LES AVENTURES DE PATRICK
Un coach qui mène son équipe à
la baguette avec sa grosse trique.
Je m’appelle Sylvie, belle fille de 24 ans, je suis la masseuse d’une équipe de natation m’occupant des corps sculpturaux de 12 filles superbement roulées.
Lors d’une compétition, notre équipe féminine joue à domicile et nous menons largement. La compétition est pratiquement terminée lorsqu’en chutant sur le bord du bassin le coach ressent une douleur à la cheville. Un reste d’une vieille blessure.
Direction vestiaire, notre soigneuse Jeanne est un peu inquiète, je regarde sa cheville. Elle nous quitte afin de regagner le bassin.
— Je te le confie Sylvie, remets-le vite sur pied.
— Pas de problème Jeanne.
Je commence à lui tâter la cheville sur la table de massage et à la remuer dans tous les sens.
— Dis-moi, tu crois que c’est grave?
— Pas trop je crois, mais fais gaffe, un jour ça te jouera un mauvais tour.
— Ce qui me fait mal en ce moment c’est que tu ne répondes pas à mes désirs.
Il faut dire que je l’allume depuis quelque temps.
— Hein de quoi ?
Sans me laisser le temps de dire quoi que ce soit d’autre, il se jette sur moi, me colle contre le mur, et m’embrasse afin d’éviter que je ne crie et glisse directement sa main sous ma jupe. Constatant que je n’ai pas de culotte, surpris, il me relâche et je le repousse.
— C’n’est pas la peine, je l’informe. Tu vois, j’en ai pas et calme toi! Tu veux baiser, tu vas me baiser mais avant je veux que tu me lèches le minou.
Je soulève ma jupe pour montrer mon sexe entièrement épilé, il se glisse entre mes jambes et commence à me lécher ma vallée, j’aime ça, je mouille bien et commence à gémir.
– Tu n’as nullement besoin de pommade, tu as juste envie de me fourrer la chatte.
Encore ! Et mieux que ça, n’hésite pas à y mettre ta langue, cochon ! Je l’exhorte.
Je sens déjà le jus de mon sexe commencer à couler le long de mes jambes tellement je suis excitée. Il avance de nouveau sa tête et pose plusieurs baisers à la suite.
Enhardi par ma réaction, il pointe sa langue sur mes lèvres lisses. Ce contact m’électrise.
Il continue à jouer de sa langue sur mon sexe, glisse entre les lèvres et remonte vers mon clitoris, dressé comme un petit sexe, qu’il décapuchonne.
Cette langue chaude et humide sur mon sexe trop excité me provoque une décharge de plaisir inattendue.
— C’est trop bon, continue…
Patrick, à mes pieds, ne fait plus du tout le timide, prend de l’assurance et empoigne mes hanches pour leur imprimer un mouvement d’avant en arrière.
Je me frotte littéralement sur sa langue qui fouille les moindres recoins de mon sexe.
Patrick me fait allonger pour avoir plus de latitude et continue ses jeux de langue, pendant qu’il use de ses doigts pour pénétrer mon vagin dégoulinant de cyprine.
Je soulève mon bassin en cadence pour venir à la rencontre de ses doigts investigateurs. A ce rythme-là, je ne tarde pas à sentir la jouissance monter jusqu’à exploser littéralement, alors que je plaque la tête de Patrick sur mon abricot pour qu’il continue, pendant que mon corps est secoué des spasmes du plaisir.
Epuisée, je me laisse tomber sur le sol.
— On ne m’avait jamais fait jouir aussi fort avec la langue. A moi de te remercier ! Dis-je, en me jetant littéralement à genoux devant lui.
Le tissu de son pantalon est plein à craquer. Je défais sa ceinture et les boutons et descends son jean.
L’objet de ma gourmandise n’est plus séparé de ma bouche que par une infime barrière de tissu. Je passe ma main le long de ce colosse chaud et puissant et le branle à travers le tissu. Patrick a fermé les yeux et gémit de plaisir.
Je passe une main de chaque côté du boxer et le fais glisser vers le bas pour libérer le monstre. Hypnotisé par la vision.
Lorsque le diable sort de sa tanière, je comprends que Jeanne n’a pas exagéré, son engin est vraiment énorme. Il me faudrait une troisième main pour le couvrir entièrement sur la longueur qui avoisine les 23 cm!
Je n’arrive pas à l’entourer entièrement de mes doigts. Pire que la longueur, sa grosseur est monstrueuse.
Mes lèvres palpitent déjà à l’idée de sentir cette colonne de chair à l’intérieur de ma chatte. Je prends l’objet en main et commence à lécher la hampe sur toute sa longueur. D’une main, je soupèse ses bourses, énormes et lisses.
Ma main coure le long de l’engin, et je prends le gland en bouche.
Patrick gémit à la sensation de ma langue chaude sur son gland. J’essaie de gober toute sa tige, mais elle est tellement épaisse que je n’arrive même pas à la moitié, alors que je la dévore à pleine gorge, à la limite du trop-plein.
Je suce et lèche ce gourdin monstrueux comme une vorace, alternant les passages dans ma petite bouche avec les caresses de ma langue, branlant l’animal énergiquement sous les gémissements de ma proie pendant une dizaine de minutes.
Je sens qu’à ce rythme, Patrick ne va pas tarder à venir et c’est justement ce que je cherche. Je veux sentir sa semence chaude m’exploser dessus.
A ce moment là, j’entends la sonnerie annonçant les 5 dernières minutes, la compétition est pratiquement terminée.
— Presse-toi. Me souffle-t-il.
Je branle maintenant ma victime à deux mains, léchant le bout avec gourmandise, quand je sens l’engin grossir encore, il ne va pas tarder à m’exploser au visage.
Quand tout à coup, l’équipe au complet rentre dans les vestiaires. Nous sommes piégés dans la salle de massage qui se trouve entre les vestiaires et les douches. Nos ébats sont si torrides que nous n’avons pas vu le temps passé.
— Julie, tu ne vas pas à la douche? demande une des nageuses.
Et je vois 5 filles se pointer complètement nues ou uniquement couvertes d’une serviette autour de la poitrine.
C’est à ce moment qu’il éjacule ne pouvant plus tenir sous ma masturbation.
Sa 1ère giclée est monstrueuse et s’envole au dessus de moi. Je dirige son tuyau vers mes lèvres ouvertes.
Je prends quelques jets longs et épais dans la bouche mais, surprise par la puissance, je dois laisser les autres s’envoler vers mon visage et mes seins. Mais quelle n’est pas mon étonnement en voyant le volume d’éjaculation de Patrick.
En effet ce ne sont pas 3 ou 4 petites giclées de sperme mais bien 6 ou 7 giclées très puissantes et très abondantes, de longs jets d’un foutre blanc.
Je n’ai jamais vu un homme éjaculer de la sorte. De plus les quantités dépassent de loin tout ce que j’ai déjà connu dans ma vie sexuelle pourtant déjà bien remplie.
Les filles se sont figées.
— Oh mon Dieu ! S’exclame Hélène commentant pour ses copines. Vous avez vu ça???
Son jet est si puissant qu’il est passé au-dessus de sa tête pour aller s’écraser sur le mur. Il lui remplit la bouche, il la noie totalement sous un flot de sperme, elle en a plein le nez, plein les yeux, plein les cheveux, maintenant il lui arrose le cou, les seins, le ventre !
Je dois m’essuyer le visage noyé de foutre de la main pour en retirer le sperme qui me coule sur les yeux.
Patrick réalise enfin la présence des filles et essaie de couvrir au maximum son phallus, incapable d’y arriver.
Ses deux mains ne peuvent tout cacher. Sandrine prend la parole :
Attraper le par les bras et immobilisez le!
Resserrées autour de lui en cercle, elles lui mettent la pression pour qu’il ôte ses mains mais à aucun moment, elles ne tentent de le faire elles-mêmes.
Elles veulent clairement qu’il capitule. Seule, Valérie et Céline ne participent pas. Je le questionne.
— Je ne comprends pas pourquoi tu ne veux pas leur montrer? D’ailleurs je crois que c’est un peu tard, elles ont tout vu!
— Elle a raison, montre-nous, plaisante Corinne.
— D’accord, d’accord ! Arrêtez, je vais vous montrer.
Elles mâtent avec plaisir le spectacle lorsqu’il enlève ses mains mais sous les émotions Patrick a pas mal perdu de sa superbe.
— T’a vu le coach, murmure Henriette à Céline, je n’aurais jamais cru qu’il en avait une si grosse sinon il y a longtemps que je m’en serais occupée.
Sur cette phrase, elle s’approche de lui et commence à lui sucer la queue. Elle est dégoulinante de sperme.
Évidemment, toute l’équipe est là et il est entouré de 12 superbes filles en maillots de bain ou couvertes d’une serviette, mais la plupart sont complètements nues.
C’est le Paradis pour le coach qui se fait sucer un chibre hors du commun qui a immédiatement regonflé à bloc.
— A mon tour! Annonce Martine au bout de quelques minutes. Tout en parlant, elle retire sa serviette de bain pour relâcher ses énormes seins. Elle écarte les cuisses et se met face à lui. Elle prend son pénis en main et le dirige vers l’entrée de son jardin d’éden.
Mais…Martine.
— Et alors? Je suis sûre que tu peux remettre le couvert. Regarde mes jolis seins pour te donner du courage. Je prends la pilule et les copines aussi, alors.
Ça y est. Elle vient de prendre l’entièreté de sa hampe majestueuse dans son vagin.
En un rien de temps, je vois Martine connaitre l’orgasme en faisant des mouvements le long de son terrible engin tout en se malaxant les seins. Cela dure encore quelques longues minutes jusqu’à ce que Martine soit à bout.
— Mon corps est en feu… Dire que le coach est en train de me baiser. Je sens son énorme chibre qui… continue de… bouger en moi…
— Génial, ça va être à moi. Dit Carole qui a retiré son maillot.
Elle s’approche de lui les seins à l’air salivant à l’idée de s’empaler sur son gourdin.
— Le calibre est vraiment en dehors de toutes les catégories que j’ai pu connaître auparavant et j’appréhende un peu, mais mon sexe est tellement lubrifié par l’excitation !
L’intromission se fait en douceur.
Je n’en reviens pas de pouvoir faire entrer un tel engin en moi. Je me sens incroyablement remplie par cette colonne de chair qui vient buter contre le fond de ma matrice. Son colosse défriche des terres viergesJette-t-elle pleine de lyrisme.
Elle astique ce monstre quelques minutes mais les filles s’impatientent.
A moi! Lance Pierrette retirant avec force Carole de cet axe de jouissance.
— Ah bon? Lui répond déçue Carole.
Elle se positionne au dessus de ce phallus géant et s’empale d’une seule poussée jusqu’aux couilles. Elle laisse passer quelques secondes, pour s’habituer à ces dimensions exceptionnelles.
Elle se met doucement à aller et venir sur cette barre de chair jouant ensuite à se pénétrer uniquement du bout de la hampe, pour quelques allers-retours, avant de s’empaler à nouveau dessus.
Cela fait maintenant plus d’une demi-heure que les filles s’amusent avec ce gode vivant quand soudain je réalise qu’il n’a toujours pas jouit. Drôlement résistant le coach!
— C’est vraiment trop bon mais putain qu’il est gros! S’extasie Pierrette.
Patrick semble beaucoup apprécier et je le sens gonfler en moi, mais il est encore trop tôt, j’en veux plus!
Les filles réalisant qu’il va éjaculer retirent avec vivacité Pierrette du boutefeu, et pour la deuxième fois, de longs jets de sperme sont projetés de son pénis s’élevant en l’air pour retomber sur les plus chanceuses des filles qui sont arrivées à s’approcher de la source de plaisir.
Vous avez vu ça? À quelle hauteur c’est monté, et le nombre de giclées.., j’en ai compté pratiquement une dizaine et regardez Son gros nud n’a pas perdu un centimètre de longueur ni d’épaisseur, toujours aussi raide!!
A suivre.