Je laide à sortir de la baignoire, je ne voudrais pas quelle se blesse maintenant que jarrive à mes fins. Je passe dans son dos, la serre contre moi et à laide dune serviette, je lui sèche les seins, le ventre et passe rapidement sur son sexe.
Elle semble complètement perdue, elle se demande ce qui va lui arriver. Je lui prends la main et la conduit jusquà ma chambre :
— Installe-toi ! jen ai pour 5 min, je prends une douche rapide
Je me déshabille en vitesse, passe sous la douche et décide me soulager un peu, je glisse directement deux doigts dans ma chatte, elle est inondée, je ne me souviens pas avoir mouillée autant un jour, je suis dans un tel état que le simple fait de diriger le jet de la douche sur mon clito pendant quelques secondes me suffit à jouir.
Jen veux plus mais je suis patiente et surtout je ne veux pas que Christine sendorme avant que je la rejoigne.
Je me lave et me sèche rapidement, enfile une petite nuisette et attrape lhuile de massage.
Christine est allongée sur le ventre mais elle lève la tête en me voyant arrivée. Je la sens troublée car moi jai enfilé un vêtement alors quelle est complètement nu sur mon lit.
Je suis en train de vivre un rêve.
Je mapproche delle et lui propose un petit massage, je sais quelle ne pourra pas résister.
Et effectivement, elle sinstalle au milieu du lit et attend que mes mains se posent sur elle.
Je monte sur le lit et me pose à califourchon sur elle, je nai pas mis de sous-vêtement, et mon sexe rentre en contact avec ses fesses, cest bon, jadore ça.
Je commence par lui masser la nuque, les épaules, je descends mes mouvements jusquau bas de son dos, lhuile de massage aidant, mes mains glissent sur sa peau comme elles glisseraient sur de la soie.
Je me décale afin lui masser les jambes, son petit pied, sa cheville, je remonte sur son mollet, son genou, sa cuisse, et enfin son sexe sur lequel je ne passe que très rapidement.
Et comme dans la baignoire, je moccupe de sa deuxième jambe.
Je sens ma Christine tout fébrile. Elle aime ça mais a certainement peur de sauter le pas.
Je décide de passer aux choses sérieuses.
Japproche une de mes mains de son sexe mais je me contente de leffleurer, je mallonge tout contre elle et glisse ma deuxième main sous son ventre, remonte et lui attrape un sein.
Tout contre son oreille, je lui souffle :
— Tu veux toujours que jarrête ?
— .
— Alors ?
— Non.
— Non quoi ? dis le moi
— Jai envie de toi ! me dit-elle
— Alors prouve le moi.
Et elle recule son bassin pour rentrer en contact avec ma main restée là.
Ça y est, on y était arrivé, enfin, jallais faire lamour avec une femme.
Mes doigts caressent les lèvres de son sexe, les écartent, massent son clito. Je rentre un premier doigt, ma Christine mouille terriblement, je rentre un deuxième et un troisième aussitôt comme je laurais fait pour moi.
Je les enfonce à fond, les retire et les approche de son petit cul, elle est tellement humide quil nest pas difficile de lubrifier son petit trou, je fais pénétrer très facilement mon index elle lève les fesses et jessaye de mettre un deuxième doigt, il rentre tout seul.
Pendant que je lui doigte son petit cul, ma deuxième main sactive sur sa poitrine et lui pince son téton, elle gémit.
Après quelques minutes, je viens mallonger entre ses jambes, jai la chatte de ma Christine à quelques centimètres de ma bouche, je vais pouvoir la gouter, jai déjà eu loccasion de lécher mes doigts après mêtre masturber mais là cest différent.
Je lui fais soulever légèrement le bassin et approche tout doucement mon visage. A laide de mes deux mains, jécarte ses magnifiques lèvres et plonge directement ma langue dans son sexe béant.
— Ho mon dieu, que cest bon ! me dit-elle.
Je ressors ma langue et donne des petits coups sur son clito, tourne autour, javale ce petit bout de chair et laspire.
Avec ma bouche, je remonte sur sa chatte et bois tout son jus, elle mouille tellement, jadore ça.
Je me recule un peu et rentre deux doigts dans sa chatte, Christine soupire, se contracte, et avance son bassin pour que mes doigts la pénètre encore plus.
Je glisse un 3ème doigt, tandis que mon pouce appuie sur son clito.
Jaimerais tellement être un homme à ce moment précis, pour lui enfoncer mon sexe au plus profond, pour la sentir autour de moi, pour pouvoir jouir en elle.
Je maperçois assez rapidement, que 3 doigts ne suffisent plus, jen glisse un 4ème.
Je me demande si ma main entière ne passerait pas, elle est tellement ouverte. Jai toujours rêvé me faire fister, mais tous les hommes qui ont essayé avaient de trop grosse main.
Jinstalle Christine sur le dos et lui pose un coussin sous les fesses.
Elle mexcite tellement, je mallonge sur elle et lui lèche les seins, lui mordille les tétons.
Fini le temps de lhésitation, elle attrape ma nuisette et me la retire. Nos seins se frottent et nous nous embrassons, sa langue se mélange à la mienne.
Je redescends sur son cou, sa poitrine, son ventre si doux, et revient me coller entre ses jambes.
Jattrape ma lampe de chevet pour la diriger vers cette chatte toute humide, je ne veux rien louper.
A laide de mes doigts, jétale toute sa mouille sur son sexe et sur ma main et de nouveau, je recommence à la doigter, un, deux, trois et quatre doigts.
Christine gémit, elle ondule les hanches, rien que de voir son sexe tout ouvert, je sens que je ne suis pas loin de jouir..
Je commence à glisser mon pouce avec les 4 autres doigts déjà à lintérieur de ma belle, et appuie tout doucement, je ne veux pas lui faire de mal.
Je donne des petits coups de langue sur son clito quand je sens son vagin se contracter sur ma main, et surtout quand jentends le cri de ma chérie, peur de lui avoir fait du mal, je nose plus bouger. Je relève la tête, et la voit en train de se caresser les seins, ma toute belle venait davoir son 1er orgasme de la soirée.
Jattends quelques secondes que la tension redescende et recommence à bouger ma main, je lenfonce millimètre par millimètre jusquau moment cela bloque un peu.
Je ressort ma main, un flot de mouille en profite pour couler le long de son sexe, je me lance dans un nouvel essai, et au moment, ou je commence à ressentir une résistance, je vois ma Christine, à laide de ses mains, écarter son sexe. Elle sappuie delle-même sur ma main. Après quelques secondes deffort, ma main entière glisse en elle, cest tellement jouissif.
Mes doigts commencent à caresser les parois du sexe de ma belle, ma bouche redescend sur son clito et la lèche. Elle se crispe, se contracte, elle cherche à accentuer la pression en soulevant le bassin.
En faisant cela, elle libère le passage sur son petit cul et à laide de ma main encore libre, je lui caresse son magnifique petit trou si serré, elle mouille tellement que son jus sest glissé jusquà là, il nest donc pas difficile de glisser un doigt dedans.
Ses soupirs sont de plus en plus bruyants, il semble évident que nous avons dû réveiller mes voisins.
Un deuxième doigts se glissent dans son petit trou et je commence mes aller-retour, à travers la paroi, je sens ma main toujours présente dans sa chatte.
— Ho oui, ho oui, encore ! me répète-t-elle sans cesse
Je pénètre un troisième doigt dans son cul. Elle est totalement écartelée ;
Je salive sur son clito et le mordille, Christine attrape mes cheveux et plaque mon visage contre sa chatte au moment précis où elle a son deuxième orgasme.
Je retire mes doigts de son petit cul et enlève tout doucement ma main. Javale tout le jus qui sécoule de ce trou totalement ouvert.
Pendant que Christine reprend sa respiration, je prends ma lampe de chevet et lapproche de ce sexe, je naurais peut-être plus loccasion de voir lintérieur dune chatte daussi près. Cela mexcite terriblement et jen profite pour glisser ma main entre mes jambes, cest linondation, jai joué les femmes fontaines pendant que je caressais Christine.
Mon petit bouton est tellement sensible, que quelques pressions et 3 doigts dans mon sexe me font jouir.
Jéteins la lampe, et mallonge à coté de mon plus beau fantasme (qui dailleurs nest plus un fantasme depuis ce soir), elle me prend dans ses bras, membrasse dans le cou et me glisse à loreille :
— Merci.
Elle glisse une jambe par-dessus la mienne, se cale contre moi et sendort.
Après quelques instants, je finis moi-même mendormir. .
