Me voici de retour.
Donc pour reprendre là où j’en étais resté, après nous être nettoyées nous sommes rentrées chez nous. Le lendemain j’avais du mal à me lever, un mauvais pressentiment, non la fin de semaine se déroula sans encombres jusqu’au samedi. L’après midi de ce jour là le téléphone sonna c’était Titi elle parla à mon père puis celui-ci me l’a passa :
— Titi comment vas-tu ?
— Mal, j’ai reçu une photo de moi suçant dans l’eglise.
— Par mail ?
— Non par la poste, et j’ai failli ouvrir le courrier devant mes parents.
— Oh merde
— Et toi ? tu n’as rien reçu ?
— J’ai pas vu le courrier aujourd’hui, je demande attends.
Papa ! as-tu été relever le courrier ce matin ?
— Oui ma chérie, il y a une lettre pour toi sur le buffet.
— Attends je vais voir.
— Merde moi aussi, il y a une photo dedans.
— Laisse-la, derrière il nous donne un autre rendez-vous, je ne sais pas quoi faire, je vais craquer.
— On va lui dire qu’on ne veut pas, et tant pis, je crois pas qu’il va envoyer les photos à nos parents, on pourrait porter plainte pour chantage.
— Tu crois ? moi j’ai peur.
— Laisse moi faire, à tout à l’heure.
Sitôt raccroché j’ouvris mon portable et je répondai au 1er mail qu’on avait reçu en affirmant notre refus de continuer, et en le menaçant de porter plainte.
Le dimanche se passa sans problème, le lundi je retrouve Titi et nous partons les deux se balader ( nous ne travaillons pas ce jour là) en rentrant on s’arrête boire un verre au village et à ce moment là, le cantonnier s’approche de nous.
— Bonjour la jeunesse, vous voulez fumer ?
— Non merci on ne supporte pas le tabac.
— Et la pipe non plus ?
— Heu, tu veux quoi là ?
— Faut pas faire de bêtise à l’église, j’ai reçu une photo et je crois pas que le maire ou le curé aimeraient s’ils savaient.
— Attends une photo ? montre là !
Il sortit de sa poche la photo de Titi suçant et se faisant lécher par moi,
— Tu veux quoi pour te taire ?
— Ben une pipe aussi
— Ok où ?
— De suite dans l’atelier.
Nous l’avons suivi comme des zombies, nous sommes entrés dans l’atelier, il a fermé la porte et
— Allez les petites à poils je veux vous voir vous lécher les gouines, allez !
Obéissantes nous nous sommes mises nues, il touchait nos fesses.
— Putain les beaux culs, la chatte lisse les salopes, léchez-vous, je vais vous donner mon cigare.
Il a sorti un sexe raide de son pantalon et l’a mis devant ma bouche.
— Suce petite c’est du bon, allez avale- moi ça.
Nous l’avons sucé à deux pensant finir vite, mais il tenanit bon.
— Oui, c’est ça sucez, vos deux langues, allez Elise en 69 avec moi, oui c bon je vais lécher mon premier minou imberbe putain, et toi Titi tu vas prendre le marteau et enculer ta copine avec le manche.
Horrifiée, je me suis mise en position, il léchait bien, je l’ai pris en bouche, avalé entièrement, massé les couilles, pendant qu’il me croquait le clitoris, je commençais à jouir et j’avais oublié le marteau, quand Titi mis un peu d’huile de moteur entre mes fesses.
— Oui, c’est ça, mets de l’huile et encule ta copine salope.
— Non, s’il te plait, Titi je t’en prie.
— Fais-le où c’est moi qui t’encule avec le manche de pioche.
— Pardon Elise.
Je sentis le manche s’enfoncer dans mon petit trou, Michel repris son broutage de minou de plus belle, et la jouissance me gagna à nouveau, je n’avais rien ressenti de pareil.
— Allez-y faites moi jouir, Titi encule moi salope, Michel bouffe moi le clito, je viens.ha.
— Moi aussi avale.
J’ai fermé ma bouche sur son gland et j’ai bu tout son foutre.
— Et bien mes salopes, vous êtes chaudes, merci.
— Rends nous la photo s’il te plait.
— Oui, tiens la voila, mais je ne sais pas qui l’a mise dans ma boite à lettres, en tout cas si je le trouve je le remercie, vous êtes de sacrées putes
— Bon, tu ne dis rien à personne ok ?
— Promis, mais de temps en temps une petite pipe ok ?
— Non, une fois ça suffit.
Nous sommes sorties de l’atelier municipal, avec la photo dans mon sac, on commençait à se demander s’il en avait donné d’autres quand on vit arriver Jean, le simplet du village.
— Oh les filles, c’est vous sur la photo là ? vous êtes des égoïnes ? et là pourquoi vous mettez le zizi dans la bouche ?
— Tais-toi Non de Dieu, tais toi on t’expliquera tout.
— Ah non derrière il y a écrit que je pourrai tout faire avec vous cet après midi si je vous le montrais.
— Montre ! au non..
— Quoi, montre moi.au putain.
Le texte était le suivant :
Si vous ne voulez pas que tout le village reçoive ces photos, faites plaisir au gentil Jean cet après-midi, et faites tout ce qu’il vous demandera, il est si gentil.
— Bon Jean c’est d’accord, mais que cet après-midi.
— Oui, vous venez chez moi je vous attends.
— Chez toi ? comme tu veux.
— Oui chez moi, je vais pas laisser marmot tout seul.
— Marmot ? ton chien ?
— Oui, il s’ennuie quand je suis pas là.
— Comme tu veux.
Nous sommes parties, résignées mais sans se douter de ce qui allait arriver.
Suite plus tard.