Bonjour,
Nous sommes en 1966. Célibataire, j’ai 22 ans et quelques mois quand l’un de mes frère m’invite, début août, à son mariage.
Pour des raisons professionnelles, je n’ai pu me libérer que le week-end et le lundi suivant. Cela me permettra d’éliminer l’alcool, la fatigue et d’effectuer les 150 kilomètres du retour.
Ce samedi là, il faisait particulièrement chaud. Après les cérémonies civiles et religieuses, vers seize heure, nous nous retrouvons à la campagne, dans la ferme des parents de celle qui était devenue ma belle sur.
Parmi mes nombreux défauts, j’en ai un que je n’ai jamais pu éliminer: je ne sais pas danser et j’ai horreur de ça (je n’empêche pas les autres de pratiquer). A cause de cela, je suis chargé de m’occuper de Marguerite, la grand-mère de la mariée… Elle a quatre vingt ans passés mais si bien conservée" qu’elle en parait bien dix de moins… Cette mission m’est d’autant plus facile qu’elle habite au village, à quatre kms environ de la ferme, et, pour la circonstance, je loge chez elle deux nuits.
Après le repas, vers une heure du matin, alors qu’une chaîne hi-fi diffuse de la musique pour les danseurs, la mamie me dit:" Cette musique est trop forte… J’ai bien chaud… Je ne suis pas habituée à manger et à boire autant… J’ai mal à la tête et j’ai envie de vomir… Je voudrais me coucher…
— Vous voulez marcher un peu?… Donnez moi votre bras…"
J’aide la grand-mère à se lever et à marcher… Chemin faisant, nous nous trouvons derrière une étable, dans une zone seulement éclairée par la lune, quand les premières nausées commencent à soulever l’estomac de ma "cavalière". Je la soutiens plus fermement. En vomissant le trop plein de victuailles, entre deux spasmes, elle me dit d’un ton anodin: "Oh mon dieu, ces efforts me font pisser à la culotte…"
Quand enfin elle a éliminé ce surplus de nourriture, elle me demande de la conduire vers la salle de bains pour pouvoir se rincer la bouche et faire un petit brin de toilette… En entrant dans la maison, la jeune mariée lui demande: " Qu’est-ce qui t’arrive mamie?"
Elle ne répond pas mais, par signes, elle fait comprendre qu’elle a quelques ennuis gastriques. C’est moi qui renseigne Monique en lui disant que sa grand-mère venait de vomir. "Ça va mieux. Elle veut se rafraîchir et rentrer se coucher…"
Laissant la vieille femme à ses ablutions, je vais dire "au revoir" aux noctambules encore debout. Récupérant ma logeuse, nous rentrons nous coucher… Pendant tout le trajet, elle ne dit mot… Arrivés à la maison, chacun regagne sa chambre pour la fin de la nuit…
Vers neuf heure et demi, j’entends frapper à la porte… Mal réveillé, je réponds tout de même :"Entrez!"
Poussant la porte, Marguerite, vêtue d’une simple blouse, me dit: "Excusez-moi, mais cette nuit, en vomissant, j’ai perdu mon dentier du haut…
— Je me lève et on va aller le rechercher…
— Cela me gêne beaucoup de vous demander ça… J’ai bien remis mon vieil appareil dentaire mais il tient mal…
— Ce n’est pas grave, je ferais une bonne sieste cet après-midi… Je me lève, je fais ma toilette et on y va…
— D’accord… je mets la cafetière en route et je vous prépare un petit déjeuner…"
Comme il est dit, nous faisons… Alors que tout le monde dort encore à la ferme, sur les lieux du "soulagement", discrètement, nous récupérons la prothèse et nous rentrons… Une fois bien brossés et bien rincées, les dents artificielles remisent en place, nous nous installons chacun dans un fauteuil de la salle à manger…
N’ayant rien d’autre à faire que d’attendre l’heure pour aller rejoindre les mariés et quelques autres invités pour "manger les restes", nous bavardons sur la cérémonie de la veille… Puis se levant, Marguerite me dit: "Il commence à faire bien chaud… Je vais entrebailler les volets, ça fera de l’ombre et ça gardera la fraîcheur…"
Devant la porte fenêtre, le contre jour et la légèreté de la blouse, me persuadent que Marguerite n’a que ce seul vêtement… Avant de s’asseoir, elle va à la cuisine chercher une bouteille d’eau fraîche et deux verres…
Voulant confirmer mon impression, je porte une attention très particulière aux mouvements de la grand-mère. C’est ainsi que lorsque, courbée, elle me tend mon verre, je peux voir ses seins sans soutien gorge… Quand elle pose ses fesses dans le fauteuil, pendant une fraction de seconde je vois bien quelle n’a pas de culotte… N’étant pas de bois, un début d’érection commence à être visible entre mon ventre et mes cuisses. Marguerite ne se gêne pas pour y poser son regard… Toutefois, notre conversation reprend sur diverses banalités, entres autres, sur la "perte" du dentier… A un moment, je m’entends lui dire: "C’est vrai que sans dents on doit être mal à l’aise. On n’ose pas écarter les lèvres pour sourire, on n’ose pas ouvrir la bouche, on postillonne en parlant… On ne peut rien faire…
— Oh si! Il y a quelque chose qu’on peut faire très bien… dit-elle en plantant son regard dans le mien…
— ? C’est quoi?
— Vous ne vous en doutez pas? me dit-elle avec un petit sourire malicieux…
— A part téter un biberon, je ne vois pas….
— Téter, oui, pas un biberon… mais une belle grosse queue comme vous devez avoir…"
Heureusement que je suis assis… Une telle réflexion, venant d’une femme aussi "âgée et paraissant aussi digne, me laisse sans voix et sans réaction… Gêné pour elle, il me semble que je suis rouge jusqu’à la pointe de mes cheveux… Et elle rajoute: "Si vous ne me croyez pas, on peut essayer…"
Sans réaction de ma part car j’étais complètement abasourdi, elle se lève, ôte ses dentiers (haut et bas) et vient défaire ma ceinture et les boutons de ma braguette…
Très vite je me retrouve le pantalon ouvert, la verge dans la main de la grand-mère qui commence doucement à la masturber pour lui donner la vigueur qu’elle venait de perdre… Ne pouvant rester insensible à autant d’attention, j’ai une érection incontrôlable et incontrôlée. Quand elle a estimé la raideur à sa convenance, Marguerite, telle une affamée, engloutit le "poireau" presque complètement entre ses lèvres. C’est en faisant reculer sa tête pour faire sortir l’engin qu’elle serre les mâchoires afin de pratiquer un massage bien particulier avec ses gencives. La sensation est sublime. La tension dans ma verge est au maximum. De part ses mouvements bucalemants masturbatoires, je sens que Marguerite prend autant de plaisir que moi. A mesure que la tension monte dans mon pieu de chair, elle accélère la cadence jusqu’à ce que je lui repousse la tête pour ne pas gicler dans sa bouche…Mais, d’un grognement, elle me fait comprendre le contraire. Alors, ne me retenant plus, je me vide au maximum au fond de sa gorge… Elle avale tout… Libérant enfin mon sexe et reprenant son souffle, elle me dit: "C’était bon?"
— Sublime!!!
— Tu vois que sans dents on peut faire des choses agréables… Ça m’a bien fait plaisir de te faire connaître ça… J’en ai presque jouis…"
Encore tout "retourné" par le tutoiement, la surprise et la particularité des sensations, je reste sans mouvement et sans parole…
Regardant la pendule, Marguerite me dit: "Le temps de nous préparer, il sera l’heure d’aller rejoindre les autres… Mais ce soir je veux que ce soit toi qui me donnes du plaisir…"
Sans attendre ma réponse, elle s’enferme dans la salle de bains… Je reste assis avec ma cervelle qui commence à s’échauffer en pensant à la soirée à venir…
Vers treize heure, nous arrivons à la campagne ou nous retrouvons les jeunes mariés et quelques autres membres de la famille. Après les embrassades d’usage et les questions sur la santé de chacune et chacun, la grand-mère fait savoir qu’elle a encore l’estomac un peu "barbouillé", qu’elle a mal dormi et qu’elle voudrait rentrer de bonne heure chez elle. J’abonde dans son sens en faisant valoir le long trajet qui m’attends le lendemain car je voulais "prendre" la route avant la grosse chaleur.
Le repas se passe très bien et, si le principal sujet de conversation est axé sur le déroulement de la nuit de noce du jeune couple, la bonne humeur et la courtoisie sont de rigueur… La grand-mère, (se trouvant près de moi) n’est pas la dernière à participer à la conversation sans pour autant faire une quelconque allusion à la perte de son dentier, à sa récupération et à notre "activité intime".
En début de soirée, après une petite sieste, sur l’herbe, à l’ombre des arbres, et après les embrassades de séparation, je me retrouve chez la grand-mère qui me dit: "J’ai eu bien chaud encore aujourd’hui…"
— Moi aussi….
— J’ai envie de prendre une bonne douche bien fraîche… Tu ne voudrais pas me savonner le dos.?"
Encore une fois, je restais sans réaction et sans voix … Que répondre à une telle demande?
Me prenant par la main, Marguerite m’entraîne dans sa chambre ou elle commence à se déshabiller…
-"Tu ne vas pas me faire croire que tu n’as jamais vu une femme à poil?
— Siii mamie, (bégayé-je)… pas de femmes âgées comme vous…
— Oui, bien sur, tu préfères les jeunes de ton âge… Mais nous aussi, les vieilles, on aime bien la galipette… Tu vas voir comme c’est bon…
— Je n’ose pas… J’ai trop de respect pour vos cheveux blancs…
— Laisse tomber la différence d’âge, je sais que tu pourrais être mon petit fils… Mais pour le moment, tu es un jeune homme plein d’ardeur et il y a si longtemps que je n’ai pas fait l’amour… Je n’allais pas manquer une occasion pareille…"
Tout en parlant et continuant à se dévêtir, elle se trouve nue devant moi… Planté comme un c.., j’observe cette vieille femme pas trop ridée malgré son âge… Sans soutiens et bien que tombants, elle a les seins encore bien ronds avec des tétons ne demandant qu’à être excités. Le ventre, d’apparence un peu mou formait un pli pas trop disgracieux au-dessus de son pubis… Contrairement à ses cheveux blancs, sa toison bien fournie, aux poils de jais, formait un triangle qui descendait bas entre ses cuisses en cachant sa vulve…
-"Alors!, je suis prête… Je t’attends…"
Face à mon manque de réaction, en un tour de main, elle me déshabille complètement (un pantalon, une chemisette, c’est vite enlevés… Passant une main entre mes cuisses, elle remonte en caressant mes testicules et ma verge toute flasque…
-"Hummm! Viens… je vais réveiller tout ça…"
Me prenant par le cou, elle m’amène sous la douche. C’est elle qui règle la température de l’eau et commence un savonnage en règle de son corps puis du mien. Bien sur, elle a insisté particulièrement sur sa vulve et sur mon "service trois pièces". Toujours amorphe, je me laisse faire jusqu’à ce qu’elle attrape un gant de crin et, me le tendant, tournant le dos, me dit: "Vas-y, frotte mon dos… ça fait du bien…"
Je ne peux qu’obéir … et je frotte jusqu’à ce que la peau devienne d’un beau rose clair. Puis, c’est à son tour de me frotter… Effectivement, si au début le crin gratte un peu, c’est une sensation agréable qui se dégage au fur et à mesure du frottement…
Quand nous nous rinçons, face à face, un début d’érection fait grossir ma bite. La prenant en main, Marguerite fait quelques mouvements "masturbatoires" tout en disant: "Hummm! que je vais me régaler…"
Après nous être séchés, nous nous retrouvons allongés tête/bêche sur le lit. Marguerite tient toujours ma queue en main et la masturbe doucement… Je ne peux pas faire moins que de titiller ses mamelons qui, à ma grande surprise, se dressent fièrement. Approchant ma bouche, je suce l’un tout en pinçant et faisant rouler l’autre entre mes doigts…
Soudain, je sens ma verge entourée de chaleur et d’humidité. Marguerite, ayant enlevé ses dentiers, m’avait pris en bouche et commençait une masturbation "gencivo-buccale" irrésistible. Très vite mon membre prend un tèl volume que la bouche accueillante à bien du mal à le contenir. Sa tension interne est si forte que j’ai peur d’un éclatement…
Ma réaction ne se fait pas attendre: j’introduis deux doigt dans la grotte de cette grand-mère si dévergondée…
Encore une surprise! Je n’avais pas vu que sa chatte dégoulinait de jouissance. Fouillant ce vagin encore bien serré compte-tenu de son âge, je sens sous mon pouce son clitoris devenir de plus en plus ferme… En y regardant de plus près, je le vois sortir de sa cachette et prendre la forme du sexe tout raide d’un petit chien. Ne pouvant résister à une telle friandise, je prends cette "sucette" entre mes lèvres et en titille le bout avec ma langue.
Semblant recevoir une décharge électrique, Marguerite se raidit, lâche ma queue, appuie ses deux mains sur ma tête, libérant sa bouche. Du fond de sa gorge, elle pousse un long râle rauque pour exprimer sa jouissance… Oui! elle a un orgasme qui n’en finit pas!
Quand, enfin elle retrouve ses esprits, relâchant la pression de ses mains, je peux reprendre ma respiration et elle le sienne.
Se tortillant sur le lit, elle vient s’allonger près de moi. Pour me remercier, elle plaque sa bouche sur la mienne en un baiser "édenté" qui n’est pas si désagréable que cela…
Bien qu’ayant perdu un peu de pression, ma verge est toujours aussi raide . La prenant en main, tout en s’allongeant sur le dos, Marguerite la dirige vers l’entrée de son puits d’amour… Je n’attends pas pour la chevaucher fougueusement… Je sens son clitoris, toujours aussi dur, frotter contre mon membre… Les râles de plaisir de la grand-mère sont de plus en plus forts et de plus en plus précipités. Quand son second orgasme se déclenche, elle se raidit et se cambre en hurlant son plaisir!!!. En longues giclées bien épaisses, je me vide complètement au fond de ce vagin si hospitalier qu’il donne envie de le visiter plus souvent…
Hélas, le temps a fait que Marguerite a quitté ce monde quelques mois après cette "aventure". Je suis tout de même un peu fier de lui avoir donné, une dernière fois, autant de plaisir…
Petikokin