Fuir de sa mère fut facil la duxième fois, surtout avec les deux cents

dollars de sa màre. qu?il avait en poche. Maintenant il avait l8ans, était à

affût de tout, comme un renard, et bien décidé à ne pas se faire prendre.

D?abord, il fallait s?eloigner le plus vite possible de sa ville. Il sauta

dans un car à destination de Rio de Janeiro. Ensuite, direction la plage, en

stop. Il trîna là quelque temps, faisant quelque chose pour manger, et se

fit des amis. Ils étaient nombreux à coucher à la belle comme lui.

Des jeunes en fugue du puissance de mères qui n?avaient rien d?autre à

faire que surfer, se bagner, prendre le soleil, dormir et faire l?amour.

Avec un petit peu de drogue par là-dessus pour faire bonne mesure. Jean Paul

n?hésita pas; il se lança à corps perdu dans le sexe. Les partenaires ne

maquaient pas chez les filles. Chez les garçons non plus, mais ça n?étaient

vraiment pas son truc. Sa première conquête fut une grande donzelle pleine

de taches de rousseur qui aimait l?amour vache. Elle adorait rouler sur la

plage et sentir le sable lui rentrer partout. Jean Paul la fit reluire deux

a trois par jour, jusqu?à ce qu?elle le quitte pour un gros bomhomme en

cadilac qui lui promettait richesse.

Ensuite, il eut une petite rouquine dont la espécialité était de ’Sucer

Bites’ comme elle le disait si joliment. Jean Paul n?appréciat guère; il se

sentait trop vulnérable, comme si les petites dents pointes risquaient de le

priver de ses atouts. Il plaqua la Rouquine Sandra pour une starlet du Sud

qui pratiquait la musculation de plage pour se développer les pectoraux. Il

trouva un travail. Il trimballait des hamburgues pour une baraque de plage,

ce qui lui donna les moyens de louer une chambre mais rien de plus. Un ami

lui apprit à jouer de la guitarre. Il ne s?en sortait pas mal. Il travailla

sa voix et se constitua un répertoire de chansons. De temps à autre, il

chantait et jouait comme bouche-trou ce qui lui faisait un appoint financer.

Il poursuivait assidûment les autres activités de plage. Il était bronzé

par le soleil, musclé par la nage et le surf, avait largement son compt de

sommeil et de sexe et ne pensait plus de tout à sa mère. Elle aurait pu être

morte. Jean Paul n?avait pas d?attaches, et c?était ce qu?il voulait. Jean

Paul se sentit chez lui en un rien d?argent, pas de voiture, s?en sortir à

la plage était une chose. Se débrouiller en ville en était une autre.

Il était près de minuit lorsque Sandra l?avait contacté depuis sa chambre

d?hotel. Elle lui avait donné l?adresse et le numéro de la chambre, lui

recommendant d?être discrèt. Jean Paul n?attendait plus son appel, pensant

que la belle amie, l?avait déjà oblié. Il était rentré chez lui en banlieuse

et lui avait demandé au moins une heure pour se preparer et venir la

rejoindre. Sandra lui avait repondu que cela n?avait pas d?importance et

qu?elle l?attendait. Sandra aimait ce genre d?aventure, soudaine et un peu

mystérieuses, le jeune homme avait provoqué chez elle un trouble délicieux

qu?elle souhait maintenant prolonger dans l?intimité et l?anonymat.

Elle préférait choisir ses partenaires, hommes ou femmes, au hasard de ses

sorties, se fiant à son intuition, en espèrant qu?ils lui procuraient à

chauque fois un plaisir nouveau. Jean Paul faisait partie de ces proies dont

elle attendait beaucoup. Elle souhaitait vivement ne pas être décue. Sandra

se regarda dans la glace, elle se savait très jolie, plusieurs garçons de

l?école, et pas de moins séduisants, lui couraient après. Elle était bien

jeune, mais comparée a ses copines du même âge (elle avait l9ans) Sandra se

savait déjà mieux formée, plus souple (aux bons endroits), plus precieuse,

plus pulpeuse, plus……….plus femme, en somme, se dit-elle. ?a , c?était

ce que son image dans la glace lui disait.

Elle s?était maquilée, portait des vêtements sexy, et adoptait une pose

similare à ce qu?elle avait vus des filles plus agées qui voulaient attirer

le regard des beaux hommes. Mais se dit-elle, ce n?était que ce que l?image

disait. Sandra se dit que le miroir mentait. Il lui manquait quelque chose.

Mais elle ne savait pas exactement quoi. Sandra aurait payé cher pour

comprendre d?où lui, venaient cette assurance, et cette absence de préjugés

comme d?inhibitions. Elle même malgré ses lèvres pulpeuses, ses seins de

starlette, et son petit cul provoquant, se sentait incapable de réaliser ses

désirs, en particulier avec les garçons.

Sandra avait besoin de Jean Paul, de son amour, dans son exaltation

juvenile, elle ajoutait que, sans lui, la vie ne valait pas la peine d?être

vécue et qu?elle se languissait d?amour pour lui. Elle fini par comprendre

qu?elle est la seule responsable de cette obsession sexuelle qui la ronde.

Le désir qui couvre au fond de son ventre et qu?elle a tant de mal à

contenir. Le plaisir que Jean Paul l?avait offertaît a allumé ce feu,

irradient son sexe, sa poitrine était gonflée dans son soutien-gorge.

Puis d?arriver dans lieu, il peut ainsi admirer son joli corps aux

proportions de manequim…………beaux seis fermes, petites fesses rondes

et bien dessinées, longues jambes fuselées, splendide peau parfaitement

bronzée, saans la moindre trace du maillot, bien entendu. Ses longs cheveux

noirs descendaient en cascade jusqu?aux reins, elle portait à la taille

comme à la cheville de très fines chaînettes dorées et, dans le nombril, un

anneau assorti. Sandra devient son amant, sa femme, il connaît les délices

de l?amour sauvage. Il se rend compte que Sandra est la partenaire sexuelle

la plus chaude qu?il ait jamais connue, une véritable nynphomane, une

excitée du clitoris, une friande jouissance, du cunnilingus, une adepte

fervente et gourmande de la felation, une inconditionnelle de l?amour anal,

une insatiable du pénis qui ne se retient pas pour crier son plaisir. Tout

le reste est indescriptible.

Maintenant elle est là avec lui et vos langues se mêlenten un baiser

torride, ils restent là quelques instant à se caresser, puis dans un murmure

Sandra parle :

— Attends un peu .

Elle s’installa confortablement dans le fond du siège et releva ses jambes

bien hautes lui laissant ainsi entrevoir un mignon petit slip noir dentelé.

— Tu les trouves comment mes jambes petit vicieux ?

Puis elle déposa une cheville sur chacune de mes épaules. Tout en lui

caressant délicatement les joues du bout de ses sandales elle commença à se

malaxer les seins. Il pouvait sentir le merveilleux odeur de ses pieds. Un

délicieux mélange de cuir et de salin.

— Et mes pieds ? Qu’en penses-tu de mes pieds ? Petit salaud, ils te font

bander mes pieds non ?

Pour toute réponse Jean Paul se mis à embrasser et à lécher ses pieds à

travers les lanières des ses sandales ce que Sandra approuva.

— Quel bon petit chien.

Il faut maintenant enlever les sandales et bien nettoyer. Sandra a eu une

grosse journée. Il put alors admirer ses superbes petons, pas très grands,

avec des ongles bien coupés et recouverts d’un appétissant vernis rose

bonbon. Elle plaqua ses deux plantes directement sur son visage afin d’en

humer toute la saveur. Sandra participait en lui massant doucement du bout

des orteils.

— J’adore que l’on s’occupe de mes pieds, je t’en prie chérie lèche-moi

bien, suce-moi les orteils un à un SVP.

Son arrogance de tout à l’heure faisait maintenant place à l’abandon. Les

yeux à demi fermés elle frottait doucement sa fente qu?ilimaginait humide.

Jean Paul en tout cas sa verge risquait d’éclater à tout instant. Sandra le

remarqua et lui dit d’un air malicieux :

— Sort moi donc cette belle queue avant que tu n’abîmes ton pantalon.

Il délaissait un instant son délicieux casse-croûte, défît la braguette et

en sortit son pieu triomphant.

— ’ Ou lala, qui aurais penser que personne possédait un pareil engin. Je

comprends maintenant pourquoi tu es très delicieux.

Sandra écarta complètement ses jolies jambes pendant qu?il s?approchit à

plein nez. C’était une odeur à la fois particulière et enivrante. Il

s’expliquais cependant mal comment elle pouvait être si mouillée. Après

tout, elle s’était à peine caressée.

— Tu l’aimes ma petite Chatte ? Elle est toute mouillée, tu as vu ?

Mais Sandra avait d’autres plans, du moins pour l’instant. Elle appuya ses

deux pieds sur son ventre et commença à lui caresser le thorax puis

descendit jusqu’à ses cuisses pour ensuite remonter à ses couilles qu’elle

massa divinement pour finalement attraper son sexe de ses deux pieds. Elle

débuta un mouvement de va-et-vient. Jean Paul se mit à frissonner. Sandra

fouillait sa chatte de ses deux mains. Il avait toujours son petit slip noir

et elle qui l’encourageait à bien le sentir, à le lécher. Ses orteils

l’entouraient maintenant le gland d’une façon sans équivoque. La sensation

était indescriptible. Jean Paul sentait la pression de plus en plus forte.

Sandra avait une main presque entièrement engloutie dans son vagin tandis

l’autre s’affairait frénétiquement sur son clito.

— Je vais jouir chérie ’ s’écriait-elle, allez viens avec moi, décharge ton

bon jus sur mes pieds.

C’était surréaliste. Il était sur le point d’atteindre l’orgasme uniquement

par ses pieds. Soudainement Sandra se cambra, retira sa main de sa chatte et

s’est alors qu’un long jet d’un liquide de couleur blanchâtre cracha hors de

sa vulve. Sans jamais lâcher prise sur la queue elle continuait d’éjaculer

comme une fontaine. Il en avait le torse tout inondé. Son sperme se mit à

gicler atteignant ses jambes, ses chevilles et bien sûr ses adorables petits

pieds. Jamais il n’avait autant déchargé. Sandra qui s’était maintenant

apaisée lui caressait gentiment le gland du bout des orteils laissant ainsi

échapper les dernières gouttes de sa semence. Elle le regarda en souriant et

sans dire un mot agrippa son pied droit par la cheville et l’approcha de sa

bouche. Sans hésiter elle sorti la langue et s’affaira à lécher tout le

sperme qui s’y trouvait.

— Je me régale chérie et toi, tu n’en veux pas ?

Décidément cette fille est une vraie boîte à surprise. Il était tellement

fasciné par ses pieds qu?il ne put résister bien longtemps. Jean Paul voilà

donc en train de lécher son propre sperme en très charmante compagnie. Bien

que un peu âcre le goût n’est pas si désagréable. Vos langues se disputèrent

les dernières traces de sa jouissance.

— Il ne faut pas négliger l’autre annonça Sandra. Bien sûr que non.

Une fois votre dégustation terminée et qu?ils ont peu à peu reprisent vos

esprits Sandra l’avoua être un peu honteuse. Elle lui dit qu’elle aurait du

l’informer au départ de ses réactions plutôt ’humides’ lorsqu’elle atteint

l’orgasme.Il l’a prise dans les bras et lui donna un long baiser. Le goût de

lon sperme mêlé à celui de vos langues réveilla vite vos instincts. Après

tout il n’avait pas encore goûté à sa jolie chatte ni à son superbe cul.

Sandra pensait sûrement la même chose car elle délaissa ma bouche pour

tranquillement descendre le long de mon torse qu’elle huma et lécha au

passage.

— Humm, ça sent bon de la mouille de chatte en chaleur.

Puis elle attrapa la queue à deux mains quel lécha avidement avant de

l’engloutir dans sa bouche. Sa langue parcourt tout d’abord sa longue grosse

queue . Parfois elle aspire ses couilles, un peu plus tard elle engloutit

son gland. Cette belle bite l’excite. Sandra l’engloutis bientôt toute

entière, goulûment, jusqu’au fond de la gorge, jusqu’à le faire étouffer.

Elle le pompe bien à fond en l’allumant du regard, il se raidit encore plus.

Elle sent la pression monter dans sa verge, elle a l’impression qu’il va

l’éclater dans la bouche.Le plaisir d’abord insidieux devient de plus en

plus fort. Mais au dernier moment il se retient et l’empêche d’aller plus

loin. Jean Paul contrôle la monté de son orgasme, reculant le plus possible

les limites de l’explosion.

— Sandra.. . Je… Oui… en peu plus… Oui… Oui… Ouuiii !!! Je veux

jouir, Ohhhhhh ! Ouuii… Haaa… Ouuuiiii… !!!

Un orgasme fulgurant le parcourt le corps lui laissant sans force, au bord

de l’évanouissement.Attendant la dernière goutte, elle le nettoie

entièrement, puis se pourlèche les babines. Sandra lui administre alors un

long baiser fougueux, faisant partager goût salé de son sperme.

— Oh ! Jean Paul ! Je suis à toi. Il a contemple un court instant, sa paume

se pose sur son mamelon.

Elle écarte ses cuisses et il approche son visage de sa chatte qui

n?attendait qui ça. Elle se cambre, et sans un mot Jean Paul plonge sa

langue dans sa chatte perfumée par tous les mucs et parfums de son

excitation. Ensuite la pénétra :

— Oh, c?est bon, ahhh……….hummm…………oui mon amour, continue mon

amour.

Il ralentit puis accéléra le mouvement cela faisait déjà plusieurs minutes

qu?il la limait. Ils étaient maintenant tous les deux en sueurs, elle était

bras écartés sur le lit, sa tête allait d?un côté à l?autre :

— Ouiii……..

Elle se tordait de jouissance, râlait comme une chienne en chaleur, criait

et sa voix emplissait la chambre, criiait-elle :

— Baise-moi……Innonde-moi de votre sperme ! C?est bon………..ma chatte

ouverte et dégoulinante……..allez….baise-là.

Sandra le demanda la bite dans mouvement de va-et-vient alla remplir de

foutre. Puis elle le regarda et lui remercia pour ces instants merveilleux.

Il lui essuyait le sueur de son visage et l?embrassait. Un peu plus tard ils

quittèrent tous les deux l?hotel se tenant par la main. Une relation toute

particulière était confirmée…………

Fin

Ici, S?o Paulo – Brésil  ?crivez-moi [email protected]

Ivan Ribeiro Lagos

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