Cette histoire se déroule dans un palace. Nous séjournions ma femme et moi. Équipé des services qui sied à un hôtel de luxe, j’avais décidé d’offrir à ma femme la totale au spa.

Nous étions encore dans notre chambre quand ma femme partit se doucher.

Je contactai l’accueil pour leur signifier que je souhaitais offrir un moment de détente complet à mon épouse : massage, sauna.

Bien. Monsieur. A quelle heure ?

Heu… un instant.

J’allai dans la salle de bain et indiquai à femme mon intention.

17 heures ? dit-elle en m’embrassant.

Je retournai dans la chambre et confirmai l’heure.

Très bien Monsieur.

A l’heure, elle partit.

Après avoir fumé une cigarette, je décidai de la rejoindre.

Arrivée au sauna, par la porte vitrée, malgré la vapeur, ma femme était là, assise sur la banquette basse.

J’entrai dans le sauna.

Coucou chérie ! dis-je, en retirant ma serviette.

Mais ce n’était pas elle.

Devant mon erreur, ma gêne me fit rougir terriblement. La chaleur de ma honte était amplifiée par la chaleur du sauna.

La fille rit.

Excusez-moi, bredouillai-je, je suis vraiment confus, je…

Il n’y a pas de problème, Monsieur. Je m’appelle Sophia.

Je vous ai pris pour ma femme et je suis vraiment désolé.

Je réajustai ma serviette et m’assis sur la banquette haute.

Ma femme entra à ce moment.

Coucou ! dis-je.

Bonjour, dit-elle à la fille. Et à mon intention, le massage a duré un peu plus longtemps que prévu.

Elle s’assit à côté de moi.

La fille nous demanda si elle pouvait faire monter la température.

Je crus la voir me faire un léger clin d’il. Je rougis aussitôt.

Ma femme lui répondit oui.

Elle se leva pour ajouter de l’eau sur les pierres chaudes.

La vapeur envahit la cabine, j’avais du mal à respirer.

Lorsqu’elle se dissipa, je vis que la fille avait fait tomber sa serviette sur ses hanches.

Elle se tourna légèrement vers nous, dévoilant un haut de maillot de bain qui faisait ressortir sa poitrine généreuse.

Luisante, elle s’allongea lascivement sur sa banquette.

Ma femme glissa sa main sur ma serviette et sentit que je bandai.

Elle continua à me caresser.

Je la regardai et la vis tout excitée.

Sophia, souriante, défit son peignoir doucement.

Ma femme m’embrassa dans le cou et appuya sa caresse.

Ne comprenant pas ce qui m’arrivait, je la laissai faire et bander plus durement.

Elle repoussa ma serviette et agrippa mon sexe.

Elle me masturba.

La fille commença à se caresser en nous reluquant.

Ma femme lui jeta un il. Je vis qu’elle se touchait aussi.

J’étais ailleurs.

Ma femme se courba et s’aboucha à mon sexe.

Je passais ma main sous les pans de sa serviette.

Elle stimulait son clitoris, j’introduisis un doigt dans sa fente humide.

Elle se redressa et enleva son peignoir.

Quand la fille se leva et s’approcha de ma verge, ma femme la lui tendit.

Elle me goba le bout et fit tourner sa langue autour avant de m’avaler totalement.

Elle creusa les joues pour accentuer la succion.

Je m’accrochai à la banquette pour ne pas jouir.

Ma femme me léchait le téton gauche.

Sans cesser de me pomper, Sophia dirigea sa main droite vers l’entrejambe de ma belle et la caressa.

Ma femme écarta les cuisses. Les doigts s’invitèrent dans son sexe.

Elle se joignit à la fellation. Les deux langues jouaient sur ma verge et se mêlaient parfois.

Sur le point d’éjaculer, je repoussai doucement mes assaillantes.

Je me mis à genoux sur la banquette basse et enfouis ma tête entre les cuisses de ma douce et entrepris un cunnilingus langoureux.

Elle se cabra et appuya sa main sur ma tête.

Elle se tordit sous les coups de langue.

Je levai les yeux et vis Sophia lui lécher et mordiller ses gros tétons roses. Leurs langues se mélangeaient parfois.

Mon épouse suffoqua et posa ses mains sur mes joues et m’éloigna de son antre d’amour.

Elle me guida vers le sexe de notre complice.

Du bout de la langue, je titillai ce nouveau clitoris.

J’aspirai ses lèvres.

Un doigt m’effleura l’anus.

Ma femme, derrière moi, prit mon sexe en main et me branla rapidement.

Sophia ne cessa pas de se caresser en nous regardant.

Je pelotai ses gros seins, écartai les bouts de tissus qui cachaient encore ses mamelons et les lui lapai.

Mon sexe raide entra en elle.

Je la baisai. Notre amie de jeu gémit.

Ma femme se colla à moi et m’assista dans mes caresses. Elle imprima des mouvements de bassin pour donner le rythme des va-et-vient dans l’antre de notre partenaire.

Puis ma douce vint se placer à côté d’elle.

Elle se doigtait et me caressait avec son autre main.

La fille cria et accompagna ma femme dans sa masturbation.

Elles s’embrassèrent langoureusement.

Puis ma femme me prit une main et la conduisit vers son petit trou.

Mon doigt entra facilement et je la branlai.

Son excitation me rendit fou.

Je léchai mon épouse et la basculai pour entrer en elle.

Mon sexe pénétra son anus et je l’enculai avec douceur. Sophia glissa sous elle et entreprit de lui dévorer littéralement son sexe.

Elle hurla de plaisir.

Baisez-moi.

Notre camarade de jeu massa mes bourses pleines et enfonça ses doigts dans la chatte de ma belle.

Excitée, elle agita son cul.

Son corps, ses fesses. Je n’en pouvais plus. Je la sodomisai férocement.

Sophia se plaça sous elle et lui lécha le sexe.

Ma femme lâcha prise. Je sentis les spasmes de son anus et j’éjaculai en elle.

Sophia, visiblement ravie, m’attrapa la verge et me branla.

Quelques gouttes de sperme jaillirent encore sur le petit trou dilaté de ma belle.

Je m’affalai sur le banc pendant que les deux femmes continuèrent leurs caresses humides.

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