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Sabrina – Chapitre 1




Sabrina était une jeune fille de 19 ans, assez bien faite, un joli minois, quelques petites rondeurs bien placées… Le genre de fille sur lequel on se retourne dans la rue… Jamais je n’aurais pu imaginer qu’elle et moi aurions pu devenir amants, d’autant plus que c’est la soeur de ma femme. Et pourtant…

Tout à commencé il y a quelques mois de cela… Pour se faire un peu d’argent, elle venait à la maison faire un peu de ménage, cela nous allait bien à ma femme et à moi-même car travaillant tous les deux, on pouvait lui laisser les clés de la maison en toute confiance pour qu’elle puisse venir trois après midi par semaine.

Ce jour là, je rentrais vers 16 heures au lieu des 18h30 habituel. La voiture de Sabrina était garée devant la maison. Je me garais derrière et fus surpris de constater que les volets de la chambre à coucher était fermés… Je pensais que Sabrina ne se sentant pas bien s’était allongée, comme cela était déjà arrivé une foi (elle est sujette à des crises de migraine). Je rentre dans la maison et monte dans la chambre voir si elle avait besoin de quelque chose… La porte de la chambre était entre ouverte, je regarde… La pièce était baignée dans une douce clarté due aux fentes dans les vieux volets de bois qui équipaient encore cette maison. Quelle ne fut pas ma surprise de la voir… Elle était allongée sur le lit, sa chemisette ouverte laissait voir une partie de sa poitrine, son soutien-gorge posé à ses cotés, ainsi que sa petite culotte. Sa jupe, légèrement relevée, ainsi que la position de ses cuisses permettaient de deviner sa toison… Elle tenait dans sa main un des vibromasseurs de ma femme. Elle s’était assoupie, ou, tout au moins elle avait les yeux fermés… Je ne pouvais pas détacher mon regard de ce corps sublime pas complètement dévoilé, mais qui laissait devinait beaucoup de chose… Je sentais un afflux de sang gonflé légèrement mon sexe… Un peu honteux de cette réaction, c’était quand même ma belle soeur, et en plus elle avait près de 10 ans de moins. Jusqu’à présent j’étais plutôt attiré par les femmes de mon âge, la trentaine, voir plus âgées… Mais jamais par des jeunes femmes, au grand désespoir de ma femme qui, elle, voudrait bien faire l’amour avec un couple plus jeune pour une fois, plutôt qu’avec les couples qui fréquentent les mêmes clubs que nous… Mais cela est une autre histoire…

Donc, un peu honteux de mon début d’érection, et surtout troublé par cette vision, je redescendis dans l’entrée, ouvris la porte et refermai immédiatement en la claquant. J’entendais avec un peu d’amusement des bruits de pas rapides venus de l’étage, la porte du placard se refermer.

J’appelais :

— Sabrina, tu es là ?

— Oui, j’arrive, je suis en haut, j’arrive.

Rapidement je la vis descendre les escaliers, elle s’était réajustée, mais n’avait pas remis son soutien-gorge, je ne pouvais pas m’empêcher de me demander si elle avait remis sa culotte.

— Tu rentres bien tôt aujourd’hui, Jérôme

— Oui mon dernier rendez vous s’est désisté, alors pour une fois, j’ai laissé ma secrétaire seule à l’agence… En ce moment c’est le calme plat question ventes… Sinon, qu’est ce que tu as fait aujourd’hui ?, lui demandais je avec un sourire en coin….

Avait elle compris l’allusion ? Je ne saurais pas le dire. Mais bon, la discussion continua un petit moment sur quelques banalités, puis Sabrina me dit qu’elle avait encore un peu de boulot à l’étage et qu’elle voudrait finir… Je la laissais donc remonter réprimant une forte envie de la suivre… Je m’installais donc dans fauteuil pris mon journal et entrepris de lire absolument tous les articles pour chasser de mon esprit l’image qui m’obsédait…

Lorsque Sabrina redescendit je remarquais qu’elle avait remis son soutien-gorge. Elle me dit quelle avait fini et qu’elle allait rentrer. Je lui demandais si elle ne voulait pas attendre sa soeur qui n’allait par tarder à rentrer du boulot, mais elle ne voulut pas. Lorsqu’elle fut partie je montais dans ma chambre afin de me changer. J’arrive devant la chambre et je constate avec effroi que sur le bureau qui est dans le couloir, devant la porte de la chambre est posé mon attaché-case, alors que je n’étais pas sensé être monter à l’étage depuis mon arrivée… Sabrina l’avait-elle vu, ou non… Si elle l’avait remarqué elle devait se douter que je l’avais vue… Je fus tiré de mes réflexions par le bruit de la porte du garage qui s’ouvrait… C’était Marie, ma femme, qui rentrait… Cette nuit là je lui fit l’amour avec une telle fougue qu’elle me demanda qu’est ce qui m’arrivait. Je n’osais pas lui dire que c’était de m’imaginer en train de faire l’amour à Sabrina qui m’excitait tellement…

Le lundi suivant j’étais à la maison lorsque Sabrina arriva pour faire ses heures de ménage. Le lundi c’est le jour de relâche de mon agence. Lorsqu’elle arriva l’image d’elle allongée sur le lit revint à mon esprit. Elle portait un jeans assez moulant et un T-shirt. Je l’accueille dans le couloir et lui fis la bise, chose que je faisais assez rarement. Je lui dis que Marie avait laissé la liste de ce qui avait à faire sur la table à la cuisine. Elle y alla et se mis au travail. Je la laissai vaquer à ses occupations et me plongeai dans la comptabilité de mon agence. Vers 15 h30, Sabrina vint me dire qu’elle avait fini.

— Déjà ?!?

— Oui, Marie ne m’a pratiquement rien laissé à faire aujourd’hui. En fait cela tombe bien, je n’avais pas vraiment la tête à ce que je faisais…

— Qu’est ce qui t’arrive, tu as des problèmes ? Si je peux t’aider, tu me le dis, tu n’hésites pas…

— Ho, c’est pas grand chose, des problèmes de filles…

— AH, là je ne pourrais pas vraiment t’aider, il faudrait plutôt que tu vois avec Marie.

En parlant, elle s’était assise sur le sofa, et je l’avais rejointe.

— En fait, si, tu pourrais m’aider, il s’agit de la semaine dernière…

— Quoi, la semaine dernière, ?

— Tu ne vois vraiment pas ?

— Non, je ne vois pas… Quoi que ! Je vois peut être à quoi tu fais allusion…

Je me sentais un peu bête en sentant le rouge me monter aux joues.

— Je voudrais t’expliquer, me dit elle.

— Ce n’est pas la peine, je comprends très bien ce genre de chose.

— Tu ne l’as pas dis à Marie, dis-moi ?

— Lui dire quoi, que je t’ai vu nue sur notre lit avec son vibro à la main ? Quel intérêt ?

— Merci Jérôme, tu es gentil.

Pendant un moment on parla de tout et de rien, on rigolait bien en fait.

Au bout d’un moment, elle me raconta que cela faisait maintenant 3 mois qu’elle n’avait pas eu de relation, et lorsqu’elle était tombée sur le vibro, elle n’avait pas résisté à l’envie de l’essayer. Je sais pas ce qu’il m’est passé par la tête à ce moment là, mais je lui ai dit qu’en fait celui qu’elle avait trouvé était un vieux truc qui ne servait plus trop, mais que si elle avait regardé dans la table de nuit elle serait tombée sur le gode vibrant qu’on utilisait maintenant.

— Un Gode vibrant ?

— Oui t’en a jamais vu ? Tu veux voir ?

— Non, enfin oui, enfin non, enfin pourquoi pas…

Sa gène m’amusa un peu, je me levais et lui dis de me suivre. Arrivé dans la chambre je sortis l’engin et le lui tendit. Elle le prit en rougissant, je lui montrais la télécommande qui actionnait la vibration. Elle était vraiment gênée, c’était flagrant. Je la regardais avec une petit sourire, ce qu’elle remarqua, elle me dit, plus par bravade, qu’autre chose, que la prochaine fois elle prendrait celui là… Je lui répondis, que si elle voulait elle pouvait essayer immédiatement, en disant cela je m’avançais et la pris dans mes bras. Elle voulut se dégager mais je la maintins fermement.

— Enfin Jérôme, qu’est ce que tu fais ? Arrête !!!

— D’après toi, lui répondis je en faisant glisser une de mes mains sur ses fesses.

— Mais enfin…

Elle ne put pas finir sa phrase car je plaquais ma bouche sur la sienne, ma langue força le barrage de sa bouche qui en fait n’offrait qu’une résistance symbolique. Elle répondait à mon baiser passionnément. Nos langues se mélangèrent dans nos bouches. Je l’entraînais sur le lit, et entrepris de lui enlever son t-shirt ainsi que son soutien-gorge. Quelle vision ! Cette volumineuse poitrine ferme. J’entrepris de lui titiller avec la langue, elle me mit ses mains dans les cheveux, elle aimait ça… Je sentais ses tétons se gonfler sous ma langue. Déjà elle poussait des petits soupirs de plaisir. Je lui enlevais ensuite son jeans et sa culotte. Je la voyais ainsi pour la première fois entièrement nue, elle était sublime. Quelques petites rondeurs sur les hanches (mais je dois avouer que je préfère les femmes avec quelques rondeurs que ces top model squelettiques que l’on voie sur les magazines). Je couvris son corps de baisers, m’attardant plus longuement sur ses tétons et sur son aine en évitant soigneusement de toucher son sexe ce qui la fit gémir. Puis n’y tenant plus j’approchai ma bouche de son sexe et lui titillai son clito, elle se raidit en poussant un grand cri mais se détendit très vite. Elle me dit plus tard que c’était la première fois qu’on lui faisait ça.

Je lui mettais la langue dans sa chatte, agissant comme si elle était un petit sexe en érection… Elle avait l’air d’apprécier si j’en crois la sublime liqueur que je léchais.

Lorsqu’elle me repoussa j’ai craint qu’elle veuille en rester là, mais elle me rassura bien vite. Elle me déshabilla, elle sortit délicatement mon sexe déjà en érection de mon pantalon elle avait l’air impressionnée par la taille, pourtant on me peut pas dire que je sois monté comme un étalon, mais bon, cela flatte toujours l’égo…

Elle me masturba un petit moment et prit rapidement mon sexe dans sa bouche. Elle est sacrement douée, elle alterne des va et vient plus ou moins rapides avec sa bouche au tour de mon manche, jouant de sa langue sur mon gland. C’était fabuleux, tellement fabuleux que je me sentais tout près d’éclater… Je voulais la repousser pour ne pas lui envoyer ma semence dans la bouche, j’ai connu peu de femmes qui aimaient cela, mais elle ne voulut pas s’arrêter. Bien au contraire elle continuait de plus belle en enfonçant de plus en plus profond mon sexe dans sa bouche. Si bien que je déchargeais au fond de sa gorge avec râle de plaisir. Sabrina avala le tout, et elle avait l’air d’apprécier. C’était super, mais je ne voulais pas en rester là. Je la repoussais sur le dos et entrepris de lui travailler de nouveau le clito, elle mouillait la salope.

Tout en continuant de la lécher, j’attrapai le god, et le frottai contre le sexe de Sab afin de le lubrifier avec son jus, et, sans autre forme de préliminaires, je lui enfonçais dans le vagin, ce qui lui arracha un petit cri. Je mis en marche la vibration et commençais à la masturber comme cela. Je me délectais de la voir se tordre de plaisir… Cela me fit l’effet d’un électrochoc, et à ma grande surprise, je sentis mon sexe re-durcir. Plus je continuais de la masturber, plus mon sexe durcissait, presque en m’en faire mal… Lorsque j’enlevais le god , Sabrina avait l’air déçu, mais lorsqu’elle me vit me placer sur elle sa déception se mua en envie. Je plaçais mon sexe devant le sien frottait plusieurs fois mon gland sur sa fente et d’un coup m’enfonçais en elle. Elle hurlait son plaisir, je m’activais sur elle frénétiquement. Nous n’étions plus que de bêtes avides de plaisirs. Elle enroula ses longues jambes autour de ma taille. Je n’allais plus tenir longtemps. Je sentis son vagin se contracter plusieurs fois, c’est à ce moment là que n’y tenant plus je lâchais de nouveau ma semence en elle…

C’était vraiment bon. Nous restâmes un petit moment allongé l’un a coté de l’autre sans rien dire. C’est Sabrina qui parla la première :

— On aurait pas du.

— Pourquoi ? Tu n’as pas aimé ?

— Si, mais quand même, tu trompes ma soeur, et en plus avec moi.

— Tu sais, Marie et moi, nous sommes un couple très libertin, elle a des amants, et elle me raconte tout, et moi je fais de même, la seule chose c’est que je lui dirai pas que cette fois ma maîtresse c’est toi. T’en fais pas.

Ce que je lui racontais, la laissait sceptique, mais la suite prouva qu’elle accepta cette situation… Mais cela est une autre histoire…

Simon 4

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