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Le retour – Chapitre 2




Je me redresse et me prépare à cette inévitable rencontre.

Même si aguicher les hommes ne me déplaît pas, ne sachant sur qui tomber, je place mon bras droit devant ma poitrine et ma main gauche devant mon pubis. Cela cache l’essentiel, c’est une nuisette parfaite pour la nuit, mais décidément trop transparente pour accueillir du monde.

Hey ! mais c’est toi, Rachelle, je me disais bien avoir reconnu ton visage à travers la vitre.

C’est moi, Mattéo, tu me remets ?

Oui, Mattéo, bien sûr !

Le petit frère de Lucas avec qui j’ai passé toute mon enfance à l’école primaire du village et accessoirement, notre voisin (de la colline d’en face). Ses parents nous louent justement notre champ qui va au petit ruisseau. Mattéo porte l’uniforme de la poste et je vois derrière lui la camionnette jaune typique.

Que deviens-tu ? Et ton frère ?

Tout en me tendant un petit colis, il m’informe :

Et bien tu vois, j’ai trouvé un emploi-vacances de postier et j’apporte ce petit colis pour tes parents. Quant à mon frère, il aide les parents à la ferme tout en terminant son année de BTS agricole. Par ailleurs, il est passionné d’ornithologie et à loisir, il étudie aussi dans ce domaine. Tiens prends ce colis, moi je dois filer pour terminer ma distribution.

A ce moment-là, un dilemme se pose à moi. Lui tendre ma main droite et laisser apparaître mes seins qui pointent toujours fermement à travers le tissu ou lui donner la main gauche, ne sachant pas si la lumière est à mon avantage ou non, ce qui laisserait transparaître mon pubis. Pour ne pas prendre de risque, j’opte pour la main droite. Après tout, ce ne sont que des seins.

Je prends le colis et immanquablement son regard se fixe au niveau de ma poitrine. Il semble un peu troublé de la situation. Pour l’asticoter, je place mes épaules en arrière pour faire bomber mon buste tout en lui faisant remarquer que je dois maintenant aller me préparer, ma tenue n’étant pas la plus adéquate pour continuer la journée. Il esquisse un petit sourire en coin de bouche et s’en retourne dans sa camionnette. J’espère lui avoir donné l’eau à la bouche de me sucer les tétons pour une prochaine rencontre.

De mon côté, je rentre à la maison, la porte de devant étant en effet ouverte. Pendant que je me lave, mes parents arrivent. Nous passons à table et échangeons sur les mois passés loin d’eux. Pour l’après-midi, ils me proposent de partir en courses. Je décline l’offre, car je préfère profiter de la piscine.

Dans ma chambre, je cherche un maillot de bain encore à ma taille. Depuis mon départ, ma poitrine s’est encore un peu développée. Mais c’est surtout la cambrure de mes reins et le dessin de mes fesses qui ont évolué pour me donner aujourd’hui ce petit cul fort apprécié de la gent masculine.

Après plusieurs essais, j’opte pour un modèle style brésilien, tanga. Un maillot blanc avec une fine bande noire imitant une ceinture, pour se terminer avec un petit noeud de chaque côté de mes hanches.

Ce maillot, bien qu’un peu juste maintenant, met parfaitement mon postérieur bombé en valeur. Le tissu sort de ma raie des fesses à mi-hauteur pour remonter et me mouler comme une seconde peau. Le blanc contraste bien avec la couleur mate de ma peau. Mes longues et fines jambes se terminent ainsi sur mes petites fesses rondes et fermes dans une allure générale d’une silhouette élancée.

 

Le haut du maillot dessine mes seins dans un décolleté plongeant, tout en les rapprochements et remontants. Une belle mise en valeur de ma poitrine. La peau fine et le grain velouté de mes seins sont perceptibles à l’oeil nu. Je me surprends moi-même à les caresses, me faisant immédiatement pointer les tétons.

Je m’apprête à m’installer sur un des transats pour prendre un bain de soleil quand la sonnette de la maison retentit. Grognant et sans trop faire attention à ma tenue je vais directement ouvrir pour tomber sur une visite pour laquelle je ne m’attendais pas : l’agent d’entretien de la piscine. Mon père aurait pu me prévenir quand même.

Évidemment, à la vue de ma tenue l’homme me scanne de la tête au pied. À l’instar de Mattéo tout à l’heure, l’homme fait une pause sur ma poitrine et son regard plonge directement dans mon décolleté. Je ne regrette pas d’avoir les seins qui pointent encore, augmentant ainsi mon sex appeal. Ah les hommes et nos seins.

Après ces quelques secondes de perturbation, il se reprend et m’informe de ne pas se soucier de lui, il sait ce qu’il a à faire, c’est l’entretien périodique.

Mon père a peut-être lui-même oublié que c’était aujourd’hui. 

Je m’en retourne, sur mon transat pour mon bain de soleil. Je m’allonge sur le ventre pour commencer par me chauffer le dos.

La tête tournée vers la piscine me permet de garder un oeil vers l’agent d’entretien. Pas mal du tout au demeurant. Un tee-shirt gris moulant souligne une belle carrure. Sa manière de passer l’épuisette dans l’eau lui fait bomber le torse permettant à mon esprit de m’imaginer en train de lui caresser ses pectoraux. 

Arrivant de mon côté, il interrompt ma pensée : 

Excusez-moi mademoiselle, mais votre dos commence à prendre une couleur de roussie, vous feriez mieux de faire attention.

Je saute sur l’occasion de me faire aider :

vous avez tout à fait raison, pouvez-vous m’aider et y passer cette crème ?

Sans même répondre il empoigne d’un geste sûr le tube, en applique une noisette dans chacune des ses paumes et commence l’application.

La journée parfaite : Soleil, bain et massage. Mon esprit se met de nouveau à vagabonder et imaginer ce que je ferai bien avec lui, ce qui ne me laisse pas de marbre.

Je peux faire vos jambes si vous voulez, me dit-il

Ma seule réponse est une sorte de marmonnement incompréhensible qu’il prend pour un oui. Il commence à déposer de la crème sur mes mollets, puis cuisses. Doucement, après avoir englobé mes chevilles, il remonte, étape par étape, le long de mes jambes. Cela me fait un bien fou. Arrivé sur le haut de mes cuisses il attaque le bas de mes fesses, la partie découverte.

Je commence à mouiller, imaginant parfaitement ce qu’il pourrait faire d’autre à ce niveau de mon anatomie.

C’est alors qu’il s’arrête. Dommage, je pense en moi.

Je le relance : pouvez-vous me repasser sur les épaules, la crème semble être toute absorbée.

Je me relève sur mes avant-bras pour lui donner un accès visuel direct sur ma poitrine généreusement mise ainsi en valeur. 

Il dépose une dose sur mes épaules le massage reprend. Il tire doucement sur le noeud de mon soutien-gorge dans le dos pour le défaire.

je me permets, ainsi cela ne laissera pas de trace grasse sur le tissu

Que répondre à cela ? Et puis cela m’évitera la marque blanche du soutien-gorge dans le dos. Mais surtout, il a compris que je n’étais pas vraiment farouche. Je me repositionne les bras le long du corps.

Il est positionné du côté de ma tête et a les bras assez longs pour atteindre le bas de mon dos. Je sens ses doigts passer et glisser parfois sous la ceinture de mon maillot. Je laisse faire. Je ne suis pas la seule à qui cela provoque des sensations : je sens une bosse, plutôt très ferme, appuyer de temps à autre sur le haut de mon front. Le coquin bande autant de que mouille.

Il se déplace et revient sur mes cuisses. Ces mouvements de massages s’approchent de plus en plus de mon entrejambe, passant une fois sur deux sur mes fesses. A chaque passage, mon maillot rentre de plus en plus dans ma raie, découvrant au final tout mon cul. Il ne reste plus qu’une mince étoffe de tissus qui sort du haut de ma raie des fesses à la manière d’un string. Pour l’inciter à être plus actif, j’écarte un peu les jambes. Ainsi, petit à petit, ses doigts commencent à frôler le tissu recouvrant mon sexe. Cela me provoque un petit sursaut, heureusement qui en rien ne l’arrête. Au contraire, j’ai plutôt l’impression que cela le motive. Ma bonne conscience me dit d’arrêter là de dire STOP, mais le plaisir que cela me donne m’ordonne de me taire.

Il écarte encore un peu plus et habilement mes jambes ce qui lui laisse la voie libre pour passer la main entière de mes fesses et redescendre sur mon sexe. Je mouille de plus en plus, il doit forcément le voir au travers mon maillot.

Bien malgré moi, d’une façon automatique, je commence à me cambrer pour lui donner un meilleur accès à mon intimité et bien sentir sa main sur ma vulve. Ce que je pense être son majeur s’initie sous le tissu de ma culotte et passe entre mes grandes lèvres pour atteindre mon petit abricot. Mon bouton magique ainsi excité me laisse échapper un grand gémissement de plaisir.

Sa main va et vient pour une masturbation en règle sous ma culotte. Son autre main remonte le long de mon dos pour arriver sur ma nuque qu’il empoigne. Ainsi, immobilisé de la tête (mais aussi par le plaisir), avec un de ses doigts de la main droite il commence à me pénétrer. Son doigt va et viens dans mon trou, puis en second doigt fait son entré, je mouille terriblement, car bien qu’étroite, cela passe tout seul.

J’attrape ma serviette qui est restée par terre pour la mettre sous mon bas ventre et relever ainsi mon bassin. Cela me permet de me cambrer au maximum, pour un plaisir intense et lui offrir tout mon cul, en accès illimité.

Mon autre main cherche à tâtons puis attrape son sexe au travers son jogging. Je n’ai qu’une envie : lui sortir sa queue, décalotter son gland pour le sucer.

Dis donc, tu es une belle petite salope toi me lance-t-il.

Bien que je n’apprécie pas ce langage, je reconnais lui donner facilement accès à mon intimité, aimer cela et que je me comporte bien comme une petite salope.

Un troisième doigt arrive dans mon vagin. Je me repositionne sur les genoux avec le front plaqué sur le transat. Le cul bien en l’air exposé, il baisse ma culotte et recommence la pénétration avec ses doigts. Entre temps, j’ai réussi à lui dégager sa verge et commence à lui lécher la couronne de son gland. Sous les actions de ma langue, son sexe gonfle à son maximum, il pénètre ma bouche plus en profondeur. Je m’active avec plaisir sur sa queue en utilisant ma langue et la succion sur son gland pour lui donner un maximum de plaisir.

D’un côté il me pénètre avec trois doigts, excitant mon point G. Je sens cette zone gonfler de plus en plus en moi sous l’effet de son action encouragée par mes râles de plaisir. De l’autre côté, j’ai sa bite dans la bouche, qui fait des vas et viens de plus en plus intensif et profond.

Malgré sa queue dans la bouche, je ne peux pas retenir des cris de plaisir et plus je cris, plus il me pénètre de chaque côté avec véhémence.

Il me lance :

Alors petite salope tu aimes que je m’occupe de ta fente et ton trou, tu veux jouir avec mes doigts !

Oui, oh oui vas-y lui répondis-je, t’arrêtes surtout pas, je veux éclater de plaisir.

Il s’active à fond dans mon minou, je ne peux plus retenir ma jouissance, de longs jets de cyprine giclent de ma chatte. L’orgasme que cela me provoque ébranle tout mon corps de plusieurs spasmes.

Il n’en fallut pas plus pour le faire jouir à son tour.

Enfonçant de plus belle sa bite dans ma bouche, il éjacule intensément alors qu’en même temps ces doigts sont expulsés de ma chatte dont coule abondamment mes fluides sexuels.

Son sexe suffisamment enfoncé dans la bouche ne me permet pas de cracher son sperme que j’avale d’un seul coup. 

Mon corps continue de vibrer sous cette jouissance, c’est ma première éjaculation féminine. Je finis par lui lécher son gland pour récupérer toute la semence restante en me passant la langue sur mes lèvres comme par gourmandise.

Je pense à quelle petite salope je fais, entre ce matin avec Gribouille et maintenant avec ce type dont je ne connais même pas le nom. Mais quel plaisir, quel intense plaisir. J’ai la chatte trempée, le goût du sperme dans la bouche et encore envie de me faire prendre, de connaître de nouvelles sensations.

Mais lui, stoïquement, sa besogne faite et son plaisir accompli, reprend le nettoyage de la piscine, avec encore malgré tout une belle bosse dans son jogging.

Je me lève pour m’envelopper dans ma serviette de bain, la main sur la chatte pour me donner encore un peu de plaisir alors que je remarque l’arrivée d’un nouveau SMS sur mon portable. Je le consulte, assise, le temps de reprendre mes esprits.

C’est ma cousine, qui propose de passer pour 16h30. Voyons, cela me donne ½ heure pour me laver et me remettre de mes émotions. J’accepte donc son passage par retour de SMS, pensant remettre à plus tard mon petit solo avec mon abricot encore tout gonflé.

à suivre

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