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Joyeux anniversaire Élodie – Chapitre 6




Elodie reprend le même chemin, ses mains se déplacent sur moi lentement, c’est agréable et parfois j’en frissonnerais presque. Elle s’attarde sur mon torse, mes fesses, et mon sexe, qu’elle décalotte avant de le recouvrir de mousse et elle commence à jouer avec mes bourses. Ma sur toujours là nous regarde avec un sourire en coin, je remarque qu’elle a raccroché la serviette au portemanteau. Nue devant le lavabo, elle ne faisait rien d’autre que nous mater.

Comparée à Elodie, ma sur est plus… Tout ! Plus grande, plus bronzée, plus ronde, plus femme… Ses seins sont plus gros aussi, mais pas de beaucoup. Je remarque pour la première fois qu’elle s’épile intégralement. J’ai vu son corps évoluer au fil du temps mais je ne pensais pas qu’un jour je le jugerais sexy, sans tous ces artifices de maquillage et vêtements.

Puis elle se rapproche de nous et attrape le pommeau

— Je vais te rincer frangin !

Elodie lui fait un clin d’il en continuant de jouer avec moi. L’eau chaude est agréable, et je profite de ce moment, Karoline prend le temps de me rincer en commençant par mon intimité toujours aussi dure. Les filles n’échangent pas un mot.

Une fois fait, Elodie enfourne mon sexe dans sa bouche, je reste pantois, je ne m’y attendais pas et ma sur rigole à s’en décrocher la mâchoire.

— Tu sais Elo, t’étais pas obligée d’aller jusque-là pour le remercier.

Karoline finit de virer la mousse puis range le pommeau, et nous regarde. Mes yeux alternent entre ma sur et mon amie qui me suce.

Je ne crois pas que ce qui se passe ici soit sain, mais c’est très excitant. Comme pour appuyer mes propos, Karoline commence à se masturber. Très lentement, ses yeux sont rivés sur le visage d’Elodie, qui joue avec sa langue en léchouillant mon gland.

Elodie est toujours aussi douée, et je suis sur le point de jouir quand elle arrête.

— Vengeance !

— Tu es sadique Princesse.

Elle me sourit, Karoline nous interrompt

— Et moi je n’existe pas ? Jai l’impression d’être devant un film érotique des années 90.

— Oh, j’suis désolée Karo. Viens là

Elodie tire ma sur par la main, toujours à genoux elle se tourne dos à moi et s’appuie sur le bord de la baignoire. Sans plus de cérémonie elle embrasse l’abricot imberbe de ma sur et le lèche avec envie. Sa langue tourne et se balade sur ses lèvres, sur son clitoris, puis redescend pour laper son jus. A première vue ce n’est pas son premier cunnilingus.

Ma sur devient haletante, à l’instant où Elodie rentre deux doigts en elle, Karo s’appuie sur le rebord de la baignoire.

Voir ma copine prendre soin de ma sur m’excite au plus haut point, je fais glisser mes doigts sur le sexe d’Elo. Comme encouragée, elle glisse deux doigts dans la fente de ma petite sur qui se cambre encore plus. Laissant échapper un petit cri.

Joueur, je m’applique à reproduire ses gestes, je veux lui faire ressentir ce qu’elle fait.

Leurs clitoris sont gonflés, rougis. La langue d’Elodie se balade entre les lèvres de Karoline, la faisant tressaillir à chaque passage.

N’y tenant plus je retire ma main, et dirige ma verge vers la vulve détrempée de ma copine. Nos sexes sont aussi brûlants l’un que l’autre, je m’apprête à la pénétrer pour la première fois.

La position dans la baignoire n’est pas évidente, et elle a sans doute mal aux genoux… On est loin du romantisme et de la tendresse que j’imaginais depuis des années, mais tant pis, j’en crève d’envie.

Sans mal mon gland écarte ses lèvres je la pénètre lentement, elle me surprend en reculant son bassin, en moins de deux je suis au fond d’elle. C’est bon, c’est chaud, c’est doux… C’est bel et bien mon paradis, j’y reste quelques secondes, puis on commence nos va-et-vient. J’observe mon érection entrer et sortir de ce cocon, j’aime cette vue, son cul qui remue au rythme de mes hanches, sa langue qui fouille toujours le sexe de ma sur. Mes mains caressent sa peau mouillée, je me penche un peu pour malaxer ses petits seins.

En quelques minutes je suis près de l’extase, sa pipe m’avait bien préparé. J’accélère les mouvements, elle semble comprendre et s’active d’autant plus sur ma sur. Sa langue experte sur le clito, ses doigts qui caressent l’intimité de ma sur, Karo n’en peut plus et jouit peu avant moi.

Pour être sûr de satisfaire Elodie, je dirige une main vers son sexe, délaissant son sein, je titille son bouton magique. C’est le mot, en un instant elle jouit à son tour, et je me laisse aller en elle.

Je prends Elodie dans mes bras, et on se rallonge dans l’eau, sans que je sorte de son intérieur feutré. Elle est essoufflée.

Karoline s’adosse au mur, ne quittant pas des yeux le couple que nous formons.

— Tu sembles doué frangin, mais Elodie… Wah je n’aurais jamais cru ça.

— Je ne pensais pas que… enfin, que tu aimais les filles.

— J’aime pas les filles… C’est un peu plus compliqué…

— Et toi Elo ?

Elle reprend son souffle avant de sourire :

— T’as pas encore compris ? C’est pas la première fois

— Si, si j’ai compris mais…

— Non ! C’est pas la première fois pour Karo et moi.

Mon esprit est embrouillé, mais ça va passer. On se rince à nouveau, on s’habille, ma sur dans sa chambre, Elo et moi dans la salle de bain.

Je suis sous le choc, alors… C’est pour ça que ça ne les dérangeait pas de se voir nues, de faire ça en face l’une de l’autre…

— Tu te souviens du club de gym, dans les vestiaires, ben… On jouait déjà toutes les deux. Et quand on allait à la piscine on prenait nos douches ensemble… Ce genre de choses.

— Mais… J’aurais jamais pensé ça. Alors si je comprends bien, vous êtes hétéros ET sex-friends en même temps ?

— C’est un peu ça.

Le temps qu’Elodie se maquille, je vais voir ma sur pour un débriefing. Elle m’explique les mêmes choses, mais ajoute :

— En fait ce que me surprend, c’est que j’ai pas été gênée de le faire devant toi. Bon, j’avoue si on s’était touchés l’un l’autre…

— Justement… je ne sais pas si j’aurais aimé ou pas. C’est trop étrange comme truc.

— Vous voir faire ça m’a excité, mais plus pour Elo que toi.

— Moi… j’sais pas, plusieurs fois j’me suis dit « c’est ta sur » et ça rendait le truc encore meilleur.

— OK, alors disons qu’on en reste là, de toute façon c’est pas comme si on voulait recommencer.

— Non c’est vrai…

La prochaine fois que je fais l’amour je veux que ça ne soit qu’avec Elodie, et du romantisme, des bougies, de la musique. Un bon vieux cliché !

Je rejoins ma copine, puis, on descend tous les trois, mes parents sont rentrés, on passe une super soirée.

A table je me retrouve entre elles. Tour à tour elles posent leurs mains sur mes cuisses, parfois remontant vers ma braguette. Quand leurs mains se touchent elles n’en sont que plus hardies et, caché sous la table je passe le repas à bander.

Dans quelle merde je m’suis encore mis ?

En rentrant dans mon nouvel appart j’évite soigneusement le sujet. C’est sans compter Elodie qui relance :

— Entre ce que tu as dit à mon père et ta sur qui annonce que tu ne vis que pour moi, je vais finir par croire que tu es vraiment mon valet ?

— Je ne dirais pas ça comme ça mais… Tant que ça peut te rendre heureuse, oui je ferais beaucoup de choses.

— Je note !

Elle sourit, et me saute au cou, je la prends dans mes bras. On tombe sur le lit, nos langues se cherchent s’enroulent, on se déshabille mutuellement.

Nus sur le lit, on ne fait que s’embrasser, s’enlacer. Et on s’endort rapidement, sa tête posée sur moi, mon bras engourdi autour d’elle. Je passe la nuit avec celle qui hante mon passé, mon présent et je le souhaite mon futur.

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