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Le Détective… – Chapitre 1




Je mappelle Eric. Jai 55 ans, je suis divorcé. Pendant plus de 25 ans, jai été flic. Aujourdhui, jai ouvert une agence de détective privé Enfin, agent privé de recherche, cest la dénomination officielle. Jenquête sur lespionnage industriel, les personnes disparues et bien sur les femmes, ou maris, infidèles. Justement, la femme que je suis en train de suivre aujourdhui a un amant. Du moins, cest son mari qui le pense et il ma demandé damasser des preuves. Elle sappelle Caroline, 41 ans. Très belle. Blonde, grande, fine et élancée. Très bourgeoise. Je suis en train de la suivre au volant de ma voiture depuis son départ de chez elle. Elle habite un superbe hôtel particulier en plein cur du XVIème. Son mari est avocat international, pas souvent là, mais des revenues confortables, très confortables. Elle stoppa et fit un créneau garant sa BMW Cabriolet. Je fis de même, trouvant une place par miracle! Je memparais de mon appareil photo numérique équipé dun puissant téléobjectif. Jallais devoir prendre des preuves de ladultère. Enfin si adultère, il y avait. Caroline ouvrit la portière et descendit de son cabriolet exhibant par la même occasion ses jambes gainées de noirs. Sa jupe se retroussa dévoilant des cuisses fuselées. Elle referma la portière et se dirigea vers un café. Ses talons aiguilles claquant sur le trottoir. Elle sassit à la terrasse du café et croisa les jambes. Je traversais la rue et entrais dans limmeuble en face du café. Javais une vue superbe sur Caroline et malgré la distance, grâce à mon télé, je ne pouvais pas rater les photos. Il ne me restait plus quà attendre

Je nattendis pas longtemps. Un type grand, la quarantaine sportive, élégant, vint sasseoir à coté delle. Ils sembrassèrent fougueusement. Caroline lui prenant la nuque. Clic, première photo, première preuve, ça commençait très bien. Le garçon sapprocha et ils commandèrent des cafés. Le type posa une main possessive sur la cuisse de Caroline et remonta la main. Caroline pouffa et je la vis distinctement poser sa main sur la sienne pour larrêter. Mais le bellâtre na pas lair daccord du tout. Il continue, remontant la jupe le plus haut possible. Japerçois lattache dun porte-jarretelles. Le garçon revint à ce moment là et je fus persuadé, à voir sa tête, que lui aussi, il avait vu. Caroline repoussa précipitamment la main de son amant. Elle est toute rouge. Lhomme lembrasse de nouveau, ses mains sont vraiment baladeuses. Je nen perds pas une miette et je commence à avoir la trique. Caroline décroisa ses jambes, visiblement à la demande de son amant, et elle entrouvrit légèrement les cuisses. Je nen pouvais plus! Quelle salope! Soudain, lhomme se leva et prenant Caroline par la main, il lentraîna dans le café!

Je restais un instant décontenancé, merde Je fais quoi moi maintenant? Je sortis de limmeuble et me précipitais vers le café. Jallais voir le garçon.

— Dites moi, le couple qui était en terrasse

Il minterrompit avec un clin dil

— La bourgeoise qui montre à tous le monde quelle a un porte-jarretelles?

Je lui adressais un sourire complice

— Elle même

— Ils sont descendus en bas, aux toilettes

Je descendis le plus silencieusement possible les escaliers. Jarrivais aux dernières marches quand jentendis Caroline chuchoter:

— Non attends! Tu es fou, on pourrait venir

— Je men fous, jai trop envie, ma chérie

Je jetais un rapide coup dil. Caroline se débattait dans les bras de son amant, qui tentait de lui relever sa jupe Il appuya sur ses épaules et elle se retrouva accroupi devant lui, exhibant son cul.

Elle sactivait de ses doigts manucurés sur la braguette du pantalon de son amant et elle en sortit son sexe déjà gonflé.

— Suce moi, caroline

— Oh, Alain, quest ce que tu me fais faire.

Elle ne semblait pas spécialement choquée ceci dit Jétais caché par un pan de mur et je commençais à mitrailler. Caroline engouffra la bite dAlain dans sa bouche. Ses lèvres rouges sarrondissant autour du sexe. Les joues déformées par lépaisseur, elle commença la fellation. Sa tête montant et descendant sur la bite dressée. Alain appuyait sur la tête de Caroline qui avalait entièrement la queue de son amant. Il donnait des coups de reins pour mieux senfoncer dans sa bouche.

— Vas y ma chérie, suce moi

Caroline gloussa et le pompa avec encore plus dénergie. Je prenais des tonnes de photos et je bandais comme un cerf. Caroline sortit le sexe de sa bouche et lui titilla le gland avec sa langue. Elle lécha la hampe et replongea dessus, salivant sur la bite. De son autre main, elle lui malaxait les couilles. Soudain, Alain la releva et la poussa vers le mur. Elle poussa un petit cri quand farfouillant sous sa jupe, ses doigts senfoncèrent dans sa chatte. Il faisait coulisser son index et son majeur et Caroline secouait la tête de droite à gauche en gémissant. Puis, saccroupissant devant elle, il entreprit de lui lécher la fente la faisant gémir de bonheur. Elle posa sa main sur la tête de son amant. Le salaud lui bouffait la chatte. Ma petite bourgeoise gémissait sans discontinuer. Alain se releva et de nouveau poussa Caroline vers le lavabo. Il la courba en avant, releva la jupe autour de sa taille et lembrocha dun coup arrachant un cri rauque à Caroline. Les mains posées sur ses hanches, il se mit à la pilonner violemment. Je photographiais Caroline en train de se faire défoncer par son amant dans ces toilettes sordides. Le mari allait apprécier Alain pilonnait Caroline qui poussait des feulements, ondulant de la croupe. Le ventre de son amant venait claquer contre ses fesses qui tressautaient à chaque coup de reins. Il accéléra soudain la cadence la faisant gémir encore plus fort et il sortit précipitamment, retournant Caroline qui saccroupit dinstinct et avala le sexe de son amant. Elle le pompa quelques minutes et il éjacula avec un grognement lâchant sa semence dans sa bouche.

Ayant photographié toute la scène, je remontais précipitamment et tout aussi discrètement les escaliers. Jétais content de moi. Javais la preuve que Caroline avait un amant. Son mari allait être ravi Enfin, si on peut direJattendais la sortie du couple adultère. Caroline ne tarda pas, elle cétait refait une beauté, redevenant une sage bourgeoise bcbg, femme aimante et mère de famille exemplaire. Elle regagna son Cabriolet et repris la route de son hôtel particulier. Je la suivais, encore sous le choc de ce que je venais de voire. Bandant comme un fou, je ne rêvais que dune seule chose: baiser à mon tour cette superbe bourgeoise.

Caroline rentra chez elle directement; Jattendais un peu dans mon véhicule. Hésitant sur la conduite à tenir. Bien sur, je devrais rentrer chez moi, écrire mon rapport pour le mari cocu et lui remettre mais Il y avait peut être une autre solution qui soffrait à moi. Je pris ma décision et je montais voir Caroline.

Elle ouvrit et sembla surprise en me voyant.

— Monsieur?

— Bonjour madame, dis je dun ton poli, je suis détective privé, puis je entrer?

Elle resta un instant immobile, figée

— Détective? Mais

— Comme à la télé oui, je peux?

Et je rentrais, la poussant presque. Elle protesta énergiquement.

— Mais pour qui vous prenez vous, enfin!

— Cest votre mari qui ma engagé.

Je la vis distinctement blêmir sous son maquillage. Elle balbutia:

— Comment, mon mari? Mais Je ne vois pas Pourquoi

— Vraiment? Vous ne voyez pas chère madame dis je avec un sourire en coin.

Je lui montrais les photos sur lécran de mon appareil. Je crus quelle allait sévanouir.

— Votre époux va être très déçu de votre attitude, il est très amoureux. Il demandera le divorce, tous les torts seront pour vous, vous naurez pas de pension alimentaire

— Que voulez vous? demanda telle dune voix blancheDe largent?

— Non, cest vous que je veux

Elle recula terrorisée.

— Comment ça?

— Je veux vous baiser!

Elle me regarda, essayant sans doute de voir si jétais sérieux ou non. Mon expression dut la convaincre que je ne plaisantais pas.

— Obéit! Si tu ne veux pas que ton mari reçoive mon rapport et quil continue de croire que tes une bonne épouse.

Blanche comme un linge, Caroline remonta sa jupe dévoilant le porte-jarretelles. Elle ne portais pas de string sous sa jupe.

— Pas de sous vêtements? Déjà prête pour se faire enfiler, tes une vraie salope

Elle rougit violemment mais ne dis rien. Je lui demandait de marcher dans limmense salon. Ses talons claquaient sur le parquet. Puis elle dut ouvrir son chemisier de soie dévoilant ses seins emprisonner dans un soutient gorge en satin. Je prenais des photos delle. Cambrée sur la table, cul à lair. A genoux, langue pendante. Cambrée sur ses talons, ouvrant son cul à deux mains. Puis, je la poussais vers un guéridon et la cambrait en avant. Je sortis ma bite et lenfilais sans ménagements. Elle poussa un gémissement. Je la défonçais comme un fou, haletant, lui donnant de furieux coups de reins. Caroline gémissait et le guéridon grinçait. Trop exciter, je ne tardais pas à jouir, lâchant mon sperme sur ses cuisses et ses bas de luxe.

Je me rajustais et Caroline se releva. Elle voulut baisser sa jupe mais je len empêchais. Je lobligeais à me raccompagner sur le palier, jupe troussé, seins à lair, mon foutre souillant ses cuisses.

— A bientôt, Caro.

Paniquée, elle gémit:

— Mais Vous ne me donner pas les photos?

— Pas tout de suite On va se revoir, une salope comme toi, je ne vais pas te laisser tranquille. On va bien samuser, ma chérie. A partir de maintenant, tes disponible pour moi, quand je veux, ou je veux et surtout avec qui je veux.

Je partis dévalant les escaliers abandonnant cette femme de bonne famille, respectable et respectée que je comptais bien transformer en pute.

Une suite? A vous de me le dire, et nhésitez pas à me donner des idées de scénario en particulier les femmes

A bientôt

Geronimo

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