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Ma maîtresse nymphomane qui disait toujours oui à tout, n'importe où ! – Chapitre 1




Cette histoire est entièrement vraie de A à Z, dans ses moindres détails.

En 2010, à 40 ans, je change de travail et m’installe dans la Drôme pour collaborer avec une association dont la présidente s’appelle Sylvia. Âgée de 54 ans, elle est professeur dans un lycée situé à quelques minutes du bureau. Cette proximité lui permet de passer presque tous les jours au bureau, en fin de journée, bien qu’elle habite par ailleurs à 35 minutes. Très investie dans la structure, elle est souvent présente et plutôt intransigeante quant à ses propositions. Nos avis se heurtent souvent pourtant, je sens bien que son regard est bienveillant et même au-delà car souvent, elle me regarde avec instance, les yeux brillants, avec un petit sourire en coin. Je la devine plutôt coquine sans pourtant rien envisager.

Deux semaines s’écoulent.

Nous sommes au mois de mai. Il fait très beau.

Un jour, Sylvia reste la dernière au bureau, prétextant qu’elle a des choses à régler.

Comme je loge alors (en dépannage) dans un appartement collé aux bureaux de l’association, je lui propose de manger un bout puisqu’il est déjà 20h. Nous préparons le repas. Je vois très vite que son comportement n’est pas le même qu’en présence de mes collègues. Certes, nous échangeons les banalités d’usage mais je sens bien qu’entre les lignes, le propos est déjà ailleurs.

La cuisine est petite et plusieurs fois, nos hanches se frôlent… à chaque fois, je suis parcouru d’un frisson car je vois bien qu’elle ne fait rien pour m’éviter !

Il faut que je vous décrive son corps.

Elle a de jolis petits seins que l’on devine avec son décolleté visiblement prévu à cet effet. Elle est plutôt grande avec de larges hanches et de grosses fesses qu’on voit bouger à travers sa robe courte, tellement légère et fine que l’on voit bouger ses fesses. Je la devine en string et cela commence à m’exciter fortement. Toutefois, je ne fais rien de trop engageant car il s’agit quand même de la patronne de l’association !

A la fin du repas, nous nous installons sur le petit balcon pour boire un café. Avant de s’asseoir, elle se penche, dos à moi, pour poser son mobile au sol. Sa robe est si courte que je vois la moitié de ses fesses et son string ! Elle se retourne comme si de rien n’était. Quand elle s’assoit, elle me gratifie toutefois d’un petit sourire, mine de rien.

Nous restons ainsi à parler durant un long moment de nos vies…

A 23h, elle me demande si elle peut rester pour dormir ! Sachant très bien qu’il n’y a qu’un lit et précisant bien que c’est juste pour la dépanner car elle n’a pas envie de conduire pour rentrer car elle est fatiguée… et que l’on peut très bien dormir côte à côte en toute amitié.

Elle va se changer dans la salle de bain et prendre une douche puis revient en chemise de nuit… ce qui sous-entend clairement qu’elle avait bel et bien anticipé le fait de dormir là ! A peine couchée, elle se met dos à moi. Je commence très vite à effleurer ses fesses et elle ne réagit pas du tout ce qui vaut clairement acquiescement ! Je comprends alors que tout est possible, sans préalable.

Je glisse alors ma main sous sa chemise de nuit et commence à caresser ses grosses fesses. Elle gémit doucement, comme une invitation à poursuivre. Je glisse mes doigts vers sa chatte totalement trempée et je commence à la caresser.

C’est doux.

Tu mouilles depuis un moment visiblement.

Oui…

Je peux te lécher.

Oui… j’adore…

J’allume alors la lampe de chevet pour mieux la voir. Elle me sourit. Je relève ses jambes et découvre son énorme et magnifique cul. Je me mets face à sa chatte et commence à la lécher sans retenue… Elle a les yeux mi-clos et un petit sourire de contentement tout en gémissant.

Fais ce que tu veux ! Je suis une femme libre…

On va donc jouer un peu. Va mettre tes chaussures à talons et rejoins-moi sur le balcon… puisqu’il fait beau et que le balcon est sans vis-à-vis la nuit (les bureaux d’en face son vide la nuit) on va se faire une petite exhibition sans risque.

Elle rechigne un peu mais je lui rappelle qu’elle m’a autorisé à faire ce que je voulais. Nous nous retrouvons donc sur le balcon. Je lui demande de s’asseoir, jambes très écartées. Elle s’exécute avec un regard lubrique cette fois. Je reste debout devant elle et mets mon sexe près de son visage en lui branlant le clito… Elle prend mon sexe dans sa bouche en gémissant encore… Je crois m’évanouir tant elle suce COMME UNE REINE ! J’ai du mal à retenir une éjaculation tellement c’est intense.

Mets-toi debout face à la rampe pour que je bouffe ta chatte et ton cul !

Une petite lumière s’allume en face dans les bureaux. Frémissement de nous deux.

Ne bouge pas Sylvia, nous sommes dans l’ombre et on ne peut pas nous voir. Ça pimentera un peu notre petit jeu.

J’omets volontairement de lui dire que dans notre dos, le bureau est allumé, donc que l’on peut voir nos silhouettes. C’est excitant. Je bois son jus à pleine bouche pendant qu’elle tord ses grosses fesses sur mon visage. La lumière du bureau d’en face s’éteint mais je devine quand même une silhouette dans l’ombre. On nous regarde.

Mets un pied sur la chaise pour que je te doigte ma belle cochonne.

Je sens tout de suite que ces mots crus déclenchent une vibration chez elle. Elle fait rouler ses hanches et je glisse trois doigts dans sa chatte… Elle gémit de plus en plus fort.

Si tu regardes attentivement en face, tu vas voir une silhouette derrière les rideaux, je crois que c’est une femme qui nous mate en face, peut-être une femme de ménage…

Ça m’excite !

Mets-toi face à elle et fais bouger ta langue dans sa direction… comme offerte !

Je me place derrière elle et commence à la pénétrer lentement… elle se cambre de plus en plus…

Hummm, c’est bon de savoir qu’on nous regarde. Ça m’excite de plus en plus !

Je la pénètre de plus en plus vite… jusqu’à la limite de l’explosion.

Mets-toi à genoux pour que j’éjacule sur ton visage.

Elle s’exécute immédiatement, totalement offerte… Son visage se couvre de sperme… Elle finit par nettoyer mon sexe avec sa langue, buvant mon jus goutte après goutte…

Nous retournons au lit où avant de m’endormir, je lui lèche encore la chatte et le cul en lui branlant le clito jusqu’à ce qu’elle lâche un énorme cri de jouissance. Par chance, il n’y a pas d’appartement mitoyen !

Au petit matin, je me réveille avant elle. Je me glisse entre ses jambes et la réveille en lui bouffant la chatte… Elle gémit un peu, puis écarte progressivement les cuisses en se réveillant.

Baise-moi…

Tu me trouveras toujours disponible pour te baiser ou pour te caresser dans n’importe quelles circonstances, à n’importe quel endroit. Tu es d’accord avec ça ?

Je rêve depuis longtemps de trouver un mec aussi nymphomane que moi. Je serai toujours à ta disposition pour que tu abuses de moi.

Sans limites ?

Sans limites !

Et c’est exactement ce qui se passera par la suite : partout et tout le temps !

Je vous raconterai cela dans les prochaines histoires :

Doigts dans sa chatte au bureau pendant une réunion, à la cuisine quand les collègues sont à côté.

Baise au sol sur un parking en terre le long d’une route.

Baise dans mon fourgon porte ouverte.

Baise dans les w. c.

Chatte à l’air, jambes écartées discrètement, en présence de ma femme.

Suçage de queue chez moi quand ma femme est à l’étage.

Cul à moitié à l’air en journée au bureau.

Exhib dans un sex shop.

Orteil dans la chatte durant un spectacle…

J’essaierai de me souvenir de l’ensemble de ses moments de folies et de vous les faire partager.

P. S. : maintenant, je vis en Haute Garonne et je cherche une nouvelle maîtresse aussi nymphomane.

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