Histoires de baise Premières histoires de sexe

Vacances en camping-car – Chapitre 14




Ça ne peut plus durer, Quentin…

Plusieurs semaines s’étaient écoulées depuis que nous nous étions retrouvés autour d’une partie de jambes en l’air endiablée dans sa chambre et, suite à ça, nous avions remis le couvert à plusieurs reprises. Des fois, je la rejoignais sous la douche pour lui mettre une cartouche, une autre fois, c’était elle qui me rejoignait dans ma chambre en pleine nuit pour que je la prenne rapidement pendant que nos parents dormaient au rez-de-chaussée, une autre fois, elle venait simplement me sucer quand je révisais à mon bureau, et je lui rendais rapidement la pareille, bref, nous nous amusions, et c’était très bien comme ça.

Aussi, après cette nouvelle partie de baise qui venait d’avoir lieu en l’absence de nos parents, Marion venait de me dire ça, de but en blanc, je tombai des nues. Je me redressai aussitôt pour la regarder, et je ne pus m’empêcher de constater une nouvelle fois qu’elle était belle, entièrement nue, la poitrine recouverte d’une fine pellicule de transpiration, et le visage rougi par nos ébats. J’aurais voulu l’embrasser tendrement pour lui dire à quel point je l’aimais mais étant donné ce qu’elle venait de me dire, cela me paraissait inapproprié.

Pourquoi tu dis ça ? répondis-je.

Parce que c’est vrai, ça ne peut plus durer ! Je t’aime et j’aime quand tu me baises, seulement… on a pas d’avenir, toi et moi !

Et alors ? On s’amuse, c’est le principal, non ?

C’est ce que je pensais aussi au début, seulement, combien de temps ça va durer ?

Je sais pas…

Moi non plus, donc il faut qu’on arrête avant que ça nous rende malheureux !

Mais ça me rend pas malheureux ! Au contraire, je…

Vincent m’a quittée…

En entendant ça, je restai muet pendant quelques secondes avant de reprendre la parole.

Il t’a quittée ? répétais-je.

Oui, il y a quelques jours, car il était persuadé que j’avais quelqu’un à côté, et il avait raison puisque je le trompais avec toi !

Mais non, c’est juste que…

Non, il avait raison, point barre ! Du coup, ça m’a fait réfléchir, et… et ça ne peut plus durer, Quentin, cette relation ne va plus être vivable pendant très longtemps !

Marion…

Non, laisse-moi parler, s’il te plaît ! Je t’aime et je t’aimerais toujours, seulement, si on continue comme ça, comment pourra-t-on fonder une famille le jour où on trouvera la bonne personne ?

Je sais pas, mais…

Il y a pas de mais ! Il faut que ça cesse, et tout de suite !

Une fois de plus, je restai sans voix devant l’insistance de Marion même si je comprenais parfaitement ce qu’elle voulait dire, seulement, je ne pouvais pas croire que cela se termine comme ça, aussi brutalement. Ce n’était pas une rupture puisque nous n’étions pas en couple, mais ça y ressemblait un peu malgré tout.

Dis quelque chose, me demanda-t-elle après quelques secondes.

J’ai pas envie que ça s’arrête…

Quentin, s’il te plaît, il faut que…

Je comprends très bien ce que tu as dit et, malgré tout, je suis d’accord, t’en fais pas, seulement…

Seulement quoi ?

Ça ne peut pas se terminer comme ça, aussi brutalement, surtout après tout ce qu’on a vécu…

Donc tu proposes quoi ?

Qu’on finisse en beauté, ma jolie, répondis-je, alors qu’une idée était en train de germer dans ma tête.

Pendant les quelques jours qui suivirent notre discussion, j’entrepris de mettre mon plan à exécution. Il était assez simple et demandait peu de préparation, seulement, il fallait que je négocie quelque chose avec mes parents dans le dos de Marion et ça, c’était compliqué.

Quand ils finirent par accepter ma requête, je voulus leur sauter dans les bras pour les remercier, mais je me retins de peur qu’ils trouvent ça louche.

J’attendis le soir, que les parents soient couchés, pour aller rejoindre Marion discrètement dans sa chambre. Elle était allongée dans son lit, la poitrine nue et simplement vêtue d’une culotte et, quand elle me vit arriver, elle se redressa aussitôt.

Qu’est-ce que tu fais ici ? Je croyais avoir été claire ! sexclama-t-elle à mi-voix.

Pas de panique, ma jolie, j’ai aucune idée derrière la tête, seulement une bonne nouvelle à t’annoncer ! répondis-je en m’asseyant sur le rebord du lit.

Laquelle ?

Le week-end prochain, toi et moi, on part en week-end !

En week-end ? répéta-t-elle.

Oui, et c’est pas tout ! On part en week-end… en camping-car !

En camping-car ? répéta-t-elle à nouveau.

Oui, les parents ont accepté de me le prêter !

Du haut de mes dix-neuf ans passés maintenant de quelques mois, j’avais déjà le permis depuis quasiment le début de ma majorité, contrairement à Marion qui était en train de passer le code et, en voyant à quel point ma conduite était agréable, sérieuse et maîtrisée, il m’était déjà arrivé plusieurs fois de conduire le camping-car sur des petits trajets avec mon père à côté de moi.

Du coup, je me débrouillais tellement bien que, quand je leur avais demandé quelques heures plus tôt s’il était possible qu’ils me prêtent le camping-car pendant deux ou trois jours, ils avaient accepté, même si j’avais dû leur faire quelques promesses pour en arriver jusque-là.

Pourquoi tu leur as demandé ça ? me demande Marion.

Pour t’emmener en week-end, ma jolie !

Mais je t’ai dit que…

Je sais ce que tu m’as dit, et je suis d’accord, tu le sais ! Seulement, je ne voulais pas que ça s’arrête comme ça, je voulais que notre histoire se termine… en beauté ! Du coup…

Tu voudrais marquer le coup en y mettant un terme là où tout a commencé entre nous, c’est ça ?

C’est ça…

Et après ce week-end, on recommencera plus jamais, on est d’accord ?

On est d’accord, je t’en donne ma parole…

Marion me regarda pendant quelques secondes sans rien dire, comme si elle réfléchissait, puis elle reprit la parole.

Ils vont trouver ça bizarre qu’on parte ensemble, non ?

Non, t’en fais pas, je leur ai dit qu’on avait l’anniversaire d’un copain à une centaine de kilomètres d’ici et que, comme je risquais de boire quelques verres, je voulais dormir sur place…

T’as pensé à tout, répondit-elle en souriant.

Oh que oui ! Bon, t’es d’accord ?

Évidemment…

Super !

Je me penche aussitôt vers elle afin de déposer un baiser sur sa joue, puis je me relève.

Je m’occuperais de tout : les courses, la préparation du camion, le trajet, le nettoyage, bref, t’auras pas grand-chose à faire, à part préparer tes affaires…

Et écarter les jambes, rajouta Marion en souriant.

C’est ça. Allez, bonne nuit…

Je t’aime, répondit Marion.

Moi aussi.

Alors que je me dirige vers la porte, Marion m’interrompit.

Attends…

Je me retourne aussitôt, et vit ma sur se lever, s’approcher de moi et se mettre à genoux, avant de baisser mon boxer.

Tu mérites bien une petite récompense, dit-elle avant de me gober le sexe.

J’en demandais pas tant, mais si tu proposes…

¤¤¤

Une semaine après, une fois le camping-car rempli, et après avoir promis à nos parents que nous les appellerions dès que nous serions arrivés à destination, Marion et moi, nous quittons le domicile familial, ravis à l’idée de savoir que nous allions passer le week-end ensemble.

Ainsi, tout en roulant dans ce vieux rafiot qui était toujours aussi bruyant et brinquebalant, nous parlons de tout et de rien, chantons les tubes qui passaient à la radio, rigolons à gorge déployée, bref, la bonne humeur est au rendez-vous.

Après une heure et demie de route, nous arrivons à destination, c’est-à-dire aux abords d’une grande forêt, à une dizaine de kilomètres des bords de mer. Nous nous garons aussitôt sur un grand parking presque désert puis, après avoir passé un rapide coup de fil à nos parents pour leur dire que nous étions bien arrivés, nous passons à table. Nous déjeunons donc de charcuterie et de salades composées puis, arrivés au dessert, en me voyant sortir un flacon de chantilly pour accompagner les fraises que j’avais cueillies dans notre jardin la veille, Marion me l’arrache des mains.

Qu’est-ce que tu fais ?

T’en fais pas, frangin, la chantilly, ça me donne envie de faire des cochonneries ! déclare-t-elle.

Sans que j’aie le temps de répondre, Marion se débarrassa en un geste de son tee-shirt puis elle ôta son soutien-gorge, dévoilant ainsi sa jolie paire de seins ô combien appétissants. Quelques secondes après, elle couvrit ses tétons d’une fine épaisseur de chantilly, tout en affichant un grand sourire ravageur.

Alors, qui veut de la chantilly ? demanda-t-elle.

Je lui réponds par un sourire puis, après m’être levé pour aller m’asseoir à côté d’elle, je lui nettoie les tétons à grands coups de langue, avant de les mordiller et de les suçoter gentiment. Marion se laisse faire sans broncher puis, une fois sa poitrine nettoyée, elle me versa un jet de chantilly dans la naissance du cou, avant de la lécher avec délicatesse, ce qui me fit aussitôt frémir.

J’ai envie que tu t’occupes de moi, me dit Marion, avant de me mordre le lobe de l’oreille.

Maintenant ? On a même pas pris de dessert…

Ce sera moi, ton dessert. Allez, viens…

On se leva alors tous les deux et, après s’être saisie du flacon de chantilly, Marion m’emmena vers la chambre. Elle se débarrassa aussitôt de son pantalon et de sa petite culotte puis elle se coucha sur le dos avant d’écarter les jambes et de se verser de la chantilly sur le sexe.

Bouffe-moi, dit-elle.

Je me jetai aussitôt sur sa bouche pour l’embrasser langoureusement puis je descendis jusqu’à ses seins qui avaient encore un goût sucré et je me jetai ensuite sur sa toison de chantilly que je me mis à laper dans tous les sens.

Une fois qu’il n’en restait plus une goutte, je lui écartai les lèvres pour lui lécher l’intérieur de son sexe, et je vis aussitôt ma sur se crisper de plaisir, tout en fermant les yeux.

Quelques secondes après, je remplaçai ma langue par deux doigts, et me mit à fouiller son antre chaud tout en lui caressant le clitoris de son autre main et quand j’accélérai le mouvement après avoir inséré un troisième doigt, je vis des gouttes de cyprine virevolter au-dessus de son sexe. Putain, qu’est-ce que c’était beau comme spectacle !

Alors, ça te plaît, ma chérie ? demandais-je.

Oui… comme… comme d’hab ! répondit Marion, haletante.

Tu veux essayer quelque chose ?

Volontiers…

Content qu’elle accepte, j’attrapai le tube de chantilly par le bouchon puis j’insère doucement le bas du cylindre dans le sexe de Marion qui se laissa faire sans broncher. Une fois qu’il fut enfoncé de quelques centimètres, je commençai un va-et-vient, tout en continuant à lui titiller le clitoris de mon autre main et, très rapidement, j’augmentai la cadence. Cette fois-ci, Marion se mit à gémir très bruyamment de plaisir et, plus j’accélérais, plus le cylindre s’enfonçait dans son entrejambe, plus le volume sonore augmentait.

Alors, petite salope, ça te plaît ? demanda-t-il à Marion.

Oui… ça me… défonce !

Je continuai pendant encore quelques secondes puis, finalement, je retirai doucement le cylindre de sa minette qui était à présent bien ouverte et humide. J’aurais pu en profiter pour la prendre là, tout de suite, mais je nen avais pas envie, non. Pour l’instant, je voulais juste m’occuper d’elle, et lui faire plaisir au maximum, c’est tout.

Je recommençai donc à lui caresser doucement le sexe, tout en lui titillant le clitoris, et je l’enfournai à nouveau de trois doigts, avant de lui fouiller le sexe. Une fois de plus, Marion se cambra aussitôt de plaisir, elle se caressa la poitrine de ses deux mains libres, tout en fermant les yeux et en se mordant les lèvres. Elle était belle à tomber, quand elle était dans cet état d’excitation, et cela me donna encore une autre idée.

Et si on essayait la main entière ? proposais-je.

Ta main entière dans ma chatte ?

Oui, on a jamais essayé…

Je sais… pas… si je…

Si tu vas y arriver ? Mais si, t’en fais pas…

Un quatrième doigt se greffa aux trois premiers, et je ralentis la cadence pour y aller doucement. Apparemment, ça rentrait comme dans du beurre et Marion me regardait faire tout en continuant à se mordre les lèvres.

T’es prête pour le cinquième ?

Oui… mais… doucement !

Après lui avoir léché pendant quelques secondes le clitoris, j’enfonce délicatement ma main en entier dans le sexe de Marion qui afficha une grimace de douleur, qui se transforma vite en une crispation de plaisir quand les va-et-vient commencèrent.

Je fus, une fois de plus, ébahi de voir à quel point Marion pouvait quasiment tout encaisser, et le fait de savoir que ce week-end marquerait la fin de nos aventures m’attrista au plus haut point. Seulement, je décidai de ne pas y penser, pour le moment, et plutôt de profiter de l’instant présent.

Ça va, ma chérie ? demandais-je après quelques minutes.

Oui… c’est… bizarre !

Tu veux que j’aille plus vite ?

Tu vas me faire… jouir… donc je… sais pas si…

Je l’interrompis en accélérant la vitesse du va-et-vient qui lui remuait l’intérieur, tout en lui titillant le clitoris de ma main libre, et Marion se mit aussitôt à gémir bruyamment de plaisir, trempant le drap autour de nous de jets de cyprine.

Alors, t’aimes, ça te faire fister ?

Oui… je… j’adore, mais je…

Sa phrase se termina en un râle de plaisir, et je compris aussitôt que ma sur venait de jouir, ce qui ne m’étonnait pas étant donné ce qu’elle venait de se prendre entre les jambes. Je retirai aussitôt ma main trempée de son sexe, m’essuya sur le drap, puis Marion se redressa fébrilement pour regarder son sexe béant et baveux.

Tu m’as pas ménagée, dit-elle, encore essoufflée.

Désolé, c’était trop ?

Non, c’était… waouh ! J’avais déjà vu ça dans des films, mais jamais en vrai…

Faut jamais dire jamais, ma chérie !

J’espère que t’as prévu une réserve de draps, car on risque d’en salir beaucoup si ça continue comme ça !

T’en fais pas pour ça, j’ai ce quil faut, répondis-je.

Marion me répondit par un sourire puis elle m’embrassa langoureusement.

Je t’aurais bien proposé de me baiser mais là, avec ce que je viens de prendre, ça va être un peu compliqué, pour le moment…

T’en fais pas, le but c’était juste de te faire plaisir, pour le moment, donc ce n’est que partie remise, répondis-je en me levant.

C’est vrai, mais ça m’empêche pas de te remercier à ma façon, par contre…

Joignant les gestes à la parole, Marion se mit à genoux sur le lit, et entreprit de déboutonner mon jean, sans me lâcher des yeux, ce qui eut le don de m’exciter en un quart de seconde. Une fois que ce fut fait, elle baissa mon pantalon jusqu’aux genoux, fit la même chose avec mon boxer et aussitôt, mon sexe se déplia comme un ressort.

Salut toi, dit Marion en commençant à me masturber tout doucement.

Je me laissai faire sans broncher, tout en la regardant me lécher la bite de bas en haut, en commençant par les testicules et en remontant tout doucement jusqu’au haut de mon gland. Elle refit la même chose une dizaine de fois puis elle coinça mon sexe entre ses seins avant d’entamer une branlette espagnole, sans cesser de me regarder, et en passant de temps en temps le bout de sa langue sur mon gland. Putain, elle sait s’y prendre, cette petite salope !

Elle continua de me branler la bite pendant encore quelques minutes puis, finalement, elle l’attrapa d’une main et l’enfourna dans sa bouche. Une fois de plus, comme à chaque fois que Marion me suçait, je me crus au paradis, et elle savait exactement comment s’y prendre pour me faire plaisir.

Elle fit plusieurs va-et-vient avec mon sexe dans sa bouche, le ressortit pour me le lécher à nouveau de bas en haut, l’enfourna une nouvelle fois, le ressortit pour s’attarder sur mon gland qu’elle suça avec application, et recommença cette opération à plusieurs reprises, sans me lâcher des yeux. Elle fit même plusieurs gorges profondes en avalant quasiment la totalité de mon sexe, chose qu’elle avait du mal à faire quelques mois plus tôt quand nous avions commencé à coucher ensemble, ce qui prouvait une nouvelle fois qu’elle avait fait d’énormes progrès.

Tu vas bientôt venir ? me demanda-t-elle après une dizaine de minutes de suçage.

Oui, ça devrait pas tarder…

OK, attends.

Sans me lâcher la bite, elle ouvrit la bouche en grand et releva la tête vers moi en tirant la langue. Je compris aussitôt le message et empoigna mon sexe que je me mis à branler à toute vitesse en le dirigeant vers le gosier de ma sur.

Tu veux avaler mon jus, c’est ça ?

Oui, j’en meurs d’envie, répondit Marion.

Pas de problème, petite salope…

Sans la lâcher des yeux, je continue à m’astiquer au-dessus d’elle et, au bout de deux minutes, plusieurs jets blancs et visqueux jaillissent de mon sexe et vont tapisser la langue et la glotte de Marion qui les reçoit sans broncher, avant de tout avaler d’une traite. Ensuite, elle me nettoie le bout du gland encore gluant à grands coups de langue et, une fois qu’elle a terminé, elle affiche un grand sourire.

Alors, frangin, c’était comment ? demanda-t-elle.

Tu suces comme une déesse, ma chérie, comme d’habitude…

Tant mieux…

Nous nous couchons ensuite sur le dos pour nous remettre de nos émotions, et Marion pose aussitôt sa tête sur mon torse. Quant à moi, je laisse mes mains se promener sur sa poitrine collante à cause de la chantilly, ce qui n’a pas l’air de lui déplaire puisqu’elle se laisse faire.

T’as pas trop mal à la chatte ? demandais-je après quelques secondes.

Un peu pour l’instant, mais ça ira vite mieux. Tu pourras bientôt me mettre une cartouche, t’en fais pas…

J’y compte bien ! Au pire, si t’as encore mal ce soir, je te prendrais seulement le cul…

J’aime quand tu me parles comme ça, mon amour…

Nous rigolons tous les deux comme deux amants épuisés après une nuit de galipettes puis Marion releva la tête et m’embrassa tendrement.

Merci pour tout, me dit-elle.

C’est pas encore fini…

Je sais, mais quand même. C’était un très bon début, donc j’ai hâte de voir la suite, maintenant…

Elle va vite arriver, à mon avis…

C’est tout ce que je souhaite !

Après que nous nous soyons tous les deux nettoyés dans la salle de bains du camping-car, et que nous ayons fait la vaisselle, nous décidons de repartir afin d’aller découvrir le village qui se trouve en bord de mer à une dizaine de kilomètres d’ici.

Nous nous garons donc sur un grand parking qui faisait face à une église, et partons à pied nous promener dans le centre-ville aux rues pavées, et encore peu rempli de touristes. Marion et moi, nous marchons main dans la main, comme deux amoureux, et nous sommes contents de pouvoir vivre notre amour au grand jour, pour une fois. Et moi, je suis plutôt fier de pavaner au bras d’une aussi belle créature, surtout qu’elle a troqué son jean contre une petite jupe qui laisse bien voir ses jambes nues, et qu’elle porte une simple veste noire par-dessus un chemisier rouge échancré. Bref, elle est belle à tomber, et je dis ça en toute objectivité, bien sûr !

Nous nous promenons donc dans les quelques boutiques de souvenirs du village, achetons des glaces que nous dégustons tout en marchant puis, en voyant une petite supérette encore ouverte, Marion eut une idée.

Je reviens, dit-elle.

Elle s’engouffra aussitôt dans le magasin et en ressortit cinq minutes après avec une bouteille de whisky qu’elle me montra joyeusement.

Pas de soirée réussie sans whisky ! sexclama-t-elle, avant de ranger la bouteille dans son sac.

Conscient que cela laissait présager encore des moments bien chauds, je lui réponds par un grand sourire de satisfaction, et nous reprenons notre balade. Quelques minutes après, nous nous retrouvons face à la mer, devant un petit bout de plage cernée par de gros rochers luisants d’algues et de varech, et nous décidons de profiter de la vue en nous installant à la terrasse d’un bar qui était déjà bien rempli.

Un serveur vint prendre nos commandes : une bière pour moi, et un verre de Chardonnay pour Marion. Pendant que nous attendons nos consommations, je remarque un groupe de jeunes qui, attablés à quelques mètres de nous, ne cessent de regarder ma sur du coin de l’il.

Apparemment, t’as des admirateurs, dis-je à Marion.

Ah bon ?

Je lui montre le groupe et, en voyant plusieurs regards converger régulièrement et pas très discrètement vers elle, Marion affiche un grand sourire, apparemment ravie d’être le centre d’attention.

T’es jaloux ? me demanda-t-elle.

Pas du tout, non.

Et ça te plairait qu’on les rende jaloux, eux ?

Pourquoi pas, oui…

Marion me répond par un sourire puis elle m’attrapa délicatement le visage avant de m’embrasser langoureusement. A mon avis, elle fait même exprès de bien montrer sa langue se mélanger à la mienne pour que le groupe de jeunes puisse en profiter, ce qui m’amuse intérieurement.

Une fois le baiser terminé, nous nous regardons en rigolant, puis le serveur nous apporte nos consommations, et nous trinquons aussitôt à ce beau week-end. Après quelques minutes, je constatai que les jeunes continuaient de nous regarder du coin de l’il.

Ils continuent de regarder par ici, dis-je à Marion.

Ah bon ? Offrons leur du spectacle, alors…

Marion regarda alors autour d’elle pour être sûre que personne ne regardait par-là, puis elle souleva rapidement son chemisier, affichant ainsi sa poitrine cachée par un beau soutien-gorge pendant quelques secondes aux jeunes qui lui répondirent aussitôt par de grands sourires. Quant à moi, je la laisse faire, amusé par cette situation et par son culot.

Tu les as excités pour la journée, dis-je à l’oreille de Marion, une fois que cette dernière eut remis son chemisier.

Tant mieux. Et toi, ça t’a plu ?

C’était marrant, oui…

Elle me répondit par un nouveau baiser puis nous parlons de la pluie et du beau temps pendant quelques minutes. Seulement, en constatant que ma sur était toujours le centre d’attention du groupe de jeunes, je lui fis à nouveau remarquer.

Ils te regardent toujours…

OK, alors passons à l’étape supérieure…

Une nouvelle fois, Marion regarda discrètement derrière elle pour être sûre que personne ne faisait attention à elle, puis elle passa les mains sous ses cuisses et, en essayant de ne pas trop gigoter, elle réussit à enlever maladroitement son string qu’elle me montra sous la table.

Tu vas en faire quoi ?

Je vais leur montrer…

Aussitôt, Marion prit son string du bout du doigt, puis elle le montra avec provocation aux jeunes qui, une fois de plus, lui répondirent avec des rires gras, et des regards étonnés. Marion le roula ensuite en boule dans sa main puis, elle leur lança, et un brun métissé et mal rasé et l’attrapa en plein vol, avant de le sentir, et de le faire passer à ses copains.

T’es complètement folle, dis-je à Marion.

De toi, oui, me répondit-elle, avant de m’embrasser à nouveau.

Je répondis à son baiser puis une voix derrière nous interrompit.

Désolé, Mademoiselle, mais ce comportement n’est pas autorisé dans cet établissement !

Nous nous retournons aussitôt et faisons face au serveur qui, visiblement, avait vu ce que venait de faire Marion, puisqu’il nous fusillait du regard.

De quoi vous parlez ? demanda Marion, innocemment.

De ce que vous venez de faire, Mademoiselle. Nous sommes dans un lieu public, donc vous n’avez pas le droit de faire ça !

Ça va, on s’amuse…

Pas ici, Mademoiselle, donc foutez le camp avant que j’appelle les flics !

OK, OK…

Marion termina son verre d’une traite, tout comme moi, puis nous nous levons.

Coincé du cul, va ! sexclama Marion à l’attention du serveur.

Nous quittons ensuite précipitamment le bar en rigolant, et les jeunes nous font de grands signes de la main auxquels nous répondons à la va-vite. Une fois suffisamment éloignés du bar, nous nous arrêtons dans une petite ruelle pour reprendre notre souffle.

Quel con, ce serveur ! sexclama Marion.

C’est pas tous les jours qu’il doit voir une cochonne comme toi faire ça, répondis-je.

C’est vrai. En tout cas, ça m’a coûté un string ces conneries !

Pas grave ! Bon, allons-nous-en avant que ça fasse le tour du village, dis-je à Marion avant de la prendre par la main pour prendre la direction du camping-car.

Attends, me dit-elle, en me retenant.

Quoi ?

Ça m’a excitée, tout ça !

Ah bon ?

Oui, tu me crois pas ?

Elle me prit aussitôt la main, la fit passer sous sa jupe, et je constatai aussitôt que son sexe était humide.

Ah oui, en effet. Tu veux…

Baiser ? Non, ce serait trop risqué de faire ça par ici. Par contre…

Elle posa ses mains sur mon entrejambe.

J’ai bien envie de te sucer, mon mignon…

Je pourrais me laisser tenter, mais…

Une fois de plus, Marion m’attrapa par la main et m’emmena au fond de la ruelle qui terminait par une impasse, dans laquelle se trouvaient des conteneurs à poubelles. Nous nous cachons aussitôt derrière l’un d’eux, nous rendant ainsi invisible de la rue, mais potentiellement visible par les nombreuses fenêtres qui se trouvaient autour de nous puis, sans plus tarder, Marion se mit à genoux pour déboutonner mon jean.

Je sais pas si c’est une bonne idée, et…

Elle me coupa la parole en sortant mon sexe de sa prison de tissu et en le gobant aussitôt. Finalement, faire ça en pleine rue et avec le risque de se faire choper en deux trois mouvements n’était pas si désagréable. Une fois de plus, Marion me lécha la bite dans tous les sens, s’attardant sur mes testicules, puis sur mon gland, puis sur ma verge, bref, mon sexe se raidit très rapidement au contact de ses lèvres mais, pour moi, il fallait aller encore plus loin.

Lève-toi et tourne-toi, lui dis-je.

Quoi ?

J’attrape aussitôt ma sur par les poignets, la força à se relever puis, je la plaquai face au mur le plus proche, remonta sa jupe, et m’enfonça d’un coup en elle. J’entame alors une série de va-et-vient, sans passer par la case « douceur », mais en y allant à fond dès le début. Après tout, nous n’avons pas de temps à perdre puisque nous pouvons nous faire choper à n’importe quel moment, donc je préfère ne pas perdre de temps.

Du coup, j’y vais franco, et j’ai l’impression de la défoncer, ce qui ne semble pas lui déplaire puisqu’elle a du mal à se retenir de gémir. Je passai mes mains sous son chemiser et agrippa ses seins à pleine main, avant de m’attarder sur ses tétons que je me mis à pincer des bouts des doigts, tout en continuant de lui matraquer l’entrejambe.

Ça te plaît ? demandais-je.

Oui… tu… me… défonces !

Tant mieux…

Je continue donc de la baiser pendant quelques secondes puis je ne sais pas si c’était l’excitation de l’endroit et du moment qui fit ça ou si c’est mon endurance qui diminuait, toujours est-il que, au bout de deux minutes, je sentis que j’étais à deux doigts de gicler.

Remets-toi à genoux, ordonnais-je.

Marion obéit aussitôt et se mit à genoux devant moi, avant d’ouvrir la bouche en grand et de tirer la langue, comme quelques heures plus tôt dans le camping-car. Une fois de plus, elle accueillit sans broncher ma semence au fond de sa gorge et avala tout d’une traite, avant de se relever et de s’essuyer la bouche du revers de la main.

Putain, c’était bon, me dit-elle en souriant.

Ouais, je suis d’accord !

Heureusement que j’avais plus mal à la chatte, sinon, t’aurais aggravé mon cas, rajouta-t-elle en rigolant.

Pardon, j’avais oublié ça !

Pas grave, t’en fais pas…

Pendant que je remballais mon matos dans mon pantalon, elle attrapa un kleenex dans son sac à main et le passa sous sa jupe pour s’essuyer son sexe suintant, avant de jeter le mouchoir dans le conteneur le plus proche.

Tu sais que tu me plais quand t’es comme ça, frangin ?

Quand je suis comment ?

Quand t’es entreprenant, et cochon à la fois !

On est jumeaux, je te rappelle, répondis-je, avant de l’embrasser.

Elle me répondit par un sourire puis nous sortons de la ruelle comme si de rien était, et retournons au camping-car. Décidément, cette première journée avait été mémorable, et le pire, c’est qu’elle n’était pas encore terminée…

Related posts

L'héritage de Franck ou Histoire de Famille. – Chapitre 29

historiesexe

Amour de chien – Chapitre 1

historiesexe

Corps d'Apollon – Chapitre 1

historiesexe

Laissez un commentaire

Ce site Web utilise des cookies pour améliorer votre expérience. Nous supposerons que cela vous convient, mais vous pouvez vous désinscrire si vous le souhaitez. J'accepte .