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Soubrette Sissy Boy – Chapitre 3




3.

Après toutes ces émotions, ma Maîtresse me donna laprès-midi. Je pus me reposer, et elle me passa même via lécran quelques épisodes de ma série préférée. Puis lavant-soirée se termina par lhabituel programme éducatif. Toujours le même principe, sauf que ce film-là avait moins de scène de fellation, et beaucoup plus de sodomies. Je me rappelai le doigt de M. Striker dans mon anus Au début linsertion mavait fait un peu mal, mais la sensation nétait pas désagréable du tout je me demandais même ce qui mavait fait éjaculer : le fait dêtre dominé ou davoir le cul doigté ? Ou les deux ? Et mon esprit fantasma, je me demandais quelle sensation ça faisait une bite chaude qui éjacule dans le cul ?

Lheure du souper me ramena à la réalité, et je descendis vers le réfectoire. Tandis que je mangeais, le surveillant du réfectoire vint me voir.

— Mlle Aline, Mrs. Benson me demande de vous transmettre ce message. Le professeur de gymnastique sest plaint parce que des élèves ont renversé la vasque de talc dans la remise de la salle de sport. Il a ramassé le plus gros, mais il demande que la remise soit balayée. Comme le service dentretien ne repassera que demain soir, elle demande si vous auriez lobligeance de vous en occuper ?

Son ton condescendant ménervait un peu, surtout quen parlant, il tentait de zyeuter dans mon décolleté.

— Pas de souci, je men occupe immédiatement.

Je laissais mon souper là et partis. Je sentis son regard sur mon cul. Jaccentuais un peu le dandinement, rien que pour le faire baver, le vieux vicieux ! Je traversais le couloir, passais devant le bureau fermé de ma Maîtresse, et pris le couloir menant à laile école du bâtiment. Je traversais le couloir principal, et tout au bout arrivais aux vestiaires. Il ny avait personne à cette heure-ci tout était calme et sombre. Jactionnais les interrupteurs, la lumière se fit dans les vestiaires et la salle de gym attenante. Je traversais la salle de gym pour aller jusquà la remise. Mes talons faisaient un bruit agréable à entendre contre le parquet de cette salle. Jentrais dans la remise, où il faisait assez sombre. La vasque devait être au milieu de la pièce près du cheval darçon. Jallumais la lumière et my rendit.

— Bon yen a pas tant que ça où se trouve le balais ?

Soudain, la lumière séteignit ! Je sursautais, dans la semi-pénombre de la pièce.

— Ya Ya quelquun ?

Je sentais une présence, et vis une ombre venir vers moi. Je reculais et me cognais à quelquun !

— Salut, beauté ! Après 17h, ils ne pouvaient envoyer que toi pour nettoyer. Jen étais sûr et nous voilà en tête à tête

Danny me souriait. Il ménervait par sa suffisance, mais en même temps son aura virile me faisait frissonner. Je voulus menfuir, mais ses deux copains étaient là, entre moi et la porte et puis de toute façon, je naurais jamais pu courir avec des talons de 5 cm !

Il se rapprocha de moi, je reculais et butais sur le cheval darçon. Il plongea sans hésiter sur ma bouche, collant ses lèvres aux miennes le contact de ses lèvres contre les miennes mélectrisa lorsque je sentis sa langue contre mes lèvres, je me repris et gardais mes lèvres fermées il caressait mes fesses de ses deux mains

— Tu es encore en string putain, ce que tu mexcites

Ses doigts jouaient avec la ficelle du string puis doucement, je les sentis faire le tour de ma taille sil touchait lavant de mon string il comprendrait que je ne suis pas une fille ! Il comprendrait tout, et ma Maîtresse serait en difficulté ! Catastrophe ! Il fallait agir et vite !

Il membrassa encore je chassais ses mains sa langue vint de nouveau lécher mes lèvres je devais jouer le tout pour le tout, la semi-pénombre maiderait ! Doucement, jouvrais mes lèvres sa langue passa dans ma bouche, je sentis son contentement nos langues se joignirent, se caressèrent, dansant ensemble dans ma bouche

— Et bien voilà ! Tu comprends vite ! Maintenant enlève ta robe, et écarte les cuisses, si je te prends pas maintenant, je vais éclater ! Vous deux, montez la garde à la porte

Catastrophe, catastrophe ! Je devais agir, et vite ! Je le repoussais et me mis à genoux je défis le bouton de son jeans, et descendit le jeans et le caleçon, sa bite était raide, droite vers moi Elle était plus petite que celles de ma Maîtresse, mais bien proportionnée je trouvais même le gland élégant je commençais donc tout de suite à le lécher, puis à sucer son membre dur avec ma bouche qui devenait de plus en plus experte

— Aaaaaaah mmmmm oui, tu es une gourmande, hein, je le savais mmmmm oh tu es experte en plus ouiiiii mmmm non, non, pas si vite ma belle pas si vite je ne veux pas juter dans ta bouche, ce sera pour une autre fois, gourmande, je veux te prendre !

Catastroooophe ! Et je nétais pas de taille à lutter contre lui ! Et toujours impossible de m’encourir! Il ne me restait quune solution, une dernière option, qui pouvait marcher, toujours grâce à cette pénombre je le repoussais doucement, essayant de prendre un air coquin

— Non Danny, non. Je suis encore vierge, et ne veut pas perdre ma virginité comme ça, ici, à la va vite dans cette salle puante. Je

veux la préserver et je ne veux pas tomber enceinte, je ne prends pas la pilule Par contre

Je me retournais, ventre contre le cheval darçon, remarquant ainsi que ses deux copains regardaient la scène avec envie, puis me cabrait, lui offrant ma croupe je remontais ma jupe, et tirait sur la ficelle de mon string, lui dévoilant mon illet

— Tu peux me prendre par là ça ne risque rien côté bébés

Je balançais doucement mes fesses, dans une position lascive il sapprocha hésitant puis, mouilla deux de ses doigts et les enfonça doucement dans mon anus je tressautais, tandis quil me doigtait le cul

— Putain ce que tes étroite ça va être bon !

Il joua un peu avec mon muscle anal, puis retira ses doigts. Je le sentis ensuite se rapprocher de moi, je sentis sa verge frôle mes fesses il la caressait contre le sillon de mes fesses javais peur, en même temps je sentais mon anus palpiter denvie, les images des vidéos me revenant en tête

Il prit sa queue dune main, et la position contre mon anus il poussa doucement dabord, le muscle souvrit, puis résista il poussa un peu plus fort, le muscle souvrit un peu plus, puis repoussa à la troisième poussée je sentis son gland entrer en moi, passer mon anus Je gardais mon cri de douleur entre les dents, une petite larme coulant de mes yeux, le cul en feu Danny se poussait en moi, je sentais sa hampe me pénétrer millimètre par millimètre puis il commença ses vas et viens, lentement dabord, puis mon muscle se relâchant, de plus en plus vite la douleur sestompa doucement, tandis quun indicible sentiment de plaisir grandissait dans mes entrailles Plus ça allait plus le plaisir grandissait je commençais à gémir, mais de plaisir.

— Oh cest bon cest bon je savais que ton cul serait un paradis Mais langle est pas assez bon les gars, descendez le cheval darçon au minimum

Ils sexécutèrent, et je pus poser mon ventre sur le cheval darçon, tandis quil pris mes fesses entre ses mains et me baisa encore plus profondément encore plus vite javais envie dhurler, de douleur et de plaisir, les deux mélangés puis le plaisir remplaça la douleur cétait tellement bon que jéjaculais dans mon string, une nouvelle fois De là où jétais, je voyais ses deux copains qui se branlaient en nous regardant je leur fis signe de sapprocher, chacun dun côté du cheval darçon je pris le sexe du premier dans ma bouche, branlant le second avec ma main

— Putain Danny, quelle salope ! Elle me suce pendant que tu la sodomise

— Han ! Je savais quelle serait bonne !

Je changeais, suçant le second, branlant le premier, plusieurs fois de suite Soudain, celui que je branlais éjacula, la première giclée atterrissant sur ma joue Je le pris vite en bouche, pour le boire La seconde giclée et la suite vint sur ma langue, javalais le tout

— Et en plus elle avale !

— A mon tour ! A mon tour !

Laissant celui qui venait de jouir dans ma bouche, je pris le second, et sa bite franchit à peine mes lèvre quil éjacula au fonds de ma gorge je bus avidement tout son sperme soudain je sentis la queue de Danny battre dans mon cul quelle sensation divine ! Un jet de foutre tiède me remplit le rectum, tandis quil ahanait en se vidant les couilles en moi cétait tellement bon que jen jouis une seconde fois dans mon string

Soudain la lumière salluma !

— Mais quest ce quil se passe ici ???

Mrs Benson était là, furieuse ! Danny et ses copains se rhabillèrent, tout en fuyant elle les bouscula hors de la pièce, et ils filèrent à toute allure, sans demander leur reste, me laissant pantelante, sur le cheval darçon, le sperme de Danny dégoulinant par mon petit trou un peu béant

Je neus même pas la force de répliquer Nous nétions plus que nous deux Elle vint vers moi, et donna une claque sur mes fesses.

— Aline ! Petite salope ! Moi qui voulais me garder le déflorage de ton cul, pour moi !

Je sentis ensuite ses mains caresser mes fesses, mes hanches, puis revenir vers mon string quelle enleva elle-même, le faisant glisser le long de mes jambes je soulevais difficilement un pied puis lautre, jétais un peu sonné Mon string était maculé de mes deux éjaculations elle me le fourra dans la bouche

— Suce-le !

Je suçais mon string, pendant quelle repassa derrière moi je la vis descendre sa jupe, son slip, et vis son sexe raide qui pointait vers moi elle se rapprocha et je sentis son gland venir se positionner contre mon anus

— Ah tu aimes une bite dans ton cul ? Tu vas être servie !

Et elle me pénétra en une fois le sperme de Danny et la dilatation de mon anus rendirent la chose plus facile et moins douloureuse mais ce mélange de douleur/plaisir, et le fait de me sentir à nouveau remplis par un membre dur et tiède là ou le sexe de Danny avait laissé un grand vide en se retirant, toutes ces sensations me firent jouir une nouvelle fois, mon sperme sécoulant le long du cheval darçon Elle mit ses mains sur mes hanches, me tenant fermement, et commença ses vas-et-viens lent dabord, puis de plus en plus rapide, de plus en plus fort elle me possédait totalement, et son sexe, plus grand et plus gros que celui de Danny me remplissait totalement jaimais ça, et si je narrivais plus à jouir, les sensations de plaisir remplissaient tout mon corps, toute ma tête heureusement que javais mon string en bouche, sinon jaurais hurlé de plaisir ! Elle continuait à me limer le cul, puis, ahanant, râlant de plaisir, éjacula en moi, son sperme se mélangeant à celui de Danny

Elle garda sa bite en moi, ses mains remontèrent vers ma poitrine, mon visage, reprenant son souffle

— Tu peux tamuser comme tu veux, et avec qui tu veux mais noublie jamais que tu mappartiens Aline, tu es à moi, je suis ta Maîtresse !

A cause du string dans ma bouche, je ne pouvais lui répondre, un peu de salive coulait à la commissure de mes lèvres. Je hochais de la tête, marquant mon assentiment. Elle se retira, je sentis le sperme déborder et couler le long de mes fesses.

Je devinais plus que je ne vis ma Maîtresse qui se rhabillait, puis de dirigeait vers la sortie de la réserve. Avant de sortir elle se tourna vers moi

— Et noublie pas de ranger tout ce désordre avant de regagner ta chambre !

Et elle sortit. Je restais sans bouger, à demi couché sur le cheval darçon, lanus palpitant bon cétait pas très juste, jétais victime dans cette affaire mais voir ma Maîtresse jalouse à mon propos, cela me remplissait de joie et à propos de remplissage quel moment de plaisir ! Javais le ventre encore tout tournicoté, les jambes qui flageolaient, la tête pleine détoile Il me fallut plusieurs minutes pour me remettre Je me relevais doucement, remis le cheval darçon à sa place. Puis je frottais les tâches de sperme sur le cheval darçon et le sol. Enfin, je balayais le talc sous les paniers à ballon, ne voulant pas me casser plus la tête Enfin, je regagnais ma chambre, me déshabillais et plongeais sur mon lit, nu, où je mendormis profondément

Je méveillais un peu avant lheure. Décidément, je prenais lhabitude de me lever tôt ! Assise sur mon lit, je me remémorais les événements de la veille. Je ne sais ce qui se passait, mais depuis que ma Maîtresse mavait transformé en fille, je vivais enfin. Des gens me regardaient, me désiraient, me touchaient javais connus les joies de lamour honnêtement, je navais quune envie, cest davoir une bonne rasade de sperme chaud en bouche rien que dy penser, mon ventre se contractait, mon petit sexe se cabrait, et ma langue passait sur mes lèvres. Sperme = plaisir, cétait bien vrai Aujourdhui lassureur venait nous voir, et jétais prête à lui sortir le grand jeu ! Surtout que maintenant je connaissais les joies du sexe anal, plus rien ne mempêcherait de servir ma Maîtresse et ses intérêts

Je pris le temps de me faire belle, bain, maquillage, vernis (et même sur les ongles des doigts de pieds). Je choisis un slip en dentelle rouge, avec des petits nuds sur les côtés, et le soutien-gorge assorti, rouge, aussi avec des dentelles, et un petit nud entre les bonnets. Je mis des bas noirs, très foncés, des bas élastiques. Puis remis ma robe, mon tablier, ma coiffe.

Je me rendis chez ma maîtresse, qui mattendait dans la salle à manger. Elle navait pas mis sa robe de chambre cette fois, elle était en nuisette, une belle nuisette style satin, de couleur bleu nuit. Elle relisait les contrats dassurance et prenait des notes. Je lui apportais son petit-déjeuner, déposais le plateau sur la table, puis directement, je passais sous la table. Je voulais lui montrer quelle était ma maîtresse, et en faire mon rituel du matin. Faisant semblant de rien, toujours lisant en grignotant un toast, elle décroisa et ouvrit grand les jambes. Je mapprochais. Pas de bosses visibles, il y en a un qui devait encore dormir ! Je soulevais doucement le bas de la nuisette, découvrant le haut de ses cuisses et son sexe, lové entre ses jambes, au repos. Posant ma tête sur sa cuisse, je commençais à lécher le bout du sexe. Coup de langue après coup de langue, son gland apparut, tandis que son sexe prenait doucement vigueur je mis sa tête en bouche, puis sa hampe, encore un peu molle mais plus pour longtemps ! Le contact de ma bouche chaude et humide raffermit bien vite son mandrin je la fis bander par ma bouche, la suçait en mappliquant particulièrement, jusquà ce quelle explose dans ma bouche, la remplissant de son délicieux sperme. Puis je nettoyais bien son membre qui doucement se rendormait, avant de sortir de sous la table et de continuer à vaquer à mes occupations, comme si de rien nétait

Je passais la matinée à la corvée lessive, puis à dautres tâches ménagère. Laprès-midi, je faisais du rangement et du classement dans le bureau de ma Maîtresse, lorsquelle entra, accompagnée de deux messieurs. Le premier, je le connaissais, cétait M. Striker. Il me fit une petite illade en entrant. Je ne connaissais pas le second. Il était assez grand et fort enveloppé, avec une grosse barbe, on aurait dit le cliché du camionneur mais je devinais quil sagissait de lassureur. Lui regarda assez longuement mes jambes gainées de noir.

Lassureur sinstalla dans le canapé, M Striker pris un siège, de lautre côté de la table basse, en face de lassureur. Ce dernier parlait dune voix assez grave.

— Oui, daccord, mais je ne comprends pas le but de cette entrevue. Lassurance ninterviendra pas, quoique vous me disiez. Jen suis désolé, je me doute que cest important pour lécole, mais les règles

— Et si on prenait un café avant de discuter, cela vous dit ? fit M. Striker.

— Ah, je ne dis pas non, répondit lassureur, jai eu une matinée chargée, un petit café ne serait pas de refus.

— Je men occupe, fis-je, en passant devant eux et en quittant la pièce.

Tandis que je me dirigeais vers la porte, je sentis les regards des deux hommes sur mes jambes et mon derrière. Je me rendis aux cuisines, où le café avait déjà été fait, mis tout ce quil fallait sur un grand plateau, et revint dans le bureau de Mrs. Benson. Je remarquais tout de suite quelle avait quitté la pièce, cette fois je ne savais sous quel prétexte. M. Striker tenait en main le contrat quelle avait annoté au matin, essayant en vain de discuter sur linterprétation dun article qui pouvait jouer en notre faveur. Mais lassureur restait obstiné.

Je déposais le plateau sur la table, et passais devant M. Striker pour servir son café. Je me baissais en remplissant sa tasse, lui permettant dadmirer mon slip rouge. Puis je fis le tour de la table, et pris la même pose devant lassureur. Bougeant mon popotin de gauche à droite, lascivement, je devinais les yeux de lassureur souvrir tout grand, son rythme cardiaque saccélérer, je lentends déglutir

— Vous allez voir, fit M. Striker, son café est stimulant

— Aaaaaah ça, pour voir, je vois !

Je continuais sans aucune pudeur, sentant sa respiration sur le haut de mes cuisses puis je me penchais un peu plus pour prendre le lait, lui donnant une vue encore meilleure sur mon arrière-train. Il déglutit encore, sa respiration s’accélérant. Je faisais mon petit effet !

— Oui, je vois mais on peut toucher ?

— Faites donc !

Je restais penchée devant lui, et il commença à me caresser larrière-train. Ses mains passèrent sur mon slip, puis sous le slip, ses grosses mains directement sur mes fesses puis il quitta mon slip, et ses mains cherchèrent à monter vers ma poitrine Pour laider, je massis sur lui, mon derrière juste sur son entrejambe, et je bougeais lascivement, caressant la bosse qui apparaissait dans son pantalon en toile avec mon cul en feu. Ses mains caressèrent ma poitrine, le soutien push up faisant effet

— Elle remue bien, mais elle na pas beaucoup de poitrine !

— Elle a dautres atouts, fit M. Striker en souriant.

Il sapprocha de nous, la braguette ouverte et son sexe sorti, à moitié bandé. Il se mit face à moi, et je plongeais sur cette verge offerte, léchant la hampe, le gland, jusquà ce quelle prenne vigueur, puis la mis en bouche et commença à le sucer

— Mmmm elle est divine, quelle suceuse ! Allons Aline, montrez à notre invité vos talents !

Son sexe sortit de ma bouche, luisant de ma salive. Je me retournais, me mis à genoux par terre, entre les jambes de lassureur, et commençais à déboutonner son pantalon, descendre sa braguette, sortir son mandrin de son caleçon Il avait une queue assez moyenne de taille, mais dune telle épaisseur ! Je la mis en bouche sans hésiter, allant et venant sur son membre de plus en plus dur dans ma bouche, tellement gros que je sentais la salive couler par la commissure de mes lèvres son gros ventre me gênait un peu, mais jessayais de lui faire passer un moment divin sans trop le gêner

Pendant ce temps, M. Striker sagenouillai derrière moi, et releva ma robe dévoilant mon slip rouge en dentelle. Il caressa mes fesses, les fit rebondir dans ses mains, tapota dessus, puis descendit doucement ma petite culotte, sans que je puisse réagir jétais tellement concentré sur lépaisse bite de lassureur, sur son plaisir, que je ne pensais plus au reste M. Striker admira mes fesses qui se révélaient à lui, la culotte passa la mi-fesse puis le trois quart des fesses Lhomme membrassa les fesses, sa langue passe dune fesse à lautre il finit de baisser la petite culotte, qui finit en glissant le long de mes cuisses mes petite boules, libérées, se laissèrent pendre, bien visible, ainsi que mon petit sexe bandé Cest à lhésitation de M. Striker que je réalisais ce qui venait de se passer

— Oh, ça alors ! Mais tu es quelle surprise ! Mrs. Benson le sait ? Rhoooo petite coquine ! Et bien ça alors !

Je décidais de faire semblant de rien, continuant à sucer lassureur qui ahanait dans le fauteuil, trop occupé à son plaisir pour faire attention à la découverte de M. Striker Ce dernier restait fort étonné, et ne bougeait plus, essayant de trouver un sens à tout ça. Il fallait que je fasse quelque chose avant quil ne se refroidisse. Jarrêtais de sucer lassureur, je le branlais doucement, en plus ainsi il ne viendrait pas trop vite, et en profiter pour relever un peu plus mes fesses, les faire tournoyer devant M. Striker. Comme il hésitait encore, je frottais son membre qui commençait doucement à débander avec mon derrière, le faisant aller et venir contre mon sillon la chaleur de ma peau, la vue lascive de mon derrière qui balançait doucement, de son pénis qui glissait le long de mon sillon lui redonna vigueur.

— Oh après tout, ma femme ne veut pas que jutilise ce trou làMoi je suis pour les nouvelles expériences !

Il mit ses mains sur mes hanches, et fit lui-même glisser son sexe le long de mon sillon, puis il écarta mes fesses, et frotta son gland contre mon anus. Son pré-sperme qui mouillait mon petit trou remplissait mon ventre de fourmis comme javais envie dêtre fourré ! M. Striker combla mon vu et mon trou. Son gland pénétra mon anus, puis sa hampe entra en moi, centimètre par centimètre Je soupirais daise, puis put retourner à ma fellation. M. Striker me fourrait le cul avec vigueur, tandis que lépaisse bite de lassureur me remplissait à nouveau la bouche. Je le suçais avec autant de vigueur que la verge qui allait et venait dans mon cul

— Oh, ce quelle est bonne ! Je vais jouir

— Moi aussi moi aussi

M. Striker tira sa verge de mon cul, et se leva. Ancien connaisseur de film porno, je savais ce quil voulait. J’arrêtais donc de sucer lassureur, dont la bite se cambrait dans ma bouche, et me reculait, toujours sur les genoux. Je regardais les deux hommes, la bouche grande ouverte. M. Striker se releva et se mit sur ma droite, se masturbant doucement, lassureur vint sur ma gauche Lassureur vint en premier, des jets de sperme senvolant et venant atterrir dans ma bouche, puis sur mon visage. M. Striker approcha sa bite de ma bouche, et éjacula directement sur ma langue, puis sur ma joue Dautres jets de sperme se succédèrent, jen avais dans les cheveux, sur les joues, dans et sur la bouche Javalais et léchais ce que je pouvais du sperme sur mon visage, puis ils me présentèrent leur sexe pour que je les nettoie bien

Puis ils se rhabillèrent tous les deux, prirent leur café, faisant comme si je nexistais plus. Lassureur prit le contrat dassurance dans ses mains.

— Bon on va réexaminer ce paragraphe alors. Je pense quil y a peut-être moyen de faire quelque chose pour vous. Mais il faudra que je revienne faire des recherches profondes approfondies, voulais-je dire

— Oui, oui, je comprends que vous deviez approfondir la chose. Vous êtes toujours le bienvenu, Mlle Aline vous accueillera toujours avec plaisir.

Je me levais, les saluais, et contente de moi me dirigeais vers ma chambre. Il fallait que je me douche, avant que des élèves ne puissent deviner au sperme qui me maculait ce qui sétait passé dans le bureau de la directrice. Elle me rattrapa devant la porte de ma chambre.

— Tu ne préférerais pas un bain plutôt quune douche ?

Je lui souris. Elle me prit par la main, et maccompagna dans sa salle de bain, là où tout avait commencé. Elle fit couler le bain pendant que je me déshabillai. Cest ensuite avec plaisir que jentrais dans la grande baignoire, qui faisait tout le coin de la pièce. Leau chaude me fit un bien fou ! Jétais tellement bien que je ne vis pas que ma Maîtresse se déshabillait. Les yeux fermés, je me laissais aller lorsquun léger clapotis me fit sursauter. Jouvris les yeux. Elle était là devant moi, nue, ses seins généreux face à moi, son sexe dressé. Ce quelle était belle ! Elle terminait une tresse en souriant, puis se laissa glisser dans leau, en face de moi. Je sentis ses pieds glisser le long de mes jambes, ses jambes contre les miennes. Son sexe ne débandait pas, jétais sûr quelle avait de nouveau tout vu ! Son sexe bandé que je voyais à travers leau translucide fit de nouveau palpiter mon bas ventre elle était si belle, et sa verge mexcitait tellement ! Je lui souris et mapprochais delle. Je mis ma tête dans son cou et commença à embrasser son cou gracile, ses épaules, de nouveau son cou, le bas de ses oreilles Sa tête partit en arrière, sa respiration saccélérait. Je sentais sa verge qui se balançait dans leau, tapotant mes fesses je la voulais en moi, maintenant ! Je relevai un peu mon bassin, elle se positionna mieux, mes jambes purent enserrer sa taille, mon derrière flirtant avec son sexe bandé sous leau, elle plaça son gland sous mon petit trou, et je neut plus quà me laisser glisser le long de cette verge tendue, de mempaler sur elle Rhaaaa quel bonheur ! La verge de ma maîtresse qui me pénétrait, qui senfonçait en moi je mempalais sur elle, mon cul avalant tout son sexe ! Elle râla de plaisir, sa verge serrée par mon chaud intérieur nous restâmes un moment comme ça, puis elle mit ses mains sous mes fesses, et commença à me faire coulisser sur sa verge, agitant leau du bain Mon visage était au niveau de son cou, de ses seins je plongeais dessus, les léchais, les embrassais, suçant ses tétons, et tant pis si javalais un peu deau en même temps faut dire que les vas et viens devenaient de plus en plus rapide. Sa verge senfonçait en moi de plus en plus vite de plus en plus loin Le clapotis de leau saccéléra, de leau giclant sur le parquet, hors de la baignoire. Je jouis dans leau, contre son ventre, tout en lui suçotant le mamelon Soudain elle cria, senfonçant dans mes tréfonds, et déversa sa sève chaude en moi Je sentais ce nectar me remplir, et un peu de sperme séchappa de mon petit trou pourtant encore rempli de sa verge, sinuant dans leau du bain Elle reprenait son souffle, je sentis son sexe débander doucement puis après quelque minutes sortir de moi, avec encore du sperme qui sortir de mon anus, semblant nager joyeusement dans leau du bain Je me sentais encore très excité, et je sentais quelle létait aussi.

Je plaçais donc mes mains sous son derrière, le relevant doucement. Pour me faciliter la tâche, elle releva son bassin, son sexe sortant de leau. Je le léchais, le pris dans ma bouche le suçait. La pose nétait pas facile pour elle, elle sassit donc sur le rebord de la baignoire, les jambes écartée. Je léchais son sexe, puis choisis de descendre vers ses testicules, que je léchais, suçotais. Puis ma langue se promena entre ses testicules. Puis elle passait dessous. Ma langue sinsinua dans son sillon jembrassais ses fesses, léchai le sillon, puis ma langue tournoya sur son anus elle se cambra, relevant les jambes. Ma langue tournoya plus fort, sintroduisit dans son petit trou. Elle gémit de plaisir, et ma langue tournoya dans son petit trou, tournant, léchant, pénétrant son sexe commençait à se redresser contente de moi, je le suçais un peu, avant de retourner dans la baignoire, à quatre pattes, lui présentant ma croupe. Elle se mit derrière moi, sur ses genoux, écarta mes fesses et enfonça sa bite dans mon cul, jusquà la garde ! Ses mains sur mes hanches, elle me lima le cul, allant et venant, créant une tempête sur leau du bain, les clapotis de plus en plus fort, de plus en plus deau giclant hors de la baignoire. Leau tiédissait doucement, pas notre passion. Pour la seconde fois elle jouis en moi, tandis que javais éjaculé deux ou trois fois dans le bain

Nous étions essoufflé, mon petit trou était béant, pleins de petits poissons blancs de sperme nageaient dans leau Nous nous sourîmes puis éclatèrent de rire. Mes jambes flageolaient et elle dû maider à me lever. Nous dûmes prendre une douche, pour être tout à fait propre, puis jallais souper au réfectoire, avant de retourner dans ma chambre. Jeus une nouvelle et passionnante vidéo éducative, ou des filles comme moi servaient des groupes, se faisaient prendre par beaucoup de personne, puis eu quelques épisodes de ma série préférée. Je mendormis ensuite, repus de sexe et le sourire aux lèvres

(à suivre)

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