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La famille de ma femme – Chapitre 3




Le soir Nicolas mon beau-frère, mappelle.

— Oui ?

— Viens, suis-moi.

Bien que cela ne me dise rien de me faire enculer, je noublie pas que je suis au services de tous et je laccompagne dans sa chambre.

— Suce-moi, me demande-t-il en sortant une verge droite.

Jhésite, je ne lai jamais fait !

— Alors quest-ce que tattends ?

Je magenouille devant lui et pose la langue sur son sexe.

— Prends-le en bouche !

Jintroduis le gland. Je maîtrise un réflexe de nausée quand il touche la glotte. Tout compte fait ce nest pas désagréable cette grosseur douce. Je sors la queue, la lèche sur toutes ses faces, la reprend en bouche.

— Tu suces comme une professionnelle. Tu es un vrai jouet sexuel.

Je mefforce de le faire gémir de plaisir et me dévoue à ma tâche. Tout à coup des jets de sperme inondent ma bouche.

— Theu ! Theu ! Theu ! Theu !

Je me précipite aux toilettes cracher le foutre. Il me regarde goguenard.

— Ça surprend la première fois hein ? Tu verras la prochaine fois ça ira mieux. Tu peux ten aller, tu mas bien fait jouir, tu es un bon jouet sexuel !

Le sale type ! Dire quil a mon âge. Jai encore moins de scrupule de baiser sa femme !

Le soir, comme la veille, Laura exige le compte rendu détaillé. Elle rit de bon cur lorsque je lui raconte ma mésaventure avec son frère.

— La prochaine fois tu me reprocheras pas de ne pas avaler ton foutre quand je te suce !

— Et toi quas-tu fait ?

— Je suis sortie avec ma sur et ma belle-sur. Elle est charmante Aurélie. Quand je pense que je la snobais parce quelle avait épousé mon frère !

Le samedi est pour moi la répétition des jours précédents. Me balader nu ne me pose plus aucun problème. Marie et Sylvie maccaparent dès le petit déjeuner. Je les fais jouir par mes caresses. Tout à coup Sylvie me bouscule sur un fauteuil et vient sempaler sur ma queue.

— Aah ! Jen avais envie !

Elle danse sur mes cuisses. Je happe ses tétons quand ils passent à portée de ma bouche.

— Ouiiii ! Je jou. Je jouiiiiiis !

Elle saffaisse sur moi. Sans me désunir, je la retourne et la pilonne avec vigueur.

— Aah ! Oooh ! Ouiii ! Cest boooon ! Ooooh ! Ouiiiii ! Aaaah ! Mmmmh !

— On dirait que tu prends ton pied, dit en souriant Marie. Il est si bien que ça ?

— Tu Aaaah ! Tu ne peux pas savoir Cest Aaaaah ! Je jouiiiiiis Cest trooooooaarrgghh !

Je la libère après ces orgasmes multiples et la laisse reprendre haleine.

— Tu devrais essayer Maman, je tassure que cest autre chose quavec Philippe ou ton mari, et même Nicolas !

— Non merci.

— Tu as tort.

— Je préfère rester sur le regret de ne pas lavoir fait plutôt que déplorer de ne plus pouvoir le faire quand il ne sera plus là, argumente-t-elle avec un sourire.

Dans laprès-midi jai eu droit au grand-père et au père qui mont de nouveau enculé. Quils mont fait mal ! Je ne my habituerai jamais, dire que parait-il il y a des hommes qui aimes ça.

Le Dimanche matin je mapprête à sortir de la chambre en tenue dAdam.

— Tu ny penses pas ! rouspète mon épouse.

— Mais cest ce qui mest demandé.

— Plus aujourdhui, ton rôle de jouet sexuel est terminé, habille-toi.

Je commençais à prendre lhabitude, moi !

— Cest vrai cest le jour de la fête à Camille.

En attendant le soir jemmène ma femme dans la campagne environnante où nous passons une excellente journée. Quand nous réintégrons la maison, la famille est réunie autour dun buffet.

— Nous nattendions plus que vous, dit Marie en me présentant du saucisson.

André entouré de Philippe et de Nicolas, savance vers Camille.

— Ma chère petite, te voilà autorisé maintenant à jouer dans la cour des grands. Permets-moi dêtre le premier à taccueillir Bien que quelquun ait eu laudace de me précéder, ajoute-t-il en me lançant un regard noir.

Camille baisse les yeux. Elle frémit quand son grand-père déboutonne son corsage. Son père sempresse et lui ôte le vêtement quil pose sur une chaise. Nicolas sapproche et dégrafe le soutien-gorge et le fait glisser sur les bras, découvrant la poitrine que la jeune fille cache de ses bras. André dézippe la jupe. Camille nous fait face en petite culotte que son père fait glisser sur les cuisses. La jeune fille regarde devant elle avec un regard vide comme si cela ne la concernait pas. André la prend dans les bras et embrasse sa poitrine. Elle le laisse faire, et ne réagit pas lorsquil la porte sur le canapé où il linstalle jambes écartées. Il baisse son pantalon sur les chevilles sort sa queue et savance entre les cuisses. Je vois Camille effacer la grimace qui déforme ses traits lorsque la verge se fraye un chemin dans le vagin. Heureusement quelle nétait plus vierge, il lui aurait fait horriblement mal. Son père et son frère entourent la jeune fille et la cajolent.

Tout à coup Aurélie me prend par le bras :

— Y a pas de raison quils soient les seuls à samuser !

Elle mentraîne dans un coin près dun fauteuil sous lil réjoui de ma femme. Du coup Nicolas, jaloux que son épouse prenne du bon temps, délaisse momentanément Camille et par vengeance se jette sur Laura. Philippe sassied entre sa femme et sa mère. Je devine quil attend avec impatience que son père en finisse avec Camille pour prendre sa place. Ma belle-sur membrasse goulument. Elle tente dôter ma chemise. Je regarde autour de moi. Les participants, ma femme en tête sont à demi nus. Je laisse Aurélie me déshabiller et lui rends la pareille. Elle me pousse dans le fauteuil et sassoit sur ma verge.

— Aaah ! Jen avais envie !

Elle danse sur mes cuisses. Je soutiens ses seins qui virevoltent. Dans le coin opposés ma femme se fait prendre en levrette par son frère. Sylvie a eu raison des réticences de son mari qui la baise pendant que sa mère la caresse. Le premier il seffondre sur son épouse. André éjacule avec un grand cri. Je suis fier de résister plus que Nicolas qui laisse mon épouse insatisfaite. Aurélie sur mes cuisses clame sa jouissance, ce qui rend jaloux son mari.

— Tu nas pas encore fini ?

— JeAaah ! Je méclate Aaah ! Je jouis tu ne Aaah ! Tu ne sais pas comment Aaaaaaaah !

A la fin je lâche la purée et elle sécroule sur moi. Son mari lempoigne et la relève.

— Reprenons des forces, invite André. Nous en avons besoin la soirée nest pas terminée.

Pour le deuxième round, Philippe soccupe de sa fille Camille. Moi je mempresse auprès de mon épouse faisant fi du regard noir que me lance André. Vexé il se laisse entraîner par sa femme. Nicolas tourne le dos à Aurélie et sempresse auprès de sa mère.

— Fais-moi jouir toi, me demande Laura.

— Ton frère nas pas été à la hauteur ?

— Tais-toi !

Elle membrasse. Je mefforce de lui donner toutes satisfactions et réussi à la faire rugir.

— Ouiii ! Aaaah ! Mmmmmmh !

Je me déverse en elle déclenchant un nouvel orgasme. Je réalise brutalement que tout le monde nous contemple. Je suis fier de déceler de lenvie dans certains regards.

Après une nouvelle collation Nicolas savance entre les cuisses de Camille. Il nest pas très vaillant le beau-frère mais un sursaut de fierté lui permet dembrocher sa jeune sur. Sylvie et Marie me monopolisent.

— Fais-nous jouir comme tu sais le faire !

Puisquelles le désirent ! Jembrasse leur sexe et leur prodigue les caresses qui leurs ont faits tant plaisir les jours précédents. Du coin de lil je surprend André qui sexcuse auprès de ma femme de navoir plus les ressources pour la baiser.

Enfin mon tour arrive avec Camille. Vu létat des hommes présent je devine que personne ne me disputeras la jeune fille. Je menfonce dans le vagin dégoulinant de sperme.

— Aaah ! Jattendais ce moment depuis le début de la soirée, me dit-elle en me serrant dans les bras.

— Ton père et ton grand-père ne tont pas fait jouir ?

— Ni mon frère ! Je nai pu les supporter quen pensant que ton tour viendra.

Après une telle déclaration je dois me surpasser pour ne pas la décevoir et je crois avoir réussi

— Oh que cétait bon ! me dit-elle lorsquelle reprend haleine. Tu es le meilleur Dis Tu crois que je peux venir à Paris chez vous ? Ça sera plus facile pour poursuivre des études.

Drôle de moment pour une telle confidence.

— Je veux bien mais il faut que Laura soit daccord.

Furieux que Camille ait manifestement plus joui dans mes bras que dans les siens, André me tire en arrière.

— Il est temps pour toi ma petite-fille de te reposer, tu as eu une rude soirée.

Il la remet entre les mains de Marie qui lemmène hors du salon. Mon épouse et moi rejoignons notre chambre :

— Alors ? La fête de ta sur a été à la hauteur de tes espérances ?

— Tu tes pas mal amusé toi aussi, me dit-elle avec un sourire.

Le lendemain, Nous faisons nos adieux à la famille de ma femme. Autant les hommes me battent froid, autant Aurélie et Camille nous embrassent chaleureusement. Sylvie et Marie nous accompagnent à la gare et nous étreignent sur le quai en nous remerciant de notre visite. La mère menace sa fille pour rire.

— Ton mari est un homme précieux, conserve le bien et ramène nous le bientôt !

— On peut dire que tu as fait une sacrée impression aux femmes de la famille, me dit en souriant Laura dans le train. Tu sais pas ce quelles mont demandé sans se concerter ?

— Non comment veux-tu que je le sache !

— Chacune, sous le sceau du secret évidemment, voulaient savoir si elle pouvaient loger chez nous quand, en cachette de leurs maris, il leur arrive de passer deux ou trois jours dans la capitale. Les hôtels sont si chers mont-elles donné comme excuse. Tu es daccord ?

— Tu sais que aussi bien ta mère, ta grand-mère et ta belle-sur ont cherché Euh Non, ont trouvé avec moi un dédommagement à lindifférence de leurs époux.

— Cest ce quelle mont toutes dit.

— Ah bon, si tu ny vois pas dinconvénients Et Camille ? Elle na rien demandé ?

— Oh celle-là ! Ce culot ! Elle a prétexté des études quelle ne pouvait faire quà Paris pour me supplier de lhéberger à la maison, tu te rends compte !

— Quest-ce que tu lui as dit ?

— Ben Euh Que voulais-tu que je réponde ? Quon laccueillerai avec plaisir, pardi.

— Tas pas peur quelle essaie de me séduire ?

— Cest déjà fait, non ? me dit-elle avec un sourire. Puis moi aussi je laime bien ma sur.

Régulièrement nous recevons la visite de Marie, Sylvie ou Aurélie à qui nous nous efforçons, Laura et moi, de donner un peu du bonheur que leurs maris leur mégottent. Sachant quelle peut me revoir, Marie ne refuse plus létreinte. A chaque rencontre elles nous répètent que leurs époux ne les font pas jouir autant que nous et félicitent ma femme davoir un tel mari ! Camille fait parti de la maisonnée et vient souvent le soir nous rejoindre dans notre lit. Nous lui faisons une petite place entre nous

Je laime bien la famille de ma femme Euh Pas les éléments mâles.

Fin.

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