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Les expériences sexuelles des soeurs Ukazovà – Chapitre 21




« Je te fais bander, hein ? C’est bien dur là-dessous ! »

Maintenant Eva palpe cette protubérance entre ses doigts :

« Je suis sûre que tu n’as jamais vu de fille nue assise à côté de toi, et qui te tripote en plus ! Je veux voir cette queue bien raide ! »

Eva semble être totalement désinhibée. Elle défait les boutons de la braguette et fourrage à l’intérieur avant de ressortir un membre de taille honorable et raide comme un morceau de bois.

« Mmmm ! Regarde comme il bande, n’est-ce pas, chéri ? » Dit-elle, en se mettant à agiter le sexe avec sa main.

Radu ne semble plus savoir ce qui lui arrive. Sans doute n’osait-il même pas imaginer que ça prendrait une telle tournure !

Eva poursuit son petit numéro :

« Mets-toi tout nu, Radu ! Bob adore me voir faire des choses osées avec d’autres hommes devant lui ! » Radu, follement excité, a tôt fait de se retrouver nu comme un ver, sa bite dressée à l’horizontale. C’est alors qu’il me voit me dévêtir, exhibant une queue aussi raide que la sienne.

« Alors j’ai deux queues pour moi toute seule ? » Eva se penche vers moi, (je me suis rassis), et touche ma bite avec sa main gauche. Quant à Radu, impatient, il est, debout, face à Eva, qui avance sa main droite sur sa bite. C’est qu’il a maintenant une vue totale de la nudité d’Eva : ses seins, son ventre, son sexe… Son regard ne sait plus où se poser.

« Tu aimes mes nichons ? Touche-les, palpe-les, fais-leur ce que tu veux ! » Eva joue l’aguicheuse, et Radu ne se fait pas prier : il se penche pour saisir ces délicieux pis laiteux à pleine main et les tripoter avec frénésie. En même temps, Eva masse avec application le mandrin de chair de Radu :

« Tu as une belle bite, Radu ! Je ne voudrais pas que tu jouisses trop vite, ça serait dommage ! » En même temps le massage appuyé de ses seins commence à provoquer en elle un début d’excitation.

« Attends ! Je me lève !… » Un peu surpris, Radu la laisse faire. Une fois debout, elle se dirige vers la table : « Je peux m’assoir dessus ? ». La table est carrée, en plastique assez épais, solide donc. Eva repousse les vêtements qui sont dessus et s’assoit, sur un coin de la table, face à moi, en écartant les jambes, m’offrant une pleine vue sur sa vulve.

« Viens donc, et excite-moi avec tes doigts ! Ramone-moi le minou ! Il faut que Bob me voie bien… » Radu se place, debout, à la droite d’Eva et met trois doigts dans sa vulve et commence à la ramoner. En même temps, il penche sa tête pour pouvoir sucer son sein droit.

« Mmmm ! Tu fais ça plutôt bien, petit vicieux ! C’est Daniela qui t’a appris ça ? »

Radu lâche un instant le téton pour dire, tout excité : « Oh oui ! Il y a deux mois déjà, et on l’a refait depuis ! »

« C’est bien, ça ! » se contente de répondre Eva, tandis qu’elle sent les doigts de Radu fouiller son intimité, et que l’excitation commence à la gagner :

« Mmmm ! Oui ! C’est bon ! Ouiiii….. Vas- y ! Encore ! Mets quatre doigts ! Fouille-moi bien ! Ramone-moi bien ! » Eva se laisse aller ; elle a maintenant les cuisses écartées de manière obscène. Je vois, étant très près d’elle, sa mouille qui enduit les doigts de Radu, lequel ramone frénétiquement avec quatre doigts sa chatte. Je bande comme un âne.

Puis je me lève, et me plaçant, debout, à la gauche d’Eva, je lui caresse la cuisse, tandis que mes lèvres s’attardent sur son sein gauche :

« Tu es vraiment bandante, chérie ! J’adore t’entendre crier de plaisir sous ses doigts ! Je voudrais qu’il te fasse jouir et que tu mouilles bien. Ensuite je viendrais lécher ta cyprine jusqu’à la dernière goutte ! »

Eva a les yeux mi-clos ; elle semble ailleurs… Ces doigts vigoureux qui ramonent sa chatte frénétiquement ; elle ahane, elle gémit, elle émet des borborygmes incompréhensibles. Puis tout explose… Un couinement presque bestial… Un râle… La cyprine qui coule. Je pousse doucement Radu et renversant Eva sur la table, je plaque ma bouche sur sa vulve et lape avec ma langue ce nectar, fruit de son merveilleux orgasme.

« C’était bon, ma cyprine, mon chéri ? J’ai bien joui… Même un orgasme, je crois … ». Elle est assise sur le bord de la table, et nous sommes debout face à elle. Elle reprend, en regardant nos sexes toujours raides :

« Hum ! Je vais m’occuper de vos queues ! »

Radu lui tend son verre de vin, et elle en boit quelques gorgées. Puis elle se remet debout. Après quoi, nous l’entraînons, chacun par une main, à un endroit, tapissé d’herbe, plus confortable que le sol cimenté de la terrasse. Elle se met à genoux et nous lui présentons nos bites. La bouche et la langue d’Eva, maintenant bien rodée à ce genre d’exercice, font merveille.

Elle commence par lécher ma bite sur toute sa longueur avant de me sucer les couilles. Puis elle fait la même chose à Radu, qui semble littéralement se pâmer de plaisir ! Puis elle revient moi, gobant tout le gland et un bout de ma queue avec sa bouche, puis la faisant coulisser. La sensation est indescriptible, d’autant plus, qu’elle lève les yeux vers moi, comme pour me dire : « Je te suce bien, chéri ? »

Quand elle revient vers Radu et qu’elle fait coulisser sa bite dans sa bouche humide, on sent qu’il a beaucoup de mal à se contrôler. Et quand Eva, en prime, se met à lui tripoter les couilles, c’est plus qu’il ne peut tenir. Il n’a à peine le temps de dire un :

« Oh ! Oui ! Oh ! Ouiiiii » que sa semence gicle en jets épais. Eva en reçoit une partie dans la bouche, le reste atterrit sur son menton, son nez et sa joue. Ensuite elle provoque chez lui un quasi-orgasme, en se remettant à sucer sa bite avec une sorte de frénésie, cherchant à le faire rebander, par tous les moyens, usant de ses mains pour lui tripoter les couilles. Dans un ultime élan, elle s’offre une audace que je ne lui connaissais pas encore, en glissant son index droit entre les fesses de Radu, à la recherche de sa rosette, et, l’ayant trouvée, à lui doigter l’anus tout en lui suçant la bite. Radu qui n’en peut mais, jouit une fois de plus sur la langue d’Eva.

« Eh, bien, ma salope ! Je ne pensais pas que tu oserais ça ! » Je me plante devant elle, toujours à genoux, tandis que Radu se repose de sa double fellation !

« Tu es une vraie petite cochonne, et je t’adore comme ça ! Ma jolie pompeuse de queues ! Tu vas me sucer et me doigter le cul aussi ! »

La prestation d’Eva m’a terriblement excité. Maintenant je tiens Eva par la nuque, tandis qu’elle fait entrer dans sa bouche autant de bites qu’il lui est possible d’avaler… À en avoir la bouche déformée. Autant dire que ça ne fait qu’amplifier mon excitation. Puis elle entreprend, avec difficulté, de me sucer. Puis, alors que sa main gauche presse mes couilles, sa main droite s’aventure sur mes fesses. Je sens son index s’engager dans la raie avant de se poser sur mon petit trou. Elle le titille un moment avec le bout du doigt avant de l’engager dans l’anus. Cela fait deux sensations terriblement excitantes qui se cumulent. Puis elle se met à tourner son doigt dans mon anus. Une jouissance folle me saisit :

« Salope ! Pute ! Ouiiii ! J’aime sentir ton doigt dans mon cul ! J’aime sentir ta bouche me pomper le dard ! J’aime ta main qui me tripote les couilles ! Cochonne ! Salope ! Tiens ! Tiens encore ! »… Mes couilles se vident, des jets de foutre s’échappent. Eva en reçoit dans la bouche, sur les lèvres, les joues… Elle lèche avec application le gland, puis tout le membre, sans oublier les couilles. Pour terminer, elle ose une chose que je ne lui avais jamais encore demandée : elle me fait retourner, et avant d’en d’avoir compris la raison, elle glisse sa langue dans la raie de mes fesses… Quand je sens la pointe de sa langue chaude et mouillée, titiller mon petit trou, je ressens une excitation inconnue jusque là, si bien que je rebande !

Et, de nouveau, la main gauche d’Eva qui empoigne ma queue, entamant une seconde masturbation. La sensation est extraordinaire : le visage d’Eva littéralement collé à mes fesses, sa langue qui titille, autant qu’elle le peut, mon petit trou et sa main qui s’active sur ma bite. Tant et si bien qu’elle parvient à me faire jouir une seconde fois !

Elle se relève alors, satisfaite. Affalé sur son siège, Radu récupère un peu, un verre de mousseux à la main. En même temps il profite du panorama que lui offre Eva : une jolie paire de fesses rondes avec une raie bien marquée, des cuisses légèrement dodues et une chute de reins à damner un saint. Il se dit que cette fille, si bandante, « mérite qu’on s’occupe d’elle, mieux que cela ».

Puis Eva et moi retournons nous assoir un moment autour de la table. Radu en profite pour compléter nos verres et nous buvons le vin avec délectation.

« Si j’avais su j’en aurais pris deux bouteilles… Il en reste à peine la moitié ! » constate Radu.

« De toute façon, nous devrons arrêter dans une petite heure au plus ! » dis-je, en consultant ma montre, qui marque 19h.

« Je crois que vous pourrez rester plus longtemps… » Radu s’interrompt et jette un coup d’il vers la maison des voisins. Une silhouette se détache de la pénombre à la fenêtre située juste en face de nous. On nous regarde. On a vu ce que nous faisions aussi, sans doute. Quant à nous deux, assis, le dos tourné à la fenêtre nous ne remarquons rien. Radu se lève :

« Je vais chez les voisins, ils ont toujours des bonnes bouteilles en réserve ! Peut-être pourrai-je en avoir au moins une ! Je reviens dans un moment. Rhabillez-vous quand même par précaution, pendant mon absence, on ne sait jamais ! » Nous dit-il, tout en se rhabillant.

Nous le laissons aller, tandis que nous nous interrogeons sur ce brusque changement d’attitude.

Un bon quart d’heure plus tard, Radu est de retour, tenant une bouteille de mousseux dans chaque main :

« Deux bouteilles ! Ca fait beaucoup, non ? Surtout que nous devons partir bientôt… » Dis-je.

« C’est que nous avons… Des invités !… » Fait Radu, avant d’ajouter :

« Vous pouvez rester jusqu’à 21h au moins… Mes parents ne reviendront pas avant et s’il le faut j’irai prévenir Daniela que je vous garde un peu plus longtemps ! »

Je me dis que Radu a vraiment tout prévu, à moins qu’il ne manigance quelque chose. Je ne crois pas si bien dire ! A notre grande surprise, nous voyons apparaitre deux hommes. Sans façon, Radu nous les présente : il y a là deux frères, Ion, environ 25ans et Petre, qui doit avoir une vingtaine d’années.

Radu apporte deux chaises et une petite conversation s’entame, tandis qu’on ouvre une bouteille. Eva est restée à côté de moi, jusqu’à ce que Radu, lui demande de se placer en face de nos visiteurs, ce qu’elle fait avec quelque réticence. Je la sens nerveuse, un peu inquiète, même, car elle me chuchote :

« Deux de plus… Je n’avais pas pensé à ça… Et puis leur façon de me regarder… Heureusement que tu es là, Bob ! ».

Ces regards braqués sur elle, sur ses cuisses nues, ces regards qui la déshabillent. Elle en éprouve d’abord un sentiment de honte et de gêne, auquel, peu à peu se substitue un autre, plus trouble, celui de se sentir le centre d’intérêt de mâles qui apprécient ses formes et son corps, bref d’avoir ce statut envié de « bombe sexuelle » qu’elle s’était attribué, avec quelques raisons, d’ailleurs !

Si bien que lorsque Radu l’invite à se lever, elle se sent déjà plus assurée. Cependant, elle met une condition, sachant bien ce qui va se passer : « J’aimerais que ce soit Bob qui me dirige ! » Radu ne fait pas d’objection. Et j’énumère mes ordres :

« Marche lentement tout en enlevant ta robe… Mets-toi intégralement nue ! » Elle retire sa minirobe et la pose sur un coin de la table.

« Défais ta coiffure ! Libère tes cheveux ! » Elle retire ses pinces à cheveux, et ceux-ci tombent en désordre sur ses épaules, la faisant ressembler à une excitante sauvageonne. Maintenant elle se trouve devant les deux frères qui doivent bander dur avec cette fille à la peau laiteuse, nue devant eux.

« Maintenant, fais ce qu’ils veulent ! Obéis-leur ! Une expérience de soumission ! Pour voir comment tu sens cela ! » Eva se tourne pour me voir ; je m’attends à quelques hésitations, mais elle me fait un signe d’approbation.

Elle a l’air de paraître devant un tribunal, étant debout, nue de surcroît, face à ces deux jeunes hommes assis, vêtus, eux, et qui la scrutent sous toutes les coutures. Elle sent leurs regards insistants sur ses seins, sa vulve, son ventre. Elle lit dans leurs yeux, l’excitation, surtout celle que peut procurer une sexualité débridée, basée sur la soumission… Sa soumission à leurs désirs.

« Tu es vraiment bandante, Eva ! C’est ton prénom, nest-ce pas ? » Elle fait « oui » de la tête.

C’est Ion qui parle : « D’abord tu vas nous sucer, mais sans nous faire jouir. Ensuite, on va s’occuper de ton vagin et de ton petit trou. Maintenant, Radu va apporter quelque chose pour que tu puisses te mettre à genoux, puis tu vas ouvrir nos braguettes, sortir nos queues, et nous sucer à tour de rôle. Si on te touche pendant ce temps, tu te laisses faire… Compris ? »

« Oui… » Répond-elle, tout en me lançant un regard comme pour quêter un encouragement de ma part. Je lui fais un signe de tête, puis elle s’agenouille sur un coussin aplati, entre les jambes dIon, et entreprend de mettre son sexe à l’air libre. Puis elle fait de même avec Petre. Si le sexe dIon, est dans la moyenne, celui de Petre l’est un peu au- dessus. Eva le trouve même peut-être un brin plus gros que celui de Bob !

Maintenant, de nouveau à genoux devant Ion, elle commence à sucer sa queue, toujours avec application. Petre la regarde faire, attendant son tour. Eva toute nue avec sa bouche qui suce le sexe de son frère… Ça l’excite… Il s’apprête à agir quand Eva se relève pour venir s’agenouiller devant lui et le sucer un moment. Cette bouche chaude et mouillée… Cette façon de sucer… Petre est aux anges.

Quand Eva se replace devant Ion, Petre avance sa main gauche pour lui caresser le dos. Puis il descend jusque sur ses fesses, qu’il tripote avec gourmandise. Eva est un peu gênée dans son action mais elle sait qu’elle doit se laisser faire… Quand elle revient sucer Petre, c’est la main gauche dIon qui s’attarde sur sa vulve…

« Maintenant, lève-toi, petite cochonne ! Tu as déjà été enculée ? » La question est directe, et Eva répond posément : « Oui, plusieurs fois ! » Dit-elle en jetant un regard dans ma direction.

« Parfait ! » répondent ensemble les deux frères en se déshabillant. Et très vite, ils sont nus, avec une trique monumentale. Puis ils se rassoient. Ion, qui dirige maintenant, installe Eva en travers de ses genoux. Ses mains caressent fébrilement ce corps à la peau laiteuse, si douce au toucher. Quant à Petre, il s’est bien rapproché et Eva a tôt fait de sentir ses mains, parties, elle, à la découverte de ses recoins intimes. Elle sent la main droite de Petre s’insinuer entre ses cuisses en direction de sa vulve, et les doigts dIon se glisser dans la raie de ses fesses :

« Ecarte tes cuisses et laisse-toi faire ! Tu es ici pour nous faire jouir et jouir aussi ! Et tu vas jouir comme une folle… Et que tu sois soumise, donc que tu fasses tout ce qu’on te demande ! » Eva est un peu ennuyée car cette expérience, toute nouvelle pour elle, n’était pas prévue. Ce devait être un trio classique avec Radu, moi et elle, et voilà qu’elle se retrouve avec deux inconnus qui attendent d’elle une soumission totale à leurs désirs !

« Heureusement que Bob est là ! » se surprend-elle à penser… Et elle écarte ses cuisses. Aussitôt, elle sent les doigts de Petre, atteindre sa vulve puis s’enfoncer dans son vagin, tandis que l’index de Ion, s’aventure sur les bords de son cratère anal.

Elle a à peine le temps d’éprouver un sentiment de honte de se faire fouiller ses recoins intimes devant témoins qu’elle commence à ressentir un début d’excitation. D’autant plus que les deux frères accompagnent leur « exploration » de commentaires salaces :

« Tu as un joli cul, Eva, et ton petit trou commence à être assez souple pour que nos bites puissent y entrer, sans que ton ami nous prépare le passage ! » Dit Ion

« Tu as un bel abricot bien juteux, à ce que je sens, et ton vagin est un fourreau bien agréable pour nos bites ! Il me tarde de ramoner ta belle cheminée… Tu mouilles comme une salope… Tu aimes te faire doigter, nest-ce pas ? » Renchérit Petre.

Propos bien crus, qui font rosir les joues d’Eva, et parviennent même à l’émoustiller, à son corps défendant. Si bien qu’ils ne se priveront pas d’utiliser ce même langage, à son égard.

« Et tes délicieuses mamelles qu’on a envie de téter sans arrêt ! » Reprend Ion, qui, joignant le geste à la parole, se met à lui téter le sein gauche, tandis que Petre, se penchant sur elle un peu plus, se met à lui téter l’autre sein. Au bout d’une minute, Eva se sent gagnée par l’excitation, surtout que les doigts des deux hommes poursuivent leur exploration dans sa vulve et dans son anus.

Sa respiration devient plus saccadée, tandis qu’elle se met à gémir doucement, les yeux mi-clos, la bouche entrouverte.

« Regardez cette salope ! Mais c’est que mademoiselle Eva est excitée ! Elle aime avoir des doigts dans son trou du cul et dans sa chatte ! Elle aime se faire sucer les tétons ! Elle mouille ! Elle a sûrement envie de se faire baiser en public, de se faire sauter devant son ami ! De jouir… De jouir… ! » C’est Ion qui continue son numéro… Jusqu’à ce que Petre ajoute :

« Je voudrais qu’elle demande elle-même à se faire sauter par nous trois (il désigne Radu), devant son ami. Qu’il la voit se faire prendre par tous ses trous en même temps, et l’entendre jouir comme une folle. Et qu’il se masturbe devant un tel spectacle ! »

« Hum ! C’est une bonne idée ! Je parie qu’elle n’a jamais été prise par trois hommes en même temps ! Elle va prendre un pied d’enfer ! Eva, demande ça toi-même, comme une soumise que tu dois être ! » Ion est toujours à la manuvre, et Eva se trouve prise au dépourvu, n’ayant pas imaginé que ça irait jusque -là. Entre temps, la conversation a amené les deux frères à interrompre leurs tripotages.

Encore une fois elle regarde de mon côté, attendant mon approbation. C’est le résultat de cette fidélité indéfectible qui nous unit : tout acte sexuel dans lequel elle se trouve impliquée avec d’autres que moi doit avoir mon aval. Un regard, un léger hochement de tête ; j’approuve, tout en ajoutant à leur adresse :

« Attention, elle n’utilise aucun moyen de contraception ! Que celui qui aura sa bite dans son vagin prenne garde ! » L’avertissement ne les trouble pas.

« Que dois-je dire exactement ? » Elle ne peut dissimuler une certaine gêne.

« Dis : Baisez-moi à fond, vous trois, remplissez mes trous avec vos bites ! » C’est Petre qui s’est exprimé. Eva descend des genoux dIon, tandis que Radu se lève :

« Baisez-moi… À fond, vous trois, remplissez mes… Mes trous avec vos… Bites ! » Elle a buté un peu sur les mots, mais tout est dit : ils sont là, debout, autour d’elle.

Puis ils l’entraînent vers l’endroit où l’herbe est assez épaisse pour en faire un tapis protecteur. Petre s’allonge sur le dos. Puis on pousse Eva à s’allonger à plat ventre sur lui, tandis que Petre place le gland de son sexe raide sur l’entrée du vagin. Puis il écarte ses jambes, invitant Eva à faire de même. Ensuite, Ion se place derrière Eva, à genoux entre ses jambes écartées et celles de son frère ; il s’est rehaussé un peu en utilisant le vieux coussin. En se penchant en avant, sa bite peut se placer entre les fesses d’Eva. Et en tenant celle-ci par les hanches, il peut faire pénétrer une partie de sa bite dans son petit trou. Une fois qu’ils sont en place, Radu, va prendre un gâteau à la crème et le tend à Ion. Voilà qui fera office de lubrifiant. Puis Radu vient s’agenouiller face à Eva. Elle voit son sexe dressé à hauteur de sa bouche.

Tout est en place. Elle sent quelque chose de mou qu’on étale autour de son anus : c’est Ion qui applique la crème du gâteau, censée faciliter la pénétration. « On y va ! »

Elle sent d’abord deux mains se poser sur ses hanches, tandis que Radu prend sa tête entre ses mains : « Allez ! Suce ! » Lui ordonne- t-il. Elle ouvre sa bouche. En même temps, elle sent la bite de Petre pénétrer son vagin. Elle panique un peu quand, en plus, c’est la queue dIon qui essaie de franchir les bords de son anus. Elle va crier au moment où Ion parvient à forcer l’entrée de sa rondelle, quand Radu lui enfonce sa bite dans sa bouche. Elle est prise de partout.

Bien sûr, dans de telles postures il n’est pas évident de tout faire à la fois. Tout se fait en trois temps Ion ramone deux ou trois fois le cul d’Eva, puis s’interrompt le temps pour Petre de faire la même chose dans le vagin. Et bien sûr un troisième temps où les deux bites s’activent en même temps dans leur trou respectif. Moment redouté pour elle avec ces deux queues raides qui coulissent dans deux orifices si proches. Elle crie sans retenue :

« Aïe ! Doucement ! N’allez pas trop vite ! Ca fait mal ! »

Enfin, elle crie cela quand sa bouche n’est pas obstruée par la bite de Radu… Elle sent aussi le dard enfoncé dans son vagin… Il ne faudrait pas que Petre s’oublie et jute dedans ! Tout cela la fait bien mouiller… Et cette bite dans le cul aussi ! Enfin quand ils ne la ramonent pas en même temps… Là l’excitation est telle qu’elle en devient douloureuse. Et bien sûr, il y a Radu qui veille à bien se faire sucer.

Je suis tout près de là et je vois ma chère Eva prise en sandwich : un délicieux morceau de viande à baiser… Elle crie, elle gémit, elle râle, avec Ion qui, en appuyant sur ses hanches, fait entrer un peu plus la bite de Petre dans son vagin. Avec Radu qui la réduit au silence en lui fourrant sa bite dans sa bouche.

Et puis en plus des plaintes d’Eva, il y a ces propos orduriers que le trio lui adresse :

« Salope ! Pute ! Cochonne ! Tu aimes te faire défoncer par tous tes trous ! »

« Putain à bites ! Tu aimes te faire enculer ! Salope ! Chienne ! »

« Suceuse de queues ! Lécheuse de bites ! Avaleuse de foutre ! »

Etc… Etc… Etc…

Eva a chaud, elle transpire. Elle est excitée aussi… Il faut dire que le tombereau de mots crus qu’on déverse sur elle, a un effet pervers : loin de l’abrutir, de la rabaisser, ils finissent même par provoquer chez elle une excitation malsaine, activant sa sécrétion de mouille, à sa grande honte.

« Cochonne ! Je te baise le cul ! Ouiiiiii ! »

Elle sent une giclée de foutre au fond de son petit trou. Elle angoisse quand Petre essaie de dégager son sexe du vagin. Elle sent le sperme tiède se répandre sur son bas-ventre. Puis elle finit par satisfaire Radu, avalant même son sperme. Tout le monde se relève péniblement.

Eva constate, soulagée, que si son bas-ventre est tartiné de foutre et que les lèvres de sa vulve en ont pris aussi, rien n’a pénétré dans le vagin. Elle s’apprête à revenir sur la terrasse, quand ils l’entourent, tous les trois :

« Tu es une sacrée coquine ! Fais-nous encore un plaisir… Et comme elle les interroge du regard, ils lui lancent : « Branle-toi devant nous ! Laisse-toi aller ! Jouis encore si tu peux ! »

« Vous alors ! Vous n’en avez jamais assez ? » Elle soupire. « Bon, puisque vous le voulez… »

Elle approche son index de son bas ventre englué d’un mélange de sperme et de mouille, et commence à titiller son bouton de rose. Elle se rend compte que Petre est un sacré vicieux : il s’est mis à genoux, le visage à 20cm de la vulve d’Eva et il observe sa masturbation… Le frottement du bout du doigt sur le clitoris, le grossissement de celui-ci… Puis les geignements de plaisir d’Eva, et la masturbation frénétique qui précède la jouissance, l’explosion du plaisir, et la quasi-éjaculation que constitue le petit jet de cyprine. Petre passe son doigt sur la vulve et recueille un peu de cette cyprine qu’il lèche avec délectation. Eva ne peut s’empêcher de lui sourire. Puis tous, nous revenons sur la terrasse.

Je consulte ma montre : il est quasiment 20h…

« Je me sens dégoûtante, j’aurai bien besoin de me laver ! » me dit Eva en examinant son corps. Le sperme sèche mais l’odeur est là. Puis elle ajoute, à mon intention :

« Ces cochons m’ont fait jouir comme une folle ! Et toi, tu t’es bien masturbé, mon chéri ? » Et, à ma réponse positive, elle m’embrasse sur la bouche.

Radu, qui s’est habillé à la hâte, s’éloigne, en nous disant qu’il va prévenir Daniela que nous reviendrons plus tard. Quelques minutes après il est de retour : « C’est fait ! » Dit-il, laconique.

Nous sommes toujours nus et les deux frères ne cessent de lutiner Eva, mains baladeuses à l’appui ! En attendant, nous achevons de vider la deuxième bouteille de mousseux, ce qui nous rend tous un peu euphoriques ! Puis Eva s’enquiert auprès de Radu de la possibilité de se laver. Ce dernier la conduit dans la salle de bain pour qu’elle prenne une douche. Entre temps, les deux frères se décident à rentrer chez eux, si bien que lorsqu’Eva revient dans la cour, lavée et habillée, elle ne retrouve plus que Radu et moi, et toujours nus !

J’imagine la déception de Radu de voir Eva ayant remis sa minirobe ! Et finalement, nous nous habillons à notre tour. Après quoi, Radu apporte un peu de cola pour « faire passer » le mousseux. Il est presque 20h45 quand nous décidons de rentrer. Radu nous accompagne jusqu’à l’entrée, et nous donne rendez-vous pour le lendemain à 10h pour la baignade.

Nous nous dirigeons vers le chalet. Nous y sommes depuis quelques minutes, quand on frappe discrètement : c’est Daniela qui vient tout juste de rentrer. Radu aurait donc commis un petit mensonge ?

A suivre…

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