Je mappelle Julien, jai 30 ans, jhabite le 17ème arrondissement de Paris, dans un petit 2 pièces, mais confortable au 6ème étage sans ascenseur, limmeuble est trop ancien et il ny a pas de possibilité den mettre un, je suis célibataire, jai eu une copine qui ma laissé il y a 4 mois et depuis je suis seul.
Jai une voisine asiatique depuis 6 mois environ, je pense qu’elle a à peu près mon âge, mais jai du mal à lévaluer, elle est très élégante, toujours bien maquillée et bien habillée, talons hauts, robe moulante, je marrange pour la croiser le plus souvent possible, mais comme nos horaires sont bien différents nous nous croisons que le week-end, je commence à travailler à 9 heures et fini vers 17 heures, alors qu’elle si jen crois ses horaire du samedi, elle doit commencer vers 11 heures, mais finir vers 21 heures, elle rentre chez elle vers 22 heures. Le dimanche, elle reste chez elle, je nentends jamais de bruit, à croire qu’elle dort toute la journée.
Jessaye de laborder, mais elle coupe court à la conversation, si ce nest quune grande politesse. Un samedi, je décide de la suivre pour savoir où elle travaille et ce qu’elle fait, je la suis de loin pour ne pas me faire repérer et elle prend le métro, direction « Porte Dauphine », la semaine prochaine, je lattendrais à la station de métro sur le quai.
La semaine suivante, jarrive un quart dheure avant et je lattends sur le quai, elle arrive, elle monte dans la prochaine rame, je monte à une autre porte, mais je ne la perds pas des yeux, elle descend à « Étoile », et prends la direction « Nation par Denfert » je regarde lheure et décide dinterrompre ma filature pour ne pas attirer son attention.
Ma filature recommence la semaine suivante, où je lavais arrêté, et elle descend à «La Motte-Picquet», c’est-à-dire dans le 15ème arrondissement, je la suis de loin, et elle prend la rue du Commerce, toujours de loin, je la suis pour ne pas me faire remarquer, elle entre dans une petite supérette, je pense qu’elle va faire quelques courses, et soudain, elle entre dans un institut de massages, je connais bien ce genre détablissement pour les fréquenter de temps en temps, quand jai envie de me détendre, je naurais jamais pensé qu’elle pouvait faire ce genre de métier, je la voyais plutôt hôtesse daccueil ou secrétaire de direction.
Ayant réfléchi toute la semaine sur la conduite à tenir, je décide le samedi suivant daller dans cet institut pour me faire masser, je rentre donc et je ne suis pas reçu par ma voisine mais par une masseuse tout aussi charmante, elle me fait entrer dans un petit salon, et me demande de me déshabiller et de mentendre sur le ventre, qu’elle va revenir.
Quelques minutes après, ma masseuse revient, elle me masse la tête, le dos, les bras, les jambes, les cuisses, de temps en temps ses mains effleurent mes testicules je suis un peu tendu surtout je bande très fort, elle me demande de me détendre, une bonne demi-heure plus tard, elle me demande de me retourner, puis une fois sur le dos, elle continue le massage, elle me masse bien la poitrine, ce qui a pour effet de me faire bander un peu plus, je passe ma main sous sa robe, sur sa culotte, je sens bien sa chatte, je lui caresse les seins et les fesses sur sa robe et elle me laisse faire. Elle me demande si elle peut le caresser le sexe moyennant un petit supplément, ce que jaccepte, et elle prend mon sexe dans ses mains enduites de crème, et par des caresses appropriées, me fait jouir très vite. Elle sessuie les mains et messuie le ventre ou tout mon sperme sest répandu, termine son massage et je me rhabille, ma masseuse me salue quand je pars, et je nai vu ma voisine.
La semaine suivante, je retourne au salon de massage, je retrouve la masseuse de la semaine dernière, et ma séance de massage se passe comme la première, jai bien jouit dans la main de la masseuse et je suis bien soulagé, mais je nai pas encore vu ma voisine, peut-être ne travaille-t-elle pas là, mais est venue pour ses ongles.
Le samedi suivant, je retourne me faire masser et surtout en avoir le cur net, et là cest ma voisine qui me reçoit, elle mindique une cabine et me demande de me préparer ; elle revient dans un instant. Je me déshabille et mallonge sur la table de massage, elle entre dans la cabine, me masse la tête, les bras, le dos et les jambes, mais ses mains ne ségare pas sur mes testicules, et je ne bande pas, elle me demande de me mettre sur le dos, continue son massage sans faire allusion au sexe et je nessaye pas de la caresser. Je me rhabille elle me reconduit et me dit à bientôt. Je rentre chez moi et passe le restant de la journée normalement et joublie mon passage à linstitut de massage.
Vers 19 heures, on sonne à ma porte, je vais ouvrir, cest ma voisine, je suis étonné parce qu’elle rentre beaucoup plus tard habituellement, elle me dit qu’elle veut me parler, cest pour cela qu’elle a quitté plus tôt.
Je la fait entrer, lui pris de sasseoir, lui demande si elle veut boire quelque chose, elle me dit oui un coca sil vous plaît, je la sert et en prends un aussi, je massois en face delle, puis elle me dit en buvant doucement que je dois être discret, personne dans limmeuble connaît son véritable travail, qu’elle sest aperçue que je la suivais très rapidement et qu’elle a essayé de me semer dans la supérette qui a deux issues, et les deux fois que je suis venu à linstitut, elle ma reconnu et na pas voulu soccuper de moi, mais que ce matin, ses collègues étaient occupés et qu’elle na pas pu faire autrement.
Je réponds, qu’elle peut compter sur ma discrétion à la condition que je linvite à dîner ce soir, elle accepte, juste le temps de se changer. Une heure après nous nous retrouvons devant limmeuble, je lemmène dans un petit restaurant du quartier où je vais de temps en temps, à table, elle me raconte sa venue en France, elle est Vietnamienne, elle parle 4 langues couramment, elle a fui son pays en laissant son fils à ses parents parce qu’elle devait se marier avec un chinois, que cétait arrangé par le village pour pallier au manque de femme en Chine, cela fait 10 ans, et elle a été obligé de faire des massages pour payer son voyage, que maintenant elle a tout remboursé, elle est libre, mais elle ne sait faire que cela. Elle na jamais fait lamour, ni même une fellation avec ses clients, elle sest toujours contentée de les faire jouir dans ses mains.
Je lui raconte aussi ma vie, que je nai plus de copine depuis un certain temps, que cest bien comme cela, et je nai pas lintention den retrouver une autre, mais que je fantasme sur elle quand je la voir, cest pour cela que je lai suivi. Nous rentrons, puis sur le pas de sa porte, nous nous faisons une bise pour nous souhaiter bonne nuit et elle minvite à déjeuner chez elle demain à midi.
Vers midi le dimanche, je suis allé chercher des fleurs chez le fleuriste du quartier, et armé dune bouteille de champagne, que jai toujours dans mon réfrigérateur, je sonne à la porte de ma voisine, elle mouvre en me disant qu’elle mattendait, me fait entrer et asseoir sur le canapé, son appartement nest pas plus grand que le mien, mais cela est bien assez pour un célibataire.
Elle est habillée dun grande robe qui lui arrive au cheville, toujours très élégante, et me fait terriblement envie, elle me demande ce que je veux boire, me sers et vient sasseoir en face de moi, je ne vois pas ses jambes, mais je les devine et les imagine, grande et belle, nous parlons de chose et dautre au cours du déjeuner, puis en fin de repas, nous prenons le café assis sur le canapé, elle vient sasseoir près de moi et me dit : « Je vais finir ce que je nai pas fait quand vous êtes venu au salon de massage. » Elle me dit de me déshabiller comme hier et daller dans la chambre, mallonger sur le lit et comme elle est une pute , il ny a pas de raison que je nen profite pas. Je lui dis que non je ne veux pas profiter de la situation, mais elle se jette sur moi en membrasse à pleine bouche, sa langue entre dans ma bouche, et jouvre les lèvres, bien évidemment je ne demandais que cela, elle m’entraine dans sa chambre et très vite nous sommes nus lun contre lautre, elle me masse comme elle laurait fait au salon, je lui caresse la poitrine puis les fesses, elle me masse les couilles, je bande, ma bite est très dure, elle met un doigt dans mon petit trou, jai lhabitude au cours de massage de cette caresse, puis me demande de me retourner, je ne peux pas cacher mon érection, quoique elle sen ai aperçût.
Elle embrasse mon torse, ma poitrine, puis descend pour me prendre dans sa bouche, mais je ne veux pas, elle continue son massage, sans toucher à mon sexe, je me rhabille, lembrasse tendrement sur la bouche puis je rentre chez moi.
Vers 19 heures 30, on frappe à ma porte, cest ma voisine habillée de la même façon que tout à lheure, et elle me dit : « Jai trop envie de faire lamour avec toi. » Je la fait entrer, lembrasse à pleine bouche, puis l’entraine dans la chambre et nous nous retrouvons nus sur le lit sans avoir bien compris comment, je bande, moi aussi jai envie delle, je ne pense quà cela depuis cet après-midi, sans me demander mon avis, elle prend ma bite bien raide dans sa bouche, et elle me dit que cela fait plus de 10 ans qu’elle na pas sucer un homme et elle en a envie puis me donne sa chatte à sucer, je mets ma langue dans sa fente, elle a tellement envie, qu’elle minonde le visage de sa cyprine, puis elle vient sasseoir sur ma bite, et la fait entrer entièrement en elle , nous avons fait lamour toute la soirée, et elle ma demandé de la prendre par derrière, elle ne la jamais fait avec une vraie bite, mais quelquefois avec son gode. Nous dînons dun petit encas, et nous recommençons à faire lamour sans réserve et sans retenue. Vers 2 heures du matin, ma voisine me demande de rentrer chez elle, que si je veux venir au salon elle sappelle Sarah mais que son vrai prénom est Soya, qu’elle me présentera ses collègues et que je pourrais me faire masser par elles.
Le soir, je vais chercher Soya à son travail, je gare ma voiture 2 rues plus loin, afin que ses collègues ne me voient pas, nous allons dîner, nous nous racontons nos journées puis nous rentrons chez moi pour faire lamour. Un jour, que jétais en avance, je suis venu au salon pour me faire masser, mais jai demandé Sarah, qui ma caressé, mais ne ma pas fait jouir en me disant tu peux bien attendre un peu, je me vengerais tout à lheure. Le samedi matin, je lemmène travailler et souvent nous buvons le café avec ses collègues, qui maintenant me connaissent bien, elles savent quentre nous cest sérieux et elles ne mont plus jamais faites de propositions.
Soya ne veux pas vivre avec moi, tant qu’elle na pas demploi stable, puis un jour, lentreprise qui memploie, recherche une hôtesse daccueil, standardiste qui parle le mandarin, elle veut se développer sur lextrême orient en particulier vers la Chine, jen parle à Soya en lui disant qu’elle va certainement gagner moins dargent, mais ce serai stable puisque cest un CDI.
Elle pose sa candidature, et comme elle est seule à connaître le mandarin, elle est de suite prise, nous restons très discret sur notre relation, et personne sait ce qu’elle faisait avant. Puis cela cest su et cest bien comme cela, nous navons plus besoin de nous cacher.
Nous envisageons une vie commune, prendre un appartement plus grand, faire venir son fils que maintenant je connais grâce à internet. Nous avons, elle et moi, oublié sa vie davant, mais elle ma pas oublié dêtre une super maîtresse.
Je pense un jour lépouser, lui donner la nationalité, adopter son fils et pourquoi ne pas lui faire un enfant.
