Dans mon milieu professionnel, j?ai l?occasion de rencontrer des personnes diverses, de toutes catégories sociales, des plus intéressantes au plus insignifiantes. J?ai rencontré son mari à cette occasion, il a une entreprise de peinture, petit artisan local, il était un des de nos petits entrepreneurs qui réalisait des chantiers pour ma collectivité.
C?est un homme jeune, de couleur, pas mal au demeurant, je pense d?ailleurs qu?il m?a attiré dès les premiers regards. Malgré mon hétérosexualité affirmée, j?aime vraiment beaucoup les femmes, pour leurs corps mais aussi pour leur sensualité et leur sensibilité, j?apprécie beaucoup regarder les hommes qui ont une belle gueule et un beau corps. Nous avons échangé des propos quelconques à l?occasion de plusieurs conversations. C?est comme ça que j?ai appris qu?il était marié, père de deux enfants et qu?il était mauricien.
Lors d?une fête champêtre, j?eu l?occasion de rencontrer sa femme. Ils faisaient le tour de la fête alors que je m?activais à régler le dernier préparatif d?un spectacle qui allait être présenté. Je n?avais donc pas beaucoup de temps, mais lorsqu?il s?est approché de moi pour me la présenter, je crois que j?aurais pu retarder le spectacle car au premier regard, elle me fit bander. Non ce n?était pas un de ces tops models que l?on trouve dans tous les magazines, mais une fille attirante que l?on a envie de serrer dans ses bras au premier contact et que l?on a envie d?entraîner dans des folies de chairs.
Elle est aussi mauricienne, grande, brune avec des yeux que l?on a plus envie de quitter du regard. Sa bouche est aussi pulpeuse que le reste de son corps. Au premier regard, vous avez envie de la caresser.
Son premier regard m?a ensorcelé, car je savais que nous allions nous rencontrer lorsque de sa voix sensuelle elle m?a dit ? à bientôt j?espère ! ? avec un regard malicieux qui en disait long sur ses pensées. Les miennes se traduisaient par un affolement dans mon pantalon, je bandais comme un malade et je ne savais plus ce que je devais faire. L?appel de mes chers collègues me remirent dans l?action sans que ma queue suive, elle restait désespérément gonflée…..
Je restais troublé par cette rencontre durant toute la journée et la soirée. A chaque moment je cherchais du regard Indiana car c?était son prénom.
Ma nuit fut agitée par une avalanche de rêves érotiques avec elle et avec d?autres, mais aussi avec elle et son mari dans une rencontre torride qui m?a valu d?inonder mon lit d?un sperme abondant et chaud.
Durant plusieurs jours une seule chose me motivait : la rencontrer n?importe où, au bureau, dans la rue, devant l?école où elle emmenait sa fille, même son mari me motivait car je savais que c?était un moyen de la revoir.
Le miracle s?est produit un jour ou je m?y attendais pas du tout, au bureau je travaillais sur un dossier merdique lorsque ma secrétaire me demanda, au téléphone, si je pouvais recevoir une maman qui avait un problème avec sa fille. Soucieux de rendre service à toutes les mamans qui pouvaient être une conquête éventuelle j?acceptais avec enthousiasme sans savoir que j?allais faire subir à mon caleçon une dure épreuve.
Quelle surprise lorsque je relevais la tête pour accueillir cette maman, je ne me rappelle même plus ce que j?ai dis pour l?accueillir. C?était elle, celle que je n?attendais pas mais que j?avais envie de voir, d?avoir en face de moi.
Ce fut un moment délicieux, j?ai littéralement bu ces paroles, malgré que je sois resté attentif à ces problèmes, que j?ai d?ailleurs réglés par la suite. Je la soupçonne d?avoir trouvé un alibi pour me venir me voir, car elle s?était habillée d?une telle façon que je n?ai pu quitter ses seins durant la conversation. Je devinais cette poitrine opulente mais ferme où il doit être bon d?enfouir sa tête et même son sexe. Je ne voyais pas ses seins mais je les devinais, au fur et à mesure que je les dessinais, je bandais à m?en faire péter la braguette. Elle me parlait sensuellement en me regardant avec des yeux de braises à faire fondre la banquise ; même si je n?ai rien d?un esquimau, je fondais en avalant ses paroles. Je ne sais plus combien de temps à duré l?entretien, mais je dois dire que je me suis retenue pour éviter de lui sauter dessus et de la prendre sur mon bureau sans préliminaire car je n?en pouvais plus, ma bite allait exploser.
Mon bureau était placé de telle façon que je voyais les personnes lorsqu?elles redescendaient de l?escalier. En descendant, elle a relevé la tête en la tournant légèrement afin de me faire un oeil malicieux que j?interprétais comme un appel. Après qu?elle fût partie je n?ai pu m?empêcher d?aller au toilette pour me branler et jouir dans ma main car mon sexe était trop douloureux.
Je ne suis pas complètement idiot, malgré mon trouble je lui avais promis de régler son problème et bien évidemment de la tenir informée avant de la tenir dans mes bras.
Deux jours après j?avais réussi à contacter toutes les personnes compétentes afin de lui donner satisfaction. Je m?apprêtais à l?appeler lorsque je fus dérangé et je dus remettre ça à plus tard.
Durant les jours où je ne l?ai revu pas, je ne pensais qu?à une future rencontre, j?échafaudais tous les scénarios possibles et imaginais tous les délires. Cela passait par des baisers langoureux et profonds, des caresses, je sentais sa peau, ses seins à l?intérieur des paumes de mes mains, la chaleur de son sexe, le contact de son bouton que j?excitais de mes doigts experts. Sans viagra, je vivais l?érection perpétuelle en pensant à elle !
Un mardi ma journée était calme et j?avais donc imaginé un alibi pour lui rendre visite car je savais que son mari travaillait dans les bureaux à côté. Je m?étais préparé à toutes les situations de la pire : qu?elle me jette, à la plus merveilleuse : en mettant dans ma poche 3 capotes !
Au moment où je dis à ma secrétaire : ? je sors j?en ai pour une bonne demi-heure ?, son mari arrive dans nos bureaux et demande à me parler.
Ma panique a du se lire sur mon visage car ma secrétaire me regardait inquiète, que se passait il ?
Je le reçu dans mon bureau avec un peu d?anxiété qui fut vite dissipée par sa gentillesse à excuser sa femme qui se permettait de me déranger pour des broutilles. Je ne pouvais pas lui dire que des broutilles avec sa femme, tous les jours j?en voulais !
Dans la conversation, je fus contraint de lui dire que j?avais réglé les soucis que sa fille rencontrait, contrainte qui me faisait perdre tous alibis pour revoir indiana. Plus je le regardais plus il m?attirait, était ce simplement pour sa femme ou vraiment ma tendance homosexuelle qui ressortait ? Je ne savais pas mais mon outil de mec réagissait en durcissant dans mon jeans. J?imaginais alors des combinaisons érotiques à faire bander des impuissants !
Au cour de la conversation je m?habituais à l?idée qu?il fallait que je trouve un autre moyen d?entrer en contact avec elle. C?est lui qui me l?apporta par une proposition alléchante, il me demanda si j?acceptais, moyennant paiement, d?aider sa femme à utiliser des logiciels de bureautique sur son ordinateur. Je pense que s?il m?avait demandé de venir faire le ménage en string avec un petit tablier j?acceptais aussi !
Mon travail et ma fonction me permettaient d?être suffisamment autonome pour proposer des horaires où j?avais toues les chances de me retrouver seul avec elle, tout en me doutant qu?il aille me proposer de venir en sa présence, je que j?aurais fort bien compris. Vraiment la chance me souriait car il accepta ma proposition de venir le mardi après-midi de 14 h à 17 heures. Le 1er rendez-vous fut prit pour le mardi suivant.
Je m?étais préparée à cette journée comme un sportif qui se prépare à une compétition importante. Les jours précédents, je n?avais fait aucun excès, je n?avais pas fait l?amour avec ma femme, je ne m?étais pas masturbé et avais bien dormis en essayant d?évacuer les éventuels rêves érotiques que ce moment tant attendu pouvait engendrer. Je m?étais habillé de telle sorte que la mise à nu de l?animal se fasse en un tour de main afin de profiter de tout son corps, j?avais mis un caleçon qui se boutonne, un jean sans ceinture et à boutons, et une chemise sans maillot en dessous malgré la température un peu fraîche alors que l?été pointait son nez.
Lorsque je suis arrivé chez elle à l?heure convenue, je me demandais combien de temps j?allais tenir avant de lui sauter dessus car vraiment, cette femme m?excitait. Elle a ouvert la porte au premier coup de sonnette et m?a invité à ouvrir la grille et entrer. Elle était vêtue d?une jupe longue ouverte jusqu?au haut des cuisses sur le côté et d?un chemisier transparent de couleur sombre qui laissait deviner ses formes avantageuses. Sa poignée de main fut douce et chaleureuse, son parfum envoûtant. Elle me proposa un café que j?acceptais et m?invitât à nous installer au bureau de son mari et de commencer immédiatement, car elle était pressée d?apprendre. Quoi m?interrogé re ?
Je l?invitais à s?installer devant l?ordinateur et me plaça à côté d?elle sur un tabouret. Je sentais son corps près du mien, nos deux cuisses se touchaient et j?admirais cette femme avec une envie irrésistible de l?embrasser, la caresser. J?avais bien essayer de faire dévier la conversation, de lui expliquer une manipulation afin de me pencher sur elle, je m?étais fait des illusions. Elle restait imperturbable à mes avances déguisées et pourtant le renflement de ma baguette qu?elle regardait du coin de l?oeil était sans ambiguïté, je bandais comme un salaud.
Puisque je m?étais trompé, je décidais de continuer l?apprentissage comme un bon professeur sérieux avec comme seul objectif apporter mon savoir, tant pis pour le reste.
Après deux bonnes heures de cours très distants, je m?étais même écarté d ?elle pour éviter le contact et d?assurer à ma queue un repos non souhaité, elle me proposa d?arrêter et de prendre un verre que j?accepta volontiers car malgré le merveilleux moment passé avec elle, j?avais d?autres envies !
Nous avons discuté de choses et d?autres en buvant un verre, nous nous regardions malicieusement et me demandais ce qu’elle voulait car ses yeux étaient langoureux et avaient tendances à descendre sur ma braguette.
Que voulait-elle ? J?étais un peu largué et me demandais quelle attitude employée lorsqu?elle me proposa d?arrêter et d?aller faire une promenade car il restait une bonne heure et que soleil avait son apparition.
Cinq minutes après nous étions dans ma voiture en direction de la forêt de Cheptainville distante de quelques kilomètres que je mis à profit pour lui faire des compliments sincères sur sa sensualité et ses attraits physiques.
Arrivée en forêt, elle me fit part de son trouble quant à mes compliments, et nous décidâmes de marcher tout en continuant la discussion. En cet après-midi de mai le soleil commençait à chauffer et la forêt était quelque peu déserte. Nous marchions côte à côte, nos mains se frôlaient et son parfum mêlé aux odeurs du sous-bois m?enivrait. Nous parlions de nos vies respectives, je lui fit des compliments sur son mari, qu?elle me dit satisfaite, mais malgré tout elle savait regarder les autres hommes. Elle me dit que j?avais un certain charme, que j?étais agréable et qu?elle ne savait pas comment me remercier pour tout ce que j?avais fait pour elle.
Au moment où je sentis que c?était le moment de me rapprocher d?elle, je vis un écureuil grimper sur un arbre et stopper à hauteur d?yeux. Je voulais qu?elle voie cette image naturelle et lui indiquait la direction, elle me répondit qu?elle ne le voyait pas, tout naturellement, je m?approchais d?elle, passa un bras autour de ces épaules et mis ma tête sur l?épaule opposée afin de lui indiquer la direction à regarder comme lorsque l?on prend le bras d?un enfant en pointant son bras dans la direction voulu. Je venais spontanément de la prendre dans mes bras et de me retrouver avec ma joue collée à la sienne.
Je pense que cette situation nous enivra tous les deux car l?écureuil fut vite oublié et nos deux corps trouvaient leur fusion. Elle se mit bien devant moi de telle façon qu?elle puisse coller tout son dos contre mon corps, bien que un peu plus grande que moi, ses fesses viennent à la hauteur de mon bas ventre. Je l?enlaçais tout en fourrant mon visage dans son cou sous sa chevelure longue et noire je l?embrassais et lui mordillait le lobe de ses oreilles. Elle frottait ses fesses contre mon ventre en produisant un mouvement de haut en bas et sur le côté, l?effet ne se fit pas attendre, je bandais et ma queue bien dure se frottait entre ses fesses. J?avais passé mes deux mains sous son chemisier et lui caressais les deux seins en même temps par-dessus son soutien-gorge, elle gémissait et me disait des mots que je n?entendais même plus. Sa respiration s?était accélérée, ses seins se durcissaient, je sentais ses deux tétons bander, ils tendaient la dentelle de son soutien-gorge. Mes mains et mon avant bras plongés sous son chemisier tendus par sa poitrine gonflée avaient peu de place pour se mouvoir, je décida donc de défaire les deux boutons du bas pour avoir plus de liberté de mouvement. Je lui prodiguais des caresses sur l?ensemble du torse, elle me disait qu?elle avait l?impression que plusieurs mains la caressaient. Elle se retourna et me fit face, je n?eu pas le temps de réagir que déjà sa langue fourrait ma bouche avec passion, mes mains étaient descendues sur ses fesses, je glissais une main sous sa jupe par le côté fendu, sur l?instant je pensais qu?elle n?avait pas de culotte car je sentais la peau de ses fesses directement au contact de ma peau.
Mes doigts plongés entre ses fesses m?apprirent qu?elle portait un string, l?humidité qui régnait dans son entrejambes m?excitait, une main était déjà remontée sous le chemisier et s?activait pour dégrafer sous soutien-gorge car je ne pouvais plus retenir mon envie de lui pétrir ses seins à pleines mains au contact direct de sa peau.
Mon sexe cognait contre son ventre, il était comprimé et je croyais qu?il allait éclater. Nous étions en pleine forêt et nous avions complètement oublié que des personnes pouvaient nous regarder. Rien n?avait plus d?importance que le désir partagé et cette envie de deux corps en pleine ébullition.
J?avais ma tête enfouie dans son cou sous sa chevelure longue et brune tandis qu?elle m?embrassait le cou la bouche les oreilles, je n?avais pas assez de mes deux mains pour caresser cette peau de bébé, douce, chaude, légèrement humide. J?avais remonté son soutien-gorge au-dessus de sa généreuse poitrine et sentais ses tétons bandés comme ma queue. Il ne restait plus grand chose à déboutonner avant que son chemisier soit grand ouvert mais j?avais quand même peur que quelqu?un surgisse et nous surprenne.
Je sentais sa main me caresser le sexe au travers du jeans, avec dextérité elle avait trouvé le moyen de mettre ma queue à la verticale bien le long de la braguette, elle me masturbait avec ses doigts qui remontaient de bas en haut. J?avais l?impression que j?allais jouir d?un moment à l?autre, j?avais tellement envie de la prendre là debout contre un arbre, la pénétrer, m?engouffrer dans ce corps si chaud et torride qui était au bord de l?embrassement. Elle avait compris que ma queue avait besoin d?air car déjà deux boutons de braguette étaient dégrafés, mon gland compressé par l?élastique de mon slip respirait, mais déjà mon pantalon était grand ouvert et ma queue à l?air libre était collée le long de mon bas ventre. Une main l?avait empoignée et la masturbait doucement, tandis que l?autre s?activait à me pétrir les couilles ou me caresser l?anus. C?était une connaisseuse car une fois baissée à la hauteur de ma queue elle l?enfournait dans sa bouche et me mit le doigt dans le cul, le délire, l?apothéose, le plus jouissif pour un mec. Plus rien ne comptait autour de nous, les yeux fermés je savourais le plaisir de cette bouche chaude qui m?accueillait et de ce doigt fin qui me fourrait pendant que je lui caressais les seins en pinçant ses tétons bien dures.
Elle a dû sentir mon anus se rétracter, car en ouvrant les yeux, j?aperçus un jeune mec qui avait posé son VTT pour pisser à 3 mètres de nous. Je lui fis remarquer que quelqu?un était là, mais elle continua de s?activer avec ma queue, mes couilles. Le mec pissait tout en nous matant, son angle n?était pas le meilleur pour visionner cette belle fellation, mais suffisamment suggestif pour scotcher son regard. Il était en tenue de cycliste avec un pantalon collant en lycra jaune et un débardeur rouge. Il avait peut être une vingtaine d?années, bien foutu, blond, grand et fin. Il faisait partie du paysage, car elle et moi l?avions déjà oublié, et pourtant son vélo posé contre un arbre, il nous matait. Elle n?avait même pas détourné son regard pour l?apercevoir, elle continuait de me sucer, de passer sa langue autour de mon gland complètement décalotté.
Le spectacle l?intéressait vivement car il bandait, je voyais bien la forme de sa queue au travers du lycra. Je racontais tout doucement le spectacle que je voyais pendant qu?elle me pompait, elle détourna un peu la tête pour l?apercevoir, ce qui permis à notre mateur de voir cette bouche avaler mon sexe. L?effet fut immédiat, la main dans le pantalon, il se masturbait en nous regardant.
Je pense que cela nous excitait tous, car nous nous sommes tournés un peu pour qu?il puisse profiter pleinement du spectacle, et lui s?est approché légèrement. Elle suçait goulûment ma queue alors que moi je lui pinçais les tétons ce qui la faisait gémir doucement, lui continuait de s?astiquer violemment, je distinguais au travers du tissu sa main agripper son sexe et le branler.
Je n?en pouvais plus, je n?avais qu?une seule envie, qu?elle se relève pour que je lui soulève sa jupe, enfuît mon nez entre ses seins, qu?elle lève légèrement une jambe afin que je lui écarte sa fente et que je la pénètre là debout contre un arbre.
Je venais de me débarrasser des derniers boutons du chemisier, sa poitrine généreuse était à l?air, le soutien-gorge par terre, si quelqu?un venait à passer je pense que nous aurions des ennuis ou alors d?autres participants à nos ébats. Elle avait du lui faire signe, car il s?approchait doucement mais sans ambiguïté sur ses pensées, il en voulait plus.
Il s?est approché de telle manière d?être à la hauteur de cette langue qui était entrain de lécher ma queue en remontant des couilles au gland rougi par l?excitation. Il avait sorti sa queue tout en continuant de se branler, elle était longue et fine, il avait les poils abondants et blonds et des couilles disproportionnées par rapport à son pénis.
Il n?a pas hésité une seconde pour la peloter avec ses deux mains, il appréciait sa poitrine laiteuse car il lui pétrissait les seins avec énergie tout en gémissant faiblement. Elle s?est emparée de sa queue tout en continuant à me sucer, elle le branlait doucement de haut en bas en décalottant le gland au fur et à mesure, j?avais pris soin de retirer mes mains de sa poitrine pour qu?il en profite au maximum, et avait reculé la tête d?Indiana pour qu?elle arrête de me sucer et qu?elle me branle aussi avec la même cadence.
Pendant qu?elle nous branlait avec douceur, il s?était arrêté de la caresser et machinalement nous lui avons offert nos doigts pour qu?elle les suce. Voyant son cul bien musclé et rebondi, je ne pu m?empêcher de lui baisser son pantalon et de lui caresser les fesses. L?effort physique qu?il venait d?accomplir et l?excitation lui avait mouillé son cul car je n?eus aucun mal à glisser mon majeur entre ses fesses et lui rentrer dans l?anus.
Il fut surpris mais n?entreprit rien pour que j?arrête au contraire son râle laissait penser qu?il aimait, de plus il s?était emparé de mes couilles qu?il malaxait.
Indiana sentaient que nous allions exploser car elle ralentissait la cadence et alternativement nous léchait le bout du gland.
Le silence de la forêt était troublé par des râles et des gémissements qui devaient s?entendre assez loin, je ne sais pas si l?écureuil nous observait, rien ne semblait nous gêner tous les trois. J?avais retirer mon doigt de son cul car je sentais qu?il allait jouir comme moi d?ailleurs, ce qu?Indiana anticipa car elle se releva légèrement afin que ses seins soient à la hauteur de ses deux queues qui étaient sur le point de cracher leurs semences.
Elle rassembla nos deux queues avec des mains et nous branla énergiquement, je crois que nous avons joui au même moment car sa poitrine fut aspergée d?un jet fort et abondant en plusieurs saccades accompagnées de râles qu?il était impossible à identifier. Si la banque du sperme avait été présente, la récolte aurait comblé plusieurs femmes en attente. Elle s?activait à étaler le sperme, qui coulait entre sa gorge, avec nos queues sur ses seins pendant nous avions repris nos esprits.
Alors qu?il bandait encore, il remonta son pantalon nous dit merci et parti tel qu?il était venu. Tandis que je le voyais s?éloigner avec son vélo je récupérais le soutien-gorge que je mis dans ma poche, essuya avec un kleenex le sperme sur sa poitrine et lui remis son chemisier.
Après avoir remonté mon pantalon avec un peu de mal car moi aussi je bandais encore, j?eu du mal à glisser ma queue dans mon slip.
Je l?embrassais tendrement en la serrant très fort dans mes bras, je sentais sa poitrine comprimée contre mon torse alors qu?elle me glissait dans l?oreille : ? mais que s?est il passé ! ? ?, Je ne savais pas si c?était une question ou une exclamation.
Pendant le trajet du retour, nous échangions des regards coquins avec chacun une main sur la cuisse de l?autre.
Au moment de descendre de voiture, elle me dit merci pour la leçon et qu?elle était impatiente pour l?autre en m?envoyant un clin d?oeil malicieux.
C?est à ce moment que je sus que nos deux corps n?avaient pas fini de se rencontrer………
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