quelle formation ? Me dis-je) il parlait avait une voix basse et bien modulée, convaincante et propre à fasciner les femmes.

Si tu ne veux pas finir comme toutes ces connes qui se retrouvent trompées par leur mec et sans pouvoir remettre leur couple en marche, maintenant que les pierres ton révélé ton potentiel, il va falloir assumer et finir ce que tu as commencé. Sinon, inutile de me faire perdre mon temps.

— Oui Karl, j’en suis consciente Répondit-elle la voix rauque et chevrotante, en baissant les yeux.

Alors, c’était donc ça son truc. Ce saligaud bourrait le mou (au sens propre comme au figuré) des jolies femmes qui passaient entre ses mains. A l’abri de l’intimité de sa boutique Il devait leur parler doucement de sa grosse voix basse. Expliquer la prétendue « puissance » magnétique des cailloux qu’il leur fourguait et en profitait pour prendre l’ascendant sur elle.

Une fois ferrées, il en faisait des catins avides de queue, et je pense surtout de la sienne, en leur faisant croire qu’il sauvait leur couple. Quel salaud !

Secrètement, j’admirais cette stratégie et après tout, j’en avais bien profité aussi. Certes, ma femme me trompait, mais quand on était en club libertin, plus d’une fois j’avais fantasmé sur la voir se faire donner du plaisir par dautres.

En plus ; j’appréciai énormément les nouvelles dispositions de mon épouse en matière de sexe et les originalités qu’elle avait apportées en acceptant mes fantaisies. La sentir en permanence prête au plaisir était un délice.

— D’accord. Répondit-il de sa voix nonchalante. Et tu as fait tes obligations au moins, hein, catin ? (Les obligations Quelles obligations ?)

À cette évocation, à moins que ce ne soit le terme « catin », les joues de Nadine rosirent.

— Oui, j’ai fait comme vous me l’avez demandé. Répondit-elle dans un souffle. (Je ne comprenais plus trop, de quoi parlaient-ils ?)

— C’est-à-dire, vas-y, dis moi ! Tu ne veux pas que je te demande non plus.

Sa voix s’était faite impérieuse. Nadine sembla trembler sous l’injonction. Mais je la voyais avec son petit sourire en coin. Ça me rassurait. C’est vrai qu’il savait y faire pour ordonner aux femmes ce connard.

Tandis qu’elle commençait à raconter, ses yeux se mirent à briller, je vis ses tétons se tendre et ses gros seins prendre du volume. Sous la djellaba, un gonflement se mit à poindre. De mon côté, je n’en croyais pas mes oreilles.

— Comme vous me l’avez demandé, j’ai sucé le garçon d’étage, jusqu’au bout et j’ai avalé son Son sperme.

— C’est bien salope, et puis ?

— J’ai laissé le cuisinier me prendre dans la buanderie, par devant et aussi (elle parut gênée) par derrière.

— Par où ?

— Par la chatte et par le cul, je veux dire, Monsieur.

Je ne croyais pas ce que j’entendais. Voilà la raison des sourires entendus que je croisais ici et là. Ma salope de femme se faisait baiser par le personnel de l’hôtel et tout le monde le savait, sauf moi.

Moi qui bandais dur de la voir et de l’entendre raconter ces « horreurs » à poil devant un pseudo gourou du sexe.

— Et tu as joui ? Elle déglutit mais gardait la bouche entrouverte. Sa respiration s’était amplifiée et je remarquai que ses tétons avaient encore grossi en même temps que ses petites lèvres devenaient presque violettes et qu’on voyait son clitoris commencer à poindre en dehors de son capuchon. Sans qu’elle s’en rende compte, sa main droite était allée se poser sur sa cuisse, et elle se caressait doucement le pli de l’aine, près de sa chatte gonflée et sûrement gluante.

— Oui Monsieur, j’ai joui par devant et par derrière heuuu, par la chatte et par le cul, se reprit-elle. Très fort par le cul, M.

— C’est bien, continue Comment ça s’est passé ?

— Le cuisinier avait un gros sexe ( Karl fronça les sourcils) pardon monsieur, il avait une grosse bite. Pas très longue, mais bien large. Mais comme je mouillais beaucoup, il est rentré facilement dans ma chatte. Il m’a prise à un moment comme ça, jusqu’à ce que je jouisse, puis il est entré dans mon cul. Il m’a Enculée un long moment avant de Lâcher son jus au fond de mon trou. Après, il y en avait beaucoup dans la capote.

On voyait que ces mots étaient nouveaux à prononcer pour elle, mais je sentais que ça l’excitait de les dire.

Sa voix était rauque, son souffle court et ses jambes tremblaient légèrement en même temps qu’elle parlait.

Sa main droite étirait maintenant les grandes lèvres, faisant saillir le clito devenu gros comme un petit pois et à moitié sorti de son capuchon.

Je voyais bien sa mouille grasse engluer sa chatte lisse. Il y avait même une petite coulure qui commençait à glisser le long de sa cuisse. Entre ses jambes écartées.

La main gauche de ma femme était remontée sous son sein, qu’elle commençait à pétrir en même temps qu’elle parlait, sans se rendre compte de son état ni de ce que faisaient ses mains. Toute à son discours, les yeux brillants, rivés sur le tissu de la djellaba de Karl qui se tendait lui aussi.

Depuis mon point d’observation, je m’étais transformé en pierre immobile dans l’air qui commençait à vibrer de chaleur, à l’affût de la suite des événements et du discours hallucinant des turpitudes de ma chienne de femme.

— Et ensuite ?

— Je l’ai remercié pour sa grosse queue et je suis monté faire une sieste avec mon mari. J’étais fatigué d’avoir tellement joui. Mais j’ai rêvé de tout ça et ça a excité mon mari de me voir excitée et bien mouillée de la chatte du cul. Alors il m’a baisée, et il m’a aussi enculée. Là aussi, j’ai beaucoup joui, plus qu’avec le cuisinier Mais moins qu’avec vous.(J’étais content et rassuré d’apprendre que Nadine, même si elle se comportait en traînée, me gardait dans ses satisfactions sexuelles)

— ah bon, c’est très bien tout ça. Tu es une belle salope. Tu aimes la bite et tu te révèles à toi-même. C’est très bien. Mais pourquoi tu jouis plus avec moi ?

Elle déglutit en lui regardant l’entrejambe. Je devinais, à l’emplacement où se tendait le tissu que ce salaud, en plus de faire plus jouir ma femme que moi et d’avoir un certain magnétisme que je ne pouvais nier, possédait aussi une bite énorme. Et comme je sais que Nadine aime être bien remplie, il n’y avait pas beaucoup à réfléchir pour savoir ce qu’elle aimait.

Ce qui me surprenait, c’était plutôt la rapidité avec laquelle elle était tombée sous son emprise et la facilité avec laquelle il la manipulait.

Mais la suite de la journée me démontra que je n’étais pas au bout de mes surprises.

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