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Comment je me suis fait sucer pour la première fois – Chapitre 1




Cette histoire remonte à un grand nombre d’années.

Cela faisait plusieurs mois que l’on sortait ensemble, avec ma copine du moment.

Nos ébats sexuels se résumaient à des roulages de pelles, attouchements et masturbations. J’avais plusieurs fois léché ma copine, mais elle, n’avait jamais voulu me sucer, car "ça la dégoutait" (comment pouvait-elle le savoir ?)

Je vais vous conter comment ma copine m’a – enfin – offert ma première fellation.

Nous étions 2 "couples", un copain à moi sortait avec la cousine de ma copine. Un jour, nous décidons tous les 4 de faire une balade dans la campagne. Si les filles avaient des envies bucoliques, nous avions, nous, les mecs, nous avions une toute autre idée dans la tête.

Au bout d’un moment, nous arrivons à une clairière que j’avais repérée précédemment. Elle était suffisamment éloignée des chemins de ballades habituels des familles pour que nous soyons peinards, et il y avait à proximité des buissons épais créant des endroits intimes, dont je pensais bien pouvoir profiter.

Nous nous sommes arrêtés dans la clairière et avons commencé à discuter (les filles surtout, intarissables..).

Un bout d’un moment, j’ai fait un clin dil à mon copain, et j’ai commencé à embrasser Agnès, ma copine. D’abord des bisous, puis des baisers plus appuyés. Il a fait de même. J’ai commencé à caresser discrètement les seins de ma copine, qui, gênée par la présence de sa cousine et de son copain, repoussait mes mains.

Puis est arrivée la réflexion que j’attendais, venant de la cousine "ben, faut pas vous gêner, vous avez qu’à aller dans les buissons".

Je me lève, et tire sur le bras de ma copine pour la contraindre de se lever, mais elle résiste. Mon copain fait de même avec la cousine, qui elle, moins farouche, ne se fait pas prier. Les voilà tous les deux en train de se diriger vers un gros buisson.

Du coup, ma copine accepte mon invitation, et nous nous rendons nous aussi dans un coin caché.

On s’allonge tous les 2, et on commence à s’embrasser et à se caresser.

Je défais son jean, et glisse ma main dans sa culotte. Elle fait de même avec moi. Elle referme ses petits doigts sur ma grosse bite (tu parles, 16 cm…) et commence à me branler. Je lui caresse le minou, tout en descendant petit à petit son jean (moulant, comme il se doit, grrrrr). Elle tente de m’en empêcher, mais je sais être persuasif.

Au bout de quelques minutes de ce traitement, je décide de passer à des choses plus sérieuses. Je me mets à genoux, baisse son jean jusqu’au chevilles, puis son slip, et me glisse entre ses jambes et commence à la lécher. C’était la quatrième ou cinquième fois que je le faisais, mais grâce à la lecture de livres érotiques que j’avais piqués à grand mon frère, je "savais" comment faire.

Je lui lèche le clito, la pénètre d’un doigt, puis deux, la branle et au bout de quelques minutes, je la fais jouir. Je me redresse, et m’allonge à côté de mon amie, la bite bandée à mort.

Elle me caresse de nouveau la bite, la tête appuyée sur ma poitrine.

Je la laisse faire, puis, je pose ma main sur la tête, et doucement, appuie dessus. Je ne veux pas la brusquer, mais je sens que le moment est venu. Elle remonte mon tee-shirt, puis commence à embrasser ma poitrine, descend, embrasse mon nombril, plusieurs fois. Je la laisse faire, je vois bien qu’elle hésite, aussi, je tente, par des mouvements de bassin, d’approcher mon sexe de sa bouche.

Elle continue de me caresser, tout en faisant des bisous sous le nombril, puis, enfin, s’approche de ma bite. Elle pose un bisou furtif sur mon gland, puis elle remonte sa tête. Vous imaginez ma frustration.

Je la regarde, puis lui demande "suce-moi". Elle fait non de la tête, mais contrairement à son habitude, n’argumente pas.

-"Allez, s’il te plait" lui dis-je, d’un ton implorant.

-"D’accord, mais juste un bisou" me dit-elle.

-"Ok".

Elle baisse la tête, et directement va poser un bisou sur la bite, puis, un autre, et encore un autre. Elle lève la tête et la tourne vers moi. Je vois dans son regard qu’elle est prête.

Elle baisse de nouveau la tête, puis cette fois-ci embrasse la tige, un, deux, trois, dix bisous (intérieurement, j’espère que je ne sens pas trop fort, il fait chaud, nous avons marché longtemps, et j’ai transpiré).

Elle n’ose toujours pas prendre ma bite dans sa bouche, pour moi, c’est un supplice, surtout que l’excitation pour moi est à son comble, et je fais tout pour résister à une éjaculation que je sens monter.

-je lâche un "vas y"

Elle ne répond pas, mais je ses baisers sont plus appuyés, plus longs, et de temps en temps, elle sort un petit bout de langue.

Puis, elle remonte légèrement la tête, puis, la baisse. Là, je sens quelque chose de chaud et humide autours de mon gland. Enfin !

Comme est à demi-allongée à côté de moi, je ne vois pas que ses cheveux blonds. Je n’ose pas lui demander de bouger afin de ne pas briser la magie de l’instant. Heureusement, elle se met à genoux, je soulève ses longs cheveux, et cette fois-ci, je peux voir ce qu’elle fait.

Pour l’instant, elle se limite à gober mon gland, sans trop serrer les lèvres, ni faire de mouvement. Aussi, j’ai plus une sensation de caresse légère, à la limite du supportable.

Puis, elle se décide de descendre plus bas, tout en serrant un peu plus les lèvres. Elle remonte la tête, puis redescend, remonte, descend, encore et encore en clair, elle me taille une pipe de toute beauté, pas par la technique, mais par son innocence, et toute sa volonté de bien faire.

Évidemment, comme la sensation est nouvelle pour moi, ajouté à l’excitation du moment, ma sève ne tarde pas à monter. Je lui dis, car je ne veux pas la prendre par traiter et éjaculer dans sa bouche.

Elle retire la tête, et me branle fortement. Ce qui devait arriver, arriva, et j’éjacule en longues giclées. J’ai du sperme jusqu’à la poitrine, avec même quelques gouttes sur mon menton, ce qui nous fait bien rire tous les deux. Cela détend totalement l’atmosphère. Je m’essuie, on se rhabille et rejoignons nos amis qui, parfaite synchronisation, reviennent de derrière leur buisson.

J’apprendrais plus tard par mon ami qu’il a eu droit, lui aussi à sa première pipe. Magie du lieu ou entente préalable des 2 cousines ?

Quelques temps et plusieurs pipes plus tard, ma copine a appris à avaler mon sperme, et est devenu une véritable experte en fellation, pour mon plus grand bonheur.

Elle y a tellement pris goût qu’elle me suçait à tous moments, en tous lieux et circonstances. Mais ça, ça fera l’objet d’une prochaine histoire, si celle-ci vous a plu.

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