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carnet du grand père – Chapitre 1




Drôle de trouvaille :

Dans le grenier à ranger nous trouvons, avec ma cousine Françoise, nous seuls héritiers, un carnet noir. Celui de notre arrière grand père. Nous le feuilletons bien sur, curieux de lire les récits profonds de Jean mort quand même à 110 ans. Surprise de taille. Nous avons gardé de lui un souvenir dhomme plein dhumour. Ce que nous lisons nous montre un homme extrêmement attiré par le sexe, le sexe extrême en plus. Voici quelques pages choisies quand même :

Dimanche : Je la rencontre à la fête du village dà coté. Elle me plait bien dans sa robe longue. Je me demande ce quelle vaut au lit. Le plus sur moyen de le savoir est de lui plaire, de la faire tomber dans mes bras et au final dans un lit. Jespère seulement quelle nest plus vierge. Jai horreur de dépuceler. Ca fait semblant davoir mal, ça refuse par derrière, par la bouche, tout juste avec une main. Je crois quelle est mariée, je vais essayer.

Lundi : Jai pu lembrasser rapidement dans un des angles de la salle des fêtes. Nos langues se sont croisées. Je sais où elle habite, je sais que nous allons ous retrouver en fin daprès midi à la Païchère (le lavoir au bord du ruisseau) Je ne vais pas mhabiller en monseigneur pour lui faire lamour, pour la baiser quoi.

Mardi : elle est là. Toujours aussi belle, excitante. Nous nous sommes embrassés longuement. Nos lèvres ne voulaient plus se détacher. Nous nétions pas là pour simplement nous embrasser. Je la voulais elle en entier. Elle devait bien sapercevoir que mon machin était dur contre son ventre.

Elle sest un peu agitée quand jai caressé ses seins. Cest assez difficile de le faire avec tous ces machins quelles portent maintenant avec cette nouvelle mode. Jai pu prendre sa main pour la mettre sur mon pantalon. Elle avait compris depuis le début ce que je voulais. Elle ma donné sa bouche plus goulument. Sa salive était plus épicée. Nous nous sommes assis sur la souche dun vieil arbre posé là, juste en face de la Païchère. Je pouvais voir ses chaussures sous la jupe. Je prenais un pied, jenlevais la chaussure. Elle a poliment refusé pour accepte finalement devant mon insistance. Son pied était nu. Donc elle ne portait pas de bas. Tant mieux.

Je pose son pied sur mon genou. Elle se doute de la suite. Je caresse son mollet, je monte aux genoux. Elle a une peau douce au possible. Nos bouches sont toujours réunies dans un des plus long baiser que jai fait. Je montais ma main du genou à sa cuisse. Elle écartait sans crainte les jambes. Elle se donnait à moi finalement assez vite, contrairement ce genre de fille qui protège leur vertu supposée comme un trésor de Stevenson, alors quelles en sont à leur énième amant.

Je touche presque le but. Elle na pas de pantalon comme les autres, sans doute pas de culotte non plus. Je vais me régaler. Si je pouvais la mettre toute nue, je pourrais même la lui mettre au cul.

Mercredi : Je suis un imbécile, elle semblait daccord pour me donner son corps. Jai hésité dans une geste de politesse. Je ne pouvais pas sereinement la baiser ainsi à la Païchere. Nous devons nous revoir demain.

Jeudi : Elle est là à la Païchere, son linge dans une bassine portée sur une brouette. Le plonge dans leau, elle le passe au savon avant de ladoucir avec la battoir en bois. Elle ressort tout, me sourit.

— Mais viens donc imbécile.

— Tu sais ce que je veux ?

— Bien sur mon cul. Vient cacher ton jouet dans mon con. Viens vite, je mouille.

Elle mouille, je bande. Je sors ma bite du pantalon, elle la regarde satisfaite. Je mapproche delle, elle prend la pine dans sa main froide. Sa bouche souvre, elle me mange le gland. Je vais tomber de plaisir. Elle fait comme la fille du bordel, celle qui me plait, en mieux.

Je voudrais bien jouir, mais dans son corps pas dans sa bouche. Je la renverse sur le bord de leau. Sa robe se soulève, elle ne porte rien dessous. Je vois sa jambes, ses fesses, son con bien poilu. Jenlève mon pantalon de velours, je suis entre ses jambes. Jallais la baiser quand elle demande que je lui lèche le con. Il y a longtemps quune femme bien élevée ne ma demande de lui faire un câlin avec la bouche. Je vais tout à coté de ses poils, je sens, je renifle. Elle sent fort : jaie son odeur. Ma bouche se pose sur ses lèvres, la langue lèche partout, elle remue pour que je lui prenne le petit bout de viande dans les lèvres. Je sens mon menton aller sur son ouverture, mon nez sur ses poils. Jai envie de lui donner ma queue dans sa bouche. Trop tard, je le sens jouir. Cest une rapide. Je vais sur elle, jentre directement dans le con béant. Ses jambes passent sur moi, je la baise, elle me baise. Je crache la semence dans elle, elle en fait autant avec son jus. Une vraie maîtresse dun bourgeois.

Le texte sarrête là. Nous sommes assez excités : ainsi notre aïeul avait des façons de faire lamour proche des notres.

Françoise me demande de la baiser comme ça, comme le grand père. Elle est nue devant moi. Beau corps de femme. Maigre sans doute selon les canons de lépoque. Françoise me demande une seule chose très simple, la lui mettre au cul. Pourquoi pas pour la première fois au con ? Je ne sais. Elle est en levrette, elle ouvre ses fesses à deux mains. Je vois son petit trou : il est tentant. Je vais la lui mettre. Elle se ravise me demande de me mettre sur le dos. Elle vient sur moi pour senfiler la queue. Elle me fait face. Je comprends le pourquoi de la sodomie : elle se masturbe en me regardant.

Merci grand père.

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