LUTINAGE AVEC UN VIKING est histoire inventée tout comme ses personnages.
Nous sommes un couple libéré dune quarantaine dannées.
Moi Pascal un grand brun mince aux yeux bleus mon épouse Mathilde une blonde mince et généreuse de formes.
Pour faire simple quand ma chérie sort dehors avec un jeans slim et un petit top mettant en valeur son décolleté ravageur tout les mâles que nous croisons se retournent sur elle.
Bref voilà pour notre présentation rapide !
Notre histoire commence par une invitation que nous recevons de notre ami Gustave.
Gustave est un ami de longue date vivant en hollande. Je ne vous dis ne nombre de fois ou nous avons été le rejoindre dans son pays lui et sa femme et passer des soirées dans les coffee-shops.
Mais hélas aujourdhui son épouse nest plus et il vit seul dans sa grande maison.
Nous décidons donc daccepter linvitation comme cela nous le sortirons de sa torpeur occasionner par sa solitude. Nous prévenons Gustave par téléphone que nous passerons donc ce week-end.
La veille au soir de notre départ mon épouse et moi-même discutons dans notre lit de tout et de rien.
Quand vient germée une idée plutôt excitante dans la tête de Mathilde.
— Mon chéri jai quelque chose à te demander.
— Oui vas y ma chérie !
— Gustave vit seul ?
— Oui
— Saurais-tu sil a une maîtresse ?
— Non il est resté seul.
— Donc le pauvre il ne baise plus ?
— Oui mon amour.
Mais le décès de sa femme lui a fais un choc.
Comme je le connais il faudrait juste laider un peu car cétait un vicieux.
Et cela dois surement le peser !
Ma femme répond tout en commençant à me caresser les testicules :
— Lui peser sur les couilles peut être ! !
— Oui . !
Continue ma chérie tu sais que jaime sa !
— Bien sur chéri !
Et si lon soccupait de Gustave pendant notre séjour ?
A cet instant mon épouse sachant comme me faire partir en vrille, me caressait les burnes dune main et me branlait de lautre tout en me faisant de son regard de salope.
Je décide donc de lui caresser son petit cul rebondi que jadore.
Histoire de lui rendre la monnaie de sa pièce.
Je lui réponds alors :
— Toi espèce de cochonne tas envie quil fasse de toi sa chienne !
— Oui .
Oui c est si bon continue mon amour.
Humm ! ! !
Je la sens bien chaude je lui mets maintenant un doigt dans le cul ce qui la fis gémir et accélérer la branlette quelle me prodiguait.
Je continue alors :
— Ce nest pas une mauvaise idée dailleurs.
Cela sera notre façon de le remercier pour son hospitalité.
Et aussi de nous amuser aussi durant le week-end !
— Oh oui chéri !
Continue oui !
Nous pourrons alors baiser tout les trois ensembles !
— Bien sur mais seulement tu devras me demander mon daccord !
Tu seras notre esclave sexuelle à moi et Gustave ! !
A cet instant précis je lui rajoute un doigt dans son puit damour en plus de son trou de balle.
La vulgarité et mes doigts font que mon épouse part en sucette, et cest le cas de le dire !
Elle commence une fellation digne dune impératrice de la pipe.
Elle sait très bien comment caresser le gland avec sa langue agile.
Tout comme jouer avec ma hampe et tout cela en exerçant une succion sur ma queue.
Je dois bien lavouer quil est difficile de ne pas jouir au fond de sa gorge !
Et moi jen rajoute toujours plus car je sais très bien que Mathilde adore quon linsulte de tout les noms sa lexcite encore plus.
Cela je peux le ressentir rapidement vue la quantité de cyprine qui coule dans ma main en même temps que je lui doigte le cul et la chatte.
Car en faite Mathilde est ce que lon appel une femme fontaine.
Et franchement jadore sa !
— Aller pétasse !
Montre-moi ce que tu aimerais que Gustave te fasse !
Mathilde lâche ma queue et me répond :
— Oui salaud !
Hein taimes sa te faire bouffer la queue par ta putain gratuite de femme ! !
Tu vas jouir après dans mon cul tu vas voir !
Elle embrasse alors mon gland tout violacé par lenvie.
Puis lenfourne au fond de sa gorge en moins de temps quil nen faut pour le dire.
— Une gorge profonde !
Grosse garce va !
Tu la veux ta dose de foutre ! !
Bouche à pipe va !
Elle relâche son étreinte sur ma bite ce qui lui permet de respirer.
Puis elle me répond :
— Oui je la veux ma dose !
— Je la veux au fond de mon orifice de traîner ! !
— Daccord chiennasse je vais te foutre la dose.
Et vue comment tu inondes ma main je vais facilement tenculer !
— Oh oui tant mieux !
Tu sais que jaime sa !
Je prends ensuite mon épouse et la met à quatre pattes sur notre lit.
Enfin vu la quantité de mouille je devrais dire dans notre mare.
Je m’enduis la bite de sa cyprine avec ma main et pousse sur sa rosette mon gland qui fait son bonhomme de chemin dans son cul.
Je lentends couiner comme une dingue.
Et me dire :
— Aller vas-y !
Encule-moi dun coup sans ménagement !
Je suis ta putain ! !
Alors traite-moi comme une vide couille ! ! !
A ces mots je perds pied et pousse un coup sec.
— Oui comme sa salaud !
Je suis tellement bien dans son cul chaud et serré !
Je la bourre comme un dingue à tel point que ces seins ballottent dans tout les sens malgré quils soient fermes.
Tout sa pour dire que les coups de queues sont violent !
Je lentends hurler alors :
— ALLER OUI VAS-Y !
Heureusement que nous vivons dans une maison en sorti dun village sinon les voisins seraient ameutés avec tous ces cris.
— Oui cest bon !
Je laime ton cul de pouffiasse !
Il me trait bien la queue ! !
Ce moment de jouissance transforme Mathilde en vraie tigresse de la baise.
La jouissance la fait se dandiner encore plus.
Quand à moi j ai limpression de me faire aspirer la bite au plus profond de son cul.
Je vais bientôt jouir je sens arriver cette violente torpeur qui me prend du bout de la queue jusqu’aux couilles.
Cette sensation est si bonne !
Si jouissive !
Jaccélère encore mes coups de boutoir.
Ce qui fait de jouir une nouvelle fois ma femme.
— Oui je jouis salaud !
Cest si bon dans mon cul !
Aller à toi !
Donne-moi ton jus ! !
Lubrifie-moi le fion salaud ! !
Jaccélère encore plus, le point de non retour est dépassé je ne veux plus quune seule chose me vider les couilles.
— Oui sa vient !
Ohhhh que c est bon !
Ton cul
Il me pompe bien !
Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii ! ! !
Je jouiisssssssssssssssssssssss ! ! !
— Cest si bon !
Si chaud ! !
Oh oui j aime ton foutre épais et chaud au fond de mon cul !
Et là je ny crois pas !
Une fois mon sexe hors delle, poussant sur ses sphincters elle expulse ma crème quelle récupère avec sa main.
Ni une ni deux une fois le nectar récolté elle le porte à sa gueule de pouffiasse pour le goûter.
Elle lèche goulument sa main pleine de mon sperme !
— Y a pas tes vraiment quune salope !
Tu aimes sa le jus de couille dhomme !
— Oui jen raffole !
Et jai hâte de goûter à celui de Gustave !
— Tinquiètes cest pour bientôt ma petite salope damour ! !
Cest donc enlacé dans les bras lun de lautre que nous nous sommes endormis amoureusement.
Tout en rêvant à nos futures aventures torrides avec Gustave.
À suivre
En attente de vos commentaires sur le forum sur ce bonne lecture.