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Ma première partouze. – Chapitre 2




Je le force à s’asseoir dans le canapé et moi à genoux je plonge ma bouche gourmande sur ce sexe que je connais trop bien mais là il est plus dur et gros que d’habitude, sans doute la situation qui l’excite à ce point.

-Putain mon cochon, je ne l’ai jamais vue aussi grosse et aussi dure, un vrai morceau de bois, si tu en as autant dans les couilles qu’Adrien je vais être gâtée. Du foutre, je veux du foutre plein ma gueule de putain. Adrien, mon chéri, viens te joindre à nous tu vas bien trouver de quoi t’occuper. Tiens et si tu me la mettais bien profond dans la chatte, jusque là vous l’avez délaissée, elle aimerait bien avoir de la visite la pauvre petite chérie et autant que ce soit une grosse gourmande qui lui donne ce qu’elle attend.

Alors Jacques change de position et s’assoit sur le dossier du canapé ainsi sa queue est à hauteur de ma bouche gourmande et Adrien sera plus à l’aise pour me bourrer la chatte. Il s’installe confortablement les deux pieds sur les coussins et me laisse prendre possession de l’objet de ma convoitise. Certes son vit est moins impressionnant que celui d’Adrien mais il m’a toujours donné bien du plaisir alors pas question de le laisser rouiller, de n’importe quelle taille qu’elle soit une bite doit servir, il y a tellement de trous à boucher.

Pendant que je taille une bonne pipe à mon mari Adrien a déjà présenté son méat entre mes cuisses que j’ouvre pour lui faciliter le passage, il s’attarde un moment à l’entrée puis dans un élan il m’enfonce son pieu au plus profond de mon minou et me lime gaillardement sans ménagement, j’ai mal mais je sais que ça ne servira à rien de me plaindre sauf à déclencher en eux une violente envie de me faire encore plus mal. Adrien semble deviner mes pensées puisqu’il ressort son engin et recommence à plusieurs reprises le même manège mais pas une seule plainte, pas un gémissement ne sort de ma bouche sauf des gémissements de plaisir.

-Putain elle est trop bonne, elle est serrée la garce, ça se voit que tu n’as jamais pris un zob comme le mien. Je vais t’écarter le plus largement possible et après ça je pourrai t’enfiler des bouteilles de champagne dans ta grotte à cyprine salope.

Tout en suçant Jacques je lève les yeux et je le vois qui fixe notre ami. Je sens dans son regard une envie de faire quelque chose mais quoi? Bah je ne vais sûrement pas tarder à le savoir. Adrien ne met pas longtemps à me décharger dedans mais il reste un moment en encourageant Jacques à cracher son venin. Le jet n’est pas moindre que ceux que j’avais pris dans la gueule juste avant avec Adrien mais Jacques ne renouvelle pas, il se détache de moi puis s’accroupit sous ma chatte et lèche le foutre qui coule en attendant que la pine d’Adrien sorte alors il la saisit, la prend en bouche en lui massant les joyeuses pour lui redonner de la vigueur. Il suce avec gourmandise et dextérité l’engin qui redevient énorme et là je peux voir sa bouche écartelée comme la mienne l’était tout à l’heure. Notre ami lui caresse les cheveux, il est bien dans cette bouche et ça ne le surprend pas que Jacques s’intéresse à son braquemart, il renverse sa tête en arrière et il décharge une autre rasade de foutre dans la bouche gourmande de Jacques qui pompe la bite pour en extraire tout le divin nectar. Il se délecte et avale avec avidité le précieux liquide qui donne tant de plaisir à ceux et celles qui savent l’apprécier. Il pompe jusqu’à la dernière goutte, il se lèche les babines pour ne pas en perdre une once. Ce salaud a définitivement vidé les énormes bourses et il faudra attendre un bon moment avant que le niveau remonte. Rassasié, mon mari s’assoie dans le canapé en soufflant, c’est vrai que se farcir cette énormité dans la bouche ça fatigue vite les mâchoires.

-Putain que ça fait du bien de se manger une aussi belle bite, depuis que je l’ai vu à la plage j’avais envie de ça. Adrien, il faudra que tu me la mettes bien profond dans le fion, j’en ai envie.

Voir mon mari avec un tel manche dans le fion, ça vaut le déplacement et j’espère que ça se fera au cours de nos ébats, y a pas de raison après tout, ça doit être super excitant de l’entendre hurler de douleur sous le pilonnage du mandrin dans son cul et je sais que Adrien n’écoutera pas ses cris, il aime trop faire souffrir alors un cul de mec ou de femme quelle différence pour lui. Rien que d’y penser je sens monter en moi un plaisir sadique.

-Bien sûr l’ami mais venez boire un coup les enfants, on a bien besoin de reprendre des forces avant de dîner. Installez-vous et servez-vous un remontant pendant que je commande le dîner.

Nous avons bu beaucoup d’alcool comme pour nous donner du courage tout en parlant de la suite de la soirée. Jacques est toujours branché "pissing" et je serai la pissotière de service. Il est insatiable, il a le vice dans la peau et toujours aussi cruel. Faire mal aux femmes c’est ça qui l’excite et je le connais trop bien, si à la maison il se retient, là il est encouragé par la présence d’Adrien et surtout il sait que je ne protesterai pas. On sonne à la porte, Adrien enfile un short et va ouvrir. On entend parler puis des pas se rapprochent, notre ami est suivi d’un homme d’imposante stature qui livre les repas. Comme nous sommes restés à poil, Jacques et moi, il regarde le sexe qui pendouille, le prend en main et le caresse un moment puis le branle pour le faire renaître à la vie. Satisfait il l’abandonne et il s’approche de moi. Il me pelote un moment les nibards, m’attire à lui et me roule une pelle et bien sûr je le laisse faire tout en palpant la bosse sous son short et l’effet est immédiat, ça grossit sec là dessous.

-Tu restes avec nous bien sûr? Ta bite est pas fatiguée et j’ai bien besoin de goûter à une autre bien pleine de jute toute neuve et crémeuse à souhait. Ne te fais pas prier, y a du bon vin à la cave, des bites et des culs pour satisfaire le plus exigeant des hommes. Allez dis oui et fous-toi à poil que je m’occupe de ta queue vieux salopard vicieux. Jacques veut se faire enculer et tu sembles apprécier sa bite, tu n’as donc aucune raison de refuser.

-Je voudrais bien mais je n’ai pas fini ma journée moi mais si je termine pas trop tard ce soir alors pourquoi pas revenir faire plus ample connaissance avec toi et ton mec. C’est vrai que j’aime bien sa queue mais je dos être raisonnable, ma femme m’attend pour les autres livraisons.

-Ok barre-toi retrouver ta pétasse de femelle, elle peut pas le faire toute seule le boulot, après tout c’est à elle à t’obéir non? Allez file la rejoindre ta connasse de pute, mais à l’avenir tache de la dresser ta pouffiasse mais surtout reviens ce soir et si tu rencontres des potes à toi n’hésite pas à les inviter aussi. Plus on a de bites à se mettre sous la langue et plus on rit.

Nous mangeons avec plaisir et buvons beaucoup de ce délicieux Bourgogne si bien que c’est toute joyeuse que je réponds aux désirs de mon mari.

Il a ce rictus que je lui connais si bien. Il est pris de petits tremblements dus à l’extrême excitation qui l’envahit ce qui ne présage jamais quelque chose de bien pour moi. Adrien sourit à son tour et ce dépêche d’enlever son short qu’il avait gardé et nous suit. A trois sous le jet de l’eau les corps se frôlent, les bites s’entrechoquent et se dressent fières et ardentes, je les attrape tour à tour mais ce n’est pas avec ça que je vais jouer dans l’immédiat. Mon mari arrête l’eau puis brutalement me fesse le cul et me fait mettre à genoux sur le tapis de douche.

Il m’enjambe et place son anus juste sur ma bouche. Bien que je sache déjà ce qu’il veut il m’ordonne méchamment:

-Bouffe-moi le cul ordure, rentre bien ta langue dans mon fion et nettoie-le consciencieusement. Je veux que quand tu auras fini il soit aussi propre que la peau d’un bébé. Après tu feras pareil avec celui de mon pote Adrien.

Ce dernier écarte largement les globes de mon époux et je commence à m’exécuter. Sa rondelle est toute petite pourtant il s’est déjà fait enculer. Je ne dois pas trop réfléchir car il s’impatiente, il s’abaisse jusqu’à ce que ma langue soit en contact avec sa pastille et il commence à se frotter dessus. Je le saisis par les cuisses et je commence mon travail de bouffeuse de cul. J’introduis ma langue pointue dans le petit trou et je l’enfonce au plus profond que je peux mais je suis gênée par ses deux fesses que j’ai du mal à écarter, ça sent une drôle d’odeur là dedans, un mélange bizarre. Je suis ballotée entre deux sentiments, le dégoût de la merde mais aussi une folle envie de découverte d’un nouveau plaisir, aussi je l’attire à moi pour lui sucer le fion avec gourmandise, il pète deux ou trois fois et j’aspire cette odeur merdique avec volupté. Je suis déchainée, je l’oblige à se pencher en avant pour mieux le lécher, le savourer. Je voudrais que ce petit trou s’ouvre très grand pour pouvoir y entrer et lui nettoyer le boyau chargé de merde mais je dois me faire une raison et me contenter de ce minuscule orifice.

-C’est très bien petite trainée, fais voir ta gueule. Parfait tu as la bouche toute maculée alors tu sais ce que tu dois faire maintenant, le trou d’Adrien attend lui aussi alors au boulot et plus vite que ça.

-Si tu crois que ça me dégoutte et que c’est une punition pour moi, tu te trompes mon chéri. Au contraire je me disais que si votre fion était plus large ça serait encore meilleur pour vous comme pour moi. Sois sympa et écarte les fesses d’Adrien, ma langue va pouvoir rentrer plus profondément et j’aurai ainsi toute la bonne odeur que j’ai senti dans ton cul et je suis certaine que j’en sortirai encore plus de miasmes comme ça tu seras encore plus content du travail de ta pute. Je me suis habituée à cette merde et j’aime ça, je dis pas que j’en mangerai à la petite cuillère mais cette odeur m’envoûte.

Jacques m’obéit et comme pour lui je fais plier notre ami en avant alors mon petit salaud de mari lui écarte les fesses et alors là oui, le trou est plus large et je peux mieux y plonger mon visage et ma langue a un meilleur accès à sa rondelle merdique mais ça ne me plait pas. Alors je m’allonge comme je peux sur le carrelage et je demande à Adrien de venir s’asseoir sur ma bouche ainsi j’ai un meilleur accès à son trou de balle. Je me déchaîne et je mange littéralement le cul de mon amant, ça pue là dedans aussi mais je n’en ai cure puisque j’ai un accès direct au bourrelets de son trou du cul et je peux plus facilement y introduire ma langue et je fouille au plus profond de son boyau. Il gémit de plaisir et tout comme Jacques l’avait fait juste avant lui, il m’envoie de longs pets puants aux narines. Je hume ce parfum qui me plait de plus en plus et je lèche avec encore plus de gourmandise son trou qu’embaument ses pets comme si je pouvais happer l’odeur avec ma bouche. Dans cette position je peux non seulement butiner sa rondelle mais aussi me saisir de son dard et je l’astique pour le faire bander ce que je réussis très bien. Une fois de plus Jacques se couche devant Adrien et lui fait une pipe mémorable et au moment ou il crache sa jouissance des trainées tombent et coulent sur ma bouche. C’est bon ce mélange et je m’attarde à goûter à ce plaisir nouveau. A mon grand regret Adrien se redresse satisfait de mon travail. Il me regarde et admire ma figure souillée de merde.

-C’était bigrement bon et je vois que tu t’es régalée aussi. Putain tu m’as fait un bien fou, on ne m’avait jamais encore bouffé le cul comme ça. C’est pas tout ça mais maintenant il va falloir te débarbouiller la gueule, avec ton mari on va arranger ça. Mets-toi à genoux et ouvre la bouche.

Je m’exécute aussitôt et avant que j’ai pu réaliser ce qui m’arrive je reçois de l’urine chaude sur le corps et la figure. Les mecs visent surtout ma bouche alors je l’ouvre toute grande et je reçois des giclées dedans. Adrien me saisit par le menton et me présente son gland juste sur mes lèvres et me pisse directement dans la bouche, j’avale ce que je peux mais j’en perd beaucoup alors il me fait lever le menton et déverse petit à petit son urine dans la gueule jusqu’au bord puis il me force à avaler. C’est pas facile d’avaler çà d’une seule traite mais j’y parviens quand même. Ce goût est étrange et je dois m’y habituer, c’est un peu salé mais moins que le sperme mais plus acide par contre. Ce soir j’aurai goûté à ces deux interdits que sont la merde et l’urine et ce n’est pas fini car ils ont drôlement envie. Jacques ne veut pas être en reste et à son tour il s’épanche dans mon gosier, sa pisse n’a pas le même goût que celle d’Adrien, on dirait qu’elle est plus sucrée alors pour en avoir le cur net je retourne à la première fontaine et j’alterne entre les deux. Je me régale de cet interdit et tout comme pour les deux culs que j’ai bouffé avec délectation je me délecte de ces pisses qui m’inondent la gorge, la figure, les seins, le cul et tout mon corps est pris de soubresauts, je voudrais que ces moments de folie ne s’arrêtent jamais. Dieu que l’amour avec ces deux là est spécial mais si bon, l’interdit est sans nul doute le meilleur moyen de jouir.

Mes deux hommes me laissent enfin effondrée sur la tapis de la douche. Je m’assoupis un moment quand un bruit de sonnette me sort de ma torpeur. Qui cela peut-il être?

Bises à vous.

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