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un jeu tres dangereux – Chapitre 12




Upskirt interdit

Chapitre 12

Le jour se lève à travers les vitres de la chambre d’Éric. Le ciel est bleu, il va faire beau, aujourd’hui encore.

Éric repense à ce qu’il s’est passé hier soir, bien-sûr, l’alcool l’avait aidé, mais il était quand-même conscient lorsqu’il besognait sa tendre maman.

Comment va-t-elle réagir aujourd’hui ? Cest bien la question qu’il est en train de se poser.

Il passe à la salle de bain prendre une douche est descend, après s’être habillé.

Il entend du bruit dans la cuisine, ça ne peut être qu’elle…

Il s’imagine, noir d’excuse, avant d’entrer dans la pièce, mais lorsqu’il entre, il est surpris de voir son père en train de préparer le petit-déjeuner.

« Papa… ?

Ah, salut fiston ! » Lui répond son père, en se retournant.

Éric ne sait pas quoi dire, la dernière fois qu’il avait vu son père, c’est durant la soirée de gala et il n’oublie pas qu’il s’était accroché méchamment avec lui.

Éric passe derrière lui pour se prendre un bol et se servir du café.

Le silence est total dans la cuisine. Tous deux, face à face, déjeunent sans rien dire.

Éric repense à ce qu’il s’est passé ensuite dans le lit conjugal…, une chance pour lui que son père dormait.

Puis, au bout d’un moment, c’est Antonio, lui-même qui brise le silence.

« Écoute, il faut qu’on parle d’hier soir, mais aussi, de ce que tu as fait par la suite ! »

Éric regarde son père sans plus mastiquer. « Par la suite ? Ce serait-il aperçu de quelque chose ? », se dit Éric.

« Déjà, je n’ai pas bien aimé comme tu m’as parlé hier soir, je suis ton père et tu dois me respecter !

Oui, je sais bien, excuse moi… !

Attends, je n’ai pas fini…, j’ai ma part de responsabilité dans tout ça, je ne suis pas souvent là et ça n’a jamais dû être simple pour vous deux ! À l’avenir, je ferai en sorte d’être plus souvent à la maison et de passer plus de temps avec vous !

Oh tu sais, papa, je comprends que ton travail te prenne du temps !

Oui, c’est assez rude et c’est difficile, pour moi aussi, d’être loin de vous… !

–Je voudrais aussi te parler de ce qui s’est passé par la suite… !

Par…, par la suite… !!! Comment ça… ??? »

Éric commence à prendre peur, son père sait quelque chose.

« Oui, j’aimerais que tu nous avertisses quand et où tu pars, que tu t’amuses, ça je le comprends, mais au moins, avertis-nous, car ta mère c’est beaucoup inquiétée, tu sais… ! »

Éric est soulagé et recommence à respirer.

« Oui…, oui, excuse-moi !

Prends soin de ta mère, s’il te plaît, elle n’a que toi…, et moi, je ne suis pas souvent là, tu me comprends ?

Oui, entendu, je serai plus prés d’elle ! »

La discussion se termine quand Éric se lève de table pour nettoyer son bol et monte dans sa chambre.

Il s’assied à son bureau et réfléchit : « Être plus proche de maman, sil savait, quel con quand-même, jamais, il n’aura les yeux assez ouverts pour se rendre compte ce qu’il se passe sous son toit, c’est vraiment un pauvre type ».

Pendant la matinée, Éric reçoit un coup de fil de son pote Laurent qui lui demande de réviser ensemble.

Éric quitte la maison, sans avoir vu sa mère ce matin, étant encore couchée.

Il redoute un peu sa réaction, mais n’a pas le choix quoiqu’il arrive, il devra y faire face.

Vers les 10h30, Antonio décide de réveiller sa tendre épouse qu’il a laissé dormir, croyant que hier soir, elle avait dû avoir du mal à trouver le sommeil, s’inquiétant pour son fils.

« Chérie…, chérie ? Réveille-toi… !

Mmm… !! »

Isabelle commence à se réveiller, elle voit Antonio, habillé.

« Mmm, Antonio, c’est toi ? Mais, tu es déjà levé ?

Ben, faut dire que c’est déjà 10h30 du matin !

10h30, mais…, mais… ! »

Isabelle sort alors de son sommeil et repense à ce qui s’est passé hier soir. Elle se dresse d’un seul coup :

« Éric… !!! »

Antonio surpris, tente de la calmer.

« Non, ne t’inquiète pas, Éric est rentré hier soir, tout va bien ! J’ai même eu une discussion ce matin, au petit-déjeuner !

Une…, une discussion…, c’est à dire… ? De quoi avez-vous parlé ? »

Elle commence à avoir peur du sujet de leur conversation.

« Ahahahah, mais non, ne t’inquiète pas, nous avons bien discuté, il s’est excusé de m’avoir parlé comme ça et moi je lui ai promis, qu’à l’avenir, nous passerons plus de temps ensemble !

Ah…, et c’est tout… ?

Ben oui…, de quoi veux tu que l’on parle d’autre ?

Euh non…, non rien…, ben, je suis contente alors ! »

Antonio lui donne un baiser et sort alors de sa chambre.

Isabelle est soulagée que les choses se soient arrangées, mais ne peut s’empêcher de repenser à Éric.

Son propre fils l’a quand-même violée, hier soir, il avait bu, mais l’alcool n’excuse pas tout, était-il conscient de ce qu’il faisait à ce moment-là ?

Elle n’oublie pas que malgré ses protestations, elle avait joui avec lui, se laissant aller dans le plaisir le plus immoral qu’il peut exister, explosant toutes les limites du tabou.

Elle rejoint son mari au salon, après s’entre douchée et habillée d’une mini jupe en jeans et dun débardeur rose qui comprime son opulente poitrine.

Vers midi, Éric rentre à la maison, le temps qu’il a passé avec François, il a réfléchi à ce qu’il allait dire à sa mère, si elle lui demandait des explications.

« C’est moi, je suis rentré ! »

Le sang d’isabelle se glace d’un seul coup. Elle l’entend monter les escaliers, elle décide de ne pas attendre plus longtemps et monte le rejoindre.

« Chéri…, je peux entrer ?

Oui, bien-sûr, maman ! »

Isabelle entre dans la chambre, aucun des deux n’ose se regarder dans les yeux.

Chacun a le cur qui bat à 100 à l’heure.

« Que…, que voulais tu me dire ?

Ben…, je…, je voudrais savoir, pour hier soir, je… ! »

Éric sait de quoi voulait parler sa mère.

« Écoute, je suis désolé, j’avais bu et je n’ai pas pensé à vous appeler, ni te dire quand je suis rentré…, excuse-moi ! »

Isabelle est surprise de sa réponse.

« Tu…, tu te rappelles de rien ?

Non…, enfin si…, je veux dire que j’ai réussi à rentrer chez moi, c’est le principal, ahahah !

Oui…, mais enfin…

Quoi, quy a-t-il… ?

Euh, non…, non rien…, je suis contente qu’il ne te soit rien arrivé !

Je suis désolé pour hier soir, papa et moi, nous en avons bien discuté, désolé maman, tout va rentrer dans l’ordre, maintenant ! »

Isabelle est contente, elle sort de la chambre de son fils et se dit qu’après tout, ça aurait pu être pire, Éric ne se souvient de rien et c’est peut-être mieux comme ça.

Éric, de son coté, repense aux derniers mots qu’il a dits à sa mère : « Tout va rentrer dans l’ordre ? » Peut-être que c’est mieux ainsi…, maman… !

Éric prend alors un coup de speed et enclenche son ordinateur, il se connecte à Internet et se rend sur le site de voyeurs, là, où il avait mis en ligne les photos de sa mère.

Il ouvre son profil et clique sur "supprimer".

« Il faut que j’arrête toutes ces conneries…, je suis allé trop loin, putain ! »

Éric supprime son profil et ses photos s’effacent avec !

« Que va devenir notre famille, si papa sait quelque chose ? Je dois l’oublier et penser que c’est ma mère et rien d’autre ! Les choses ne peuvent pas être autrement ! »

Il descend rejoindre ses parents, il est dur, pour Éric, de faire semblant qu’il ne sest rien passé la nuit dernière, de se forcer à ne plus la regarder.

La famille mange ensemble, c’est très rare et Éric retrouve le bonheur d’être en famille.

La journée se passe et le soir, au dîner, Antonio souhaite leur annoncer une excellente nouvelle.

« Bon, je crois que je vais vous faire plaisir ! »

Éric et Isabelle le regardent.

« Cet après-midi, j’ai eu, au téléphone, un collègue de boulot… !

— Sa femme, qui est enceinte, a des difficultés pour sa grossesse et finalement, ils ne pourront pas aller en Espagne comme ils l’avaient prévu…

— Donc, je lui ai demandé si je pouvais lui reprendre les billets et il a accepté, c’est pour le prochain week-end ! »

Sa femme et son fils sautent de joie.

« C’est où, exactement ?

C’est à Alicante, à l’est du pays, juste en dessous de Valencia, deux chambres dans un hôtel 4 étoiles nous attendent, là-bas ! »

Toute la famille se réjouit de pouvoir aller là-bas, il ne reste plus qu’une semaine avant de partir vers cette endroit paradisiaque.

Le lendemain matin, chacun prend la route du boulot. Antonio promet à sa famille qu’il sera revenu dans 3 jours. Isabelle se rend à son travail et Éric est emmené au lycée par François.

C’est en arrivant à l’usine qu’Isabelle se remet, petit à petit, dans l’ambiance obscène quelle avait vécu, la dernière fois où elle y avait mis les pieds. Cette fois-là, où Hubert, son homme à tout faire, l’avait forcée à le sucer à travers son slip.

Cet homme qui lui avait ordonné de s’exhiber devant son fils et son beau-père.

À peine la porte de son bureau franchie que cette ordure d’Hubert frappe et entre.

En le voyant, Isabelle ne sait pas quoi dire, par crainte d’un nouvel ordre. Elle s’aperçoit rapidement que son agresseur a le visage tout amoché et qu’il porte une valise.

« Ou…, oui, Hubert, que…, que voulez vous ?

Euh…, je…, je, je suis venu vous dire, madame, que…, que je démissionne !

Par…, pardon ?!!! Je n’ai pas bien compris ?

J’arrête tout…, je pars loin d’ici… !

Mais…, mais vous…, et moi, enfin, vous voyez ce que je veux dire ?

Ah non ! Ne vous approchez pas de moi…, je tiens à ma vie, moi ! Je m’en vais, je ne veux plus jamais vous voir… ! »

Hubert claque la porte et Isabelle reste sans voix.

« C’est…, c’est une blague, là ? »

Folle de joie, elle chante presque dans le bureau, sans savoir, ni pourquoi, ni comment, cette ordure, dont il avait toute emprise sur elle, s’en va sans demander son reste, est-ce un miracle ?

La journée ne peut pas mieux se passer, ainsi que la semaine d’ailleurs.

Comme promis, Antonio rentre le jeudi matin, la petite famille se prépare pour partir en direction de l’Espagne.

C’est en avion qu’ils se rendent là-bas. Le temps est superbe, la mer est d’un bleu magnifique. À l’hôtel, le réceptionniste leur montre les chambres, ce sont des suites luxueuses dont les lits datent du 17ième siècle, les tapis ont des bordures en or fin. La salle de bain est tout en marbre de grande valeur. Ces chambres sont tellement belles qu’on ose, à peine, à dormir dedans.

Éric est, bien entendu, séparé de ses parents, sa chambre reste quand-même face à la leur.

On frappe à sa porte, c’est son père qui entre, déjà habillé d’une chemise style Hawaï et des lunettes de soleil.

« Alors fiston, on va la goûter, cette eau ?

Avec plaisir ! »

Pendant qu’ils descendent de l’hôtel, Isabelle reste seule dans sa chambre pour se changer.

Antonio lui a offert un bikini avant de partir, son mari lui a demandé de l’ouvrir qu’en arrivant sur place.

Lorsquelle ouvre le paquet, c’est un "oh" de surprise, lorsqu’elle en découvre le contenu.

C’est un bikini, certes, mais quel bikini… ! Isabelle se demande quelle partie de son corps sera caché par le tissu.

« Je ne vais pas mettre ça, quand-même ! »

Comme elle avait fait confiance à son mari, elle n’avait pas pris le soin d’en apporter d’autre.

Elle n’a pas le choix et enfile, donc, le cadeau de son mari.

À la plage, Éric et Antonio se trouvent un coin pour s’installer.

« Il fait chaud…, hein, gamin ?

Ouais, on va même cramer…, et maman, elle ne vient pas ?

Si si, mais elle se change, puis elle arrivera…, ah, au fait… ?

Quoi ?

J’ai offert un cadeau à ta mère, la connaissant un peu, elle…, elle osera, à peine, à mettre ce que je lui ai offert !

C’est quoi ?

C’est un bikini, mais un bikini qui ne cache pas grand chose, tu vois se que je veux dire ? »

Antonio lui fait un clin d’il et Éric comprend tout de suite dans qu’elle tenue va venir sa mère.

Un point au ventre lui vient alors. « Papa, pourquoi tu fais ça, bordel…, non, il faut que je pense à autre chose ! », se dit Éric.

Dans la chambre, Isabelle a fini de s’habiller. Le bikini noir est une provocation à lencontre des ligues vertueuses, une véritable exhibition… !

Le bas lui rentre dans le cul, tellement il est serré, ne remontant pas plus haut que la moitié des fesses.

Le haut est encore plus indécent, puisque les trois-quarts de ses seins sont dénudés.

Isabelle cherche, en vain, de faire rentrer, un peu plus, ses gros seins dans les balconnets, mais rien ny fait, ils sont pleins à rabord.

Le tissu recouvre, à peine, les aréoles et si on y fait attention, un petite partie des taches brunes se voit.

« Bon, pas de panique…, après tout, certaines femmes sont seins nus sur la plage, on ne fera pas attention à moi. J’espère, au moins, que ça plaira à Éric… !!! »

Isabelle se regarde droit dans les yeux, dans la glace de l’armoire, elle met une main sur la bouche, comme si quelqu’un d’autre, dans la pièce, l’aurait entendue.

Elle en devient même toute rouge.

« Je suis folle, je ne peux pas penser ça…, et puis, il ne se souvient même pas de ce qu’il a fait ! »

Elle s’assied sur le rebord du lit, elle repense à cette nuit où Éric l’avait littéralement violée et à toutes ces fois où il regardait son corps, ses culottes souillées.

À force de repenser à tout ça, Isabelle se frotte les jambes.

« Non, je ne vais pas tout gâcher alors que tout est redevenu comme avant. Hubert n’est plus là, plus rien nous empêche que tout redevienne comme avant ! »

Isabelle file, sans plus tarder, à la plage, rejoindre ses hommes.

Quant à Éric, il n’est plus concentré sur la mer, tous deux dans l’eau, il ne cesse de jeter un coup d’il vers la plage pour voir arriver sa mère dans cette tenue, tant provocatrice, selon son père.

« Oh fiston, que regardes-tu ? Tinquiète, maman va arriver !

Oui oui, je sais !

Et au fait…, fais-lui plaisir…, fais-lui des compliments sur sa tenue, elle sera contente ! »

Éric regarde son père, l’air navré : « papa, pourquoi fais-tu ça…, c’est déjà tellement dur pour moi ! », se disait il, tout en le regardant.

« Ben, tiens, la voila…, regarde, elle est avec son paréo jaune ! »

Le cur d’Éric se mit a battre à 100 à l’heure, tout en cherchant sa mère au milieu de tous ces gens.

Le souffle court, il ne respire plus, la gorge sèche, il l’aperçoit enfin, son paréo cache encore ce que son père lui avait confié.

Les deux hommes sont partis la rejoindre.

« Hé, chérie, nous sommes installés, là ! »

Éric ne dit rien, suivant bêtement son père.

« Alors, ce cadeau, il te plaît ?

Euh…, oui, ça me plaît…, un peu…, un peu petit, non ?

Ahahahah, mais non, chérie, c’est la mode, allez, montre-nous ! »

Isabelle hésite un instant, puis pose ses mains sur le paréo et juste avant de le défaire, elle regarde, discrètement, Éric, qui lui, reste là, sans rien dire, les yeux grand ouverts.

Elle défait le nud et le paréo dévoile le corps de cette femme mûre aux charmes fous.

Éric est à deux doigts de faire une attaque. Que c’est beau, que c’est sublime, mais que c’est dur de devoir se priver d’une aussi belle chose.

Les cheveux d’Isabelle sont attachés derrière la tête, vers le haut, les laissant tomber sur la nuque, ses boucles d’oreille en anneaux donnent, au tableau, un effet encore plus excitant.

Isabelle est une belle femme, on ne peut le contredire, mais c’est sur sa grosse paire de seins que son fils s’attarde.

Ils ne demandent qu’à sortir des balconnets, c’est hallucinant comme ils sont gros !

« Waouh, mais il te va à ravir, qu’en penses-tu, Éric ? »

Isabelle est surprise de la question de son mari et regarde son fils.

Elle s’aperçoit du regard obscène qu’il porte sur sa poitrine, bien que cela la gêne, elle nen est pas moins excitée.

« Oui…, oui, c’est très joli, maman, tu…, tu es très belle !

Bon allez, ben moi, je vais aller chercher des glaces, je connais vos goûts, alors je reviens ! »

Après qu’il soit parti, Isabelle s’installe sur sa serviette pendant que deux espagnols passent à côté d’elle et la regardent en souriant et en sortant des mots en espagnol dont ni Éric, ni Isabelle, ne comprennent, mais qui les laissent en deviner le sujet.

« Ton père a des idées des fois, je le trouve très petit, ce bikini, quand-même !

Euh…, non, je le trouve joli, moi et il te va très bien, maman !

Merci, mon poussin ! »

Éric s’assied bêtement à ses côtés, il se force à ne pas la regarder, mais que c’est dur !

Ils se mettent à parler du beau temps, de l’endroit, jusqu’au retour d’Antonio avec les glaces.

Laprès-midi se passe dans une ambiance peu banale, Éric cherchant à éviter ses regards sur sa mère et celle-ci, ne sachant plus où se mettre, par rapport à lui.

Seul Antonio, s’amuse comme un fou, étant aveugle à ce qui se passe vraiment.

Le soir, ils mangent dans un restaurant de la ville et se couchent tôt, le voyage et l’après-midi les avaient épuisés.

Dans son lit, Éric ne cesse de revoir sa mère sur la plage.

« Oh maman…, comme tu es belle…, c’est beaucoup trop dur pour moi, beaucoup trop ! »

Sans pouvoir s’en empêcher, il porte une main dans son slip et commence une lente masturbation.

Il stoppe immédiatement lorsqu’il se rend compte de son geste.

« Non…, non, il faut que j’arrête, mais connerie…, je ne veux plus jamais penser à ça…, c’est ma mère…, non !!!!!! »

C’est là-dessus qu’il s’endort, mais combien de temps pourra-t-il tenir ?

Ce qui devait être des vacances de rêve pour Éric, commence à virer au cauchemar.

Le lendemain matin, après s’être préparé, Éric traverse le couloir pour venir frapper à la porte de ses parents pour partir déjeuner avec eux.

Antonio est seul dans sa chambre, Éric cherche sa mère du regard.

« Ta mère est partie faire les marchés, elle veut trouver des spécialités du coin pour pouvoir cuisiner avec à la maison ! »

Éric est déçu, mais le dissimule à son père et tout les deux descendent déjeuner.

Pendant la collation, Antonio décide de parler à son fils.

« Alors fiston, comment as-tu trouvé ta mère, hier à la plage ?

Oh, euh…, ben joli, mais bon, tu…, tu sais…, c’est ma mère, donc j’e m’en fous un peu !

Oui, c’est vrai, que je suis con, mais bon…, tu verras, quand tu auras une nana et que tu verras les autres hommes la regarder, tu seras fier et tu diras : "Che mia moglie è bellissima, sono così orgoglioso", comme on dit chez nous !

Ah…, et ça veut dire quoi, ça ?

La fierté de voir sa femme si belle, mon fils…, hahahah ! »

Éric le regarde rire, "oh que oui, que tes con… !", se dit Éric qui, bientôt, ne peut plus supporter de l’entendre ricaner.

Vers les 11 heures, Isabelle revient à l’hôtel.

Quelle est belle dans sa robe en fleurs dont le bas fait comme un voile.

Sa poitrine déforme indécemment le tissu.

Éric n’en peut plus, c’en est même insupportable.

Isabelle s’en aperçoit tout de suite, mais fait mine de rien devant son mari.

À midi, ils s’installent sur la terrasse de l’hôtel pour pouvoir manger.

La vue donne sur la plage, c’est magnifique.

Après avoir fait leur commande auprès du serveur, Antonio part aux toilettes.

Le silence est total et ni l’un ni l’autre ne savent quoi dire.

Éric regarde la plage sans rien dire, isabelle le regarde, assez embêtée.

« Éric…, tu…, ça ne va pas ?

Si…, si, t’inquiète pas !

Mais…, je…, ce n’est pas…, tu n’as pas l’air bien !

Écoute maman, ça va, ne t’inquiète pas…, ça va !!! »

Isabelle le regarde sans rien dire, elle sait très bien que quelque chose ne va pas.

Antonio revient à table, égal à lui-même, avec un grand sourire, comme si l’ambiance est folle et qu’ils passent tous, les meilleures vacances de leurs vies.

Pour ne pas gâcher le plaisir d’Antonio, Isabelle et Éric font semblant de sourire.

Vers les trois heures de l’après-midi, ils partent en direction de la plage.

Cest le moment quÉric redoute le plus, car il devra refaire face au corps de sa mère dans ce bikini, cadeau empoisonné de son père.

Éric passe un maximum de temps dans l’eau, il tourne le dos à sa mère lorsqu’elle le rejoint, de temps à autre, dans la mer.

Isabelle s’en aperçoit, mais n’ose rien dire.

« Hé Éric, viens ici, maman a pris des glaces et des beignets ! »

Éric, loin d’eux dans l’eau, n’a pas dautre choix que de les rejoindre

« Putain, mais il ne va pas me lâcher, ce con…, vivement demain qu’on rentre et qu’il parte dans ses voyages d’affaires de merde !!!! »

Il les rejoint avec un sourire forcé.

Chacun mange sa glace et au bout d’un moment, Antonio lance à sa femme :

« Dis-moi, chérie, tu a bien bronzé pendant ces deux jours, mais tes seins sont à moitié blanc, eux !

Ben oui, c’est normal, mais bon, je suis de nature assez mate, donc, ils ne sont pas si blancs que ça ! »

Éric tourne le visage vers les seins de sa mère et constate que son père dit vrai.

Ses gros seins sont bronzés, juste la partie dénudée, le tissu devait, certainement, empêcher le contact de la peau avec les rayons du soleil.

Isabelle est d’origine italienne et donc sa peau bronze très vite.

Lorsqu’Éric lève les yeux pour regarder le visage de sa mère, leurs regards se croisent et celui-ci tourne, immédiatement, son visage en direction de la mer.

« Pourquoi n’enlèves-tu pas le haut pour pouvoir les bronze entièrement comme tu le faisais avant ? »

Éric fait un bond, son cur est à deux doigts d’exploser et son membre commence reprendre de l’entrain.

Lorsqu’Antonio prononce ces mots, Isabelle pense tout de suite à Éric, assis tout près d’eux. Et le fait que son fils puisse revoir ses énormes appas au grand jour commence à l’exciter.

« Tu…, tu ne parle pas sérieusement, chéri ?

Ben quoi…, rappelle-toi, avant, tu le faisais bien !

Oui, mais, Éric n’était pas là et puis ça va le gêner !

Mais non, chérie, voyons, Éric s’en fout, tu es sa mère et puis, d’un coté, regarde toutes ces femmes aux seins nus, Éric doit certainement se rincer l’il depuis deux jours ! »

Éric ne la regarde pas, mais écoute les paroles de son père.

"Sale connard !", se dit il.

« Tiens, je vais t’aider, si tu veux ?

Mais…, attends, je… !! »

Comme forcée par le destin, Isabelle laisse faire son mari qui passe derrière elle.

En entendant les paroles de son père, Éric se retourne vers eux, sans pouvoir s’en empêcher.

Pendant qu’Antonio dégrafe le haut du bikini, Isabelle regarde, discrètement, son fils pour pouvoir constater sa réaction.

Une fois le nud défait, la pression due à la lourdeur des seins dIsabelle, pousse le haut du bikini vers le bas.

C’est une véritable explosion de chair…

Les seins, à moitié bronzés, tombent, quelle impressionnante poitrine, un régal pour les yeux.

Éric fixe ses deux formes jumelles, il bande comme un âne et il est certain que ce n’est pas près de se calmer.

Les larges aréoles, très brunes, contrastent avec le reste de la peau.

Éric vit un véritable enfer, il ne sait plus quoi faire pour se calmer.

« Tiens, voilà ta crème solaire, chérie, Éric passes-en lui sur le dos, moi je suis allergique à cette crème et pendant ce temps, je vais me baigner ! »

Antonio lui donne le flacon et part en direction de la mer.

Il les laisse là, bien embêtés, l’un et l’autre.

« Bon…, bon, tu…, tu veux que je t’en passe sur le dos ?

Oui…, tu serais gentil ! »

Isabelle se couche sur le ventre, ses seins ressortent sur l’extérieur, dus à l’écrasement de son corps contre la serviette.

Éric s’abstient dy prêter attention.

Il pose ses mains enduites de crème sur le dos chaud et doux de sa mère.

Il bande et essaye de le dissimuler aux autres personnes qui sont aux alentours.

Lorsqu’il attaque le bas du dos, il regarde le bas du bikini qui lui rentre dans la raie fessière et qui cache, à peine, les fesses, quelle vue !

« Bon…, bon, ça y est, j’ai fini !

Merci, mon chéri ! »

Isabelle attend qu’Éric propose autre chose, comme faire le coté face de son corps !

Éric, lui, reste là, sans rien dire, mais n’en pense pas moins. Puis son père l’appelle pour se baigner et Éric part le rejoindre.

Pour leur dernière soirée, la petite famille est invitée à un spectacle qui se déroulera pendant le dîner. Pour l’occasion, Antonio et son fils se mettent sur leurs 31, costume de tailleur avec cravate.

Isabelle est vraiment ravissante dans une robe de soirée rouge en soie d’une très grande valeur. Cette robe n’a pas de bretelles aux épaules, elle lui serre donc la taille, jusquau dessus de la poitrine.

Le bas lui arrive au milieu des mollets et on peut donc s’apercevoir quelle avait enfilé des collants de couleurs chaire, rehaussés par des escarpins noirs, à talon aiguilles avec une bride autour des chevilles.

Son collier en diamant autour du cou et ses bracelets en or font comprendre qu’elle est l’épouse d’un mari qui n’est pas dans le besoin, bien au contraire.

LorsquÉric frappe à la chambre de ses parents pour descendre, c’est sa mère qui lui ouvre et il ne peut s’empêcher de s’exclamer :

« Maman…, tu…, tu es magnifique !

Merci mon chéri et toi tu es à "tomber" dans ce costume ! »

Antonio arrive juste après, en étant encore en train de faire sa cravate.

« Bon allez, hop, on y va, car sinon, nous allons rater le début ! »

Le spectacle que leur propose l’hôtel est de toute beauté, il y a des magiciens, des danseuses, des comiques.

Pendant les pauses, les invités profitent pour manger et Antonio ne refuse jamais la demande d’un serveur qui lui propose du vin.

Éric, quant à lui, essaie de regarder sa mère, Isabelle est très charmante dans cette robe, d’ailleurs, plusieurs invités l’avaient remarqué pendant l’apéritif.

À la fin du repas, Antonio est complètement soul, à tel point qu’Éric tient son père par le bras pour l’aider à monter les escaliers.

Durant la moitié de la soirée, il a été abominable avec les autres personnes, ainsi quavec sa famille, racontant n’importe quoi, se croyant drôle.

Quand ils arrivent à leurs chambres, Antonio repousse brusquement son fils.

« Lâche…, lâche-moiiii, je veux faire pipiiiiiii ! »

Isabelle s’aperçoit que la patience de son fils commence à avoir des limites.

« Écoute Antonio, tu repousses Éric, alors qu’il ta aidé à monter jusqu’ici !

Tu me laisses tranquille, toi, je vais faire pipiiii, moiiiii… !

Hé ben, vas-y et fous-nous la paix, c’est par là, tiens, voilà la carte ! »

Isabelle donne la carte de laisser passer pour ouvrir la porte de leur chambre et, tout en titubant, Antonio file dans les toilettes de leur suite.

« Excuse-le, mon poussin, je suis sûre que t’en père ne pense pas ce qu’il dit !

Pas grave…, je m’en fous ! »

De la salle de bain, ils entendent Antonio chanter, tout en urinant.

« La digueeee du cuuuul, en revenannnnnt de Nannteeees, la diguuueee du cullll…. !

Aaah, il est chiant, ce soir… !!! »

Isabelle ferme la porte pour ne plus l’entendre chanter, les laissant seuls dans le couloir.

« Bon, écoute, je vais vous laisser, je pense que tu as à faire !

Oui, désolé pour cette fin de soirée ! »

Ils se font le bisou quotidien, comme chaque soir, avant d’aller se coucher.

Mais les choses sont tellement floues dans leurs tête, que ce baiser devient, dorénavant, une approche dangereuse pour l’un et l’autre.

Éric aimerait prendre sa mère dans ses bras et Isabelle sent tout son corps trembler, rien qu’au regard que lui porte son fils.

Éric entre dans sa suite et laisse, avec bien des regrets, sa mère regagner la sienne.

Isabelle temporise un peu avant d’ouvrir la porte, se retourne et regarde celle de son fils.

"Mais, qu’est ce qui me prend…, oh Éric, mon poussin…", se dit elle.

Et lorsqu’elle appuie sur la poignée pour ouvrir la porte, celle-ci ne s’ouvre pas.

« Oui, mince, la carte… ! »

Elle cherche dans son sac à main, mais ne la trouve pas.

Dun coup, elle pense à Antonio, "merde", se dit-elle.

Elle frappe à la porte.

« Antonio…, chéri, ouvre-moi…, Antonio, c’est moi…, Antoniooo… ! »

Elle n’ose pas crier pour ne pas déranger les autres suites, on nest quand-même pas dans un hlm.

Bien embêtée de n’entendre aucune réponse de son mari, elle pense alors à Éric.

Peut-être que sa carte, à lui, ouvrirait sa porte, après une petite hésitation, elle frappe et son fils lui ouvre.

« Qu’est-ce qui se passe, maman, papa est malade ?

Euh non…, en fait, je lui ai donné ma carte et il ne me la pas rendue, je suis bien embêtée, car je ne peux pas entrer dans ma chambre, sans ça !

Ah, merde…, tu veux essayer avec la mienne ?

Oui, merci mon cur ! »

Éric revient avec sa carte, mais malheureusement, elle ne marche pas pour leur suite.

Isabelle essaye encore de frapper et d’appeler, mais aucune réponse.

« Maman, je pense que ça ne sert à rien, papa doit ronfler ou vomir dans les toilettes !

Oui, mais moi, je fais quoi, maintenant ?

T’as quà aller voir la réception… !

Oui, puis ils vont ouvrir et comme ton père aura vomi partout, comme il le fait, à chaque fois…, non merci, je n’ai pas envie d’attraper la honte à cause de lui, nous sommes dans un hôtel 4 étoiles, je te le rappelle !

Ben écoute, au lieu d’essayer de réveiller tout l’étage, viens dans ma chambre, en attendant qu’il se remette de son état !

D’accord… ! »

Tous deux entrent dans la chambre dÉric, tous deux sentent, aussi, la pression monter.

Isabelle s’installe sur le canapé luxueux, au milieu de la pièce.

« Bon…, espérons qu’il ne tarde pas trop ! »

Éric s’assied à ses côtés, un silence total s’installe, ni l’un ni l’autre n’ose parler.

Puis, chacun de leur côté décide de rompre le silence et parlent en même temps.

« Tu…, euh… ? Cest que… ! »

Ils se regardent et recommencent à parler.

« Pardon… !

Excuse-moi, que voulais-tu me dire ?

Euh, je…, en fait, je…, je voulais te remercier pour ces vacances, c’était super !

Oh, tu sais, c’est ton père qu’il faut remercier ! »

Éric regarde sa mère, il est a bout de force.

Si durant l’après-midi, il s’abstenait de la regarder, maintenant, c’est de haut en bas quil la détaille avec les yeux grands ouverts.

Sa gorge est sèche et son cur tape fort.

« Que c’est beau ici, l’hôtel est magnifique et que…, "oh" !!!! »

Isabelle s’arrête de parler lorsqu’Éric lui prend la main.

« Maman…, je…, je suis tellement désolé, je n’en peux plus… !

Quoi…, qu’est-ce qu’il t’arrive, mon chéri ??

Tu es…, tu es trop belle, moi, je meurs, c’est un véritable enfer de penser que tu es ma mère ! »

Isabelle commence à reculer dans le canapé, abasourdie par les mots de son fils.

« Éric…, écoute, je pense que je devrais m’en aller ! »

Éric la retient par la main.

« Oh non, reste-là je t’en supplie, ne va pas rejoindre papa…, il…, il ne te mérite pas… !

Mais Éric, voyons… !

Maman, je sais que je n’aurais jamais dû te faire ça, l’autre nuit, mais tu me rend fouuu !

Quoiii…, mais tu…, tu t’en souviens… ? »

Éric commence à monter sur sa mère, celle-ci essaye de se dégager.

« Éric, non…, laisse-moi, je t’en supplie…, ne recommence pas !!!

Mais maman…, ne vois-tu pas comme je souffre ?

Arrête ça, je t’en supplie ! »

Isabelle se lève du canapé, reprenant son souffle.

« Écoute, arrête ça, je suis ta mère, tu entends… ?

Mais…, maman, je… !

Non…, écoute, je vais aller aux toilettes, puis je vais me rendre à la réception pour demander d’entrer dans ma chambre ! »

Isabelle file à la salle de bain, Éric la regarde marcher devant lui.

Elle ferme la porte et se cale contre, sans pour autant fermer à clef.

Elle est toute tremblante, elle se surprend à être toute excitée par le contact de son corps avec celui de son fils.

« Oh mon dieu…, il était moins une que je cède…, ooooh… ! »

D’un coup, la porte s’ouvre brusquement, repoussant Isabelle vers le milieu de la pièce.

« Ér…, Éric, mais qu’est-ce qu’il te prend ?

Maman, j’en peux plus…, je t’aime… !

Éric, je te répète encore, on ne…, mmmmm !!!!!!! »

Éric ne laisse pas le temps, à sa mère, de finir et l’embrasse.

Celle-ci, surprise, prend un temps de réflexion, avant de réagir à cette requête.

Sa bouche cède lentement et leurs d’eux langues commencent à se mélanger dans un doux et sensuel baiser.

Éric, satisfait, laisse sa mère reprendre son souffle.

« Mmm…, oooh, Éric, mais que fais-tu…, je suis ta mère, voyons… !

Maman, tu me répètes tout le temps cela, j’en ai marre que tu sois ma mère, justement ! Moi, je te vois en tant que femme, quand je te regarde, c’est tout mon corps qui réagit, je ne pense qu’a toi…, je ne veux que toi, tu comprends !

Mais mon poussin, c’est immoral, que dirait ton père, si… ?

Papa… ? Mais papa nen a rien à foutre de nous, c’est un snob de merde qui pense qu’à son fric, voila tout ! Ne vois-tu pas que ces vacances sont pour passer la pommade sur le peu d’intérêts qu’il a portés sur nous, durant ces dernières années ?

Écoute, ne parle pas de ton père ainsi…, je vais partir de cette chambre, tu dois être fatigué, tu n’a pas les idées claires !

Ça suffit, j’en ai marre, je te veux, moiiii…, et sil faut, pour cela, te violer, alors je le ferai à nouveau !!!! »

Éric tire d’un seul coup sur le haut de la robe de sa mère. Ce qui fait jaillir les énormes globes laiteux dIsabelle qui se balancent dans tout les sens.

Isabelle met ses mains devant, comme pour cacher ce qui n’était, à l’évidence, plus un secret pour son fils.

« Éric, noon, arrête, mais tu es fou !

Menteuse…, je suis sûr que ça te plaisait de les montrer sur la plage, cet après-midi ! Peut-être que tu aurais voulu que je te passe de la crème dessus, aussi ?

Tu…, tu dis n’importe quoi !

Tu mens !!! »

Éric se jette sur elle, lui prend ses énormes obus, les portant à sa bouche.

Isabelle se débat mollement, son fils les lèche obscènement, comme si sa vie en dépendait !

« Ooooooh, Éric…, mais tu es fouuuu, mmmmmm, oooohh… !

Finalement, elle le laisse faire, posant même sa main sur sa tête pour en exprimer la satisfaction.

Éric ne se fait pas prier et tète ses énormes gourdes qui semblaient le narguer depuis le début de leur arrivé, ici !

« Ooh, mon poussin, cesse de téter ta mère…, mmmmm, laisse-moi…, maman doit faire pipi…, mmmm, sors d’ici, ahhaaaaaa ! »

Éric la repousse, d’un coup, contre le mur, lui relevant la robe.

« Laisse-moi…, laisse-moi voir ce que tu portes dessous, aujourd’hui, toi qui aimes tant à me le faire voir à la maison !!!

Nooon, arrête, je t’en supplie ! »

Les faibles protestations de sa mère, n’empêchent pas son fils de remonter la robe jusqu’a la taille, dévoilant entièrement ses bas de couleur chair, tenus par un porte-jarretelle noir en dentelle.

La culotte noire, enfilée par dessus, laisse voir, par transparence, sa toison brune et épaisse.

« Ooh que j’aime te voir ainsi maman, que tu es belle…, que tu est belle !

Ohh Éric, laisse-moi, s’il te plaît… !

Tu as tellement de poils que ta culotte ne recouvre pas tout…, que c’est beau, que j’aime voir çaaaa !

Éric, il faut que tu me laisses…, je dois faire pipi et… ! »

Éric ne lui laisse pas le temps de finir et la retourne contre le WC, celle-ci est penchée en avant, les deux mains tendues qui se tiennent contre le mur.

« Éric…, calme-toi, voyons, ohhhhh !!!! »

Son fils ne l’écoute pas et baisse sa culotte au niveau des cuisses.

« Tu veux pisser, maman, alors, vas-y, pisse… !!

Non, attends, je…, mais, que fais-tu ? »

Éric baisse sa braguette et sort son membre qui est dur comme du bois.

il s’approche de son cul et commence à frotter son énorme gland contre l’anus dénudé d’Isabelle.

La culotte, à mi-cuisse, est tendue à cause de l’écart de ses jambes et semble, à deux doigts, de lâcher.

« Éric, mon poussin, arrête… !

Nooon maman…, je veux t’enculer et ça sera ici et maintenant… !!

Oh, mais tu ny penses pas…, tu es devenu fou ? Même ton père n’a… ! »

Isabelle se tait, n’osant par dévoiler, à son fils, qu’elle est vierge du cul.

Elle sent que le gland commence à forcer le passage de l’illet plissé.

Cette dernière remue les fesses pour empêcher Éric de poursuivre toute action.

« Non, arrête !!!!

Non, je veux, moiiii… ! »

Il plaque chacune de ses mains sur ses deux fesses pour lui empêcher tout mouvement et repique du nez, avec sa colonne veineuse, cette grotte encore non pénétrée par un sexe d’homme.

À force de patience et d’effort, le gland entre en force, ouvrant le trou anal.

Isabelle le sent tout de suite, mais étant à bout de force, ne peut qu’attendre que son fils n’y entre entièrement. Ce qu’il arrive, lui faisant lâcher un cri de douleur, tant la grosseur de son pieu se fait ressentir.


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