VISITE DE MA COUSINE CHEZ LE DOCTEUR
Je suis de passage chez mon oncle et ma tante qui demeure dans le centre de la France ou ils possèdent une ferme, ils ont deux filles Julie et Fanny.
Nous sommes vendredi, et ma tante me demande si çà ne me dérangerait damener Fannie chez le docteur ou elle a pris un rendez-vous pour quil lui prescrive la pilule.
Le médecin que je connais réside à environ vingt kilomètres.
Il faut dire que dans les campagnes à lépoque ou se passe cette histoire, il y a de nombreux petits villages qui sont traités par un seul médecin, car assez peu peuplés.
Ma tante a bien raison dêtre prévoyante car Fanny est une très belle jeune fille brune, dernièrement je lai surpris avec le fils du voisin entrain de sembrasser dans la grange.
Sur la route qui mène chez le praticien la minette me fait savoir quelle nest pas satisfaite que ce soit moi qui la conduise pour cette visite, elle me dit sur un ton assez ferme quelle ne veut pas que je rentre dans le cabinet, donc comme elle le souhaite je lattendrais dans la salle dattente.
Il y a une personne avant nous, la gamine est pensive et ne parle pas, peut être un peu stressé de se montrer nue à cet homme qui doit avoir une quarantaine dannée mais qui na pas très bonne réputation : il passe pour un type assez vicieux avec les femmes et plus particulièrement avec les jeunes filles avec qui il se permet certaines choses un peu limite.
Cest notre tour, il appelle Mademoiselle Fanny, moi restant assis comme convenu, cest alors que le médecin en me souriant me serre la main et me fait signe de rentrer.
La mignonne qui navait pas prévu ce scénario devient écarlate en baissant la tête et en fuyant mon regard.
Une fois dans le cabinet, il lui pose plusieurs questions un peu indiscrètes en ma présence auxquelles la petite répond timidement et en rougissant.
Il la dirige vers le fond de la pièce séparée par un rideau, il demande à ma cousine de se mettre en slip pour quil lausculte, je peux suivre tout ce quil se passe, car le rideau est resté volontairement ou non en partie ouvert.
La gamine se déshabille lentement sous mes yeux, à chaque vêtements enlevé, je découvre avec plaisir le corps de cette jeune fille, je la trouve très jolie, pour preuve mon sexe dans mon boxer a pris des proportions qui commencent à me faire mal.
Assise sur la table, elle est auscultée, ses seins sont palpés en tous sens, les têtons sont triturés un peu durement car la petite grimace mais ne dit rien.
Le docteur lui demande denlever sa petite culotte et de grimper sur le siège gynécologique en lui demandant de mettre ses pieds dans les étriers.
La petite devient écarlate, ses cuisses sont grandes ouvertes, son abricot est bien ouvert, elle saperçoit alors que le rideau est resté partiellement ouvert et que je peux la voir, ce qui attise encore plus son trouble et sûrement sa colère.
A un moment, nos regards se croisent, lui confirmant que mes yeux suivent ce quil se passe avec un certain intérêt
Le praticien lui pose à voix haute certaines questions très indiscrètes, si elle a un petit copain, si elle a déjà fait lamour, la mignonne baisse la tête sans répondre.
Il inspecte alors lintérieur de son sexe avec une lampe puis il insère un doigt ganté dans sa vulve, la petite fait une grimace, bon dit-il je vois que tu nes plus pucelle.
La regardant il lui dit à voix haute pour que jentende : mademoiselle a déjà goûté au sexe, combien de fois tu tai fait prendre lui demande-t-il sur un ton autoritaire ?
La petite est écarlate et nose pas regarder son interlocuteur, il repose sa question, elle répond timidement cinq, et en plus sans protection dit le docteur.
Ta mère est au courant que tu te fais sauter sans penser à te protéger, la cousine fait non de la tête.
Poussant sa curiosité à lextrême, le médecin certainement pour lennuyer, lui demande par qui elle sest fait baiser.
La fille est terriblement gênée, elle est prise de tremblement à cause de cette question embarrassante et indiscrète même venant de son médecin, sans réponse, le praticien insiste en menaçant dappeler sa mère.
Fanny tremblante et en sueur, lui avoue que cest son voisin.
Ah dit lhomme, cest ce garnement de Pierre qui ta enfilé, puis il enchaîne par dautres questions tout aussi ennuyantes : est ce quil ta fait jouir et où est ce que vous avez fait çà.
La mignonne toute tremblante, lui répond sans le regarder.
Le docteur insère à nouveau ses doigts dans le vagin de Fanny, il les plonge assez profondément et les fait coulisser tandis quavec son pouce, il frotte le petit bouton, sous ces caresses, la fille en sueur pousse quelques petits cris tout en se tordant sur le siège tant le plaisir est présent.
Toi dit-il tu aimes te faire toucher le sexe et sûrement autre chose…
Il enfonce sans ménagement un spéculum de bonne dimension dans le vagin de sa patiente, la minette grimace en serrant les dents pour ne pas crier puis il lui fait un prélèvement avec un coton tige.
Mais le docteur est bien décidé de lhumilier encore plus, il lui demande de se positionner sur la table à quatre pattes, les fesses bien cambrées les cuisses écartées.
Il lui écarte ses fesses avec ses mains et insère un doigt dans son petit trou, la belle émet un petit cri pour faire savoir son mécontentement au mâle qui a décidé de lui sonder son petit trou.
Après plusieurs va-et-vient dans son fondement, il en ressort son index maculé et décide de lui faire un lavement avec une poire.
La fille ne semble pas du tout appréciée ce quil lui fait, surtout en sachant que jen suis le spectateur privilégié.
Après avoir évacué le liquide injecté, il lui demande de se rhabiller, en lui faisant part que tout va bien et en lui prescrivant la pilule.
Tu pourras lui dit le docteur te faire sauter comme bon te semble, tu ne risqueras pas de tomber enceinte
Nous réglons la visite et quittons les lieux, jai peine à marcher et à cacher mon degré dexcitation.
Ma cousine pressée de quitter les lieux ne dit rien et baisse la tête sûrement très en colère que jai assisté à cet entretient assez indiscret.
Une fois dans la voiture la petite se lâche, quel salop ce docteur me dit-elle, il a fait exprès de laisser le rideau ouvert, cest un pervers, il est vrais que je trouve quil a un peu exagéré
De plus me dit-elle en colère à mon adresse, çà na pas eu lair de te déplaire quand on voit la bosse et la tache sur ton pantalon.
En cours de route elle se calme et me demande si je vais faire part de ce que jai entendu à sa mère ?
Je la regarde avec un petit sourire en la rassurant et en posant une main sur sa cuisse dénudée, je lui dis que non et que cétait son problème si elle avait envie de se faire sauter.
Elle me sourit en me remerciant et en me faisant une bise sur la joue tout en me traitant de voyeur.