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Sentiments et Châtiments – Chapitre 4




Mais qui est cette femme dans le miroir ? Moi qui ai toujours été une femme forte, fière de ce que j’avais accompli. Je me trouvais face à cette femme qui ne rêvait que d’une chose : être baisée… Je n’avais jamais aimé faire des fellations. Là, sans qu’il ne me demande quoi que ce soit, je l’avais pris en bouche, je lui avais donné du plaisir et j’avais avalé son jus. Moi ! C’est donc de ça que j’avais envie ?

J’imaginais Damien entrer dans la salle de bain. Il passerait derrière moi et découvrirait ma nuque. Il commencerait par déposer un baiser puis il me pencherait en avant. Sans me préparer, il présenterait son sexe devant mon petit trou. Il pousserait fort et forcerait l’entrée de mes fesses. Chaque centimètre me ferait de bien autant que du mal. Il me baiserait avec vigueur. Je ne pourrais pas retenir mon orgasme. Il attraperait mes cheveux. Il me tirerait en arrière m’obligeant à me regarder jouir dans le miroir. Il me ferait jouir sans me dire un mot. Je…

Et la porte de la pièce s’ouvrit. Je sursautais comme si j’avais été prise en pleine bêtise. J’étais aussi gênée que la fois où ma mère m’avait surprise la main dans la culotte.

« Je peux prendre une douche ?

— Oui, bien sûr.

— Je me dépêche. Après je pars vite. Il ne faut pas qu’on arrive en même temps.

— Tu as raison. »

Et il entra dans la douche. J’aurais tant aimé qu’il me demande de le rejoindre… Non. J’aurais aimé qu’il me l’ordonne. Qu’il m’ordonne de le prendre en bouche, de boire son jus… Et qu’il mordonne de le nettoyer… Mais il n’en fit rien. Lorsqu’il sortit de la douche, j’étais toujours nue devant mon miroir. Je me demandais toujours qui était cette femme en face de moi.

Je passais aussi à la douche. Mon esprit était toujours occupé. Je me mettais à douter de mes sentiments. Ai-je amoureuse de Damien ou ne voulais-je que du sexe, du sexe sale et brutal ? Lorsque j’eus fini ma douche, il était parti. Il m’avait laissé un mot me signalant son départ. Visiblement, j’avais pris trop de temps dans la douche et il n’avait pas pu attendre. Devant mon placard, je ne savais quoi mettre. Il ne fallait pas que ce soit trop sexy. Un pantalon, un débardeur et un gilet feraient l’affaire. Et pour les dessous ?… Je me décidais à ne pas en mettre… Oui, j’avais décidé. C’était ma décision ou peut-être celle de cette autre qui vit en moi. Une fois habillée, je partais vers le travail. Je me sentais étonnement à l’aise dans cette tenue bien qu’elle soit assez particulière pour moi.

Ce n’est qu’en ouvrant mon calendrier que je me rendis compte d’une chose que les événements m’avaient fait oublier : à la fin de la semaine, c’était les vacances. 3 semaines loin du boulot mais aussi loin de lui. Et à la rentrée, il changerait de service. 4 jours et je ne l’aurais plus. Enfin ! J’allais sûrement pouvoir reprendre possession de mon corps.

Et j’avais aussi oublié un autre point important. Ce jour-là, notre client arrivait pour la présentation du projet. En début d’après-midi, « notre client » arriva. Ils étaient trois, trois hommes. Je me rendis avec eux dans la salle de réunion pour la présentation. Là, j’ai rejoint Damien qui nous attendait déjà. En l’y voyant, j’eus des sueurs froides. Puis une chaleur me gagna. Soudain, j’eus l’impression que mon sexe s’était mis à couler. C’est alors que le choix de l’absence de sous-vêtements me parut la plus mauvaise des idées. J’installais les trois hommes et prit place aux côtés de Damien. Le reste de l’après-midi fut une torture. La voix de Damien, son odeur, sa chaleur à mes côtés. Tout me faisait chavirer. J’avais l’impression de fondre et que tout le monde voyait mon émoi. Le soir, je dus aller au restaurant avec le client et mon supérieur hiérarchique. Je crois que ce fut le pire moment de la journée.

Cette torture m’éloignant de Damien dura encore le lendemain. Une grosse journée de réunion… Cette fois-ci, j’avais pensé à mettre de la lingerie. Le soir, encore un restaurant avec mon responsable. En plus, mon père avait été convié.

« Tu as l’air ailleurs, Eloïse ? Se rendit compte mon père

— Oui, un peu… J’avoue.

— Tu penses au projet ? Aux vacances ?

— Non, pas tout à fait…

— Un garçon ? »

Mon père me prenait toujours pour une petite fille. Comment lui dire qu’à cet instant, je mimaginais avec la verge de Damien dans ma bouche ? Comment lui avouer que j’avais peur de le perdre mais que je ne voulais pas l’avoir ? Ou au moins que je n’en suis pas sûr…

« Un garçon ? Non…

— De toute façon, tu ne me dirais pas. N’est-ce pas ?

— Non, papa, je ne te le dirais pas. »

Dès le lendemain, je me décidais à prendre le taureau par les cornes. Et pour me sentir bien, je me voulais féminine de haut en bas… Pour la lingerie, ce sera mon ensemble préféré : shorty et soutien-gorge rouge à dentelle noire. Au-dessus, j’optais pour un chemisier bleu ciel accompagné par une jupe noire au-dessus du genou. Je complétais le tout avec une veste noire et des escarpins noirs. Je me trouvais magnifique. Cela faisait tellement longtemps que ça ne m’était pas arrivé.

Toute la journée, j’ai déambulé telle une reine dans le service, consciente de mon effet sur les hommes. Je voulais qu’ils me désirent parce que je voulais qu’IL me désire. Damien me jeta d’ailleurs des regards qui étaient équivoque. Je ne fus pas étonnée quand, alors que les bureaux se vidaient, il passait encore devant le mien. Je resterais jusqu’à ce qu’il ose entrer. L’attente était aussi rude qu’excitante. Je pense que mon shorty navait jamais connu autant d’humidité. Enfin, il passa la porte de mon bureau.

« Mademoiselle Craux, je voulais vous remercier pour la chance que vous m’avez donnée dans ce service.

— De rien, Da… Monsieur…

— J’ai un peu de temps devant moi.

— Je serais ravie de pouvoir le combler pour vous, Monsieur. »

Il s’approcha du bureau. Mon cur faisait des bons dans ma poitrine. Je voulais qu’il me touche. Plus que tout au monde, je voulais qu’il me touche. Il s’avança vers moi et me fit me lever. Il prit ma place puis il m’attira vers lui par les hanches. J’étais coulante de désir. Sa main se posa sur mon mollet puis remonta doucement mais inexorablement vers ma cuisse. Quand il atteint l’orée de ma jupe, il s’arrêta.

« Appuie-toi sur le bureau. »

Je posais mes mains sur le bureau et il continua à monter. Je savais qu’il aimait que je sois dans cette position, offerte à sa lubricité. Devançant sa demande, j’écartais légèrement des cuisses. Sa main monta le long de ma cuisse jusqu’à atteinte mon shorty. Intérieurement, je n’avais qu’une envie : qu’il me l’arrache et qu’il me baise sur le bureau. Je n’avais pas envie qu’il me caresse ni même qu’il me fasse l’amour, j’avais envie qu’il me baise. Il glissa sa main entre mes cuisses. Je sentais ses doigts au travers du fin tissu. J’étais tellement excitée que j’aurais pu jouir de ce contact. Mais il fallut qu’il aille plus loin. Il écarta mon shorty et commença à faire glisser son doigt contre ma fente. Puis il glissa un doigt en moi. Il me fouilla quelques secondes et je finis par jouir sans retenue.

A mon retour sur terre, Damien sortit son doigt. Il se leva. Il passa devant moi.

« Lèche mon doigt. Je ne veux pas avoir ton jus sur moi en sortant… »

Et je me suis mise à lécher. Avec avidité, j’ai passé ma langue tout autour de son doigt. Je goûtais à mon propre plaisir pour la première fois. Je me dégustais. Puis Damien retira son doigt de ma bouche.

« Ce soir, je viens chez toi.

— J’en suis heureuse, Monsieur. Je saurais m’occuper de vous. Je vous le promets.

— Tu as plutôt intérêt. »

Damien quitta la pièce. Je restais quelques minutes dans mon bureau avant de me décider à rentrer chez moi. Durant tout le trajet, je ne pus mempêcher de penser à ce que pourrais me demander Damien. Et cela m’excitait déjà beaucoup. Mais je ne m’étais pas encore décidée si je voulais juste du sexe ou si je voulais une belle histoire. Mais mon corps avait pris sa décision. Il le voulait, c’est tout.

Je préparais un bon repas pour deux. Je m’installais à table pour l’attendre. Les minutes défilèrent. Puis une heure passa, une seconde… Il était près de 22h quand je me décidais à manger en pleurant à chaudes larmes. J’avalais mon repas devant une assiette vide et m’apprêtais à aller au lit quand on frappa à ma porte. J’ouvris… Il était là… Devant moi… Il me dévisagea puis il entra, l’air satisfait. Je voulus lui hurler ma rage mais aucun mot ne pouvait sortir de ma bouche… Il passa à côté de la table.

« Tu attendais quelqu’un ?

— Oui…

— Son assiette est propre. Il n’est pas venu ?

— Pas assez tôt…

— Moi, j’ai bien mangé. Et je suis venu pour le dessert. »

Il se planta devant moi et appuya sur mes épaules. Je tombais à genoux devant son pantalon. Ne voulant pas le faire attendre, j’ai ouvert son pantalon et en fis sortir son sexe. Il bandait déjà bien. Je l’enfournais. Je fis de mon mieux avec ma langue et mes lèvres pour lui donner du plaisir. Régulièrement, il tirait mes cheveux en arrière pour sortir de ma bouche. Je le haïssais pour ne pas être arrivé plus tôt mais je n’arrivais pas à m’empêcher de le sucer. Soudain, il sortit de ma bouche. Il séloigna et je me relevais.

« Qu’est-ce que tu fait ? Dit-il d’un air colérique.

— Je viens avec vous, Monsieur.

— Je ne t’ai rien demandé ! »

Toute penaude, je me remis à genoux. Mais il semblerait que je devais être punie pour ma faute. Il me tira par les cheveux et m’envoya vers le canapé dans le salon. J’aurais dû me relever et le mettre à la porte. Mais mon corps ne voulait pas l’arrêter… Alors je me mis à quatre pattes sur le canapé comme il me l’ordonnait. Il posa sa main sur ma cuisse et remonta doucement. Ma jupe se releva petit à petit et finit sur mes hanches. Il glissa ses mains sur mon shorty. Elles passèrent dessous caressant mon sexe luisant. Il finit par attraper l’élastique. Mon sous-vêtement glissa jusquà mes genoux. Il malaxa mes fesses un instant les écartant avec vigueur. Puis il commença à les faire claquer. Il me fessa violemment. A plusieurs reprises, il frappa mon sexe. La douleur était intense. Mais mon sexe n’arrêtait pas de couler. J’eus même l’impression que mon plaisir commençait à dégouliner le long de mes cuisses. J’avais mal mais j’étais bien, presque heureuse.

Il passa alors derrière moi. D’un coup, il s’enfonça dans mon sexe. Rendu sensible par les claques, j’ai joui presque tout de suite. Il continua à me baiser avec vigueur. Il me tenait fermement par les cheveux, tirant ma tête vers l’arrière. J’avais l’impression d’être un animal, d’être saillie comme une jument. Soudain, il se retira. Son sexe apparut devant ma bouche. Il me pénétra la bouche. Sa verge avait le goût de mon plaisir. Son gland frappait le fond de ma gorge et ses boules heurtaient mon menton. Il me mit de petites claques sur les joues. C’était indécent, avilissant, dégradant… Alors pourquoi j’aimais ça ?

J’aurais aimé qu’il se déverse en moi mais il n’en avait visiblement pas fini. Après avoir quitté ma bouche, il repassa derrière moi. J’ai alors senti son gland appuyer sur mon petit trou. Il finit par l’ouvrir et il entra en moi jusqu’à la garde. Une douleur intense me gagna. Je crus ne pas pouvoir tenir mais cette douleur fut vite remplacée par du plaisir. Celui-ci était rythmé par les coups de butoir de Damien entre mes fesses. Rapidement, je ne pus plus me tenir. Un orgasme étourdissant me prit.

Quand je revins à moi, Damien me fit asseoir. Il attrapa chacun de mes seins et les malaxa vigoureusement. Il les tira, les empoigna, les bouscula et les claqua même. Cette nouvelle douleur finit par me tirer les larmes des yeux. C’est alors qu’il mit son sexe face à mon visage. Son sexe sentait mon anus. Pourtant, je n’étais pas dégoûtée. Il se mit à se masturber.

« Ouvre la bouche… » M’ordonna-t-il.

Son sexe lâcha alors une bonne rasade de sperme qui m’atteignit sur le visage et dans la bouche. Les gouttes restantes s’écrasèrent sur ma poitrine.

M’interdisant de bouger, il se rhabilla devant moi. Il quitta ensuite mon appartement sans un mot. Je restais de longues minutes sur mon canapé, espérant son retour. Mon visage était maculé de son plaisir. Mon sexe, mes seins et mes fesses me faisaient mal… et du bien… Une chaleur douce avait envahi mon corps.

Soudain, comme sortie d’un rêve, je revins à moi. Il m’avait fait attendre toute la soirée. Il venait de me baiser comme une vulgaire catin. Il m’avait baisée, avait joui sur mon visage… et était parti… Quel enfoiré !

D’un bond, je me levais et partais sous la douche pour enlever ses traces. Mais la chaleur qu’il avait laissée en moi me sauta à la figure que je décidais de me nettoyer le sexe. Une envie violente me prit et je dus me masturber dans la douche. Après avoir joui, je suis sortie de la douche et me suis écroulée sur le lit… exténuée… meurtrie… heureuse… bafouée… et amoureuse…

Ma nuit fut agitée. Comment pourrais-je gérer son absence, son éloignement ? L’indifférence ? La peine ? Le souhait de l’avoir avec moi ? Je n’osais choisir. S’il m’aimait, il serait resté. Et s’il était parti par amour… Ça aurait plus simple que ce ne soit qu’une histoire de sexe, juste plaisir contre plaisir…

Le trajet pour le boulot était aussi agité que la nuit. Il fallait que je me décide, que j’agisse, que je me reprenne contre cette histoire qui me bouffait de lintérieur. J’avais besoin de lui hurler qu’il me faisait mal. J’avais la haine contre lui… Contre cet enfoiré qui m’avait arraché des sentiments.

Au bureau, remontée comme jamais, je m’en prenais à tout le monde… lui y compris. Je n’allais pas le laisser partir en vacances pensant qu’il m’avait. J’étais à moi, juste à moi. Et il allait le sentir.

En fin de journée, il vint vers mon bureau.

« Mademoiselle Craux, puis-je entrer ?

— Oui, entre Damien.

— Qu’est-ce qui ne va pas ?

— Je voulais juste discuter avec toi de ce qui se passe… entre nous…

— Je t’écoute

— C’est les vacances ce soir et…

— Je ne vois pas le rapport avec les vacances… »

Je m’efforçais de tenir ma colère. Mais mon corps ne réagissait pas comme je le voulais. J’avais envie de me lever et de lui sauter dessus… J’avais envie de lui arracher ses vêtements… J’avais envie de le lécher, de le mordre… J’avais envie de le sentir en moi… Sa voix me sortit de ce fantasme éveillé.

« Éloïse ? Éloïse… Tu m’écoutes ?

— Euh… Oui, pardon… En fait, non, je pensais à autre chose. Désolée.

— OK, super…

— Excuse-moi de ne pas être pendue à tes lèvres… »

Ses lèvres… J’avais tant envie de les embrasser. J’avais tant envie de les sentir sur moi… C’était fort, indécent… Ma résolution, petit à petit, coulait entre mes cuisses…

« Je t’ai posé une question !

— Qu’est-ce que tu veux que je réponde à ça ? Lui ai-je dit ne sachant même pas de quoi il parlait.

— Franchement, c’est énervant. Ce soir, c’est les vacances. On va être séparé. Et tu ne sais pas si on peut se voir…

— Je ne sais pas si…

— Quel beau couple on fait !

— Et qui te dit qu’on est un couple ? »

Son regard s’assombrit soudainement. Sans un mot, il tourna les talons et quitta mon bureau, claquant la porte. Une douleur intense me prit alors à la poitrine. J’avais envie de me lever pour le rattraper… puis de pleurer… Et je me suis mise à pleurer à chaudes larmes dans mon bureau, ne pouvant calmer ma peine. J’avais envie de revenir en arrière et de lui demander pardon. Pour lui, nous étions un couple. Ceci aurait dû me transporter de joie… Mais le comprendre après lui avoir craché mon indifférence au visage était trop dur. Au bout de longues minutes, ma tristesse se calma. Après une retouche de maquillage, je suis allée vers son bureau… J’étais prête à ramper à ses pieds… Mais il n’était déjà plus là.

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