Il remonta sa robe sur ses jambes lisses, des jambes magnifiques faites pour courir et sauter, suscitant l’irrésistible envie d’aller voir plus haut.

La chair de ses cuisses dénudées paraissait luminescente sous la caresse chaude de la lumière d’ambiance.

La splendeur de ces membres mats et fuselés lui fit hâter l’exploration.

Il découvrit une petite vulve trop lisse et trop humide pour être honnête.

– Ouvre-toi ! Jolie jeune fille ! Laisse-toi guider par tes instincts et signe ton allégeance en écartant tes belles cuisses !

– Montre-leur ta véritable nature ! Shana ! Que le monde entier découvre la femelle obscène qui sommeille en toi !

A ma demande, elle souleva docilement ses fesses et remonta sa robe pour éviter quelle ne fasse un faux pli, disait-elle.

Jetant tous ses préjugés par le balcon, Shana avança un peu plus son ventre pour mieux leur offrir son abandon.

– Tu vas livrer ton corps et ne plus exprimer que ce que ton sexe implore. Tu nes plus une femme mais un animal, Shana, un objet sexuel qui ne sert quà assouvir les pulsions de tes Maîtres. Tu aimes que les hommes te contemplent et te désirent …

Son esprit, gagné par la confusion des ses sens et mes paroles hypnotiques, venait de capituler.

Elle passa ses cuisses par-dessus les accoudoirs et présenta sans complexe aucun son sexe à ses courtisans.

– Prenez-moi ! Je ne suis faite que pour cela.Je me suis faite belle pour ça.

Un ruissellement tiède clôtura cette déclaration signant la violence du désir qui l’assaillait.

Ses tourmenteurs, aux petits soins, l’entendirent comme un appel au secours.

Comme la demoiselle réagissait bien jusque là et acceptait sans se débattre leurs hommages, ils optèrent à l’unanimité pour le nu intégral.

Avec une bonne dose de serviabilité, elle les épaula complaisamment dans la manuvre.

Elle se savait bien faite et n’avait pas à rougir de sa nudité.

Ses cheveux à la blondeur incomparable s’étaient dénoués et la couvraient en entier.

Sa grâce à fleur de peau la rendait intensément touchante.

Elle s’avouait mûre pour recevoir docilement leurs caresses et toute leur affection.

Le plus jeune passa sa main sur ses seins comme un sculpteur à la recherche d’une improbable imperfection.

Histoire de l’émoustiller un peu, le plus âgé, lui, s’extasiait de la splendeur de son pubis appétissant.

– Il n’y a rien de plus beau qu’une chatte lisse et polie.

Les sentiers les mieux débroussaillés sont les mieux "chevauchables".

Son complice ne voulait pas rester sur ce bon mot.

– Quelle superbe sirène, en effet !

Mais c’est la seule sirène que je connaisse qui soit capable d’ouvrir si bien les jambes.

Le délire de Shana prenait consistance au gré des attouchements qui se multipliaient.

Elle voulait savourer l’instant le plus longtemps possible, ne sachant pas ce qui allait suivre. Elle se laissait faire par jeu. Shana aime le jeu.

Elle s’efforçait de ne pas bouger pour qu’ils puissent faire d’elle tout ce qu’ils désiraient.

Mais les deux duettistes en décidèrent autrement.

Elle compris vite qu’elle n’aurait jamais dû accepter de les laisser faire le premier pas.

– Mademoiselle Valmont ! Si nous allions nous installer confortablement bien en vue, à un endroit stratégique de la pièce. Votre beauté ne doit pas être réservée au regard d’un seul. Je devine que vous aimez vous exhiber nue et attachée.

— Cest le plus puissant stimulant de ma libido mais je vais jouir trop viteet Mr Sakis va me punir.

– En route pour la piste de danse ! Là-bas, nous pourrons t’attacher aisément à la rampe d’éclairage. Cela nous simplifiera vraiment la vie et nous permettra de la consommer recto-verso en pleine lumière.

*

La musique s’arrêta tout net et les deux hommes me prirent par les bras.

Ils empoignèrent mes frêles poignets et les ramenèrent en arrière.

Mes jambes devinrent flageolantes comme si mes os avaient fondu sous ma chaleur torride.

Une seule chose mimportait: éviter cette estrade car mes quelques neurones qui fonctionnaient encore correctement me disaient que ma volonté seule ne pourrait empêcher que ma libido emballée me projette dans labjection totale.

    *

Ma belle progressait entre les tables en les suppliant de lui éviter les honneurs du podium.

Pour toute réponse, elle reçut une fessée rugueuse pour avancer plus vite.

— Je vous en prie, ne faites pas ça ! Je vous promets que je serai obéissante. Eric, empêche-les !

Je ne suis pas homme à me défiler devant un S.OS si hypocritement formulé.

Je serais un amant bien ordinaire si je ne stimulais pas les soupirants de ma femme.

— C’est un peu tard pour avoir des regrets. Ecartelez-la. Cette position sera plus efficace quun sérum de vérité pour quelle vous ouvre les portes de ses sombres fantasmes.

Une fois sur la piste, Shana se débattit comme une enragée pressentant qu’elle perdrait tout le contrôle de la situation. Mais elle n’avait pas encore totalement capitulé.

Un des hommes qui la maintenaient suggéra :

— C’est un vrai pur-sang, il vaudrait mieux lui attacher solidement les quatre membres pour la museler totalement.

Mon scénario se déroulait comme prévu.

Elle avait plongé la tête la première et bientôt, chacun pourrait constater combien cette frêle jeune fille avait de grands besoins.

Tout ce que j’avais prémédité se réalisait au-delà de mes espérances.

– Ils ont raison, Shana.

Tu te débats comme une panthère et une panthère, on l’enchaîne pour qu’elle ne griffe pas.

Les piquets qui soutenaient la rampe d’éclairage étaient pourvus de cabestans à manivelle d’où pendaient, menaçantes, de grosses chaînes forgées.

Les deux premiers étaient placés tout en haut et les deux autres un mètre de hauteur sur chacun des piliers.

– Elle aime se sentir totalement vulnérable comme pour une flagellation totale.

Qu’on la suspende et qu’on l’écartèle au maximum!

Elle sera plus désarmée et réceptive si ses pieds ne touchent plus le sol.

Pour l’empêcher de serrer les cuisses, une femme venue à la rescousse emprisonna ses chevilles dans les bracelets en cuir.

D’autres " bonnes volontés" l’obligèrent à écarter les jambes et les bras et lui passèrent les poignets dans les larges bracelets.

Les treuils supérieurs s’activèrent.

Elle entendit un clic, puis un deuxième, et encore un autre et s’envola dans les airs.

Rien ne se déroulait comme elle l’avait imaginé.

Quelques tours de manivelle aux treuils inférieurs furent nécessaires pour présenter à bonne hauteur ses turgescences fragiles et ouvrir en grand le compas de ses jambes affolantes.

Ma colombe se retrouva suspendue dans un écartèlement incroyablement indécent, contrainte à attendre passivement la suite du programme.

Ainsi étirée dans son arcade, elle me paraissait encore plus désirable.

Shana posa ainsi ouverte et offerte à toutes les idolâtries et à tous les accouplements, la vulve inondée, le temps que son public puisse prendre place.

Elle émettait de temps à autre des petits râles pré-orgasmiques que je connaissais trop bien quand elle commençait à souffrir suffisamment pour atteindre les plus grandes jouissances..

C’était un curieux répit pour elle, d’autant plus traître qu’il préludait au pire.

Plus le temps passait, plus la sensation devenait vive dans ses jointures.

Cette salle était encore franchement obscure éclairée faiblement par les veilleuses posées sur chaque table. Dès que tous les invités se furent approchés au plus près de la soumise, larène s’illumina.

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