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L'amour dans les cordes – Chapitre 1




Dites-moi, j’aurais une question à poser : qui aime être attachée pendant l’amour ? Alors ? Personne ne répond ? Vous savez, il n’y a pas de honte. Toujours personne ? Bon bah sachez qu’il y a au moins moi. Ce n’est pas tant le fait d’être attachée qui me plait. C’est plutôt le fait d’être totalement à la merci de mon partenaire. Je n’ai pas toujours été comme ça. Avant j’étais plutôt timorée, classique et parfois même chiante, limite frigide au niveau du sexe. Mais ça, c’était avant de rencontrer celui que j’appelle « mon nounours ». À l’époque je dépendais presque totalement de mon copain, Antoine, et . Oups pardon j’ai oublié de me présenter : Melinda, trente-six ans maintenant (vingt-six au moment des faits), secrétaire de direction et accessoirement deuxième au championnat féminin junior de karaté de ma région quand j’étais ado mais ça, c’est anecdotique (j’ai choisi d’arrêter car je ne pouvais plus assurer sur tous les tableaux).

Posons le décor. Depuis le lycée, j’étais avec mon copain : Antoine, un an de plus que moi et fils de bonne famille. Il avait fait de brillantes études de commerce et fut un temps embauché par une grosse boite mais sur un coup de tête il changea de boulot pour devenir cadre commercial dans une entreprise de transport routier. On vivait bien et on commençait à faire des projets bébé, mariage, bref comme tous les couples. De mon côté, j’avais suivi une formation en secrétariat. Je voulais trouver du boulot mais mon mec voulait me voir à la maison comme une femme au foyer. Bon . Pourquoi pas ? De toute façon, j’avais du mal à trouver. Plus tard j’ai appris que c’était parce que je m’y prenais mal, que je ne me mettais pas suffisamment en valeur, . Bref pour moi, rester à tenir la maison propre, c’était la solution de facilité.

À l’époque, j’étais amoureuse de lui et quasiment sous sa coupe. Un jour il a voulu que j’accepte de me faire poser des implants mammaires. Je ne vais pas mentir, ça m’emballait moyen de passer sur le billard pour ça mais à chaque fois qu’il me sortait sa phrase « S’il te plait, ça me ferait tellement plaisir » avec son air de chien battu, je craquais. C’est comme ça que je me suis retrouvé avec une poitrine bonnet D qui faisait son bonheur. Bref tout allait pour le mieux mais un jour j’allais déchanter. Vous savez ce qu’on dit « l’amour est aveugle ». Moi je ne voulais pas voir. Avec le recul je me suis rendu compte qu’il y avait des signes avant-coureurs mais je fermais les yeux, amoureuse que j’étais.

Un jour, Valérie, une de mes copines est venue me voir pour quelque chose d’important. Elle avait été obligée de se déplacer, pour son boulot, dans une autre ville à plusieurs centaines de kilomètres et, par un pur hasard, elle y a croisé mon fiancé dans une rue qui, lui aussi, était en déplacement professionnel pour la semaine. Elle était loin. Elle a essayé de l’appeler mais il ne répondait pas. Elle a couru après lui jusqu’à ce qu’elle le voit enlacer une autre fille que moi. Elle a alors filmé la scène et elle voulait me la montrer.

Devant cette scène, j’étais en larme. Lui qui parlait mariage, bébé et avait d’autres projets dont il me parlait très peu, je me sentais trahie. Je me suis dit « non, c’est surement une erreur, une mauvaise interprétation ». Malheureusement le doute n’était plus permis quand ma copine les a suivis discrètement et les a filmés à s’embrasser, entrant dans un hôtel. J’ai vite compris que, lors de ses nombreux déplacements professionnels, il devait s’envoyer une nana rencontrée par une de ces applications de rencontre rapide et facile dont on voyait la pub à la télé passé minuit. Elle me proposa alors de sortir en boite pour me détendre et . Bon sang ce que ça m’a fait du bien. Je me suis amusée comme une folle à me déhancher sur la piste. L’alcool aidant, je me suis un peu décoincée et on m’a même draguée. Par contre le lendemain ça a été rude. D’abord, il y a eu la gueule de bois et puis surtout la réalité m’a rattrapée. Au départ je voulais lacérer ses fringues et le virer mais il avait bien joué son coup le salop. J’étais à sa merci, sans boulot et quasiment sans ressource. Je me suis dit alors : « si lui veut s’amuser, alors moi aussi je vais le faire ». J’avais donc prévu de faire du shopping pour sortir le soir, trainer dans un bar, me serrer un mec et pourquoi pas finir au lit avec lui. Je ne voyais pas pourquoi je me serais gênée.

Je venais donc de m’acheter un joli petit ensemble avec un beau décolleté pour montrer à ces messieurs qu’il y avait du monde au balcon. Le fait de m’être faite draguer la veille en boite m’avait redonné confiance en moi sur mon potentiel de séduction. Je me suis habillée, je suis sortie de la maison et je me suis dirigé vers un bar que je savais très fréquenté.

Dans ce bar, il y avait de tout : quelques couples, des groupes d’amis mais aussi des hommes seuls. Au début j’étais contente mais quand j’ai vu le genre . Je me suis dit que j’aurais mieux fait de m’abstenir. Je venais de commander un verre quand l’un d’eux s’est approché et s’est assis à côté de moi. Il était l’archétype du vieux gars négligé qui ne prend pas soin de lui : habillé d’un vieux survêtement taché, mal rasé gras et visiblement imbibé. Apparemment, la belle fille seule que j’étais lui avait ouvert l’appétit.

— Salut poulette, tu permets que je m’asseye ? demanda-t-il avant de le faire et me coupant ainsi de la sortie, n’ayant pas attendu ma réponse

— Visiblement c’est déjà fait.

— Bah alors que fait une beauté pareille dans ce troquet ? demanda-t-il en se rapprochant de plus en plus de moi.

— Je sors, je me change les idées. Ai-je répondu de moins en moins rassurée.

— Si tu veux je connais un bon moyen de s’amuser. Me dit-il avec un sourire malsain aux lèvres. Et en posant sa main sur ma cuisse que je me suis empressé de retirer.

— C’est à dire ?

— J’ai une voiture avec tout le confort. On pourrait aller y faire un gros câlin. Me dit-il en passant son bras par-dessus mon épaule pour m’enserrer et me bloquer contre lui tout en remettant sa main sur mon genou et en la faisant remonter doucement le long de ma cuisse.

— Ecoutez merci mais non. Je vais partir. Ai-je dit en tentant de m’extraire.

— Tu restes là. Si tu t’es fringué comme une pute c’est que t’as quelque chose derrière la tête : te faire fourrer. Alors tu vas venir avec moi. En plus t’as de sacrés beaux roberts. Allez laisse-toi faire. Dit-il alors en se montrant de plus en plus entreprenant.

C’est là que j’ai vu que je venais de faire une belle connerie. OK j’étais parti pour coucher avec un mec mais pas un qui sent la piquette et ayant vidé un tonneau de bière à lui tout seul. Je me débâtais mais il avait le dessus. Dans la salle les autres clients étaient gênés de cette scène mais aucun n’est intervenu. Heureusement que le barman ne l’a pas laissé finir. Il l’a viré de son bar, m’a offert mon verre en s’excusant et je suis rentrée.

J’étais sous le choc de ce que je venais de vivre. Ce sale type aurait pu me violer comme une poupée gonflable. Quand je suis rentrée, j’ai remarqué que la porte de notre véranda, qui donnait sur le jardin, était légèrement entrouverte. C’était déjà arrivé qu’on oublie de la fermer et ça ne m’a pas inquiétée plus que ça. C’est quand j’ai voulu la fermer que j’ai entraperçu, dans le reflet de la vitre, comme une masse sombre s’approcher de moi par derrière. Je n’eus même pas le temps de me retourner que je me suis soudainement retrouvée entravée par deux bras puissants me bloquant les miens, une main sur ma bouche et l’autre me serrant la taille. Un homme s’était introduit chez moi et je sentais son souffle haletant et sa cagoule en laine contre ma joue quand il a commencé à parler.

— Ne bouge pas, je ne vais pas te faire de mal. Si tu fais ce que je demande tout ira bien. Tu vas être sage ? me demanda-t-il de sa voix grave et autoritaire.

— < hochement de tête>

— Bien maintenant je vais retirer ma main de ta bouche et tu ne vas pas crier. D’accord ?

— < hochement de tête>

— Bien, tourne-toi, je ne vais pas te faire de mal. Je suis juste venu récupérer quelque chose et je m’en vais après. Si tu te tiens tranquille, tout se passera bien. Me dit-il avant de m’attacher les mains dans le dos avec mon foulard.

Il m’a jeté alors dans le canapé, les mains attachées dans le dos, et on s’est regardé l’un l’autre quelques secondes. Puis il m’a attaché les pieds avec ma ceinture et a commencé à m’interroger.

— Bon t’es qui toi ? Qu’est-ce que tu fais là ?

— C’est plutôt à moi de vous poser cette question. C’est chez moi ici.

— Faux ! Ici c’est chez ce connard d’Antoine.

— Oui bah je suis sa fiancée.

— Sa fiancée ? Laquelle ? Ce connard n’arrête pas de nous montrer des photos de ses copines au boulot et il n’arrête pas de se vanter de ses performances au lit avec elles. Il s’est même filmé en train de Je te laisse deviner.

Ce type connaissait mon mec, c’était évident. Mieux il travaillait dans la même boite et il venait de me confirmer le fait qu’il couchait avec d’autres filles. Sur le moment, j’avais cru que c’était l’ivrogne du bar qui m’avait suivi pour finir ce qu’il avait commencé mais non. Cet homme était plus costaud, plus grand et n’avait pas la même voix (ni la même haleine). Il était habillé d’un jean noir, d’un pull noir avec les manches retroussées, il s’était affublé d’une cagoule qui couvrait entièrement son visage et d’une paire de gants. Hormis les trous pour ses yeux et sa bouche sur sa cagoule, rien ne permettait de l’identifier. Sa voix me semblait étrange. Comme sil forçait délibérément sur les graves pour la camoufler.

— Bah alors tu vas répondre ? T’es qui ?

— Je suis sa fiancée. On est ensemble depuis le lycée.

— Ok . Admettons . et t’acceptes que cette petite bite parte voir ailleurs ? .. Ou alors t’en savais rien et tu viens de l’apprendre ? .. Oui c’est ça je le vois dans ton regard.

— Je l’ai appris récemment mais là c’est une confirmation.

— Crois-moi, quitte-le c’est un connard. Bon, comme tu le connais tu vas me dire où il range ses papiers pour le boulot.

— Mais j’en sais rien moi je ne m’occupe pas de ses affaires.

— Tu continues à le protéger ? Je savais que l’amour était aveugle mais là il te faut une canne blanche et un clébard. Bon tant pis je vais chercher. Ne t’étonne pas s’il y a le bordel après mon passage. Mais avant .

Il partit alors récupérer le sparadrap de l’armoire à pharmacie, me remplit alors la bouche avec ce qu’il trouvait et me ferma la bouche avec le sparadrap. Ainsi je n’allais pas pouvoir ni bouger la bouche, ni crier ni quoi que ce soit. Depuis le salon où j’étais attachée, je l’entendais fouiller. Je n’osais imaginer le bordel que j’allais retrouver après son passage. Au début j’ai eu peur et puis ensuite, sans que je me l’explique, cette situation a commencé à m’exciter. Je ne savais pas pourquoi mais j’ai bien senti que je commençais à mouiller ma culotte en envisageant le fait que ce type puisse abuser de moi. Et non ce n’était pas la peur qui me faisait me pisser dessus mais plutôt l’excitation. En début de soirée, j’étais parti pour me taper n’importe quel mec et ce cambrioleur, n’avait pas l’air dégueu. Il était costaud et plutôt bien bâti bedonnant certes mais tout à fait comestible. Sur le moment je me suis dit « S’il décidait d’en profiter, je ne dirais pas non ».

Pendant qu’il cherchait et passait de pièce en pièce, je l’entendais pester, ne trouvant pas ce qu’il cherchait. Je l’ai entendu revenir vers moi d’un pas pressé et visiblement en colère. Il m’arracha mes sparadraps et j’ai craché ce que j’avais dans la bouche.

— Bon maintenant tu vas cracher le morceau.

— C’est fait ! ai-je dit avec un sourire moqueur

— Très drôle. Où ton mec planque ses affaires ?

— Mais quelles affaires ? Si encore je savais de quoi vous parlez je vous le dirais mais là, je n’en sais rien.

— Insolente !

— Le seul endroit où il pourrait avoir mis ce que vous cherchez c’est sa sacoche.

— Ah ! Bah voilà. On est raisonnable. Alors elle est où cette sacoche ?

— Il ne la quitte jamais. Il l’a emporté avec lui quand il est parti, avant-hier.

— En plus, tu continues à me prendre pour un con. Tu mériterais que je te cogne. Dit-il en levant la main.

Comment lui donner envie de profiter de moi ? Vu sa colère ça semblait mal engagé. C’est là que j’ai eu l’idée de me recroqueviller sur moi. Ça allait ainsi exposer ma culotte mouillée. « Peut-être qu’en la voyant mouillée, ça lui donnera des idées . Allez, je tente le coup » me suis-je dit à ce moment.

— Non s’il vous plait. Ne me frappez pas. Ai-je dit alors en me recroquevillant sur moi-même, faisant ainsi remonter ma jupe et exposant ma culotte à son regard.

— Franchement tu mériterais que je te cogne. Je joue presque ma vie professionnelle et celle d’autres personnes avec ce que m’a fait ton connard de Hé ! Mais c’est quoi ça ? dit-il alors en montrant du doigt ce que je lui montrais.

— C’est rien. Ai-je répondu en tentant de cacher mon entrejambe avec ma jupe.

— Ce n’est pas rien. C’est même très intéressant. Fais voir.

— Non lâchez-moi. Ai-je dit en faisant semblant de garder les jambes serrées alors que lui faisait tout pour les écarter.

— Bon sang tiens-toi tranquille . Voyons ça . Oh mais tu mouilles. On dirait que ça t’excite tout ça. C’est très intéressant ça et ça me donne une idée. A-t-il dit après m’avoir écarté les cuisses et avoir humé ses doigts qu’il avait frottés sur ma culotte.

— Comment ça ? ai-je dit avec un air faussement inquiet.

— Je crois que j’ai trouvé un moyen de te faire parler. Soit tu parles soit je deviens ton nouveau petit copain pour l’heure qui vient.

— J’ai peur de comprendre.

— Ne fais pas ta mijaurée. Tu as parfaitement compris. Si tu refuses de me dire ce que je veux savoir, je te baise.

— Mais vous êtes bouché ou quoi ? Puisque je vous dis que je ne sais rien des projets d’Antoine.

— Impossible ! Un truc aussi énorme, il ne peut le faire seul. Allez direction la chambre. Dit-il alors en m’embarquant sur son épaule façon Cro-Magnon.

À ce moment-là je ne savais pas de quoi il parlait mais je m’en foutais. Il semblait être en conflit ouvert avec mon mec et ça me servait. Tout ce que je savais c’était que ce type allait me baiser et c’était tout ce que je voulais. Il me suffisait juste de me mettre dans mon rôle et tout devait bien se passer. Au départ, j’avoue avoir hésité entre jouer la « Oui vas-y prends moi comme une bête pour me venger de mon copain » et « Non ne me violez pas ». Toute cette histoire semblait importante pour lui et le contrarier aurait pu m’exposer à des coups pour lui avoir cassé son plan. Je suis donc resté sur mon rôle de femme violée . Même si, au final, je le voulais autant que lui.

Quand on est entré dans la chambre . Mon Dieu quel bordel ! Tout était par terre. Il avait même vidé mon tiroir à culotte. Il m’a lâché sur le lit avec un sourire de carnassier et en retirant la ceinture de son pantalon, il m’a attaché une jambe à un des pieds du lit, se servant ensuite de ma ceinture qui m’attachait les pieds pour m’attacher l’autre jambe à l’autre pied. Ainsi je me retrouvais allongée sur le lit, sur le dos, les mains attachées dans mon dos et les jambes écartées.

— S’il vous plait, ne me faites pas de mal.

— Mais il ne tient qu’à toi de me dire ce que je veux pour que j’arrête. Me dit-il en baissant son pantalon.

— Vous ne comprenez pas. Je ne PEUX pas vous dire ce que je ne sais pas. Qu’est-ce que vous ne comprenez pas dans cette phrase ? Non lâchez moi. Ai-je dit quand il m’a attrapé par les cheveux.

Il venait de baisser son slip et . « Ah ouais quand même ? » ai-je pensé en voyant son attirail. Sur le moment je me suis dit « quand il traitait mon mec de ’petite bitte’’, je comprends mieux pourquoi en voyant son machin. À côté, Antoine passe pour un enfant. Je vais me régaler avec ça ». Il a essayé de forcer ma bouche avec son gland mais il fallait que je reste dans mon rôle pour être raccord. J’ai gardé les lèvres fermées jusqu’à ce qu’il me pince le nez. Là j’ai dû ouvrir la bouche et sa queue l’a envahi.

Il me tenait la tête, me donnant la cadence. Je l’entendais soupirer très fort. À un moment il s’est arrêté et m’a lâché la tête.

— Alors, toujours rien à dire ?

— Toujours rien.

— OK . Continuons les réjouissances alors. Dit alors en se positionnant entre mes cuisses.

Je faisais semblant de me débattre et il semblait aimer ma résistance. Il n’eut aucun mal à m’empêcher de bouger complètement. Quand il a présenté sa queue à l’entrée de mon entrejambe, je lui ai lancé un « S’il vous plait. Pitié. Je vous jure que je dis la vérité ». Il m’a répondu « je n’en crois pas un traitre mot. C’est ta dernière chance. Parle ou bien . ». J’ai fait alors la fille résignée et il m’a prise. Quand il a pris ma bouche j’avais l’impression qu’il l’avait remplie. Quand il m’a pénétré oh bon sang je l’ai senti passer. Rien à voir avec la petite bite de mon mec. Il m’a saillie en variant la cadence, en me pelotant les seins dont le volume l’excitait au plus haut point et même en me forçant à l’embrasser en me bloquant la tête face à lui alors que je la bougeais de droite à gauche. Dès qu’il tentait une autre position, je gesticulais, faisant semblant de me débattre mais il finissait toujours par m’immobilier et reprendre de plus belle. Je devais jouer la victime et j’avoue avoir failli oublier mon rôle sur la fin, laissant échapper ici et là quelques soupirs de plaisir. À un moment, je lui ai demandé de se retirer avant qu’il ne lâche la sauce. Ce fut la seule chose à laquelle il a consenti. Il s’est retiré mais pour me reprendre la bouche de plus belle et y balancer la purée. Pour me forcer à avaler, il m’a pincé le nez et a maintenu ma mâchoire fermée.

— Ah ! Bah c’était bon. C’était peut-être vrai après tout que tu ne savais rien. Dit-il alors debout à poil me contemplant comme un trophée.

— C’était obligé que j’avale ?

— Oui pour effacer les traces. Je t’avouerais que c’est mon premier viol . Enfin viol c’est beaucoup dire car j’ai comme l’impression que, quelque part, c’était ce que tu voulais. Je n’ai peut-être pas eu ce que je cherchais mais, au moins, tu as été un joli lot de consolation. Continua-t-il en remettant ses fringues.

— Vous n’allez pas me laisser comme ça quand même ?

— Non, tu as raison . Je vais te détacher les jambes du lit mais je vais de nouveau les attacher ensemble. Ne t’inquiète pas. Je vais partir en laissant un couteau sur la table du salon. Vu le temps que tu mettras pour l’atteindre et te détacher les mains avec, ça me laissera tout le temps de partir. Voilà c’est fait aller Ciao ! m’a-t-il dit avant de partir.

Ainsi je venais de me faire baiser par ce type. Je n’aurais jamais cru dire ça, mais se faire sauter, totalement entravée, par un inconnu masqué, ça m’a plu. De cette soirée je n’ai qu’un seul regret : j’aurais bien voulu voir son visage et savoir qui il est .. « Mais j’y pense, j’ai un moyen de le savoir ou du moins de trouver des indices » me suis-je dit. En effet ce type semblait être en conflit avec mon mec. Il cherchait des documents compromettants qui le lieraient à mon fiancé. À moi de chercher là-dessus. Mais en attendant, il allait falloir tout ranger avant le retour de mon mec le lendemain.

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