Chapitre 5 : Des années plus tard

  Un an s’est écoulé et Angela nous a quitté pour aller à l’université. Cela a été très difficile pour tout le monde, mais c’était la meilleure chose à faire : elle ne pouvait pas mettre en péril son avenir juste parce qu’elle nous aimait et qu’elle aimerait rester près de nous. Sa sur et moi avons continué de baiser en son absence, mais ce n’était plus pareil sans elle. Chaque weekend, lorsqu’elle revenait, nous n’en avions plus que pour elle. Nous la choyions et lui donnions tous notre amour. Elle nous a confié une fois à quel point elle avait hâte chaque semaine de revenir nous voir pour qu’on fasse l’amour tous ensemble, et que sans ça, elle ne pourrait jamais tenir le coup vu la dureté de ses études. J’eus de la peine pour elle, mais je fus heureux que nous puissions l’aider à notre façon.

  Des années plus tard, après que Nancy ait été diplômée et trouvé un travail, elle a prit un appartement rien que pour elle. Cela m’a déchiré le cur, mais c’est moi qui l’en ai convaincue alors qu’elle n’en avait pas très envie au début. Moi aussi, je ne demande pas mieux que de l’avoir toujours près de moi pour vivre pleinement notre amour, mais cela n’aurait pas paru normal aux yeux du monde qu’elle continue à vivre chez son père à son âge. Au final, cela n’a pas changé pas grand chose. Elle habitais non loin de moi, et nous passions de toute façon tout notre temps chez l’un ou chez l’autre.

  Quand Angela fut diplômée à son tour, elle est allée vivre avec sa sur. J’ai essayé de lui faire la même leçon qu’à Nancy, de lui expliquer que ce genre de choses pouvaient paraitre étrange et qu’il fallait l’éviter pour conserver notre secret, mais elle s’est montrée trop têtue pour m’écouter, et Nancy était trop enjouée par l’idée pour m’aider à l’en dissuader. J’ai fini par abandonner. Je ne sais pas si je suis plus inquiet pour elles que jaloux de les savoir ensemble tandis que je suis à l’écart. La solitude me pèse. Elles viennent me voir tous les jours, et nous faisons l’amour aussi souvent qu’avant, mais je supporter mal de devoir dormir seul la plupart du temps. Leur chaleur me manque. Je les aime tellement.

  Aujourd’hui, elles ont vingt-cinq et vingt-sept ans, et cela fait maintenant sept ans que nous nous aimons. Sept années de pur bonheur et de débauche. Jamais je n’avais imaginé à l’origine que cela durerait aussi longtemps ; et quelque chose me dit que c’est loin d’être terminé. Je pensais qu’elles finiraient par se lasser de moi, qu’elles rencontreraient quelqu’un et qu’elles partiraient vivre leur vie, mais non. Je suis toujours leur seul homme et elles continuent de me dire qu’elles n’ont besoin de personne d’autre. Cela me touche profondément.

  Elles ont incroyablement grandi. Elles sont devenues plus mature, mais elles sont toujours aussi belles. J’ai toujours autant de plaisir à leur faire l’amour. Mes petites filles sont devenues de véritables femmes indépendantes et je suis on ne peut plus fier d’elle. À mon grand plaisir, elles n’ont rien perdu de leur perversité, ni moi de ma vigueur ; cependant, avec l’âge, elles ont développé de nouveaux besoins. J’aurais dû me douter que ça allait arriver. Je ne sais pas pourquoi, avec notre différence d’âge et notre situation particulière, je n’y avais jamais songé.

  Un jour, Nancy vient me voir à la maison en m’expliquant qu’elle veut avoir une discussion sérieuse avec moi. Sur le coup, je panique, je pense qu’elle veut rompre avec moi, ou quelque chose de ce genre. Je crois que mon cur n’y survivrait pas. Finalement, il s’agit d’une autre chose tout aussi troublante :

Papa, je…

Elle interrompt sa phrase.

Oui, ma princesse ? lui dis-je pour l’encourager à poursuivre.

C’est un sujet assez délicat, je ne sais pas comment l’aborder.

Ne réfléchit pas trop. Lance-toi. Tu sais que tu peux tout me dire quand-même depuis le temps.

Je sais, mais ce que je vais te dire pourrais avoir beaucoup d’implications pour toi et pour nous. Cela me fait un peu peur.

  Présenté comme ça, à moi aussi ; mais je tente de garder mon calme.

Voilà, je… J’ai aujourd’hui vingt-sept ans, et je commence à avoir des envies des femmes. Je dirais même… de mère… Je souhaiterais avoir un enfant.

  Je déglutis. Je ne sais pas si je dois me sentir soulagé ou effrayé. Je la laisse continuer :

Et il n’y a personne d’autre que toi que je voudrais pour être son père, me confie-t-elle. Je sais que c’est dingue, mais je t’aime. Tu es l’amour de ma vie. Je ne peux pas concevoir l’idée d’avoir un enfant avec quelqu’un d’autre.

  Je reste bouche bée. Je ne sais pas quoi répondre. Je la fixe comme une statue les yeux écarquillés.

Dis-moi quelque chose, papa. N’importe quoi !

Je… je ne sais pas quoi te dire, ma chérie, fais-je enfin quand je trouve le courage pour prendre la parole. C’est quand-même quelque chose ce que tu me demandes. S’aimer et faire l’amour, c’est une chose, mais ça, c’est différent.

J’en suis bien consciente.

Tu es sûre que c’est ce que tu veux ? Tu y as bien réfléchis ? Je veux dire… Je serais à la fois son père et son grand-père… Et ce serait à la fois ton fils ou ta fille, mais aussi ton frère ou ta sur… Ça serait étrange, non ?

Je sais…

Et puis… nous ne pourrons jamais lui dire qui est son véritable père. Il faudra garder le secret. Les gens se poseront des questions ; et lui aussi en grandissant. Est-ce que tu te rends compte de ce que ce serait ?

Oui, je m’en rends bien compte. C’est pour cela que j’y ai beaucoup réfléchis avant de venir t’en parler. Je sais que ce ne sera pas facile et que ce sera très compliqué, mais j’en ai tellement envie que je suis prête à affronter toutes les épreuves. Ce sera mon bébé, je lui donnerais tout mon amour et je l’élèverais comme tu m’as élevé. Qu’est ce que tu en penses ?

  Pas exactement comme je l’ai élevé, je l’espère. Je sens que son cur bat la chamade. Elle a un air si sérieuse. Je réalise à quel point c’est important à elle ; ce qui me met encore plus mal à l’aise.

Je… je n’ai jamais songé à avoir d’autres enfants que vous, dis-je. Je ne sais pas trop quoi y penser. J’ai… j’ai besoin d’un temps de réflexion.

Tout ce que tu veux, promet juste moi d’y penser, d’accord ?

Promis, ma puce.

  Après cela, nous nous embrassons et faisons l’amour. Elle insiste pour que nous fassions ça dans son ancienne chambre, comme lorsqu’elle était plus jeune. Je l’encule en levrette et elle me fait jouir sur son visage, puis nous faisons une sieste l’un contre l’autre.

  Les jours qui suivent, Je réfléchis tout le temps à la question. D’un côté, cela me fait envie : avoir un nouvel enfant, de mon bébé d’amour en plus, mais c’est aussi une lourde responsabilité. Même si je ne serais pas officiellement son père, je remplirais ce rôle sous le prétexte d’être son papy. Je commence à me faire vieux, suis-je prêt pour ce genre de choses ?

  Cela ne va pas en s’améliorant quand Angela vient me faire la même demande quelques semaines plus tard. J’aurais dû m’en douter. Elle et Nancy en ont longuement discuté, et elles veulent un enfant de moi toutes les deux. Elle m’assure qu’elle en prendra toute la responsabilité et que je n’aurais pas à m’en occuper, mais quel père indigne je ferais si je la laissais se débrouiller toute seule ? Il ne s’agit pas de faire un simple don de sperme, ce sera mon enfant à moi aussi. MES enfants. Je ne veux pas faire ça sur un coup de tête juste pour leur faire plaisir. Cependant, si je refuse, je sais que je briserais à jamais quelque chose en elles, et cela me fait peur.

  Le temps passe sans qu’elles ne viennent m’en reparler. Elles ne me demandent jamais si j’ai pris une décision. Elle me laisse réfléchir et je les en remercie. Plus j’y pense, plus je dois dire que l’idée me séduit. Ce sont mes petites femmes, quoi de plus naturel finalement de leur faire des enfants ? Je commence à fantasmer sur l’idée de voir leurs ventres ronds avec à l’intérieur le fruit de notre amour. Ce n’est pas tant l’envie qui me manque, mais je suis plutôt bloqué par la peur des complications que cela va engendrer et des risques que nous soyons découvert. Puis finalement, je succombe. Je ne me suis jamais arrêté à ça auparavant, j’ai toujours vécu au jour le jour avec elles. Je sais que cela nous rendra heureu, et qu’il y aura toujours un vide dans nos vies si nous ne le faisons pas.

  Je me rends un soir chez mes filles pour leur annoncer la nouvelle. Elles ont été si heureuses lorsque je leur ai dis que je voulais être le père de leurs enfants. Pour fêter ça, nous avons fait l’amour tous les trois. Nancy a sorti son nouveau gode ceinture et nous avons pris Angela en double, ce fut ensuite son tour. Elles ont joui plusieurs fois, puis elles m’ont aidé à éjaculer en me suçant toutes les deux. Après toutes ces années, je ne me lasse toujours pas de les voir à genoux devant moi en train de prendre soin de ma queue. Elles me lèchent les boules, joue avec mon gland ; elles veulent désespérément mon sperme. Je finis par éclater dans la bouche de Nancy. Elle me prend entièrement, puis partage ma semence avec sa sur. Mon jus coule d’entre leurs bouches sur leurs corps de femmes. Le tableau me comble de bonheur. Mes deux petites femmes à moi.

  Nous avons décidé d’attendre plusieurs jours après qu’elles aient arrêté la pilule pour nous y mettre sérieusement. Le jour où j’estime qu’il est temps, je vais chez elles. Angela m’accueille en m’expliquant que Nancy bosse tard ce soir et qu’elle ne sait pas quand elle rentrera. Ce n’est pas grave. Nous discutons un peu, elle me dit qu’elle est prête et nous partons dans sa chambre. Enfin, dans celle de sa sur, officiellement, mais l’autre ne sert que pour sauver les apparences vu qu’elles dorment tout le temps ensemble. Elle me lance un regard amoureux, m’embrasse fougueusement, puis s’agenouille pour me faire une fellation. Je gémis de bonheur.

Tu aimes, papa ?

Ooh, mon chaton. Ce que j’aime quand tu me suces.

Moi aussi, j’aime.

Elle fait durcir mon gros bâton d’amour dans sa bouche et salive beaucoup pour le préparer. Cela doit lui faire bizarre autant qu’à moi. Bientôt, il va éclater en elle pour lui faire un bébé.

  Je la déshabille et joue avec ses seins. Elles n’ont pas grossi, ils sont restés aussi petits, mais je les adore toujours autant. Elle soupire quand je lui mordille les tétons. Elle a toujours été très sensible à cet endroit. Elle s’assied sur le lit en écartant les cuisses pour me présenter sa chatte. Elle n’a pas changé, elle se rase toujours. Je viens la lui lécher comme un affamé. Ses lèvres sont gonflées, elle mouille beaucoup, et je la bois avec amour. Elle se met à quatre pattes sur le lit pour que je la prenne en levrette. Je m’approche derrière elle. Je m’apprête à la pénétrer quand elle me demande de l’enculer.

Tu dois jouir dans ma chatte, mais cela ne nous empêche pas de nous amuser avant, se défend-t-elle.

Oooh, mon petit ange.

Je m’enfonce dans son rectum et lui baise le cul. Je crois que ça doit être ma position préférée avec elle, à quatre pattes, soumise comme une chienne. Elle a toujours aimé être dominée, et ce trait s’est affiné au fil les années ; mais même si elle assume sa sexualité, elle a gardé son air innocent et est toujours un peu honteuse de ce que nous faisons. Je l’adore comme ça.

Oh, papa, je t’aime. Défonce-moi ! me supplie-telle. La tête dans l’oreiller.

  Je m’en donne à cur joie. Je veux lui faire sentir tout ce que je ressens pour elle. Combien je l’aime, que je suis fou amoureux, que j’ai envie de son corps de déesse qui me fait toujours autant fantasmer. Je monte sur elle et lui dilate le fion. Elle mouille tellement que sa cyprine coule sur les draps. Je la fais jouir une fois, puis je la prends en missionnaire. J’aime pouvoir échanger nos regards et nos baisers. Je suis allongé sur elle. Elle me garde contre son torse en me tenant par les épaules.

Ravage-moi, papa. J’ai besoin de ton amour.

Oh, mon ange. Je t’aime si fort.

  Mes mots sont doux, mais je la baise pourtant comme une trainée. Je lui donne des coups puissants en la pénétrant jusqu’au raz des couilles. Je sais à quel point elle aime ça de sentir que je me sers d’elle, que j’ai besoin d’elle pour me faire du bien. Elle a autant besoin de donner que de recevoir pour jouir.

Vas-y, papa. Ne te retiens pas. Éjacule pour moi.

Je veux te faire jouir d’abord, dis-je en guise de protestation.

J’ai déjà jouis une fois, c’est ton tour. Je veux que tu te vides dans mon vagin.

Oh, ma puce, j’en ai tellement envie.

Vas-y.

    J’obéis et la lime encore plus fougueusement. Je cherche à me faire jouir sans me soucier d’elle. Cela fait trois jours que je me retiens pour ce moment, cela devient insoutenable. J’ai désespérément besoin de ma délivrance. Elle m’enlace avec ses jambes autour de mon bassin et me presse contre elle. Elle m’invite à la prendre et à la remplir.

Je ne vais plus tarder à venir, ma chérie, dis-je.

Viens, papa ! Viens dans ta petite fille !

Mon chaton… mon amour…

Mon pauvre papa chéri.

  Ça y est, je craque, je sens les prémices de mon éjaculation arriver. C’est tout bonnement divin. Je pousse un grognement et elle comprend ce qui est train de m’arriver.

Oui ! Oui ! m’encourage-t-elle. Vas-y ! Remplis-moi !

  J’explose dans son vagin et lui envoie plusieurs giclées de sperme.

Oh oui, papa ! C’est bon ! Continue ! Fais-moi un enfant ! Je veux être enceinte de toi ! Aaaaah !

À ma grande surprise, je la sens jouir à nouveau. Mon orgasme ne s’est toujours pas arrêter. Je cherche à lui donner autant de foutre que possible comme si ça pouvait faire une différence. Mes coups de bassins ralentissent au fur et à mesure que je redescends sur terre. Je m’allonge auprès d’elle une fois terminé. Nous sommes tous les deux en train de reprendre notre souffle.

Papa ! Je suis si heureuse !

Moi aussi, mon bébé.

Tu m’as bien remplie, commente-t-elle en jouant avec sa chatte. J’espère que cela va marcher.

On ne s’arrêtera pas d’essayer, fais-je confiant.

Elle se pelotonne contre moi, quand sa sur débarque quelques instants plus tard :

Angela ! s’exclame-t-elle scandalisée.

Bah quoi ? répond l’intéressée.

    Je ne comprends pas non plus sa réaction.

Je suis la plus grande et j’ai demandé en premier ! Ce n’est pas juste ! Il faut toujours que tu n’en fasses qu’à ta tête !

Ne t’inquiète pas, ma puce, lui dis-je pour la rassurer. Je ne suis pas trop fatigué. Je peux remettre ça, suffit d’attendre quelques minutes.

  Ça a l’air de la calmer un peu.

Je vais vous laisser tout les deux, dit Angela en se levant. Ce moment n’appartient qu’à vous.

Elle quitte ainsi la chambre en fermant la porte derrière elle.

Je suis toujours allongé sur le lit, à moitié relevé en me soutenant par mes coudes. Nancy me fixe du regard, ou plutôt, elle fixe mon sexe ramolli d’un air troublée.

Tu es prête, ma chérie ? Tu veux toujours que je te fasse ton enfant ?

Plus que jamais, m’assure-t-elle.

  Elle s’approche de moi et prend ma queue dans une main. Elle me branle un peu mais je reste mou. Elle entreprend alors de me sucer. Ma bite doit avoir le gout du jus de sa sur et de mon sperme, mais cela n’a pas l’air de la déranger, au contraire. Après plusieurs minutes, je sens que ça commence à redevenir bon et je durcis partiellement. Cela l’excite et elle s’applique davantage pour s’assurer que je sois bien raide. Quand c’est le cas, elle ne perd pas une seconde : elle se déshabille complètement de la tête au pied et vient me chevaucher. Elle insère minutieusement mon sexe dans sa chatte déjà coulante puis s’empale dessus.

Aaah ! Oui ! soupire-t-elle.

Ça va, ma princesse ?

Oui, beaucoup mieux.

Elle commence son va-et-vient et je la maintiens par les hanches. Ses seins remuent au rythme de ses mouvements. Ils me donnent faim d’elle. Elle a un corps magnifique. J’en suis si fier. C’est moi qui l’ai faite avec sa mère ; et bientôt, elle sera mère à son tour.

Oooh, papa. Tu n’imagines pas combien c’est bon de baiser après une dure journée de boulot.

Ma pauvre chérie. Je le sais bien au contraire. J’étais si heureux d’avoir deux anges pour m’accueillir quand je rentrais. Vous preniez si bien soin de moi.

  Je me relève pour l’embrasser et je l’enlace contre moi. Nous baisons assis. Je lui donne des coups de bassins comme je peux pour mieux sentir l’intérieur de sa chatte. Nos bouches ne décollent pas l’une de l’autre et nos regards ne se quittent pas. Ce moment est si intense, comme deux amoureux. Elle ondule pour se donner du plaisir, les sensations que cela me procure sont incroyables. Je lâche ses lèvres pour son cou. Je lui fais un véritable suçon, avant de descendre vers ses seins. J’attrape ses tétons en bouche et les aspire comme un bébé. Je les mordille, je sais qu’elle aime ça. Elle gémit en me pressant contre elle. Je passe de l’un à l’autre, puis enfonce ma tête entre les deux en reprisant bruyamment pour humer son odeur. Elle sent l’amour.

    Elle me plaque brusquement contre le lit et augmente le rythme en posant ses mains sur mes épaules. Elle se déchaine sur ma queue comme une furie. J’ai envie de me nourrir de ses deux pointes qui me narguent, mais elle contrecarre mes tentatives en me maintenant fermement. Les traits de son visage sont tordus par le plaisir. C’est si bon de voir sa propre fille vouloir autant votre bite au fond d’elle. Elle est si femme, je suis si fier de ce qu’elle est devenue. Ma petite fille a tellement grandi.

  Elle se penche vers moi pour m’embrasser. Nos langues s’entremêlent. Je l’enlace contre mon torse et la couvre de caresses. J’en profite pour lui donner des coups de reins qui la font frémir. C’est dur d’être passif, j’ai envie de la prendre sauvagement mais elle a totalement le contrôle.

  Comme si elle cherchait à me frustrer, elle se relève pour s’échapper de mon étreinte. Pire, elle se retourne pour me chevaucher de dos. Je ne peux plus la voir comme je le voudrais. Elle se positionne de façon à pouvoir le mieux s’empaler sur ma queue, et rebondit sur moi avec force. Je pose mes mains sur ses hanches et savoure les sensations qu’elle me procure. Sa chatte coulisse le long de ma tige. Elle se laisse retomber lourdement sur moi pour mieux me sentir. Elle respire bruyamment. J’ai du mal à savoir si elle se sert de moi pour se faire plaisir, ou si elle se sert de son corps pour m’en donner. Les deux, sans doute.

Papa, j’aime tellement ta queue, me dit-elle. Je suis accro !

Moi aussi je suis accro. Accro à ton vagin, à ton cul, à tout ton corps. Tu es si belle. J’ai tout le temps envie de toi.

Je suis à toi, pour toujours. Je suis ta chose. Dés que tu as envie, tu n’as qu’à venir me prendre, jJe ne pourrais jamais te dire non.

Ooh, mon ange, je n’ai jamais su te dire non, non plus.

Je n’en peux plus, je me mets à la bourrer moi aussi. Nous remuons ensemble pendant un moment, puis elle s’immobilise pour que je la lime puissamment.

Ouiiii ! Papa ! Putaiiiiiiin !

Aaaaah ! Nancyyyyyy !

  Nous sommes bruyant. Le lit grince. Sa sur qui est juste à côté ne doit rien rater de nos ébats. Je ne serais même pas étonné qu’elle soit en train de nous observer en se masturbant. Cette idée m’excite

.

  Je m’arrête, épuisé, c’est alors elle qui reprend notre chevauchée. Mes mains deviennent baladeuses et lui attrapent les seins. Je suis tellement frustré de ne pas pouvoir la regarder ni de la sauter comme j’en ai envie, mais ces frustrations m’excitent aussi énormément.

Oh, papa. Je ne vais plus tarder à jouir. Et toi ? Tu as envie de venir pour moi ?

Oui, ma puce, je n’en suis plus très loin.

J’aime tellement cette sensation quand tu éjacules en moi. J’en suis folle ! J’ai tellement envie de te sentir éclater. Je veux être remplie de sperme ! De TON sperme ! Du sperme de mon papa !

Oh, oui, ma princesse, je vais te remplir si tu continues comme ça, je ne vais plus pouvoir me retenir.

Ne te retiens pas ! Je te veux ! Je t’aime, papa !

Je t’aime Nancy !

  Je suis à l’agonie. J’ai jouis il n’y a pas si longtemps, mais ma queue réclame déjà une nouvelle délivrance. Elle n’en peut plus de garder tout ce foutre pour elle.

Papa ! Je t’en supplie ! Fais-moi un enfant ! Je veux porter ton bébé !

Moi aussi, ma puce, je veux que tu sois la mère de mon enfant.

Alors vas-y, ensemence-moi ! Fais de moi une maman !

Aaaaaah !

  Ses mots m’ont achevé ; je sens ma queue éclater. Je déverse de grosses giclées de sperme dans son vagin affamé. Elle crie, elle jouit avec moi. C’est incroyable. J’ai l’impression que sa chatte cherche à me traire. Je veux la remplir pour la mettre enceinte. Cet enfant sera le pur fruit de notre amour.

    Elle s’écroule sur moi. Ma bite pulse quelques ultimes fois pour lui envoyer mes derniers jets. Quelle soirée ! J’ai éjaculé dans mes deux filles. Mes couilles sont vides. Ce n’est pas facile d’essayer d’engrosser ses deux femmes. Je récupère avec la fière sensation du devoir accompli. J’enlace ma petite princesse et lui embrasse tendrement le cou. Nous ressemblons à un vrai couple. Ma queue ramollit et sort naturellement de son vagin. Un filet de sperme s’écoule de sa chatte. Elle essaie de retenir mon précieux jus d’une main. C’est bien la première fois.

  Angela entre tout de suite dans la pièce, toujours nue. Je m’en doutais, elle nous a observé tout le long comme une perverse. Ni moi, ni Nancy ne lui faisons la leçon. Après tout, faut avouer que nous aimons ça. Elle nous rejoint dans le lit et se serre contre nous. Nous nous endormons ainsi tous les trois. Heureux et repus d’amour. Je sombre dans le sommeil avec cette pensée étrange que mes deux filles sont remplies de mon sperme, et qu’elles vont bientôt porter mes enfants.

  Les semaines qui suivent, mes petits anges n’arrêtent pas de me solliciter pour essayer que je leur fasse leurs bébés. Je n’ai jamais été aussi éreinté. Dès que je baise avec une, il faut que je baise avec l’autre pour ne pas la rendre jalouse. J’ai l’impression qu’elles me prennent juste pour une réserve de sperme ; Sauf que je ne suis pas une machine, moi ! J’ai besoin de repos de temps en temps ! Je suis un peu frustré de ne plus pouvoir éjaculer ailleurs que dans leurs chattes. J’ai souvent envie qu’elles m’avalent ou de les souiller de foutre, hélas ma semence est devenue bien trop précieuse pour elles pour la gâcher de cette façon.

  Je les prends généralement séparément, mais nous ne pouvons pas nous empêcher de faire malgré tout quelques parties à trois. Ce sont les plus fatigantes, car j’ai à peine le temps de jouir dans l’une, que l’autre réclame tout de suite son injection. Elle fait tout de suite tout pour me faire rebander, et mes filles m’excitent tellement que cela marche à tous les coups.

Allez, papa, tu rebandes ! Saute-moi maintenant !

  Je n’ai aucun répits, mais j’ai tellement envie d’elles que je n’arrive pas à protester.

  L’autre inconvénient de nos petites orgies, c’est de gérer leur jalousie. Durant nos ébats, je commence par en baiser une quelques minutes, puis l’autre, puis de nouveau la première, et ainsi de suite. Malheureusement, je ne contrôle pas toujours dans laquelle je vais éclater en premier, je me laisse juste aller, et quand je n’arrive plus à me retenir, je me lâche dans le trou que je suis en train de défoncer. Cela fait toujours des histoires.

Ce n’est pas juste ! Je voulais être la première ! se plaint la lésée.

  Elles vont avoir ma peau… Comme l’autre fois, par exemple. Elles étaient toutes les deux à quatre pattes devant moi. Le vue était insoutenable, avec leurs culs relevés en offrande et leurs chattes trempées qui me suppliaient de venir les prendre. J’ai craqué. Je leur ai sauté dessus et j’en ai pris une comme un malade pour me faire du bien. Je changeais régulièrement de partenaire pour leur donner du plaisir à toutes les deux. Je ne savais plus où donner de la bite. Dès que j’étais dans l’une, l’autre criait :

Baise-moi, papa ! Moi aussi je veux ta queue ! Pitié ! Défonce-moi la chatte avec ton gros bout d’amour !

Non, papa ! Ne m’abandonne pas ! protestait l’autre. S’il te plait ! Je ferais tout ce que tu veux, mais ne t’arrête pas de me sauter !

    Je suis devenu fou ; mes deux petites filles qui réclament désespérément mes coups de triques. C’était trop. Quand j’ai fini par éjaculer dans le vagin d’Angela, sa sur m’a fait toute une scène…

  Pour se faire pardonner, Angela est venue me sucer pour me rendre de nouveau dur. Nancy n’a pas bougé et attendait son tour. À la seconde où je me suis remis à bander, je l’ai rebaisée. Je l’ai ravagée aussi fort que je pouvais jusqu’à m’en faire jouir dans sa chatte.

    À force de copuler autant, ce qui devait arriver arriva : elles tombèrent toutes les deux enceintes. Nancy fut la première, je ne l’avais jamais vu aussi joyeuse ; contrairement à sa sur qui faillit tomber dans la dépression. Elle avait peur qu’elle ne le soit jamais. Pour l’aider à se sentir mieux, j’ai redoublé d’effort. Nancy nous a laissé le champ libre afin que je puisse me consacrer uniquement à elle. Elle m’a supplié presque tous les jours pour que je la prenne et que je me serve d’elle pour éjaculer. J’admets que j’en ai bien profité. Elle est si belle, si mignonne. C’est un tel bonheur de souiller ma petite fille et de l’inonder de sperme. J’ai été tellement heureux pour elle quand elle est venue me montrer son test de grossesse positif.

  Je suis aux anges. Je vais être papa à nouveau. Cela m’excite davantage de savoir que ce sont mes petites filles qui portent mes bébés ; elles, cela leur fait surtout très drôle de se dire qu’elles portent leur propre petite frère ou petite sur. Quand j’y pense, notre famille est vraiment devenue dépravée. Angela espère que ce sera une fille, Nancy, un garçon. Je leur souhaite d’avoir ce qu’elles veulent.

  Leurs ventres s’arrondissent au fils des mois. Je les trouve diablement magnifiques. Par chance, elles n’ont rien perdu de leur libido et nous pouvons toujours baiser autant. Je ne sais pas pourquoi, mon plaisir est décuplé de savoir que je saute mes petites femmes enceintes et que ce sont mes enfants qui sont en elles, le fruit de notre amour. Je suis heureux de pouvoir jouir où je veux à nouveau. Le cul de Nancy m’avait terriblement manqué. Angela me laissait encore la sodomiser de temps en temps, mais pas elle. Plus elles grossissent, plus je les trouve belle. J’adore les prendre toutes les deux ensembles et me finir en leur éjaculant à la figure. Je suis un pervers, mais j’aime voir des filets de sperme couler de leurs mentons jusqu’à leurs gros ventres en passant par leurs seins. Elles ne sont pas vraiment plus sage que moi, vu la manière avec laquelle elles jouent avec mon foutre. Ce sont de vraies petites salopes quand elles veulent. Une fois, alors que je l’enculais, j’entends encore Angela me dire :

Vas-y, papa ! Baise la mère de ton enfant ! Fourre-la bien avec ton jus !

  Elle est vraiment folle…

  Elles ont retrouvé leur complicité d’antan. Quand je les imagine en train de faire des choses avec leurs godes rien toutes les deux, cela me rend dur et j’ai envie d’aller les voir pour tirer mon coup.

  Le jour où elles ont accouché, j’étais le plus heureux des hommes. À l’hôpital, quand les docteurs leur demandaient où était le père, elles leur expliquaient qu’ils les avaient abandonnées une fois qu’ils ont su qu’elles étaient enceintes. Cela me faisait sourire. En réalité, leur père était là, juste tout près d’elles, caché sous le masque du grand-père.

    Angela eut une fille qu’elle appela Lily, Nancy un fils qu’elle nomma Sébastien ; c’est exactement ce qu’elles voulaient, j’en suis soulagé pour elles. Nous nous en sommes pas resté là. Deux ans plus tard, elles ont voulu un autre enfant, et moi aussi. Mon ainée mit ainsi au monde une fille, Erika, et ma cadette un garçon, Lucas.

    L’appartement où elles vivaient est devenu rapidement trop petit et elles ont achetés une grande maison. C’est un peu plus loin de chez moi, mais elles n’ont pas pu faire autrement. Cela me rend triste, je me sens isolé. Heureusement, elles savent me faire sentir que ce n’est qu’une impression et qu’elles m’aiment toujours autant.

    Je viens voir mes enfants tous les jours et remplit mon rôle de père autant que je le peux. Je les aime de tout mon cur. Je sais que leur vie ne sera pas facile, mais je veux qu’ils ne manquent de rien. Je continue également à faire l’amour à leurs mères régulièrement. Mes filles parfois se relayent pour passer du temps avec moi. Je passe une soirée avec Angela tandis que Nancy s’occupe des enfants, et vice-versa. À certaines occasions, c’est moi qui joue le rôle du babysitteur tandis qu’elles vont s’amuser toutes les deux. Elles y ont bien droit.

  De temps en temps, je garde les enfants à la maison pour qu’elles puissent profiter d’un peu de liberté. Bon, cela m’écure parfois de passer mes nuits à faire des biberons et mes journées à changer des couches en pensant qu’elles, elles passent leur temps à baiser sans moi, mais bon, c’est ainsi, je dois assumer mes responsabilités.

  Aujourd’hui, je ne souhaite qu’une seule chose : pouvoir rester en vie assez longtemps pour voir mes petits grandir et devenir adulte à leur tour. Je les aime tellement. J’aime TOUS mes enfants. Nous sommes une famille certes très particulière, mais où l’amour ne manquera jamais.

  Les gens trouvent ça un peu bizarre que deux surs, à leur âge, vivent toutes les deux sous même toit, qui plus est avec leurs gosses qui n’ont pas de père, mais elles s’en moquent ; et à vrai dire, moi aussi. Elles sont heureuses et c’est tout ce qui compte. Les années passant, il sera de plus en plus difficile de cacher la véritable nature de nos relations à notre descendance, mais nous n’en sommes pas encore là, alors nous profitons de la vie et vivons pleinement notre amour.

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La rue, version retravaillée – Chapitre 3

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Vers la Réunion – Chapitre 2

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