Ceux qui ne sont pas allergiques aux ébats hétérosexuels, on pu lire dans mon histoire "Bourgeoise remplie au sperme" comment j’ai perdu ma virginité en baisant ma propriétaire, une bourgeoise angevine quarantenaire et très hautaine.

Pour ceux qui préfèrent éviter de lire ce récit plein de copulations orgiaques entre une femme et des hommes au désir incontrôlé, sachez comment les choses se sont passées… et comment je suis passé de cette femme sublime à des hommes qui ne le sont pas moins.

Un soir donc, elle a débarqué chez moi alors que je posai quasiment à poil avec d’autres potes pour en aider un autre à faire des photos pour des sous-vêtements masculins. Elle n’a pas résisté à l’appel des corps musclés et jeunes, surtout celui de Florian un mec métis très foncé, généreusement doté par la nature et dont j’ai compris assez rapidement qu’il fonctionne à la voile et à la vapeur avec, cela dit, véritable faute de goût, une préférence pour le sexe féminin qui lui fait affirmer qu’il n’est pas PD pour deux sous. Nous y reviendrons.

C’est lors de cette fameuse soirée où j’ai perdu mon pucelage que j’ai eu mon premier contact avec un homme, et plus précisément avec la main de Florian qui m’a saisi le sexe un cours instant.

J’avoue avoir toujours été à l’aise dans l’ambiance vestiaire puisque je fais du sport. Je me suis inscrit à la salle de muscu quand je suis arrivé à Angers pour suivre mes études et j’y ai rencontré Florian, plus âgé que moi, avec qui j’ai très vite sympathisé…enfin, rétrospectivement, je me rends compte que c’est surtout lui qui est venu vers moi.

Donc la nudité masculine m’a toujours paru naturelle. Combien de fois ai-je regardé à la dérobée les grappes pendantes et savonneuses sous les douches, combien de fois ai-je vu les mecs jouer avec leur sexe ou même se pisser dessus pour "rigoler", combien de fois ai-je comparé la taille de mes biceps, le modelé de mes abdos, l’épaisseur de mes pectoraux, la pilosité de mon paquet et cette question importante, l’épiler ou le laisser recouvert de sa toison ? Quant à moi, j’ai opté pour l’épilation des couilles mais le maintien du pubis velu mais bien entretenu. Et chez les autres mecs je préfère une touffe dense, un sexe bien poilu, sauf peut-être les couilles et encore… mais ça c’est quand j’y aurais goûté et que je les préfèrerai lisses sous la langue…

Ô ! J’ai bien sûr eu quelques flirts au lycée. Mes mains se sont bien baladées dans des corsages jeunes et frais ou sous des jupes courtes, ma braguette s’est ouverte pour des inspections délicates mais je me suis toujours laissé faire et cela n’a jamais été plus loin. En fait je n’ai jamais fait le premier pas et je ne suis jamais tombé amoureux. Bref, à 19 ans j’étais encore puceau quand cette connasse de propriétaire qui m’avait menacé d’expulsion est rentrée dans mon appart et quand Florian l’a chauffée et que nous l’avons tirée à quatre;  j’ai perdu mon pucelage dans son cul et, deux heures après je me retrouvais dans sa chatte.

Putain oui, j’ai aimé… mais au fond j’ai davantage aimé l’ambiance, j’ai été peut-être plus excité par les bites en érection, par les sexes en action, par le balancement des boules, par l’écoulement du sperme, par les images viriles des queues triomphantes rentrant dans tous les trous, que par la femme elle-même. Certes, elle est bandante mais ce qui m’a poussé, c’est l’exaltation de la puissance masculine pendant l’accouplement.

Et même si cela a été furtif, la main douce et puissant de Florian sur mon sexe ne m’a pas choqué, au contraire, cela m’a plu.

A la fin de ce première soirée, quand nous sommes rentrés à l’appart pour dormir et que Vladimir s’est couché à côté de moi, j’avoue avoir été troublé par son corps magnifique et le galbe parfait de ses muscles, surtout dans le bas du dos.

Et puis il a eu cette partouze au squat (celle que je rapporte dans le chapitre 6 d’une "bourgeoise remplie au sperme").

Dès que nous sommes arrivés j’ai été perturbé par ces mecs jeunes et vigoureux, sans pudeur aucune, se mettant les couilles à l’air et baisant sans gène devant moi.

Et puis il y a eu cette scène quand je me pignolais en regardant Marie-Clotilde ma logeuse, en train de se faire biffler. Je la rapporte telle quelle avec la scène complète (j’en demande pardon à ceux qui l’ont déjà lue dans le chapitre 6 susmentionné).

Lucas, le plus lubrique de tous, s’est approché de moi et il a dit :

–  Toi, j’aimerais voir comment que tu lui pisses dessus. Avec ta gueule de p’tit garçon bien sage on dirait un mec qui va arroser sa mère… vous trouvez pas les gars ?

Deux ou trois mecs ont adhéré tout de suite à cette idée. Un autre a même renchéri :

–  Ouais, j’suis sûr que c’est sa mère ! J’trouve qu’il lui ressemble vachement le p’tit bourge.

–  C’est ta mère hein ? Hein ? T’aime bien la baiser ta maman ?

–  C’est pas ma mère, c’est ma proprio.

A ce stade, j’étais mal à l’aise et il y avait de plus en plus de monde à me serrer dont un colosse, appelé Jacques qui m’a lancé :

–  Tu sais qu’tes aussi bien foutu que ta mère ? J’aime bien les BG avec des culs bien rebondis comme le tien… et puis tout blanc.

Et il me mit carrément deux doigts dans la raie du cul, cherchant le trou pour les y enfoncer. Je me suis dégagé un peu vivement.

–  Et les gars, ça vous dirait quoi si on baiserait (sic) le fils après la mère ?

–  Non, non… c’est pas ma mère et j’fais pas ça avec des mecs moi !

Alors, Marie-Clotilde, qui s’était gentiment tenue a l’écart absorbé qu’elle était à se faire ramoner le cul et à bouffer une grosse paire de roustons, s’est mêlée de l’affaire.

–  Ce n’est pas mon fils. Je n’ai pas d"enfants. Mais ça ne m’étonnerait pas que ce soit une petite tarlouze. Je l’ai bien observé. Il se laisse prendre la bite facilement et mate les paquets des autres garçons avec une certaine concupiscence. N’est-ce pas mon petit Jean ?

–  Mais vous… vous êtes folle… vous êtes dingue de dire des conneries pareilles. Hein Florian ?

–  C’est vrai Florian ? T’as pas encore mis ton gros zizi dans le joli p’tit cul du p’tit jeune homme?

–  Allez; Foutez-lui la paix ! Il s’est rien passé entre lui et moi. A reconnu mon pote

–  OK, OK, tu nous le ramènes dès que tu l’as dépucelé le marmot, D’accord ?

–  Oui gamin, tu vois, nous quand on n’a pas de femme, on s’encule pour passer le temps. Une chatte d’homme dans le fond, c’est comme un trou de balle d’une putain de meuf. C’est aussi bon pour se vider les couilles, reprit Lucas; Et même que c’est bon de se faire prendre, pas vrai Max que t’aime qu’on te pulvérise ta chatte à merde !

–  Ouais, mais pas toi Lucas, t’es un vrai bourrin. Tu fais toujours trop mal confirma le Max en question.

–  En attendant, vous avez une femme là, repris-je pour changer la conversation qui prenait un tour qui m’inquiétait.

–  Te bile pas gamine ! on va juste te laisser peinard et s’occuper de ta maman, mais moi j’veux te voir lui juter à la tronche.

–  S’il n’y a que cela pour vous faire plaisir….

J’ai profité de cette diversion pour recentrer l’action sur ma proprio

–  Tiens, prends ça salope, ça t’apprendra à raconter des conneries.

Quelques garçons m’ont alors félicité.

–  Beau tir !

–  C’est vrai, en plein dans le mille !

–  Et les cartouches, c’est du gros calibre ! Elle en est couverte.

Ainsi soulagé, je me suis retiré en m’approchant de Florian pour lui glisser tout bas à l’oreille :

–  Putain, ils sont craignos tes potes là… pour un peu ils m’auraient violé.

–  Pas violé… t’exagères… mais c’est vrai que tu devrais essayer avec un mec. J’suis sûr que t’es un bon coup.

Je pense qu’à ce moment, si il n’avait pas été occupé par ma proprio, Florian m’aurait fait l’amour… enfin, m’aurait utilisé comme vide-couilles.

Je me suis rhabillé et j’ai attendu patiemment dans un coin que le temps passe en pianotant sur mon smartphone. Je me suis éloigné un peu du baisodrome mais j’entendais toujours les cris de la bourgeoise et les rires, commentaires ou grognements des porcs qui la sautaient.

Et puis, las d’attendre et l’excitation reprenant après la baisse de pression consécutive à mon éjaculation, je suis revenu.

Je suis passé dans la pièce où les mecs qui avaient déjà tiré leur coup ou qui préféraient attendre un peu gisaient sur des matelas tout défoncés et tout crasseux.

Celui qui s’appelle Jacques était allongé sur le côté, appuyé sur un coude. Quand je suis passé, il m’a sifflé a passé sa langue sur ses lèvres a empoigné sa grappe et l’a secouée en me dévisageant d’un air peu équivoque. J’en ai été remué. Il faut dire que ce mec est beau, la peau très mate, une barbe de quelques jours, les aisselles et le sexe poilus, très brun, mais le torse épilé qui dégage des pectoraux puissant, une aréole magnifique et le téton pointu, les cheveux longs, les cuisses velus et musclées… un vrai bonheur.

Dès que j’ai été dans la pièce ou la bourgeoise se faisait bourrer et où Florian m’attendait, j’ai entendu Jacques dire aux autres mecs et suffisamment haut pour que je l’entende : "Putain la petite pute là , je te jure, si elle revient sans sa nounou, je lui casse le cul encore mieux que celui de la bonne femme. Z’avez vu quel bon p’tit cul il a et comment qu’il nous mate ? J’suis sûr que c’est une bonne pipeuse".

J’ai regardé encore les mecs prendre la femme.

Jacques est revenu aussi, en me frôlant au passage, main baladeuse, sexe baladeur….

Il a commencé à ressauter la meuf, lentement en lui flanquant de grands coups violents qui ébranlaient là table et faisaient valser les nichons et à chaque fois qu’il appuyait sa bite au fond il me regardait fixement, avec intensité et défi en mode : "tu vois ce que je veux te faire".

Mais Florian était pressé, il a pris son tour et la niquée puis je l’ai raccompagné;

Dans la bagnole  j’interrogeai Florian.

–  C’est vrai que tu baises avec des mecs ?

–  Tu te calmes. Moi j’suis pas PD, OK ? Quand j’suis en manque de plan cul, y’ a pas il faut que je nique. Alors s’il y a un mec qui me prête son trou pour que j’me vide les couilles, c’est OK. Mais il me touche pas ! Pas de bisous ou de caresses. Il me donne sa bouche et son cul, je l’insémine et basta.

–  Ah… d’accord…. et … c’est comment ?

–  Ça t’intéresse ?

–  Non… non… juste pour savoir…

–  Tu sais, y’a pas de honte. Moi c’est pas mon truc mais je respecte. J’suis sûr que tu aimerais.

–  Ben qu’est-ce qui te faire dire ça ?

Te fous pas de moi ! C’est vrai ce qu’elle a dit Marie-Clotilde que tu mates les bites, même dans les vestiaires, et puis tu te souviens la première fois qu’on a baisé Marie-Clo ?

–  Quoi ?

–  J’tai attrapé la bite pour voir. C’était un test. Un mec qu’est pas PD, il recule. Toi t’as laissé faire…

–  J’me souviens pas;

–  Te fous pas de moi ! J’suis sûr que t’aimerais bien qu’on te lime et ce soir si t’avais voulu… mais bon si un jour tu te décides, pas de problème si j’suis en manque j’te déflore.

–  Trop aimable.

Je suis retourné chez moi et ça me trottait dans la tête… Au fond qu’est-ce que je risquais  ?

Alors je me suis préparé. Je me suis lavé le trou du cul, j’ai pris un tube de gel dans l’appartement de Marie-Clotilde dont j’avais les clefs, laissées dans la voiture et j’y suis retourné, la boule au ventre mais impatient en me disant pendant tout le trajet que je faisais n’importe quoi… que de toute façon, ils auraient les couilles vides à force d’avoir tringlé la femelle… qu’il ne s’occuperaient même pas de moi… bref, le destin déciderait…

Il faisait nuit noire. Je me suis dirigé à l’aide de la lampe de mon portable.

La pièce où Marie-Clotilde se faisait baiser était vide mais celle d’à côté ne l’était pas. Il en parvenait des voix. J’y suis entré. Ils étaient quatre, dont Jacques, tous à poil et en rangers (pourquoi remettent-ils leurs godasses ?).

–  Elle est où ma taulière ?

-Tiens, tiens, revenu ? Hmmm. Tu d’vais pas la reprendre que ce demain matin?

–  Si, si…

Si tu veux la rebaiser, tu vas devoir attendre un peu. Elle était claquée. Elle est partie se reposer sous une tente…. enfin vu comment qu’elle est accompagnée, j’suis pas sûr du repos. En attendant, détends-toi, fous-toi à poil…

C’était un défi. Mais je me suis déshabillé. Alors Jacques s’est levé et s’est approché de moi, en tenant son sexe et en l’agitant?

–  C’est pas prudent d’être revenu comme ça… T’as plus ton garde du corps. Tu sais, j’me suis bien vidé les couilles dans la meuf mais depuis que t’es parti elles ont eu le temps de refaire le niveau…et j’vais être plus long à juter en plus…. j’suis sûr que t’es revenu pur ça hein ? Tu les veux dans le cul mes couilles !

Et il s’est plaqué contre moi. Il m’a passé un bras autour de la taille et m’a flanqué la main disponible contre le sexe. Je me suis mis à bander tout de suite. Et il m’a roulé une pelle.

Il a mis sa main sur mon épaule et a appuyé fermement pour que je plie les genoux.

–  Suce !

J’ai pris la bite à une main et j’ai approché ma bouche du gland.

Évidemment son chibre n’était pas propre. Il sentait la sueur, la pisse et le sperme qui avait séché dans ses poils. Loin de me rebuter, cela m’a enivré. Je l’ai embrassé, suçoté avant de le mettre dans ma bouche pour savourer ma première pipe.

A peine avais-je commencé qu’il me saisit la tête avec violence pour forcer le mouvement et enfoncer son pieu jusqu’au fond de ma gorge, presque à m’en faire vomir.

–  Putain les gaaaars, j’vous avais bien dit que c’était une petite pompeuse. Elle est bonne.

Alors les autres mecs se sont approchés, la queue tendue, et je me suis mis à pomper alternativement.

Jacques est passé dans mon dos, s’est accroupi et à commencer à me doigter.

–  C’est sûr les gars, c’est étroit… Une pucelle ! J’vais te la décapsuler moi ! Allez mets-toi à quatre pattes salope !

Nous sommes allés sur un matelas. J’ai attrapé le gel dans la poche de mon pantalon.

–  Regardez-moi ça. Elle est chaude, elle a tout prévu.

–  Vas-y doucement, c’est la première fois.

–  T’inquiète… j’vais y aller doucement au départ mais après je vais te pulvériser le cul !

Mais bien sûr, il n’en fit rien. A peine avait-il graissé mon trou qu’il y appliqua son gros nud et força tout de suite le passage. La douleur fut terrible. Je manquai m’évanouir et hurlai pour qu’il se retirât.

–  Aïe ! Arrête, arrête putain, tu me fais mal, retire-toi !

Mais, sous le coup de la douleur, j’avais cessé de m’appuyer sur mes bras et au lieu de rester en levrette je me retrouvai allongé, Jacques toujours dans mon cul.

Comme je ne cessais pas de crier il se mit à gueuler :

–  Y’a personne pour la faire taire la petite chienne là, bordel.

Aussitôt, un mec me prit par les cheveux et me fit tourner la tête vers le côté pour me forcer à avaler le bout de sa bite. Mais comme je continuais à me débattre et à hurler, je reçus une belle baffe et un gros mollard en plein visage. Alors, le cou complètement tordu, la joue écrasée au sol, j’ouvris la bouche pour sucer le bout qui s’y présentait.

La douleur était toujours très vive d’autant que Jacques continuait de me ramoner, mais elle s’estompait.

Alors, il se retira, me saisit par les hanches et me tira violemment en arrière pour que je me remette à genoux, ce que je fis.

Il me pénétra à nouveau sauvagement, m’arrachant encore un cri. Mais la douleur s’estompait de plus en plus. Cependant je pleurais toutes les larmes de mon corps, me demandant vraiment ce que je foutais là et le regrettant amèrement. Mais il n’était pas possible d’échapper à l’enfer où je m’étais fourré et la partie de plaisir que je m’imaginais ressemblait plutôt à une sorte de viol auquel j’aurais non seulement consenti mais encore provoqué. Mais je revins assez vite de cette impression complètement erronée.

Pour le moment, un mec s’était mis devant moi, en levrette aussi pour que je lui lèche l’anus. J’en fus rebuté d’abord puis m’y appliquai franchement.

Jacques me pilonnait en faisant claquer les chairs.

–  Putain, elle est bonne sa petite chatte là. J’vous avais bien dit que c’était une petite pute.  Ça va mieux maintenant, hein ma petite salope ? Tu la sens bien ma queue là, hein t’aime ça petite truie !

De fait, je commençai à éprouver du plaisir. Ce n’était pas encore très franc car, vraiment, ce porc m’avait fait mal mais cela débutait. Il insistait.

–  Dis-le p’tit bâtard que t’aime la trique, dis-le que tu la sens ma bonne teub !

–  Tu me fais mal gros porc, espèce de bourrin !

Il ne fallait pas provoquer Jacques.

–  Elle dit quoi la p’tite pute là ? Tu veux qu’on aille te chercher Lucas ? Tu vas voir comment qu’il va te déboîter ! Tiens prends salope !

Et il accéléra le rythme.

–  Qui veut la fourrer sa petite chatte  pendant que je lui retapisse les amygdales ?

Aussitôt un mec me prit en passant ses jambes de part et d’autre de mes fesses et en s’appuyant bien sur mon dos. Je suçais avec plaisir la bite de Jacques qui se radoucissait.

–  Là, c’est bien, tu vois quand tu veux… c’est pas la peine de faire autant de manière… une bonne queue c’est une bonne queue… tu comprends, il fallait bien que je m’assure que t’étais encore pucelle. C’est pas tous les jours qu’on a la joie de prendre un pucelage, mais le tien était bon à prendre. T’as un bon p’tit cul et une bonne petite bouche. T’aime le sperme ?

–  Je sais pas .

–  Comment ça tu sais pas ?

–  Non, je sais pas.

–  T’a jamais goûté le tien ?

–  Non.

–  Tu te branles jamais ?

–  Si, des fois…

–  Et t’as jamais goûté ta jute ?

–  Non.

–  OOOOOOH, trop cool… j’vais t’arroser la gueule de jus bien chaud… tu vas aimer ça. Dommage que je m’suis vidé les couilles dans la vieille sans ça elles auraient encore été plus pleines mais il va t’en rester.

Pendant ce temps là, on était aller chercher Lucas.

–  Alors c’est vrai, vous défoncez le p’tit mec aussi ?

–  Comme tu vois.

–  J’savais bien qu’il demandait que ça ! Il est bon ?

–  Il a fait des manières au début, mais là c’est cool, il bouge bien, il suce bien, il aime la queue, c’est sûr.

–  Et elle est comment sa chatte ?

–  Putain, c’était étroit, trop bon, je t’ai bien élargi ça.

Le mec qui était en train de sodomiser précisa.

–  Putain, ouais il est trop bon. Il mouille bien là. Tu veux y’aller Lucas ?

–  Fais chier, non. La j’ai les boules à sec. Elle ma trop bien pompé la meuf. J’vais roupiller un peu mais vous le laissez pas repartir sans que j’l’enfile. C’est quand même vrai qu’il a un beau p’tit cul.

De fait, la plupart des garçons qui avaient tiré un coup plusieurs fois dans ma proprio, qui était revenue dans la pièce d’à côté et qui couinait encore, étaient maintenant incapables de faire quoi que ce soit, et ils s’endormaient sur leurs paillasses dégueulasses.

Le mec qui s’appelait Max et qui, apparemment était le plus passif de la bande demanda à ce que je l’encule pendant que je me faisais moi-même à nouveau démonter par Jacques. Je l’enculai donc avec délice, éprouvant le plaisir d’avoir un mec devant et un derrière. Peu habitué à une telle fête, j’éjaculai rapidement dans le cul de Max. Il échangea sa place avec Jacques pour me prendre à son tour. Ils jouirent à peu près en même temps, Max dans mon cul et Jacques dans ma bouche. Il juta peu, de sorte que je pus tout garder de ce liquide chaud et salé que j’avalais pour la première fois.

Jacques me roula une pelle en disant:

–  J’vais me reposer aussi, mais j’vais te reprendre c’est sûr.

Max, soulagé, s’affala alors sur moi, me forçant à m’étendre. Il resta un long moment dans mon cul tout en me caressant lentement et en me filant des petits bisous, sur la nuque, les joues ou ailleurs.

Ce fut le seul qui me remercia avant de m’inviter à me coucher près de lui. Ce que je fis et crevé,et je m’endormis….

A suivre.

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