Ce matin, le levé fût vraiment difficile. Jai encore super mal à lanus et aux tétons. Jai fait des cauchemars toute la nuit. Il y avait des dizaines de Frank qui me frappaient et me violaient encore et encore.
Jai des cernes énormes, les traits tirés et la peau terne. Cest ça le visage dune pute ? Me demandais-je ?
Jenfile une lingerie sexy (il ne faut pas lui donner des arguments pour me brutaliser), une robe moulante, je prends le temps de bien me maquiller et je pars pour le travail.
Jarrive à mon poste, je me connecte et je vois une liste dinstructions données par mon patron. Jexécute ces tâches en prenant soin de ne pas laisser des fautes, de ne pas écorcher les noms ou quoique ce soit. Jai bien retenu la leçon. Et je sais quà la moindre occasion donnée, il sortira sa ceinture en cuir pour me fouetter avec.
Frank arrive à 9h30, me demande son café et se pose dans son bureau. Le corps tremblant, je me lève et mapplique à la préparation de son café. Jai bien envie de cracher dedans, mais jai trop peur des conséquences sil me voyait faire.
Jarrive dans son bureau et il me fait signe de fermer la porte derrière moi. Jobéis et en allant vers son bureau pour déposer son café je le vois qui déboutonne son pantalon et sors sa queue. Il ne dit rien et me scrute du regard. Je me sens nauséeuse. Ses yeux me mettent mal à laise. Ils me montrent le pouvoir quil a sur moi. Lhumiliation menvahit immédiatement.
Néanmoins, je me mets à quatre pattes et commence à lui lécher la bite. Jessaye de bien mappliquer comme je lai fait hier. Après tout, sil est content de moi sans me menacer, il sera peut-être moins brutal.
Je lèche sa queue sur toute la longueur, puis je tête délicatement son gland. Je le caresse avec ma langue et me remet à laspirer. De mes mains, je le caresse partout. Ses cuisses, ses bourses, son ventre. Je le masturbe lentement mais fermement.
Et je le regarde dans les yeux. Je naime pas voir son regard, mais je crois quil aime quand je le fixe. Il prend un plaisir évident. Ses yeux se ferment par intermittence. Il gémit.
Et là, une idée me traverse lesprit. A ce moment-là, cest moi qui ai le pouvoir. Lui est tremblant de plaisir et donc faible entre mes mains.
Alors je mactive. Dun coup, je prends toute sa queue en bouche et lui impose une cadence soutenue. Je le regarde droit dans les yeux avec provocation. Ma main le masturbe en même temps et ma langue sactive. Je le vois complètement défaillir sous mes caresses buccales. Il est à ma merci. Entièrement sous mon contrôle.
Ce sentiment de puissance, après ces derniers jours à me sentir moins que rien, me donne une énergie folle. Je veux quil jouisse dans ma bouche. Oh oui, il va avoir son orgasme, mais comme je le veux et quand je le veux. Vas-y connard, gicle-moi au fond de la gorge !
Son sperme chaud et visqueux minnonde la bouche et je continue à le sucer pour bien lui vider les couilles. Javale tout en le fixant toujours de mon air provocateur. Il est affalé dans son siège, tremblant et suant légèrement. Comme une bonne salope, je lui nettoie la bite de ma langue.
— Je serai à mon bureau si vous avez besoin de moi, lui dis-je avec douceur.
Je me lève et repars aussitôt. Quand je referme la porte derrière moi, un sourire éclatant sinvite sur mon visage. Javais gagné cette partie. Moi qui étais complètement soumise, je me suis permise de sortir de son bureau sans quil ne men donne lordre. Il ne devait pas sattendre à ça de ma part. La victoire est vraiment délicieuse.
Le reste de la matinée passa tranquillement. Il fit plusieurs fois appel à moi mais uniquement pour des motifs professionnels. Je soutins chaque fois son regard sans défaillir, bien que la peur dun renversement de situation métreigne.
La gentille Sarah est venue me voir pour discuter. Elle me demande comment je vais après ma première journée, elle me dit que les autres secrétaires de Frank nétaient jamais très joyeuses et quelles ne restaient pas très longtemps. Ça ne métonne absolument pas, mais je fais comme si. Jessaye den savoir plus, mais elle na pas beaucoup dinformation.
Le midi, je suis plus ouverte aux discussions avec mes nouveaux collègues. On est une tablée de 7 et la conversation est très dynamique et joyeuse. On rigole de lémission dhier soir à la télévision, de lactualité. Je passe un très bon moment.
Au début daprès-midi, Frank me demande de venir le voir. Je sais à sa voix que ce ne sera pas pour du boulot. Je me prépare psychologiquement pour renouveler mon exploit de ce matin. Jentre dans son bureau et je ferme la porte derrière moi. Il nest pas à son bureau mais sur le petit canapé
— Je vais tavouer que tu mas bluffé ce matin, petite salope. Tes une bonne suceuse, jsuis sûr que tas pris ton pied. Jai à nouveau envie de baiser, alors fous-toi à poil et viens me voir à quatre pattes, comme la bonne chienne que tu es.
Son regard est perçant et son sourire en coin me montre à quel point il se sent en confiance. Je soutiens son regard et commence à retirer ma jupe, mon chemisier et je me retrouve en sous-vêtements devant lui. Je le regarde pour savoir si je dois continuer.
— Jai dit à poil !!
Je retire mon soutien-gorge et mon string. Puis je me mets à quatre pattes et javance vers lui. Cette situation est humiliante et je me sens rougir furieusement. Mes seins pendent en direction du sol, même sils sont fermes à la base. En plus, mes genoux me font rapidement mal.
Jarrive face à mon tortionnaire en me demandant comment il va me consommer. Il me relève et minstalle dans le canapé, juste à côté de lui. Je me laisse guider docilement. Ensuite, il se lève et commence à se déshabiller. Ce nest pas érotique. Je sens une tension bestiale sinstaller. Ses yeux me dévorent littéralement.
Sa verge est déjà dressée. La peur métreint. Je sens quil veut prendre son pied sans aucune considération pour ma sensibilité. Il sapproche pour presque sallonger sur moi. Jai peur.
— Non, sil vous plaît. Je vais avoir mal comme ça.
Il semble étonné que jai pu avoir laudace de linterrompre. Alors jenchaîne.
— Sil vous plaît. Je ne suis pas mouillée encore. Pour vous non plus ce ne sera pas aussi agréable.
Lidée fait son chemin. Il me scrute et je le vois réfléchir à ma remarque. Sans un mot, il se relève, se dirige vers son bureau, ouvre le tiroir et sors un petit pot. Il louvre et senduit la bite de cette crème avant de revenir vers moi. Son corps imposant se plaque sur moi. Je me sens écrasée par son poids. Il écarte mes jambes sans ménagement et enfonce sa bite dans mon vagin sans plus de cérémonie.
Grâce à la vaseline, sa bite est rentrée sans problème et une douleur fulgurante menvahie. Je gémis de douleur chaque fois quil la rentre au fond de mon vagin. Ce salopard a fait en sorte que ce soit plus agréable pour lui mais pas pour moi. Je suis en colère et quelques larmes roule sur mes joues.
— Enfoiré.
— Quoi ? Tu tattendais à quoi ? Hein ?
En me disant ça il effectue de lents va et viens en senfonçant le plus profondément possible. Il me regarde froidement. Jai compris le message : cest lui qui a le pouvoir, pas moi. Javais peur quil me frappe à cause de linjure que je lui ai balancé, mais je vois quil retire plus de plaisir dans sa victoire psychologique.
Son corps m’oppresse. Je ne peux pas bouger. Tout en gardant la puissance de ses pénétrations, il accélère le rythme. Je sens sa queue me ravager le vagin. Mais la douleur a disparu maintenant.
— Tu commences à aimer ça, hein ?
— Je ne vous ferai pas ce plaisir.
— La petite chienne devient fauve ? Tu répliques maintenant ?
Je ne réponds pas. Je deviens peut-être un peu courageuse, mais je ne suis pas téméraire. Et puis cest très étrange, je crois que je mouille. Il a dû le remarquer.
Il se retire brusquement, il me retourne pour mallonger sur le ventre. Il mécrase encore de tout son poids et me prend la chatte à nouveau. De ses mains, il sagrippe à mes hanches et mimpose toujours cette folle cadence dont il a le secret. Je suis son jouet. Je sens que je lui appartiens. Il me baise brutalement. Je suis sa soumise.
Je sens sa bouche sur mon épaule. Il me mordille. En sentant ses dents jai peur quil me morde violemment, quil me fasse mal. Mais non, il ne me fait pas mal. Cest agréable même. Je sens une chaleur envahir ma chatte.
— Tu es brûlante. Tu aimes ça, petite salope. Avoue-le.
Je ne réponds rien. Je refuse. Mais force est de constater que mon corps apprécie. Il remonte jusquà ma nuque et je me mets à gémir. Je ne peux pas men empêcher. Je tends mon cul pour mieux sentir sa queue taper au fond de mon vagin.
Sa main droite lâche ma hanche et se glisse sous mon corps, vers mon pubis. Il récupère un peu de mouille et me masse le clitoris. Cet enfoiré a finalement décidé de me faire du bien alors. Et jai honte dadmettre que ça marche.
Il me fait me relever à quatre pattes tout en continuant de me baiser avec brutalité. Sa main droite est ainsi plus libre de jouer avec mon clitoris et de me procurer du plaisir. Sa main gauche par contre se décide à mattraper les cheveux pour me tirer la tête en arrière. Cest inconfortable et humiliant. Mais le plaisir que jéprouve nen est que plus fort.
Il me traite encore de salope, de trainée qui aime se faire baiser par son patron. Et je sens vraiment que je suis sa chose. Jai limpression dêtre saillie comme une chienne. Mais ce quil me fait est si bon que jexplose dans un orgasme foudroyant. Je crie fort mon plaisir sans essayer de me retenir. Puis je mécroule sur le canapé sans force.
Il me retourne et je le vois se branler vigoureusement la bite devant mon visage. Encore sous le choc de cet orgasme, jouvre la bouche pour toute invitation. Il rentre sa bite dun coup dans ma bouche en métouffant à moitié. Il me baise la bouche un petit moment, puis je sens quelle grossit encore un peu avant que de longs jets de sperme inondent ma bouche. Il ressort prestement sa queue pour arroser mon visage de son foutre épais.
On se regarde un moment comme ça, sans bouger, tentant juste de reprendre notre souffle. Cétait bon. Jai jouis. Pourtant je hais cet homme.