Depuis la séance avec les deux hommes au-dessus du restaurant, ma femme semblait un peu honteuse sans doute d’avoir cédé et d’y avoir pris du plaisir. Je n’étais pas revenu dessus, préférant faire courir le doute. C’était sans doute la bonne solution car depuis elle me semblait plus docile, comme pour s’excuser, et j’en profitais pleinement. Je multipliais les séances ou après des caresses je la mettais sur le lit, à plat ventre, et lui liais les poignets, j’adorais la voir ainsi, à ma merci les poignets liés au-dessus de son magnifique cul. Je poursuivais souvent la séance avant de la baiser par quelques coups de ceinture sur les fesses voire parfois en la retournant entre ses cuisses qu’elle écartait d’elle-même. Il m’arrivait aussi souvent de la sodomiser après l’avoir préparée avec du gel puis mes doigts ou un petit gode anal. Vu sa docilité, j’en ai profité pour reprendre mes tentatives de fist, j’avais remarqué qu’elle était plus ouverte lorsqu’elle avait été sodomisée ou que je lui laissais le gode anal en place.

Hélas, malgré sa non-résistance je n’arrivais pas à franchir l’étape du pouce, mes quatre doigts arrivaient à la dilater un peu mais impossible même en poussant assez fort de faire pénétrer ma main dans son sexe et le but n’était pas de la faire trop souffrir. Après ces échecs, un peu par vengeance, je lui cinglais les fesses et le sexe avant de la baiser sans ménagement. Fréquentant quelques forums spécialisés je me suis ouvert à ce problème et en ai longuement discuté avec un des interlocuteurs, Henri, avec qui j’avais bien accroché ; cerise sur le gâteau il habitait une commune voisine de la nôtre et a proposé de me rencontrer pour en discuter de vive voix. Ce fut chose faite dans une brasserie de Versailles, l’homme d’environ 45 ans était sympathique, inspirait la confiance et était bel homme. Il m’a expliqué différentes choses pour réussir à fister une femme un peu étroite et m’a notamment fait comprendre qu’il fallait de l’expérience et quelques produits qui aident à la dilatation et à la lubrification.

Sa profession médicale m’inspirant de plus confiance je lui ai proposé de venir dîner en le présentant comme mon nouveau patron, ce qui ne manquerait pas en plus d’intimider un peu mon épouse. Ce fut chose faite un samedi soir. Elle avait mis les petits plats dans les grands, et, pour la circonstance s’était vêtue d’un ensemble veste pantalon en soie assez moulant qui montrait bien qu’elle portait dessous une culotte brésilienne et un soutien-gorge demi-bonnets assez suggestifs. Le dîner bien arrosé a brisé la glace et, comme l’autre fois, elle ne s’était pas méfiée et était un peu pompette quand nous nous sommes installés tous les trois sur le canapé, elle entre nous deux. Pour la tester j’ai commencé par quelques caresses légères sur ses cuisses et ses seins, sans résistance de sa part. Henri a mis son bras sur le dossier, contre son cou et sous l’effet de mes caresses plus appuyées, elle a laissé aller sa tête contre son bras en soupirant. C’était gagné. Elle s’est vite retrouvée en dessous, caressée partout par nos quatre mains, haletante et consentante.

Nos doigts l’exploraient sans ménagement et Henri m’a fait signe qu’il était temps que je l’entraîne dans la chambre, nous étions convenus, pour la mettre en confiance, que je démarrerai une séance habituelle. Elle m’a suivi sans résistance et s’est laissé dénuder et lier les poignets en gémissant. Henri nous a alors rejoints et elle a à peine sursauté quand il est entré. Sa voix avait changé, plus dure, plus dominante. Alors on va pouvoir s’occuper de cette petite salope, tu vas déjà lui rougir un peu le cul. Je ne me fais pas prier et lui assène quelques coups de ceinture assez appuyés qui la font crier assez fort. Henri me dit alors avoir horreur des cris et il roule en boule la culotte de ma femme, puis lui prenant les cheveux pour lui relever la tête il lui fourre dans la bouche et, voyant un collant sur la table de nuit, il lui attache autour de la tête pour la bâillonner efficacement. La voir ainsi, poignets liés, bâillonnée, à notre merci me donne une érection presque douloureuse, hé bien me dit Henri, je vois qu’il faut que tu lui prennes ce petit cul, il vaut mieux que tu me la prépares.

Il ouvre sa braguette et sort un sexe effectivement plus conséquent que le mien en longueur et en épaisseur, j’avoue être impressionné. On lui glisse un oreiller sous le ventre pour plus de facilité et mon sexe dur enduit de gel lui force l’anus sans trop de difficulté. Je jouis assez vite trop excité par la situation et me retire, elle a encore le petit trou ouvert quand Henri, après avoir enfilé un préservatif pose son gros gland sur le trou ouvert par mes soins et la pénètre d’une poussée lente mais jusqu’à ce que ses couilles lui frappent les fesses. Il se déchaîne alors et l’encule longuement, on entend ses cris étouffés par le bâillon et je vois la grosse queue faire des va et viens brutaux jusqu’à ce que, dans un grand soupir, Henri remplit le préservatif de sa semence et se retire, repu. Ma femme ne bouge plus, sans doute déjà assez épuisée par cette double sodomie et le volume de la queue qui vient de la dilater. Henri me fait signe, on la retourne, elle se laisse manipuler et l’on double l’oreiller sous ses reins, elle gît, offerte, sexe exposé et humide et ne referme même pas les cuisses, encore sous le choc.

Henri, après s’être débarrassé de la capote sort de son sac un flacon en plastique et me dit : allez on passe aux choses sérieuses, enduis-la largement avec ce liquide, il faut qu’il pénètre bien les tissus de sa chatte, ça va lubrifier à fond, la dilater un peu et c’est légèrement anesthésiant. Je m’exécute, ma femme se laisse faire, et sous mes caresses commence même à onduler un peu du bassin, je l’enduis largement, le produit est assez liquide et transparent mais très vite je sens que mes doigts glissent tous seuls et pénètrent loin dans son sexe avec facilité. Henri, tout en m’observant, a enfilé un gant très fin style gant de chirurgien et vient remplacer ma main après s’être aussi copieusement arrosé avec le produit qu’il m’a fourni. Il commence par des caresses comme les miennes, lui malaxe le clitoris et pénètre sa chatte avec des va et viens qui la font onduler du bassin et écarter les cuisses. Il me regarde d’un air entendu, elle est prête, tiens la bien par les épaules, elle va sans doute essayer de se dérober.

Je m’exécute en me plaçant de façon à bien voir sa chatte et la main d’Henri. Il a déjà quatre doigts qui vont et viennent dans son sexe qui me paraît effectivement plus ouvert que d’habitude. Il me fait signe, je durcis ma prise et je vois son pouce rejoindre les autres doigts à l’entrée du sexe dilaté. A la contraction de ses muscles je devine qu’il pousse tout en remuant les doigts, ma femme se tend et gémis en bavant dans son bâillon, elle essaie de resserrer les cuisses mais il s’est placé entre elles et elle ne peut rien faire. "Ne résistes pas ou tu vas avoir mal petite salope" et, miracle, je vois la main progresser et disparaître dans la chatte distendue de ma femme, quel spectacle, les chairs se referment autour du poignet et l’on devine qu’il remue sa main à l’intérieur. Elle inonde le bâillon de bave, tout son corps se tend et l’on devine qu’elle a orgasme sur orgasme dilatée et fouillée de la sorte, Henri de son autre main lui martyrise à tour de rôle le clitoris et les pointes des seins, elle jouit comme jamais.

Je m’aperçois qu’il a retrouvé une érection impressionnante, j’ai lâché ma femme qui n’a plus la force de se débattre et me branle en admirant alternativement la chatte dilatée de ma femme et le gros sexe d’Henri. Il semble s’en apercevoir et me dit: aller vient me branler aussi mes mains sont occupées. J’ai honte mais malgré tout je me place à ses côtés et après quelques hésitations lui enserre le sexe. Pendant quelques minutes il ny a que halètements, gémissements et bruits feutrés puis je sens sa queue durcir entre mes doigts et il jouit sur le ventre de ma femme et moi j’inonde ses seins maltraités de mon sperme. La tension retombe et il retire délicatement sa main qui remplissait ma femme ; cette dernière ne bouge plus, cuisses écartées on voit sa chatte dilatée, dévastée, elle gît les yeux fermés sans réaction. J’en profite, un peu honteux de ma conduite d’autant que j’ai aimé ça, pour raccompagner Henri qui me conseille de la détacher et lui enlever le bâillon et la laisser dormir.

Elle est anéantie là, tu sais, il lui faut une bonne nuit de sommeil. Elle n’a en effet aucune réaction, quand je la détache et lui libère la bouche, je vois bien qu’elle récupère. Après avoir une dernière fois admiré sa chatte encore bien ouverte je la couvre et la laisse dormir, il est tard ou plutôt très tôt. Quelle soirée…

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