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Sauveteur : Une vie trépidante – Chapitre 3




Le soleil se lève, un rayon se perd et vient s’écraser contre moi, je suis alors tiré de mon sommeil. Il n’est que 7 heures du matin mais dans une heure commence ma dernière journée de formation ! Je suis si excité à l’idée de travailler sur une plage pour le restant de l’été, les groupes seront annoncés aujourd’hui ! Même si n’importe quelle équipe ferait l’affaire, j’espère que Lucas sera avec moi pour m’épauler même si la compagnie de Romane, Perrine ou Juliette ne serait pas de trop… Sans oublier Clara ! Son teint méditerranéen est une chose que j’idéalise chez les femmes, elle lui donne quelque chose en plus ! Elle devient précieuse à mes yeux, j’espère sincèrement être avec elle ! D’ailleurs, je ne connais pas grand-chose d’elle… Et si j’allais demander quelques informations à Lucas ? Histoire de savoir si elle est ouverte…

Je décide finalement de sortir de mon lit, enfile un caleçon puis mes vêtements de sauveteur ! J’arbore toujours un petit sourire quand je vois le logo sur mon t-shirt. Je me lève et ressens quelques vibrations au sol du mobile home. Bizarre ! Je sors de ma chambre et un long silence plane dans le mobile home. Je me dirige alors timidement vers la chambre de Lucas, elle est à côté de la mienne ! Je frappe doucement à sa porte puis ouvre, il n’y a personne, son lit est fait comme si personne n’avait passé la nuit ici. Des mouvements se firent entendre dans la chambre de Perrine. Curieux, j’avance prudemment vers l’endroit mystère. Une étrange sensation m’envahit le corps, comme celle de la veille quand j’espionnais Perrine. Et si Perrine était en train de récidiver ? Dois-je rentrer dans sa chambre ?

Ma main attrape la poignée que je ne tarde pas à tourner, la porte est entrouverte, il est trop tard pour faire marche arrière. Alors que je m’apprête à regarder, j’entends un long gémissement qui m’excite terriblement. Je regarde, et constate que Lucas avait raison, du moins je ne sais pas si c’était un cas unique mais lui ne se gênait pas ! Le camping est un vrai baisodrome !

Ma main se dirige naturellement vers mon caleçon. Moi qui suis toujours puceau, j’ai devant moi deux personnes qui s’abandonnent à eux-mêmes. C’est la première fois que je vois cette scène en vrai ! L’ambiance de la pièce est chaude, humide et semble accrocher la peau. Perrine est allongée sur son lit, les jambes écartées qui entourent le bassin de Lucas ! Celui-ci est positionné sur Perrine qui semble apprécier le moment, les mouvements semblent longs mais intenses, à en voir l’expression du visage de Perrine. Celle-ci se mord les lèvres et a les mains posées sur les fesses musclées de Lucas. Même si ses mains semblent suivre un cycle, on peut nettement voir qu’elle donne le rythme en appuyant fortement sur le fessier de Lucas. Il entame alors une pénétration de plus en plus sportive à un rythme très cadencé. Je suis aux premières loges, ma main s’est activée sur mon pénis, je ne laisse aucune miette du spectacle. Le rythme ralentit, je crois que Lucas a fini ou est sur le point !

Je le vois se retirer et se mettre à genoux, Perrine s’avance et prend le membre de Lucas en bouche ! Je me demande comment c’est possible de faire ça ? La bite de Lucas doit mesurer au moins 20 centimètres et est légèrement inclinée vers le haut ! Perrine met les deux mains, puis se stoppe.

Lucas est détendu ! Mon pantalon est à mes pieds, je viens de jouir ! Perrine ferme les yeux, se retire puis regarde Lucas de façon très intense, elle tire la langue et je vois nettement le sperme de Lucas sur sa langue. Elle ferme la bouche et avale ! Je n’en reviens pas de ce que j’ai vu ! Ce regard si insolent, je le vois encore dans mon esprit. Les deux amants se laissent tomber, j’en profite pour m’éclipser.

À peine sorti du mobile home, je tombe nez à nez avec Romane, je suis tout rouge.

Tu as vu Lucas et Perrine ?

Je crois qu’ils dorment encore !

C’est bizarre… Ils ne dorment pas le matin normalement…

Ah bon ?

Oui, en général ils en profitent pour baiser…

Maintenant que tu le dis…

Tu as joué au voyeur ?

Pardon ?

Je t’ai vu en train de les regarder. J’étais encore dans ma chambre quand tu les regardais et je t’ai vu.

Je rougis tellement que je ne sais pas quoi dire, je tétanise…

Les voyeurs m’excitent mais n’en abuse pas !

Romane retourne dans sa chambre, j’ai chaud, je finis de préparer mes affaires et attends d’autres sauveteurs au mobile home commun. Lucas me rejoint et me propose de m’emmener à la caserne, j’accepte.

Alors j’étais bien ?

De quoi ?

Bah tout à l’heure avec Perrine !

Heu… Vous avez fait un peu de bruit.

On t’a vu tout à l’heure !

Désolé… Je voulais te parler mais je vous ai vus et puis…(je ne sais pas quoi ajouter tellement j’ai honte ! Honte de m’être fait prendre)

Et puis c’est normal ! Fin naturel plutôt ! N’en parlons plus alors.

J’ai vraiment chaud. La saison est bien commencée mais qu’est-ce que j’ai chaud !

Au centre de formation, la journée s’articule entre des tests sportifs et de secourismes qui sont évalués. J’ai fini les tests, les résultats resteront secrets jusqu’à ce soir ! Nous avons deux heures devant nous où nous avons une tâche bien précise : laver les véhicules de l’organisation…

Pendant que les formateurs discutent entre eux et nous répartissent sur nos plages, Juliette s’approche de moi :

Valentin ! Je dois te faire visiter les locaux ! Comme tu es nouveau tu dois savoir comment fonctionne la caserne ! Comme je suis chef de poste cette année, tu as le privilège de découvrir les locaux avec moi !

Je dépose mes affaires et suis Juliette, elle empresse le pas, j’ai l’impression d’être à sa botte, sa chose. Lucas me voit partir et me fait signe, il sourit et donne un coup de coude à Romane, qui me regarde, elle me fait un clin d’il.

À première vue, ce sont vraiment les locaux que je visite : salles de réunions, de crises, de gestions des appels. J’ai le droit à des explications nettes et précises. Nous descendons au rez-de-chaussée, du côté jardin de la caserne, nous nous dirigeons vers les vestiaires.

On va aller voir les vestiaires, ils sont spéciaux ! Ceux qui s’entraînaient viennent juste de partir.

J’ai une sensation assez étrange… Nous rentrons dans les vestiaires, ils n’ont absolument rien de spécial, à part l’odeur de transpiration laissée précédemment par les autres.

Je te laisse chercher le "truc" spécial !

Je jette simplement un il, des bancs ordinaires, rien de plus, quelques casiers et les douches collectives. Je me retourne doucement vers Juliette.

Heu Juliette, y a quoi de spécial ?

Elle n’est plus là ! Je pense alors à une mauvaise blague et me dirige vers la porte. Elle est fermée à clé et bien sûr… pas de clé.

Deux mains se posent sur mes hanches et me plaquent contre le mur, la douce voix de Juliette me murmure :

Laisse-toi faire…

Je ne m’oppose pas. Juliette me retourne, je suis face à elle et sens son souffle dans mon cou, elle lève mes bras, je touche une gouttière et sens mon autre main. Elle ne tient plus mes mains. Je suis attaché avec un colson, je commence à paniquer. Il fait très chaud.

Juliette me regarde, j’ai l’impression qu’elle aime me voir paniquer. J’essaye de me débattre mais une main sur mon entrejambe met fin à mes tentatives d’évasion. Elle baisse mon pantalon et commence à déposer quelques baisers sur mon pénis à travers le caleçon. Elle se relève, enlève à son tour son pantalon et commence à frotter ses fesses contre mon sexe. Cela dure environ 2 minutes puis elle arrête. Elle constate alors mon érection ! Elle baisse ma dernière barrière textile et prend alors en main ma queue qui doit mesurer 17 centimètres. Elle entame des va-et-vient qui provoquent une extase en moi. Mon pénis est bandé à se rompre, je n’ai jamais ressenti ça, je garde les yeux fermés. Elle lâche mon pénis, l’embrasse et je ressens une violente douleur, elle a posé un colson sur la base de ma bite. J’essaye de me débattre pour vaincre la douleur mais elle frappe ma queue et me demande de ne plus bouger. J’obéis.

Elle reprend en main ma queue et commence une fellation divine, elle l’aspire, crache dessus, joue avec sa langue sur mon gland et quelquefois le mordille.

La pipe est incroyable, je jouis très vite dans sa bouche, elle me regarde, tire la langue et avale. J’ai l’impression de revivre la scène de ce matin. Elle se lève m’embrasse, y met la langue, je sens une texture étrange. Elle a recraché mon sperme dans ma bouche. Je crache par terre par réflexe, je lui en veux ! Elle rigole et me dit que la saison n’est pas terminée… Elle ouvre la porte du vestiaire et part. Je suis toujours attaché, la queue à l’air. Je ne réalise ma situation que quelques secondes plus tard.

Cinq minutes plus tard, la porte s’ouvre, c’est Romane. Je suis soulagé. Elle est accompagnée de Lucas. Je tente de cacher ma bite.

T’as vu la mienne ce matin, tu vas pas te cacher quand même ! dit Lucas.

Vous pouvez me détacher ? demandé-je.

Le mot magique ? demande Romane.

S’il vous plaît ?

C’est mieux !

Lucas me détache, je me dépêche de retirer le colson qui serre mon pénis. Je suis à nouveau rouge de honte.

C’est un rituel que tu viens de vivre !

Un bizutage qui fait plaisir, on va dire !

Bienvenue chez nous ! Tu vas voir tout va bien se passer maintenant.

Je me rhabille et pars avec eux.

Les formateurs (F) nous réunissent, font un discours et annoncent les équipes où nous serons cinq. Vient alors mon tour.

[…] Pour le poste 5, chef de poste : Juliette. Adjoint : Lucas. Equipiers : Valentin, Romane et Clara. Les équipes sont terminées ! Nous comptons sur vous pour effectuer une bonne saison ! Encore bravo à vous !

J’ai beaucoup de chance, je vais passer un bel été !Notre équipe se réunit.

Sans rancune Valentin ?

Non c’est bon.

Elle m’adresse un large sourire que je lui rends puis elle se passe la langue sur ses lèvres. On s’échange nos numéros puis on rejoint les autres sauveteurs. Nous finirons la soirée à un bar de la plage.

Ma formation est terminée ! Je suis un sauveteur et la saison commence demain ! Je pars me coucher l’esprit libre et soulagé, je repense aux événements de la journée, je regarde une fois de plus la vidéo que j’ai faite de Perrine puis m’endors.

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