Avec leur accord, je quitter Bordeaux dès le lendemain matin dans la voiture de Joëlle, en direction d’un village situé en Dordogne.
Une fois sur place je découvre le village, d’une centaine d’habitants, situé au cour des bois.
La maison est petite mais avec une grande terrasse située à l’arrière et un jardin en contrebas. Joëlle a hérité de cette maison de ses parents, mais elle n’y a jamais vécu. Elle n’y a fait de que rares apparitions.
Enfin je me retrouvai seul avec elle pour assouvir nos désirs.
Moi: j’aimerai que tu te changes, mais quelque chose de sexy s’il te plait.
Elle revient habillée d’un simple tee-shirt qui arrive sous ses fesses, sans soutien-gorge je peux voir à travers ses deux tétons qui pointent en transparence.
Joëlle: je te plais mon chéri de dit elle en pivotant sur elle même?
Moi: oui je suis fasciné par ton corps, j’ai envie de toi !
Joëlle: je suis à toi quand tu le souhaites mon amour !
Je me dirige vers un petit escalier qui mène à la chambre, je la laisse passer devant et lui intime de monter doucement les jambes écartées, j’emboîte son pas et la stoppe au milieu, je me glisse sous elle pour admirer sa culotte, je colle mon nez à ses fesses pour sentir son odeur de femme, elle se penche et prend appuie avec ses bras sur les marches supérieures, je lèche le fond de sa culotte tout en me caressant le sexe, je m’interromps et lui demande d’ôter le haut, afin d’admirer ses seins, je me relève et me colle à ses fesses, elle tourne sa tête vers moi afin de nous embrasser, je la dévore tout en palpant ses fesses et lui dit, il va falloir trouver dans le village des vieux vicieux ou des jeunes puceaux ?
Joëlle: oui oui ça m’excite, je connais un papi, c’est le voisin, il s’occupe du jardin, il entasse son matériel dans ma grange, tu veux que je l’appelle ?
Moi: oui tu vas le séduire et t’offrir à lui sous mes yeux.
Joëlle: j’en meurs d’envie laisse moi lui téléphoner.
Joëlle: allo Mr Jean c’est votre voisine Joëlle, pourriez-vous passer s’il vous plait que je vous règle l’entretien de mon jardin, merci à tout à l’heure. A son regard je comprends que la situation l’excite autant que moi.
On frappe à la port elle ouvre, bonjour Mr Jean je suis ravie de vous voir, il est plutôt grand, et chauve, il doit bien avoir 60 ans, elle me présente comme son jeune voisin Bordelais en vacances avec elle, lui est souriant mais ses yeux sont grands ouverts devant cette pulpeuse femme aguichante par sa tenue, Mr jean lui suggère de venir voir les travaux qu’il a réalisés pour maintenir la grange en état, nous dirigeons vers la grange, en chemin elle passe devant nous puis s’arrête pour cueillir une fleur, ce qui a pour effet de faire relever le tee-shirt, nous permettant d’admirer son Cul, à travers sa culotte.
Arrivés dans la grange on fait semblant d’écouter les commentaires du voisin mais je découvre une échelle qui permet d’accéder à l’étage par une fenêtre, je grimpe à l’échelle et les interpelle sur la beauté de la vue par la fenêtre, en effet à genoux appuyé sur le rebord, on peut admirer au loin le village, Joëlle grimpe les trois premiers barreaux et s’arrête pour demande à Mr jean d’assurer sa montée, elle n’a pas le temps de finir sa phrase, qu’il déjà en position télescopique sous son tee-shirt, admirant ses fesses à travers sa culotte blanche. Il grimpe à son tour et se retrouve pratiquement collé à son derrière, je lui laisse le temps de profiter de sa position pour la peloter allègrement, Joëlle monte les derniers barreaux et positionne une jambe sur le sol, ce qui pour effet de dévoiler l’intégralité de ses fesses et de son sexe à travers le tissu, elle le regarde en lui disant de venir, pour mieux profiter de la vue avec nous.
Nous nous installons à quatre pattes tous les trois avec Joëlle au milieu sur le rebord de la fenêtre, il est rouge cramoisi par la situation, il me regarde d’un air inquisiteur, je lui souris.
Joëlle nous dit: je suis vraiment bien ici, il faut que je vienne plus souvent, j’ai envie de me laisser aller, de profiter du climat, tu ne trouves pas qu’il chaud ? me dit elle avec un clin d’oil.
Moi: si tu as chaud mets-toi à l’aise !
Joëlle: Oui vous m’aidez ?
Je pose ma main sur le bas du tee-shirt et demande à Mr Jean de saisir de son côté afin de le remonter sur son dos.
Il me regarde avec un grand sourire et nous dit: je vois que vous êtes complices tous les deux, mais cela ne me dérange pas au contraire elle m’a excité sur l’échelle, j’ai envie de me la faire !
Joëlle: alors déshabillez-moi !
Nous remontons le tee-shirt par-dessus son dos, quel spectacle cette culotte avec ces fesses rebondies. Jean a enfoui sa main entre ses fesses et la palpe sans retenue, je la regarde s’offrir indécente, mais tellement belle, elle lui frotte le sexe à travers son pantalon, il l’aide pour extirper son membre qui est d’une taille normale mais bande peu.
Moi: Jean vous vous rendez compte de ce que vous faîtes dis-je d’un ton autoritaire !
Il panique ne comprend pas mon changement de ton.
Jean: mais quoi elle m’a allumé ?
Moi: la situation est que c’est moi qui décide de vous l’offrir, je vous propose un marché, je vous l’offre autant de fois que vous voulez, mais vous oubliez la note pour l’entretien du jardin.
Devant une telle beauté il accepte volontiers.
Moi: tu vas le faire bander et te donner à lui sans retenue.
Joëlle: oh il me fouille bien avec sa main, je t’obéis mon chéri je vais me donner à ce vieux vicieux.
Je viens de franchir un nouveau pas, maintenant je la vends comme une prostituée.
Moi: allons à la maison nous serons plus à l’aise, une fois sur place dans la chambre elle enlève tous ses vêtements et dénude Jean, qui reprend de l’assurance en la tripotant à son grès.
Elle l’attire sur le lit, en le masturbant et le gobe en me regardant, il suffoque tellement elle y met du cour à l’ouvrage, il descend pour lui bouffer la chatte, je m’approche d’elle ramasse sa culotte et l’enfile comme un préservatif sur mon sexe, je lui tends en bouche elle s’en empare aussitôt et salive sur le tissu afin de le mouiller au maximum, je vois mon sexe en transparence tellement sa culotte est trempée par sa salive, Jean bande et entreprend de la baiser jambes biens écartées, il lui malaxe les seins avec ses grosses mains qui laissent des traces rouges sur sa poitrine après chaque pression.
Retirant mon sexe enveloppé de sa bouche
Joëlle me dit: tu es pervers, mais j’aime vraiment ça, continues mon chéri ta pute s’offre à sa bite, il baise bien hum ! J’adore ça.
Jean s’active dans son vagin et modère de temps en temps son ardeur pour en profiter au maximum, cela me plait, il fait durer le plaisir. Je lui propose de la prendre sur lui, une fois le changement de position effectué, il s’enfonce profondément dans sa chatte brulante et lui mord les seins, Joëlle crie entre plaisir et douleur, je grimpe derrière elle et présente ma bite devant son anus, je frotte avec mon gland son petit trou et pousse ma bite à l’intérieur.
Joëlle: vas y mon chéri prend mon dernier pucelage je te l’offre !
Je force doucement pour ne pas lui faire mal, lui laissant le temps de s’habituer à mon sexe, Jean ne bouge plus, il attend mon feu vert. Je bouge lentement puis rentre en entier dans son conduit étroit, maintenant nous bougeons en cadence, je lui attrape la tête pour lui parler à l’oreille, tu te fais bien baiser par deux queues, tu aimes salope !
Joëlle: tu me rends folle de plaisir mon chéri, allez y défoncez moi !
J’accentue mes mouvements dans son Cul, tout en l’embrassant goulûment, j’ai envie de la mordre tellement je la désire, c’est moi qui suis complètement timbré, mais je continue à la besogner avec vigueur, Jean de son côté tient bien la cadence, Chantal joui très fort en poussant des cris, heureusement que nous sommes à la campagne, Jean vient d’éjaculer, son sexe ressort laissant échapper du sperme, qui coule sur sa jambe, moi je joui très fort planté en elle, je me retire épuisé, nous nous allongeons tous les deux côte à côte. Jean se lève et nous quitte rapidement.
Je la prends dans mes bras et me blottis contre sa poitrine qui porte les marques de Jean, elle me câline en me disant: tu es merveilleux, je veux que tu continues à disposer de moi, j’aime cette soumission.
La journée s’achève entre sieste et caresses, je suis heureux de pouvoir passer mes vacances à la campagne, mais il faut que j’élabore un plan pour trouver des ados de mon âge à Joëlle.