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une nuit hors du temps, les désirs interdits – Chapitre 1




Premier essai personnel à l’écriture. J’attends vos réactions. J’ai fait exprès de faire montrer la sauce petit à petit. Espérant ne choquer personne…bonne lecture!

Il y a parfois des choses dans la vie que l’on préfère oublier, faire comme si ça n’était jamais arrivé. Je n’y suis jamais réellement parvenu, et à vrai dire, je me demande si elle y pense encore parfois aujourd’hui. Quoiqu’il en soit, nous nous sommes jurés de ne jamais en reparler, quoiqu’il arrive, quoiqu’il en coûte. Ce fut une parenthèse sur laquelle nous ne sommes jamais revenus. Et je me dis très souvent que c’est la meilleure des choses à faire, car on a chacun notre vie maintenant : même si, quoiqu’il se passe, ce qui s’est passé, s’est passé…et même si j’ai honte de l’admettre, cette fatalité là, m’excite plus qu’elle ne me hante…

J’ai toujours eu une relation privilégiée avec ma petite soeur Lucie. Dans notre famille, ma grande soeur était plutôt dans son univers à elle, où il n’était pas possible de tisser des liens facilement. Attirée par des activités individuelles telles que la lecture, la musique, ou la peinture, elle avait ses propres amis, et rien ne semblait laisser la place à son frère. Alors, quand Lucie est née, je l’ai prise sous mon aile. Comme je n’avais pas beaucoup d’amis véritables, je palliais ce manque en m’occupant de ma petite soeur comme si elle était mon amie. Nous avons 5 ans d’écart, mais cette différence n’a jamais été vraiment ressentie, parce que Lucie a toujours fait preuve d’une maturité remarquable. De mon coté, j’adorais m’occuper de ma petite soeur, jouer à des jeux d’enfants, lire des histoires, sècher ses larmes en soufflant sur le gros bobo et prendre soin d’elle. Ces années d’enfance passées ensemble nous ont permis de nouer une véritable complicité avec Lucie, presque fusionnelle. En grandissant, elle n’hésitait pas à venir me demander conseil dès qu’elle en avait besoin, elle venait se confier, et je l’écoutais pendant des heures. Et c’était réciproque. Bref, la plus simple, naturelle et belle des ententes qui soit.

Nous vivions dans une grande maison à la campagne, et avions la chance d’avoir suffisamment de place, pour avoir chacun notre chambre, spacieuse et confortable. Ma grande soeur et moi avions nos deux chambres à l’étage ainsi que notre propre salle de bain, et le reste des pièces de la maison, dont la chambre de ma petite soeur et celle de mes parents, étaient situées au rez de chaussé. Malgré cette place, il arrivait dans notre enfance que nous dormions ensemble, juste pour s’amuser de cette situation inédite. Nous en profitions pour nous chatouiller, nous raconter des blagues, et faire des cabanes sous la couette. C’était alors de véritables expéditions, où l’imaginaire prenait le dessus. Nous étions des pirates, ou des cosmonautes dans notre vaisseau spatial. Il y avait parfois en été ces nuits passées sous la tente, dans le jardin, avec mes deux soeurs et quelques petits voisins. En somme, nous vivions une vie paisible avec toute la joie, la complicité, l’innocence et la pudeur d’une relation entre frère et soeur.

Les années passaient tranquillement. Un week-end au mois d’août, alors que la maison était en plein travaux, mes parents ayant décidé de retapisser la chambre de ma grande soeur, mon oncle est venu passer quelques jours à la maison. Comme il habitait l’Autriche, et que sa visite était complètement inattendue, mes parents décidèrent de répartir les chambres. Ma grande soeur avait insisté auprès de ma mère pour pouvoir dormir avec ma cousine, qui avait son âge et qu’elle n’avait pas revu depuis près d’un an. Elles dormirent donc dans la chambre de Lucie, et je dû partager ma chambre avec ma petite soeur, ce qui nous amusait, comme cela avait toujours été le cas dans notre enfance. Les occasions de faire un dodo tous les deux étaient en effet beaucoup moins fréquentes: nous n’étions plus enfants, et étant donné la place dont nous disposions, chacun menait sa petite vie dans sa propre chambre. Lucie était en terminale, et avait ses devoirs, son travail, et son indépendance. Personnellement, je ne rentrais à la maison que les week-end. Alors une telle occasion de dormir ensemble était plutôt marrante.

Le soir venu, nous nous préparions à aller nous coucher.

« -Ca me fait délirer que l’on dorme tous les deux ensemble! » me dit Lucie.

« Tu te rappelles quand ca nous arrivait quand on était gamin? »

« -Ouais! C’est net !» lui répondis-je.

« C’est pas une raison pour que tu prennes toute la place dans le lit, hein! Ici c’est mon quartier! »

« -Ok! En attendant, je vais me brosser les dents pendant que tu te mets en pyjama. J’ai pas envie d’avoir des visions impromptues, et de faire des cauchemars, on a vu assez d’horreurs pendant la guerre! » me répondit-elle, avec un regard moqueur.

Alors que je venais de terminer de m’habiller, j’arrivais à la salle de bain pour me brosser les dents à mon tour. Et c’est là que je la vis. Lucie venait de se déshabiller, et elle était nue, en train de saisir son pyjama. Comme nous étions les seuls à l’étage, elle n’avait pas fermé la porte à clé. La dernière fois que j’avais vu Lucie nue, c’était en été, en vacances à la mer, il y avait déjà 6 ans. Elle avait 12 ans à l’époque. Je fus surpris de voir à quel point le corps de ma soeur avait changé durant cette période. Malgré le regard furtif que je détournais aussitôt, j’entrevis les courbes délicates de Lucie. Je n’imaginais pas qu’elle eu pu avoir une poitrine aussi opulente, mise en valeur, il est vrai, par un ventre parfaitement plat. Il faut dire que Lucie portait tout le temps des vêtements qui étaient plutôt larges. Les seins de Lucie étaient gros, certes, mais pas énormes non plus: Lucie devait mettre du 90C. Ils étaient droits, fermes et parfaitement symétriques. Pas ce genre de poitrine où les deux tétons semblent se dire merde. Ses cuisses étaient d’une finesse remarquable, mais je ne pus voir ses fesses, puisque ma brêve vision l’avait surprise de face. J’eus toutefois le temps d’apercevoir son sexe, qui semblait être rasé.

« -N’aies pas cet air surpris, t’es con ou quoi? » me dis-t-elle gentiment. « Je suis ta soeur, t’en verras d’autre! ».

« -Toi qui craignais les cauchemars, qu’est ce que je devrais dire! » lui répliquais-je, histoire de masquer le trouble que cette vision avait provoquée en moi.

« -Mouais, en attendant, tu ferais bien de te brosser les dents assez vite. Je suis super naze, alors je veux pas que tu mettes trois heures. »

« -T’inquiète, je vais pas tarder » lui répondis-je.

En me brossant les dents, je ne pu m’empêcher de repenser à la vision de Lucie toute nue. Malgré toute ma volonté, je dois bien admettre que cette vision m’avait troublé. Je n’imaginais pas Lucie si bien proportionnée. Je me disais que son copain était un sacré veinard, et ne devait pas avoir peur de s’ennuyer. Et le trouble me repris, lorsque je m’aperçus subitement, que je commençais à avoir une érection en imaginant Lucie faire l’amour avec un homme. Honteux et troublé, je filai me coucher.

« -Mais qu’est-ce t’as foutu! Allez, éteins la lampe, je suis morte! » me lanca-t-elle.

« -Pardon de prendre soin de mon hygiène! Tu veux parler 5 minutes avant de dormir? »

« Non, je préfère dormir. J’ai pas trop envie de parler ce soir. Tu sais, David me manque terriblement. »

David était le copain de Lucie: le petit veinard en question. Quoiqu’en ce moment, pas tellement: il était militaire en mission en Côte d’Ivoire. Cela faisait deux fois que sa permission avait été remise à plus tard, et on ne l’avait plus revu depuis un moment. Lucie ne me parlait pas souvent de David. Elle disait que l’éloignement n’est pas un fatalité, qu’il renforce les liens, et je fus donc surpris de la sentir si vulnérable ce soir.

« Tu sais, ça fait déjà plus de 6 mois, et c’est pas facile tous les jours…et puis, je suis pas une nonne non plus! »

« Moi qui croyais que les filles savaient mieux contrôler leur libido que les mecs en règle générale… »

« Attend, y’a des limites. Y’a des fois, je me dis que je devrais bien m’acheter ce qu’il faut pour me satisfaire, mais je trouve ça un peu nul. Rien ne vaut le corps d’un homme… »

« Eh, ca va aller, c’est un peu gênant là… »

« Ouais, c’est vrai, t’as raison, excuses moi…C’est la chaleur, ça agite les hormones. Heureusement que je ne suis pas en boîte ce soir, parce que je ne sais pas trop si je serais assez forte pour ne pas céder à un beau gosse! » conclu-t-elle, avec un sourire montrant bien qu’elle plaisantait.

« – Bonne nuit p’tite soeur. Et t’inquiète, il va revenir d’ici peu. »

« -Allez, fais moi un câlin avant de dormir » me dit elle, toujours avec son joli sourire.

Et je déposais un baiser sur sa joue en la prenant dans mes bras.

« Allez, j’éteins la lumière » me dit-elle. « Si tu veux dormir en me gardant au creux de tes bras, y’a pas de soucis ».

« Ouais, pas de problème. »

Et nous commencions à nous endormir, dans les bras l’un de l’autre. La fenêtre ouverte de cette jolie nuit d’été permettait à une lumière blafarde de pénétrer dans la chambre, et d’y voir comme en plein jour. Lucie dormait sur le coté, et j’étais derrière elle, mes mains dans les siennes, le haut de mes bras au contact de son opulente poitrine. Mais je n’arrivais pas à dormir. La vision me revenait sans cesse à l’esprit. Mais soeur, nue, dans la salle de bain. J’essayais vraiment, mais le sommeil ne venait pas. Et puis, le contact du corps délicieux de ma soeur me faisait méchamment transpirer.

« T’as pas chaud? me demanda-t-elle soudain. Moi j’étouffe, je crois que je vais enlever une épaisseur ».

« Ouais, je pense que c’est une bonne… » mais je ne fini pas ma phrase. J’étais sur le point de relever la couette, lorsque Lucie me prit de court en enlevant le haut de son pyjama, dévoilant ses seins magnifiques.

« Bah quoi? Ca te gêne pas quand même? » me demanda-t-elle.

« Nan, tu rigoles! J’en ai vu d’autre! Manquerais plus que ça que ma soeur me trouble! »lui répondis-je, dans un affreux mensonge. Ayant en effet très chaud, je me mis torse nu à mon tour.

Et nous reprîmes notre position initiale. Après une bonne demie heure, il me semblait que Lucie dormait. Ce qui était loin d’être mon cas. Pire, au fur et à mesure, un sentiment de panique m’envahit. Mon sexe commençait à se rappeler à mes bons souvenirs. Je fus honteux et de peur que Lucie ne s’en aperçoive, je me desserrais, tout en restant à son contact. Entendant le souffle régulier de sa respiration, je souffrais le martyre. Lucie dormait, et j’étais là, à coté d’elle, fou d’excitation. Ses seins m’obsédaient, et j’avais vraiment envie d’essayer de les palper un peu, l’air de rien pendant son sommeil. Après tout, qu’ils soient en contact avec le haut de mes bras ou mes mains, quelle importance? Tout doucement, je libérais donc mes mains des siennes en prenant le plus grand soin de ne pas la réveiller. Mes mains glissèrent le long de ses bras dans un mouvement très lent, qui me semblait prendre des heures, mais qui ne faisait qu’ajouter encore plus à mon excitation. Popaule là en bas, était désormais en bois, et pour une bonne partie de la nuit. Mes mains finir par atteindre leur objectif, et je me mis tout doucement à caresser les seins de ma soeur, en douceur. Mes mouvement étaient très irréguliers et tellement lent, que si Lucie venait à se réveiller, je pourrais faire comme si tout cela était arrivé pendant mon sommeil. Mon bas de pyjama était tendu à bloc. Je fini par l’enlever. La chaleur sous la couette était bouillante à plus d’un titre.

« -Tu fais quoi là?! »entendis-je subitement. « Je rêve ou tu me caresses les seins? » me demanda Lucie, visiblement surprise, et un peu furaxe.

« Les quoi? Hein? Ho, désolé, je ne m’en suis pas rendu compte. Je faisais un rêve… Mais tu sais, j’ai juste posé mes mains, c’est tout…je ne te caressais pas!»

« Mouais j’ose même pas imaginer le genre de rêve, en effet! En tout cas, n’en profite pas trop… Il vaudrait peut être mieux que je remettre mon haut. »

« Comme tu veux » lui répondis-je, en feignant l’indifférence.

Je fus toutefois content de voir que Lucie n’avait pas remarqué que j’avais enlevé mon bas de pyjama, et qu’elle repris mes mains contre elle. Je m’endormis un peu, du moins je comatais, dans un état de sommeil très léger, qui ne dura pas. En me réveillant un peu plus tard, je remarquais avec surprise, que la position de mes mains avec changé. Elles n’étaient plus situées sous le cou de ma soeur: Lucie me les tenait toujours, mais mes poings n’étaient plus fermés: les deux paumes de mes mains, étaient désormais ouvertes sur les seins de Lucie. Et mon petit soldat là en bas était toujours aussi actif.

Je remarquai à ce moment là que Lucie n’avait plus la couette sur elle. Je pensai qu’elle avait dû l’enlever à cause de la chaleur de l’été, et de son haut qu’elle avait remis. Son bas de pyjama était en velours léger, genre shorty, tellement fin que l’on pouvait deviner qu’il n’y avait pas la moindre culotte en dessous. Il dévoilait ainsi les formes parfaites des fesses de ma soeur, que je n’avais pu entrevoir à la salle de bain avant le coucher. Ne voulant pas en rester là, au risque de prendre un peu plus de risques, je décidai de tester ma soeur pour savoir si cette position de mes mains avait été de mon fait, ou si Lucie m’y avait aidé. Je fis donc bouger mes doigts doucement, en une caresse très peu marquée au départ, puis de plus en plus insistante. Lucie ne disait rien et semblait dormir vraiment. J’essayai d’aller plus loin, ne sachant que dire si Lucie se réveillait: le coup du rêve érotique marcherait-il de nouveau? Je glissai mes mains sous le satin de son haut. La douceur de ses seins me fit tourner la tête. Depuis ma vision à la salle de bains, les avoir encore en main était un fantasme de plus en plus marqué. Je tenais donc ses deux obus dans mes mains, en les caressant lentement. Lucie semblait toujours en plein sommeil.

J’étais chaud comme de la braise. Et puis une soudaine impulsion me prit, je voulais tenter quelque chose. N’y tenant plus, et essayant de trouver le mouvement qui me permettrait de me sauver la face, si Lucie venait à se réveiller, je fis semblant de me serrer un peu plus fort contre elle, comme pour faire un câlin. Dans ce mouvement, je pris toutefois la précaution de courber mon bassin afin de glisser mon sexe en érection en dessous du shorty de ma soeur. J’étais là, juste devant son sexe, à un déhanchement de l’interdit suprême, le délicieuse déchéance, avec le risque de me faire haïr à vie par ma soeur, ou pire, de finir en cellule psychiatrique. Mais je n’étais plus à ces considérations de honte et de crainte. J’étais comme ailleurs, en dehors de ma vie, comme dans un rêve. Comme si ce n’était pas moi, je ne contrôlais plus rien. N’importe où, n’importe quand, j’aurais vite desserré mon étreinte, remis mon pyjama et filé dormir sur le divan. Mais ce soir là, une force malsaine me poussait à avancer. Et je ne pu m’empêcher de faire le déhanchement lent et délicieux. Le bout de mon sexe effleura la chatte de ma soeur. Et bizarrement, je n’aurais su dire si c’était le fait de la transpiration, ou autrechose, mais le vagin de ma soeur était trempé. Lucie mouillait en dormant. N’y tenant plus, je fis pénétrer mon gland dans son vagin. Pénétration minimale, seule le tête de popaule goutait au paradis. En quête de réaction, j’attendis un moment sans bouger, m’attendant d’une minute à l’autre à me faire rejeter, ou pire, traiter de tous les noms…

« Hummm…c’est bon…continue David… » me dit-elle, apparemment, complétement dans la coltard, s’imaginant peut être en Cote d’Ivoire…

Cette réaction de sa part m’incitant à persévérer, je poursuivi donc mon exploration en profondeur, et il s’en suivi un petit essoufflement de satisfaction. Lucie avait l’air d’aimer. Je progressais lentement, de peur qu’elle ne reprenne ses esprits. Je fini par pénétrer Lucie jusqu’au fond. Je ne bougeais plus et fermais les yeux, profitant au maximum de cet instant défendu, et merveilleux. Je me contentai toutefois d’un seul aller, craignant de braver plus loin, les interdits que notre société nous impose. Et puis, des allers retours auraient sans doute réveillés Lucie. Je me retirai donc de Lucie, en repassant mes mains, au dessus du haut, mais toujours plaquées sur les seins de ma soeur.

Mais je n’arrivais toujours pas à trouver le sommeil. Je me sentais frustré de devoir m’arrêter après une telle expérience. Je voulais continuer, je devais continuer. Tout en douceur, je posai ses mains, le long de son corps, et me reculai un peu afin qu’elle puisse se mettre sur le dos. Ce qu’elle fit doucement sans même s’en rendre compte. Lucie semblait dormir paisiblement, avec un petit sourire illuminant son visage. Je décidai d’y aller franco, et je descendis délicatement la bretelle du haut de pyjama de satin…puis l’autre bretelle faisant apparaître la poitrine magnifique de ma soeur.

« Waahh…je crois que je viens de faire un rêve au moins aussi cochon que le tien! » me dit-elle subitement, ne s’étant apparemment pas encore rendue compte de la situation. « C’était si bon! David me manque trop!!!…mais qu’est ce que je fais les seins à l’air moi? »

« Bah, écoute, je veux pas que tu m’en veuilles…mais bon, tu te rappelles quand on jouait au docteur, étant petit? »

« Jouer au docteur, tu te fous de moi? Tu connais le sens de cette expression? Déjà, d’une, on était gosse, et de deux, si je dis que j’ai joué au docteur avec mon frère de 23 ans, les gens se poseraient des questions, tu crois pas?! Je répète ma question, qu’est ce que je fais seins nus? »

« Bah t’en fais pas; je suis ton frère après tout. Il n’y a pas de pudeur entre frère et soeur, si? »

« Sauf si l’un des deux désape l’autre, tu crois pas? » me répondis-t-elle, visiblement amusée, une fois passé l’effet de surprise. «  Et pourquoi tu as soulevé mon haut? »

« Je m’ennuyais…j’ai pas sommeil, trop chaud! Et puis, il faut dire que tu as éveillé mon intérêt avec tes seins à l’air tout à l’heure. »

« C’est vrai qu’on crève de chaud içi. Mais là n’est pas la question: si j’avais continué de dormir, t’aurais fait quoi? C’est presque flippant tu trouves pas? Tu es mon frère! »

« Alors quand on est gamin, tout nu dans un bain, qu’on se touche les parties, c’est pas gênant, mais quand on dort torse nu l’un à coté de l’autre, ça devient un crime? »

« Ne fais pas l’andouille, tu vois exactement de quoi je parle…T’as vraiment du bol qu’il fasse aussi chaud! Même sans la couette j’étouffe… Bon tant pis, j’enlève mon haut mais tu te retournes, s’il te plait…

« Arrête voir un peu, je les ai vu tout à l’heure, et tu n’as rien dis… »

« Oui, mais c’était avant que tu t’amuses à me désapper » me répondit-elle en se couchant sur le ventre. « Bonne nuit! »

Mais je sentais bien que cette position ne lui convenait pas. Elle bougeait sans arrêt, puis semblant subitement se souvenir du motif de cette position inconfortable, elle se remettait sur le ventre.

Après de longues minutes, elle finit par abdiquer:

« Bon, ça va. Dans cette position, je peux pas dormir. T’es chiant hein! Oh, et puis zut, après tout, si ça t’amuse de mater mes seins, moi j’ai besoin de dormir. Et puis, personne n’y trouverait à redire, c’est pas comme si on faisait des trucs cochons. D’ailleurs, ça me fait repenser à mon rêve avec David… »

Je ne répondis rien à ce sujet, me rappelant juste le degré d’humidité du sexe de ma soeur, traduisant en effet, son niveau d’excitation au souvenir de ce rêve, combiné à mes entreprises dont elle n’avait pas souvenir.

« Lucie…depuis tout à l’heure on dort dans les bras l’un de l’autre, et mes mains sont souvent en contact avec tes seins.. »

« Oui, j’ai senti ça oui. Et alors? »

« Un peu plus ou un peu moins, ça te dérange si je les caresse? Je trouve que tu as une poitrine magnifique. Y’a des fois, j’ai les boules que tu sois ma soeur, parce que tu es plus jolie que toutes mes ex. Et puis, sorti du contexte, c’est saoulant de dormir à coté d’un canon, sans pouvoir la toucher. ».

« Tu me trouves si belle? C’est vrai? Ca me touche venant de toi, parce que je sais que c’est sincère, contrairement aux gros lourds qui te sortent un « t’es bonne» en guise de compliment… En même temps, on peut guère sortir du contexte, comme tu dis, tu crois pas?»

« Arrêtes, depuis tout à l’heure je les touche sans m’en rendre compte » dis-je dans un horrible mensonge. « Un peu plus un peu moins, ça change pas grande chose!. Et…oui, tu es magnifique, à la salle de bain, je pensais que c’était quelqu’un d’autre », le répondis-je, en tout honnêteté.

« Ok pour les toucher. Ce ne sont que des caresses après tout. Et puis, si ça te calme un peu, après, on pourra au moins un peu dormir. Il est 2h30 heures du mat’, j’hallucine! »

Je m’assis donc sur le ventre de ma soeur et me mis à lui masser les seins en me concentrant afin de lui donner un maximum de sensation.

« Tu sais que ça fait un bien fou? me dit-elle. « Tu as appris ça où? »

« Nulle part, je suis mon instinct. »

« Et ben ton instinct masse très bien! »

Sans lui demander son avis, je me mis à lui lécher la poitrine, les têtons. D’abord surprise, elle finit par ne rien dire. Caresse ou salive, aucun mal irrémédiable n’était fait. Et puis, des petits gémissements réguliers me firent comprendre qu’elle appréciait cette initiative.

« Tu es vraiment magnifique, tu le sais? » lui dis-je.

« Attends, ça devient un peu bizarre », me répondit-elle, en déduisant des mouvements bizarres de la couette que mon pénis avait repris ses exercices. Waouw, je suis toute chose là…mais tu sais, là, ça devient même glauque. On est frangin….et toi tu bandes! Je ne veux pas que cette nuit vienne bousiller les liens qui nous lient. Et quand même, c’est pas courant de se faire caresser et léchouiller les seins par son frère… »

« Ecoute, on va dire que ce qui se passe cette nuit est en dehors du temps. Ca n’existe pas. Ca sera un instant perdu, comme si on était en train de rêver et de dormir. Ce ne sera que cette nuit, Lulu. Et puis bon, on ne fait que se toucher; c’est tout: on ne fait de mal à personne. De simples caresses…rien de plus! Ca n’ira pas plus loin».

« Je n’en suis pas si sûr, justement » me dit -elle. « Et ça me fait un peu peur. Entre mon rêve étrange de tout à l’heure, tes caresses et cette chaleur de l’été, j’ai peur de perdre le contrôle. J’ai un copain, et il hallucinerait s’il me voyait ainsi. Et puis,tes caresse me font du bien. Elle font naitre en moi des envies malsaines. »

« Ecoute, tu me l’as dit tout à l’heure, ton copain, il est loin, et il te manque aussi physiquement. Tu éprouves ce manque. Mais il ne serait pas jaloux de ton propre frère! Lulu, c’est un pacte, ok? Tant que rien de mal n’est fait, on peut un peu se laisser aller, non? Comme quand on était gamin. Tu as déjà eu mon petit soldat dans ta main, et ça faisait rire maman! Tu te rappelles pas? »

« Oh, si, répondit elle… continue tes caresses, j’adore ça! » me répondit-elle, apparemment un peu plus sereine.

« On peut un peu se laisser aller Lulu, y’a pas de mal à se faire du bien, nan? Ca sera la seule nuit de notre vie, après tout. Je suis un homme, et tu es une femme. Pas de panique, ce ne sont que des caresses »

« En attendant, on voit que tu n’es pas à ma place. Toi, tu ne ressens rien, tu t’amuses. J’aimerais bien te voir à ma place! »

« Bah si tu veux me caresser le torse, moi, ça ne me gênerait pas. Et si ça peut te permettre de déculpabiliser un peu… »

Sans attendre que je termine, Lucie se redressa et inversa nos positions. Comme j’étais déjà torse nu, elle me fit des petites caresses sur les pectoraux, et quelques baisers mais en descendant plus bas, elle se rendit compte que j’étais complément nu.

« Ben mon cochon, on peut dire que tu t’es bien foutu de ma gueule oui! T’es complétement à poils! »

« Ca n’a rien à voir, je crevais de chaud. Et tu n’as pas voulu enlever la couette au début je te rappelle… »

« En tout cas, je ne te laisse pas indifférent non plus on dirait » me lanca-t-elle avec un petit sourire complice.

« Je ne suis qu’un homme! Et tu es si belle »!

Tandis que je parlais, Lucie pris mon sexe en main.

« Au docteur, hein? » me dit-elle, avec un gros sourire. « Tes caresses m’ont rendue complétement folle! » termina-t-elle avant d’enfouir mon pénis dans sa bouche.

Le paradis sur Terre, je croyais réellement rêver. Lucie était en train de me pomper, avec un enthousiasme incroyable. Les coups de langues sur mon gland mêlés à la surprise et à l’excitation, me donnèrent une envie de jouir très rapidement. Lucie faisait faire des aller retour à mon gland entre sa bouche et le fond de sa gorge profonde. Elle arrivait à placer mon sexe en entier dans sa bouche.

«Juste cette nuit, hein? lui répondis-je en enlevant son shorty. Je me mis à mon tour à brouter le minou de ma soeur, et les effluves de liquide vaginal achevaient de parfaire mon excitation. J’enfouissais ma langue au plus profond de la chatte de ma soeur qui semblait aux anges. Je trouvais rapidement le clitoris de Lucie, et le lapai tantôt doucement, tantôt rapidement, tout en enfouissant deux doigts dans son vagin. L’effet provoqué pas mes caresses la fit accélérer le mouvement. Je n’eus pas le temps de lui faire comprendre quoique ce soit et je jouis dans sa bouche, à grandes pompes. Je continuais mes caresses, sans toutefois me rendre compte que mon pénis était toujours en érection, et en redoutant un peu que Lucie m’en veuille de ne pas l’avoir prévenue. Mes craintes ne durèrent pas, puisque je constatais rapidement que Lucie me regardait avec un clin d’oeil, me montrant tout le sperme qui avait jaillis dans sa bouche sur sa langue, avant de l’engloutir goulument, et de finir un nettoyage en profondeur de mon sexe. De mon coté, aux crispations mesurées de ma soeur, je compris vite que mes coups de langues l’avait faite jouir.

« Hummm…je ne pensais pas que je pourrais dire ca à mon frère un jour,…mais que c’était bon! » me dit Lucie. Mais je rêve ou tu bandes encore! Je te fais tout cet effet? »

«Je te le répète, tu es magnifique. Tu ne regrettes rien? On a bien dépassé le stade de la caresse mammaire tu trouves pas? »

« Je crois qu’avant de me coucher, j’aurais condamné, par principe la moindre caresse de la part d’un frère sur sa soeur. Quel que soit le lien les unissant. A la limite, même les demis frères et demies soeurs tu vois. Mais ce soir, j’ai fais un rêve et j’ai eu des sensations si forte, que je ne me suis plus du tout contrôlée! De la folie: je pense qu’on devrait pas être autorisé à passer 6 mois sans baiser! »

« Ben en même temps, t’as pas baisé là, faut pas pousser. »

« Oui, mais je parle de jouir avec un homme, finalement, ça se ressemble. Mais là, ça va mieux. Même si en y repensant, j’hallucine! J’ai fais un 69 avec mon frère. C’est dingue. »

« Oui, et vu le sirop que tu as consommé, tu as l’air d’avoir aimé ça! »

« Dis moi que tu n’as pas aimé, hypocrite. Quoiqu’il en soit, ca restera entre nous. C’était une parenthèse, et on n’en reparlera jamais, même pas entre nous. C’est fini. Maintenant, il faut dormir! »

Je me couchais donc au contact de ma soeur, et essayais de trouver le sommeil. Au bout d’un moment, je fini par comprendre que je passerais certainement une nuit blanche. La vision de ma soeur me suçant la bite était là, persistante, et le goût de son liquide vaginal, était toujours dans ma bouche. Au lieu de me calmer, cette vision m’avait radicalement dopé. Je décidais de braver les conclusions de ma soeur, et m’enfouis sous la couette. Je constatais qu’elle était toujours à poil, et en la contournant par le fond lit (ou ce qu’il en restait, car il ne ressemblait plus trop à un lit) je remontais sous la couette, la tête né à né avec son sexe. Je n’eus le temps de mettre que trois ou quatre coup de langues avant que Lucie ne m’éjecte radicalement.

« On a dit stop là, merde! T’es con ou quoi? »

« Et qu’est ce que ça change? » lui répondis-je.

« On est frangins, voilà ce que ça change. Alors plus de massage léchage de sein ou de minou. Dodo maintenant! »

« Ok. Pfff, t’es pas drôle. Bonjour la nuit hors du commun! »

« Dis t’es gonflé! Tu en connais beaucoup toi des types qui se sont fait sucer la bite par leur soeur? »

« Ok, oublie, bonne nuit. »

Mais je n’avais pas dit mon dernier mot. Je savais que Lulu avait pris feu inconsciemment, lorsque je l’avais pénétrée. Je décidais donc d’attendre qu’elle se rendorme.

« Ca ne te dérange pas que je te reprenne dans mes bras? J’aimerais bien t’avoir à mes coté pour la fin de cette nuit.. »

« Ok, si tu veux, mais on dort hein! »

Après un quart d’heure, entendant la respiration de ma soeur, à nouveau régulière, suivant le rythme de son sommeil, je me remis à caresser ses seins doucement, mais je fus un peu plus rapide que précédemment. Je ne fis que les gestes nécessaires à réveiller l’excitation de Lucie. M’approchant de la même manière qu’au coucher, je posais une main sur la cuisse supérieure de ma soeur, qui dormait à nouveau sur le coté. En levant très légèrement sa cuisse, je me remis à approcher mon sexe de l’ouverture idéalement exposée. Mais ne me retenant plus, je fus certainement trop brusque, et ma pénétration fut plus brutale que précédemment.

« Eh, mais je rêve là, tu fais quoi??? Là on dépasse l’entendement, tu me baises? C’est quoi ton problème? Les frères et les soeurs ne baisent pas ensemble! » me dit-elle, finalement de façon moins virulente que prévu.

« Non, ils se contentent juste de se lécher le sexe mutuellement, c’est bien connu », lui rétorquais-je ironiquement.

« Ca n’a rien à voir, et tu le sais. Une relation sexuelle entre frère et soeur, c’est mal. On est du même sang, des mêmes parents. Tu t’imagines? Ca rime à rien! »

« Tu n’en as pas envie ? »

« Le problème n’est pas là!! C’est malsain! »

« Tu sais, au Moyen Age, il devait bien s’en passer des pires. Et puis, on a dit que cette nuit était…spéciale. Moi, je t’avouerais que je voudrais te faire l’amour, j’en rêve. Tu es magnifique comme fille. On fait du mal à qui? Qui souffre ce soir? Personne! Au pire, deux personnes se font du bien! Tu n’es plus pucelle, moi non plus, des coups de bites, tu en as déjà recus, et j’en ai déjà donné. Tu crois que ton corps fera la différence entre ma bite et celle de David?

« Toi, j’ai pigé ton petit jeu. Tu me pénètres en douceur pour m’exciter comme une folle, et après, tu trouves les mots pour me mettre plus bas que terre… »

« Et en plus, y’aura rien de risqué, j’ai des capotes tu sais. »

A ce moment là, Lucie se redressa, je cru qu’elle allait quitter définitivement la chambre. Mais au lieu de sortir du lit, elle me chevaucha, et en saisissant mon pénis, elle se l’introduisit.

« Je te veux, frérot! Je te veux en moi! Notre entente est fusionnelle! Et on peut pas dire que ce ne soit que des mots en ce moment! Cette nuit, seulement cette nuit, ok?» me dit-elle d’un air à la fois suppliant et excité, en multipliant les mouvements de bassin verticalement. Sous l’effet de ses mouvements, ses seins imprimaient un mouvement de balancier régulier, qui ne faisait qu’accroitre mon excitation, si tant est que ce soit encore possible.

«Je ne mets pas de capotes? T’es sûre? » lui demandais-je toutefois.

« Comme David devait revenir le mois dernier, j’avais repris la pilule. Et je n’ai pas arrêté, je voulais finir ma tablette. » me répondit-elle dans un regard complice.

« Waw, trop excitant! »

Son sexe était tellement mouillé que l’on entendait des bruits de frottement humide à chaque va et vient. Lucie était radieuse, empalée sur mon pieu, effectuant une danse imaginaire de tout beauté. Son corps était en plein éveil. De mon coté, l’humidité de son sexe recouvrant régulièrement mon pénis n’était rien d’autre qu’un pur bonheur. Je me penchais vers sa poitrine couverte de gouttelettes de sueurs, et je l’embrassais à pleine bouche, essayant de gober ses seins. Je léchouillais ses tétons, les mordillais, étant aux frontière de l’extase. Lucie se coucha alors sur le ventre, et je continuais à mon tour les aller retour, en profitant de l’occasion pour lui mettre un doigts dans l’anus, ce qui ne fit qu’accroitre sa jouissance.

« Pas que le doigt, vas-y, encule moi frangin! Je la veux dans mon cul » me supplia-t-elle.

Il ne fallait pas me le dire deux fois. Toutefois, je ne répondis pas à cette attente instantanément.. Cessant de la pénétrer afin de bien m’appliquer dans ma tâche, je passai un second doigt dans son anus, puis trois, quatre. Mon pouce seul ne se fraya pas d’entrée, car je ne souhaitais pas faire mal à ma soeur préférée, et rompre par dessus le marché, cet instant magique. Son anus était en train de se dilater progressivement.

« T’attends quoi là? Bon sang, vas y à la fin! » gronda-t-elle.

Je finis donc par répondre à ses prières, et j’enculais ma soeurette, délicatement. Le soupir entendu, me confirma que le résultat plaisait à Lucie.

« Repense à l’enfance, à notre complicité, à notre amour de frère et soeurs, ça t’excite? » lui demandais-je.

Mais Lulu n’était plus là. Elle venait de se redresser et avait enfoui à nouveau mon pénis dans sa bouche. La sensation était encore meilleure que précédemment, comme si Lucie voulait cette fois ci, me montrer toute l’étendue de son talent. Elle utilisait toutes les parcelles de sa langue râpeuse sur mon gland, afin de me rendre sensible à chaque coup de langue. Mais je ne souhaitais pas que ça se termine ainsi. Le coté surexcitant me donna une dernière idée.

« Attends, j’ai une idée », lui dis-je subitement.

« Chic, vas-y! » me dit-elle, apparemment ravi par avance.

Je me mis donc face à ma soeur qui était étendue sur le lit, sur le dos. De la manière la plus simple qui sembla le décevoir, j’étais sur le point de la prendre en position du missionnaire afin de terminer cette magnifique joute charnelle.

« Le missionnaire, mais tu déconnes frangin! » me dit ma soeur, en faisant une moue qui en disait long.

« Pas tant que ça… »dis-je. « Tu es d’accord que dans un sens, niveau dépravation, on peut penser qu’il n’y aura guère pire dans notre vie sexuelle…baiser sa soeur : même le jour où tu te fais prendre par 3 gars en même temps, le société ne t’en voudrait pas autant. Mais c’est pour ça que c’est super excitant. Alors, le missionnaire, y’a pas mieux: je veux te regarder dans les yeux à l’instant où je vais décharger mon sperme en toi. C’est mon dernier fantasme! »

« Comme tu voudras » répondit-elle, apparemment un peu plus convaincue.

Je glissai donc mon pénis dans son vagin, repensant à toutes les choses que j’avais accompli pour en arriver là. La douceur était toujours aussi délicieuse, et les yeux de Lucie qui me fixait, me firent comprendre qu’elle ne m’avait pas attendu pour jouir. J’espérais bien l’attendre avant l’explosion finale pour lui en donner encore un peu. Mais je me rendis compte qu’il manquait une chose pour que l’acte soit parfait. En continuant mes va et viens à l’intérieur de ma soeur, je baissai mon visage, et j’ouvrais ma bouche. Nos bouches se refermèrent l’une sur l’autre tandis que nos langues se serraient l’une contre l’autre, dans une danse exquise. Je pense que ce fut l’un des plus longs patins que je roulai de tout ma vie. Je ne voulais pas que cet instant se termine. Les rares moments où je voyais le visage de Lucie ne me permettaient que de reprendre ma respiration avant de recommencer cette valse langoureuse. Un vrai baiser d’amoureux, tout avait été fait. Rouler une pelle à sa soeur tout en la baisant, tellement simple, et si excitant en même temps, car ce n’était plus un simple bisou d’enfant. Ces longs baisés mêlés à l’effleurement de la belle poitrine de Lucie contre mon torse me firent presque oublier l’instant fatidique. Au moment de jouir, je regardais ma soeur avec respect, un petit sourire complice au bord des lèvres. Lucie me fixait également, ne laissant pas paraître le moindre sentiment de culpabilité: elle semblait tout simplement heureuse et épanouie. Mon sperme sortit par saccades et vint crépir le fond du sexe de Lucie, qui eut au passage, son second orgasme. Mais nos regards enchantés furent soudain emplis d’amertume…ce que nous venions de faire était délicieux, mais c’était terminé…chaque bonne chose à sa fin, et déçu autant que satisfait, je me retirais du sexe de ma soeur, qui toutefois, me surprit avec un petit sourire en coin. Elle me dit, joyeusement:

« Dis moi, la nuit, c’est jusqu’à quelle heure? Parce que là, il n’est que 4 heures, alors, repose toi un peu…mais pas trop, une nuit, ça peut être si court… »

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