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Black and White. – Chapitre 1




(Récit écrit en 11.1998).

Ce récit est basé sur les confidences confiées par une amie libertine… J’ignore quelle part de réalité et d’imaginaire elle m’a transmise…

Pour fêter la rentrée nous étions allés passer la soirée dans un des clubs libertins de Paris où nous avons nos habitudes.

Je me présente : Agée de 35 ans et divorcée depuis de nombreuses années, j’ai toujours eu un certain penchant pour le sexe. Initiée très jeune au saphisme par la sur d’une copine de lycée, ce n’est que deux ans plus tard qu’un garçon a pris mon pucelage. Sauf pendant les dix-huit mois de mariage pendant lesquels je suis restée fidèle à mon mari et assez sage avec mes jouets, j’ai alterné depuis les aventures avec des hommes ou des femmes selon mon humeur du moment ou les deux en même temps dans les clubs qui commencent à être de plus en plus nombreux.

Je suis assez grande, la taille fine domine des hanches étroites avec des fesses peu proéminentes. Mes seins sont menus mais correspondent bien à ma silhouette plutôt longiligne. Blonde aux yeux verts, j’ai un visage ovale et une bouche de taille moyenne. Depuis deux ans, j’ai pour amant attitré Ludovic avec qui je travaille dans une grande entreprise à la Défense. A 38 ans, célibataire endurci mais collectionnant les conquêtes féminines, sa cour pressente a fini par me faire succomber mais nous n’habitons pas ensemble. Nous voulons préserver notre indépendance. En août, nous avons passé trois semaines de vacances en Corse. C’était la première fois où nous étions ensemble aussi longtemps.

Ce vendredi soir lorsque nous sommes arrivés vers 23 heures, la soirée était bien lancée. Après nous être acquittés du droit d’entrée, nous avons fait le tour des différentes salles. Nous avons pu voir qu’il y avait pas mal de monde formant divers groupes d’acteurs et de voyeurs. Au passage, nous avions pris une coupe de champagne au bar où nous avions salué le gérant et une des barmaids que nous connaissions bien. Nous nous sommes ensuite débarrassés de nos vêtements dans le vestiaire. Je ne gardais que mes sous-vêtements et mes bas tenus par un serre taille. Ludovic avait troqué les siens contre un boxer large siglé de nom du club, puis nous sommes partis en reconnaissance.

Dans une des salles, il y avait un groupe de trois filles assez jeunes qui se livraient aux joies du saphisme sous les regards de deux couples auxquels nous nous sommes joints. Les hommes se tenaient collés dans le dos des femmes, la bite visiblement coincée nue entre leurs fesses. L’une avait les mains de son compagnon sur des seins opulents qu’il massait doucement, l’autre avait passé sa main droite autour de la taille et, ayant relevé la courte jupe plissée, caressait un pubis garni d’une belle toison taillée en triangle.

Ne refusant jamais une relation saphique, j’ai rejoint les trois filles sur le grand lit rond situé au centre de la pièce. Il y avait largement la place pour encore d’autres partenaires mais personne ne nous a rejoints.

Quand la jouissance nous a emportées pratiquement en même temps, nous sommes restées quelques minutes à bavarder et faire connaissance : chacune était arrivée avec un compagnon qui était quelque part dans le club. Ludovic avait également disparu à la recherche d’une partenaire.

C’est en changeant de salle que je suis littéralement tombée sur les deux "blacks" qui m’ont fait vivre une étreinte de folie. On aurait dit des jumeaux tellement ils étaient semblables. Environ 1.80m, des carrures d’athlètes avec des muscles harmonieusement dessinés qui n’étaient pas de la gonflette, ils avaient tous les deux la tête rasée. En fait, ils étaient intégralement glabres comme j’ai pu le constater plus tard. En regardant à la hauteur de la ceinture j’ai deviné deux belles bites légèrement bandées se balançaient doucement.

En me prenant chacun une de mes mains, ils m’ont dit :

— Où vas-tu belle fille ?

— A l’aventure ! »

C’était bien parti. En rigolant, ils m’ont entraînée dans une alcôve libre et m’ont allongée sur le podium rembourré. Pendant que le premier commençait à manger ma chatte, je me suis tournée vers l’autre et pris sa bite en main avant de l’emboucher. Je n’ai pas une bouche étroite mais lorsque sa bandaison a atteint son maximum, je pouvais à peine faire coulisser sa bite entre mes lèvres et je ne vous dis pas la longueur… au moins 25 centimètres.

J’allais me régaler à déguster un pareil Priape au gland tout rond comme le chapeau d’un champignon.

Celui qui me mangeait la chatte était aussi très doué, je sentais ma cyprine ruisseler tellement il alternait les caresses savantes de sa langue tout en faisant coulisser plusieurs doigts dans ma vulve et en titillant mon illet plissé de sa langue ou en introduisant un doigt inquisiteur.

Soudain celui que je suçais s’est retiré de ma bouche. De ses bras puissants, il m’a relevée, m’a mise en levrette et après s’être couvert, il a pénétré ma chatte d’une longue poussée lente. Il devait être conscient qu’avec une bite comme la sienne, il devait y aller doucement. Mais j’étais tellement mouillée à la suite des caresses de son copain qu’il est entré facilement.

Lorsqu’il est arrivé au fond de ma grotte, j’ai ressenti comme une décharge électrique qui, partant de mes reins est remontée jusqu’à mes épaules. Il a commencé à me besogner lentement, sortant à chaque fois de ma chatte pour mieux la pénétrer à nouveau. Pendant ce temps son acolyte s’était mis à genoux devant moi et ses mains puissantes avaient pris ma tête pour guider ma bouche vers sa queue déjà bien bandée.

Comme nous étions tous les trois de profil par rapport au reste de la salle, nous n’avons pas tardé à rassembler quelques voyeurs qui, devant le spectacle, se sont arrêtés à notre hauteur pour observer notre performance. Que j’étais bien remplie ! Une queue de taille impressionnante dans ma chatte, une autre que je dégustais dans ma bouche. Malgré plusieurs tentatives, je n’ai pas réussi à l’avaler jusqu’à la garde, une gorge profonde était impossible avec une telle longueur.

Heureusement, elle était un peu plus fine que celle qui me ramonait la chatte et je pouvais déployer tout mon art de suceuse de bite.

Tantôt je l’introduisais le plus loin possible en la bloquant entre mes lèvres et j’aspirais juste en gonflant et dégonflant mes joues. Tantôt je la faisais coulisser entre mes lèvres jusqu’à ce que je puisse titiller le méat du gland avec le bout de ma langue. Je pense qu’il appréciait. Nous avions de plus en plus d’admirateurs qui se régalaient du spectacle d’une blonde longiligne embrochée par deux blacks puissants.

Ces deux grands coquins se retenaient de jouir. J’ai bientôt compris pourquoi ! Celui que je suçais s’est dégagé de ma bouche et s’est couché sur le dos la bite dressée comme un « I » vers le plafond. Il m’a prise par les hanches pour me mettre en amazone face à son copain. Je ne sais pas à quel moment il avait enfilé le préservatif, toujours est-il qu’il a cherché mon illet plissé pour me sodomiser, assise sur son sceptre.

Heureusement que je suis une adepte de la sodomie car je n’étais pas préparée du tout !

Dès que sa bite a été logée au fond de mon antre obscur, il a fait quelques va-et-vient avant de m’allonger le dos sur son torse en prenant mes petits seins dans ses mains. Placée ainsi, j’offrais ma chatte à son comparse et à la vue des voyeurs. J’ai immédiatement compris que j’allais avoir droit à une double pénétration. Vu la taille des deux bites, lorsque j’allais jouir, le plaisir allait me déchirer les entrailles. Quand le second a été au fond de ma chatte, les deux compères ont accordé leurs mouvements, quand l’un ressortait à moitié, l’autre entrait jusqu’au fond de l’orifice.

Ils étaient sacrément endurants et retenaient leur jouissance. Ils m’ont limée ainsi un bon quart d’heure au cours duquel ils m’ont fait jouir une première fois.

Quand j’ai retrouvé mon calme, ils ont repris leur copulation et ils ont pris leur plaisir en même temps comme dans un ballet bien réglé. De sentir les giclées de sperme au fond des préservatifs, cela m’a fait partir une seconde fois, violemment avec des spasmes convulsifs répétés qui expulsaient des jets de cyprine. Ils avaient déclenché ma fontaine, chose que généralement je retiens lorsque je suis en club comme ce soir. Mais là, j’avais pris tellement de plaisir que je n’ai pas pu me freiner…

Ils sont restés quelques instants sans bouger, leur queue au fond de mes orifices puis nous nous sommes séparés sous les applaudissements des voyeurs.

Alors que je récupérais un peu de cet assaut, j’ai vu arriver des jeunes et jolies blackettes qui nous ont rejoints sur le podium. C’étaient leurs compagnes. Chacune s’est penchée sur une bite, a retiré le préservatif et a commencé la toilette de ces belles queues à peine débandées.

Ludovic est arrivé à ce moment-là et me prenant doucement dans ses bras, il m’a demandé si j’avais bien joui. Il m’a ensuite conduit à l’écart dans un petit boudoir où nous sommes restés seuls. J’avais les jambes en coton, un peu de repos m’était nécessaire. Il m’a alors raconté comment, pendant que j’étais occupée avec les deux blacks, il avait baisé la barmaid pendant sa pause.

Pour finir la soirée, après nous être câlinés dans un coin tranquille, nous avons baisé ensemble. Mais là, il n’y avait pas besoin de préservatif aussi ma jouissance a été terrible lorsque j’ai senti ses jets puissants inonder le fond de ma chatte.

Nous avons ensuite regagné son domicile où j’ai terminé ce week-end si bien commencé.

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